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(18/12/2008 17:35:24)

Le pôle SCS travaillera avec le MIT autour du développement durable

Le pôle de compétitivité Solutions communicantes sécurisées (SCS) situé en région Paca a signé cette semaine un partenariat avec le Mobile Experience Lab du MIT (Massachusetts Institute of Technology) de Boston. Suite à ce partenariat, des équipes mêlant des chercheurs des deux entités travailleront sur les apports des TIC mobiles au développement durable sous ses trois aspects (environnemental, social et économique). Pour commencer, durant les six prochains mois au moins, le pôle SCS et le MIT vont explorer les pistes de recherche dans ces domaines. Ils profiteront également de ce délai pour étudier certains sujets sensibles tels que les moyens financiers et la propriété intellectuelle des résultats des recherches. Les travaux menés par le pôle SCS tout comme ceux conduits par le Mobile Experience Lab du MIT concernent les technologies de communication mobile. La collaboration des deux entités concernera les usages de ces dernières pour le développement durable dans ses trois volets. Cela pourrait inclure les soins à domicile, les transports urbains, la ville durable, etc. Pourquoi pas un nouveau laboratoire d'usages sur la métropole marseillaise « Je suis allé présenter le pôle de compétitivité et ses projets collaboratifs au MIT il y a dix-huit mois, raconte Pierre Distinguin, directeur de la prospection pour l'agence économique Provence Promotion. J'ai évoqué les grandes entreprises comme STMicroelectronics, qui travaille sur les technologies sans contact, mais aussi les nombreuses start-up qui évoluent autour du NFC (Near field communication) ou de la cryptographie à base de jet d'encre. » SCS s'appuie aussi sur le Paca Mobile Center de Marseille, l'unique centre de tests de compatibilité et de contenu pour téléphones portables d'Europe, etc. Le partenariat pourrait déboucher sur un nouveau laboratoire d'usages dans la métropole marseillaise, cofinancé par le pôle SCS et le MIT au profit de projets pour des applications en région mais à vocation mondiale. « Nous avons été séduits par le cadre dynamique de la région, confie de son côté, Federico Casalegno, directeur du Mobile Experience Lab du MIT. La recherche au MIT est très pragmatique et raccourcit les distances entre la recherche avancée d'un côté, et le prototypage sur le terrain et le travail avec l'entreprise, de l'autre. Nous ne voulons cependant pas imposer notre démarche au pôle SCS, mais collaborer avec eux et créer un lien étroit entre la réalité de la région Paca et nous. » L'assistance aux personnes âgées ou la ville durable [[page]]« Autour de chaque thème spécifique, il s'agira d'améliorer l'expérience des usagers, de dessiner les technologies au service des hommes et des sociétés, au service du lien social. Et bien sûr, nous voyons le développement durable du point de vue de l'énergie, de la consommation des ressources, mais aussi beaucoup sous l'angle de la 'société durable' avec une approche sociale liée entre autres à l'impact des NTIC sur la transformation économique. » Parmi les thématiques envisagées, Federico Casalegno évoque l'assistance aux personnes âgées ou de la participation des citoyens à la gestion des biens publics, par exemple. « Mais on ne peut pas promouvoir des villes ou des bâtiments durables si les usagers ne participent pas, rappelle le responsable du laboratoire. Notre rôle sera aussi de leur donner des instruments de compréhension et d'action pour un comportement durable. Notre approche consiste à mettre au point des prototypes qui peuvent fonctionner rapidement pour leur faire manipuler et identifier les usages. Nous souhaitons également créer des systèmes d'apprentissage collectifs. » Le partenariat n'a que quelques jours, mais le responsable du laboratoire du MIT évoque déjà des idées possibles de projets qui pourraient s'y développer. Une maison connectée et durable, par exemple. Il évoque aussi une province d'Italie qui a demandé au MIT de développer un système pour éviter les trop nombreux accidents de la route mortels à la sortie des boîtes de nuit. « Nous avons créé des bracelets qui analysent le taux d'alcool des jeunes, qui envoient des messages à une liste d'amis dans leur réseau social. Un système de covoiturage permet de venir les chercher. » (...)

(17/12/2008 16:37:38)

Bouygues Telecom se fait incubateur de jeunes pousses

Bouygues Telecom veut accompagner les start-up dans leur développement et piocher, au passage, dans les bonnes idées concoctées par ces dernières. Pour cela, l'opérateur vient de lancer Bouygues Telecom Initiatives, un incubateur de jeunes pousses spécialisées dans les services de télécommunication. Sur le site mis en ligne pour présenter ce projet, Bouygues Telecom permet aux start-up de déposer leur dossier de candidature. Cinq à six entreprises seront retenues annuellement pour bénéficier du soutien de l'opérateur. Celui-ci signera un contrat le liant aux lauréats pendant 12 à 24 mois, une période au cours de laquelle les sociétés sélectionnées profiteront des moyens de Bouygues Telecom en matière de logistique, de plateformes de test, d'expertise juridique, financière ou marketing, etc. Les entreprises seront en outre hébergées dans les locaux de Bouygues Telecom. Pour l'heure, deux projets ont déjà été retenus, qui seront présentés dans les prochaines semaines. Bouygues Telecom, qui justifie son initiative par sa « volonté de se différencier par des services innovants et de s'appuyer sur la dynamique de créativité de start-up », prévoit également la constitution d'un fonds d'investissement. L'opérateur pourra ainsi prendre une participation dans le capital des entreprises qu'il épaule, une somme qui oscillera entre 100 000 € et 1 M€. (...)

