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(26/08/2008 12:25:09)

L'IDF de San Francisco en images

Quelques jours après la fermeture des portes de l'Intel Developer Forum, qui s'est tenu du 19 au 21 août à San Francisco, LeMondeInformatique.fr vous propose de revivre en images les temps forts de l'événement. Des Atom dans les MID Le U8 de Lenovo sur les traces de l'iPhone Les GPS aussi adoptent l'Atom Dolphin, pour des clusters plus simples à installer Des prototypes de périphériques USB 3 Le robot humanoid Reem Le mystérieux robot PatrolBot La navette Hermes, pilotable par WiFi Steve Wozniak en vedette américaine [[page]] Des Atom dans les MID Les MID (Mobile Internet Device) basés sur l'Atom constituent un marché à conquérir pour Intel. Du coup, ils sont présentés dès l'entrée du centre de conférence, en dehors de l'exposition (ouverte seulement trois heures par jour). [[page]] Le U8 de Lenovo sur les traces de l'iPhone A peine vendu sur le marché asiatique, le U8 de Lenovo fait son show à l'IDF. Il faut dire que c'est l'un des premiers MID grand public « haut de gamme » commercialisés à base d'Atom. Un concurrent luxueux aux iPhone et autres HTC Diamond dans la poche des cadres. [[page]] Les GPS aussi adoptent l'Atom Un autre marché porteur pour l'Atom : celui des GPS haut de gamme multifonction. Comme ce modèle présenté par Clarion qui, outre la navigation, se charge de l'ambiance sonore et vidéo de l'habitacle, prend vos rendez-vous ou vos notes si votre voiture est votre deuxième bureau. [[page]] Dolphin, pour des clusters plus simples à installer Avec son Multi-Host PCI Express I/O, Dolphin veut faciliter l'installation de clusters avec des PC et des serveurs à bas prix. Son boitier de connexion permet non seulement d'installer des I/O multi-hôtes, mais il ajoute en plus de la puissance de calcul supplémentaire utilisable pour l'affichage graphique ou pour du calcul brut. [[page]] Des prototypes de périphériques USB 3 Alors qu'on s'approche peu à peu d'une version finale de l'USB 3.0, les premiers prototypes sont présents à l'IDF. Cette norme, dont le matériel sera compatible avec l'USB 2.0 et 1.1, promet des vitesses allant jusqu'à 625 Mo/s, soit dix fois plus vite que la précédente. La version 0.9 des spécifications a été rendue publique (sous licence) juste avant l'IDF, et les premiers produits commerciaux sont prévus pour 2009/2010. [[page]] Le robot humanoïd Reem Encore au stade du prototype, ce robot humanoïde espagnol s'appelle Reem. Il se pilote avec ou sans fil (en s'adaptant à presque tous les systèmes de communications sans fil disponibles), et vise à effectuer des gestes humains dans des environnements hostiles : centrale nucléaire, pilotage d'un véhicule de secours en plein ouragan, etc. [[page]] Le mystérieux robot PatrolBot L'utilité du PatrolBot restera un mystère après ce salon. A part s'excuser et demander poliment de vous écarter de son chemin, ce modèle ne faisait que distribuer des brochures pour MobileRobots, un éditeur de logiciels OEM pour robots. Peut être a-t-il un bon avenir dans la publicité ou le cinéma ? [[page]] La navette Hermes, pilotable par WiFi Les ingénieurs de chez Intel rêvent aussi. Pour Morris Jarvis, ce rêve c'est l'espace. Et sa « navette spatiale », Hermes, était présente sur l'IDF (et en partie pilotable à distance par WiFi). Elle fera d'ailleurs son premier vol cet octobre au dessus de l'Utah. [[page]] Steve Wozniak en vedette américaine Chaque IDF se termine par une « star » des ICT. Cette année, c'est Steve Wozniak, le co-fondateur d'Apple, qui a assuré la clôture. Après une discussion à bâtons rompus sur ses souvenirs d'enfance, les Segway et ses relations avec les people d'Hollywood, il n'a pas échappé à la séance obligatoire d'autographes (monnayés 28 dollars par livre signé tout de même !). (...)