(11/12/2008 15:45:09)

LeWeb'08 récompense Viewdle, start-up ukrainienne spécialisée dans l'indexation vidéo

La conférence LeWeb'08 s'est terminée hier avec, en particulier, la clôture de son concours de start-up. Chritine Lagarde, ministre de l'Économie, de l'industrie et de l'emploi a remis son prix au vainqueur, l'entreprise ukrainienne Viewdle, née en 2006. A partir de technologies issues de la recherche militaire, celle-ci a mis au point un environnement d'analyse sémantique de vidéos. Le résultat est assez étonnant. Durant sa démonstration, Laurent Gil, président de Viewdle, a proposé de retrouver sur le Web un discours de Sarah Palin, dans lequel elle évoque le prix des carburants. Le logiciel a identifié une vidéo d'une heure dans laquelle l'ancienne colistière de John McCain évoquait ce sujet, mais surtout, il a repéré l'endroit exact où elle en parlait, évitant ainsi le visionnage de l'heure entière. Viewdle est un système d'indexation et de référencement de vidéo qui s'appuie sur l'analyse visuelle et la reconnaissance faciale ainsi que sur la recherche au sein même des vidéos : l'outil analyse le vrai contenu de la vidéo, image par image, et ne se contente pas de consulter les métadonnées. Le moteur d'indexation gère jusqu'à 55 images par seconde. « On cherche qui est dans la vidéo, de quoi les personnes parlent, et à quel moment elles en ont parlé, explique Laurent Gilles. » Viewdle compte 26 ingénieurs dont 6 (PhD) en mathématique. Les deux autres lauréats récompensés par LeWeb'08 sont le Tchèque Webnode et le Néerlandais Zoover. Wednode, deuxième prix, propose un environnement de création de site Web à la fois riche et extrêmement simple d'utilisation, pour tout un chacun. Le troisième, Zoover, est un site communautaire destiné à recevoir le point de vue des internautes sur leurs voyages. (...)

(10/12/2008 13:36:46)

Google exécutera du code natif sur le poste de l'internaute depuis un navigateur

Sur un de ses blogs, Google évoque son projet de recherche Native Client qui devrait permettre d'exécuter du code natif depuis un navigateur. Certains modules applicatifs exploiteraient ainsi directement la puissance des postes de travail des internautes, sans que ceux-ci soient contraints de quitter leur navigateur pour autant. Pour expliquer son projet, l'éditeur prend l'exemple d'un site de partage de photos. Si un utilisateur veut manipuler ses images sans quitter le site Web, il peut disposer de la fonction idoine qui combinera du Javascript et du code sur le serveur. Mais cela implique de lourds et longs échanges de données, en l'occurrence d'images, entre le poste de travail et le serveur. L'exécution du code en mode natif sur la machine de l'internaute permettrait d'exploiter directement la puissance du poste client pour le traitement d'image et ainsi d'éviter les va-et-vient avec le serveur et les temps de latence associés. Google en appelle à la communauté Opensource pour gérer la sécurité Mais il reste à Google à résoudre les questions soulevées par de tels développements : l'indépendance vis à vis du navigateur, la portabilité sur les OS et surtout la sécurité des modules applicatifs natifs. Sur tous ces domaines et ce dernier sujet en particulier, le géant du moteur de recherche a décidé d'en appeler à la communauté opensource. L'éditeur veut par exemple que ses modules Native Client soient exempts de certaines séquences d'instructions ou qu'ils respectent un ensemble de critères structurels qui permettent de les désassembler de façon fiable. Face à « l'importance considérable » de l'enjeu, il a donc décidé de partager sa technologie avec la communauté bien que le projet soit encore très en avance de phase. Le package en ligne mis à disposition des développeurs comprend un runtime de Native Client, un plugin pour navigateur et un ensemble d'outils de compilation GCC (GNU Compiler Collection). Google propose l'accès à une version de recherche et à son code source, ainsi qu'à une documentation détaillée. Il conseille de disposer de Python et de Firefox 3, même si aucun des deux n'est obligatoire. L'environnement ne nécessite par exemple pas Python, mais l'éditeur a utilisé le langage pour écrire les scripts des premiers modules Native Client. Et ceux qui seront développés par les testeurs tourneront aussi bien sur Firefox, Safari, Opera, et Google Chrome sur n'importe quel Windows 'moderne', sur Mac ou Linux sur x86, pour l'instant. (...)

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