(25/08/2008 15:49:30)

La Russie injecte près de 17 milliards d'euros dans les technologies

Les Russes ont décidé de mettre les bouchées doubles pour favoriser le développement des hautes technologies. Selon nos confrères de l'agence de presse russe Ria Novosti, le pays injectera pas moins de 600 milliards de roubles - soit 16,7 milliards d'euros - dans les industries de hautes technologies jusqu'en 2010. Selon Vladimir Poutine, le premier ministre russe, jamais la Russie n'a autant investi dans ce secteur. Ce dernier a également donné son feu vert pour le lancement d'un programme de 250 milliards de roubles (soit 6,9 M€) sur cinq ans, dédié à la recherche fondamentale. La part des innovations devra également augmenter d'ici à 2020, a également annoncé le premier ministre lors d'une réunion consacrée au développement de la Russie sur le long terme. « La part de la production d'innovation devra pourvoir atteindre jusqu'à 25% du volume global de la production industrielle, a-t-il précisé. Or, elle ne se situe aujourd'hui qu'à 6% ». (...)

(12/08/2008 10:23:16)

Green IT, SOA et cloud computing auront un impact business dans 2 à 5 ans, prédit Gartner

Alors que les technologies du Web 2.0 devraient montrer leur impact dans les entreprises d'ici moins de deux ans, il faudra attendre entre deux et cinq ans pour que le Green IT, la SOA et le 'cloud computing' aient un effet significatif sur les systèmes d'information. Telle est la dernière prédiction de Gartner, qui a publié l'édition 2008 de son célèbre « hype cycle » des technologies émergentes. Le cycle défini par le cabinet prévoit cinq phases. La phase 1, « technology trigger », voit apparaître une nouvelle technologie, annoncée par leurs inventeurs et largement reprise et épluchée par les médias. Cela engendre une forte visibilité en très peu de temps, débouchant sur la phase 2, « peak of inflated expectations », ces technologies promettant monts et merveilles. Bien sûr, cela tarde à se concrétiser, la visibilité retombe, c'est le « trough of disillusionment », la phase 3. Entre-temps, la technologie mûrit, et ses premiers usages en entreprise laissent entrevoir de belles possibilités, c'est la phase 4, le « slope of enlightment ». Puis vient la phase 5 du « plateau of productivity », lorsque les technologies finissent d'être émergentes pour devenir d'un usage courant. Microblogging, réseaux sociaux, téléprésence et SSD prochaines technos à émerger Le phénomène du Green IT (informatique verte, ou développement durable appliqué aux systèmes informatiques) serait selon Gartner quasiment au somment de la phase 2, mais il lui faudrait encore de deux à cinq ans avant d'entrer dans une phase de large adoption. Placés en fin de phase 1, le cloud computing (services informatiques accessibles à la demande via Internet) et le microblogging (services de type Twitter, de blog en temps réel via des messages très courts) demanderaient un délai identique. [[page]]De même, les plateformes de réseaux sociaux, les technologies de téléprésence (vidéoconférence en haute définition et à l'échelle 1:1) et les disques à mémoire électronique (SSD) qui tous descendent la courbe de la phase 3, n'émergeront pas véritablement avant deux ans. L'impression 3D dans 5 à 10 ans, la réalité augmentée dans plus de 10 ans Parmi les nouveautés technologiques disposant de 5 à 10 années de maturation devant elles et ayant un impact potentiel très élevé, Gartner place l'impression 3D, qui permettrait, explique Gartner, de produire des composants au plus près du lieu de la demande. Réalité augmentée (mêlant images réelles et de synthèse) et robots mobiles ont plus de 10 ans devant eux, selon les analystes, avant d'émerger. Quant aux architectures orientées services (SOA), elles sont sorties de la phase de désillusion et cheminent doucement vers un usage courant, phase où sont déjà les services Web. Mais Gartner prévoit encore une fois ici un délai de 2 à 5 ans avant une large adoption des SOA par les entreprises. (...)

(24/07/2008 15:32:39)

22 nouveaux projets accordés aux pôles de compétitivité TIC

Dans le cadre du 6e appel à projets des pôles de compétitivité, le gouvernement annonce la validation de 99 projets ainsi que leur financement par l'Etat à hauteur de 109 M€. Ces projets émanent de 59 pôles de compétitivité et ont été choisis parmi 193 dossiers. Les collectivités locales ajouteront 75M€ au financement de l'Etat. Dans les pôles traitant des TIC, 22 nouvelles initiatives ont été validées. On trouve en tête, avec huit projets, le pôle francilien System@tic qui s'occupe de conception de systèmes. Du fait des efforts récents de ce dernier pour intégrer davantage les PMEdans ses travaux, la moitié des projets choisis sont portés par des petites structures. Celles-ci appartiennent aux groupes de travail sur le logiciel libre, les outils de conception et de développement de systèmes, la sécurité, la défense et enfin les télécoms. Huit projets pour System@tic, quatre pour Cap Digital L'autre pôle parisien, Cap Digital, spécialisé dans les techniques de l'image, se voit attribuer quatre projets. Le gouvernement en accorde un autre à Images et Réseaux en Bretagne, six à Minalogic spécialisé dans les nanotechnologies et installé en Rhône-Alpes, et trois pour le pôle SCS qui travaille sur les communications sécurisées installées en région PACA. L'ensemble des appels à projets des pôles, tous thèmes confondus, ont permis de soutenir 554 projets des pôles depuis 2005 (3,6 Mds € de R&D, 12 000 chercheurs, plus de 1,1 Md€ de financement public). Un septième appel à projets sera lancé mi-septembre. (...)

(16/07/2008 14:20:58)

Une lueur d'espoir pour le silicium amorphe - autrement dit, des LCD moins chers

Dans son édition de juillet-août, le Journal du CNRS rapporte que des chercheurs ont réussi à observer sur des particules matérielles une théorie imaginée par Philip Anderson en 1958. D'après ce physicien (prix Nobel en 1977), des impuretés peuvent stopper net des électrons, et donc rendre un matériau isolant. Cette théorie pourrait faire naître une manière plus économique de produire des appareils électroniques comme les écrans plats, précise le CNRS. En l'occurrence, les chercheurs ont démontré qu'un faible désordre appliqué grâce à un laser à un milieu où circulent des atomes suffisait à arrêter leur mouvement « en une fraction de seconde ». Le Centre national de la recherche scientifique parle de « résultats qui pourraient, à terme, améliorer les dispositifs électroniques basés sur le silicium amorphe, par exemple. Utilisé notamment dans les écrans TFT-LCD et dans certaines cellules photovoltaïques, ce dernier est beaucoup moins cher à produire, mais moins efficace aujourd'hui, que le silicium cristallin qui est à l'origine des dispositifs électroniques de haut rendement. » (...)

(16/07/2008 12:15:53)

IBM investit 1,5 Md$ supplémentaires dans la recherche sur les semiconducteurs

IBM va investir 1,5 Md$ pour stimuler ses efforts de recherche et de fabrication de semiconducteurs dans l'Etat de New-York. Il répartira cette somme entre trois projets sur les nanotechnologies, sans divulguer la somme affectée à chacun. Le géant va ainsi améliorer son usine de East Fishkill, étendre ses activités à l'Université de nanosciences et de nanoingénierie d'Albany, et créer un nouveau centre de recherche pour le packaging des puces dans un lieu qui reste à déterminer. L'Etat de New-York alloue au géant une subvention de 140 M$ pour ces projets. Il espère en effet que ces derniers génèreront un millier de nouveaux emplois high-tech sur son territoire. Les chercheurs d'IBM étudient la miniaturisation des circuits jusqu'au niveau de l'atome pour des semiconducteurs gravés à 32 nm et 22 nm (un nanomètre est égal à un milliardième de mètre.) Réduire ainsi la taille des circuits devrait permettre de fabriquer des ordinateurs plus puissants sans consommer plus d'électricité pour autant. Bien entendu, Intel et AMD ne sont pas en reste et améliorent constamment leurs technologies de fabrication afin de miniaturiser les puces. Le premier est passé à un procédé à 45 nm l'an dernier et AMD a prévu d'en faire autant dans l'année. Intel espère atteindre 22 nm en 2011. IBM étudie aussi les nanotransistors à base de nanotubes de carbone IBM travaille aussi sur la nanophotonique de silicium dont le principe consiste à remplacer certaines connexions sur la puce par des impulsions lumineuses sur de minuscules fibres optiques. Un moyen de transporter les informations à la vitesse de la lumière sans augmenter la consommation électrique. Big Blue travaille aussi avec certaines universités sur l'utilisation de nanotubes de carbone pour mettre au point des nanotransistors. (...)

(15/07/2008 09:07:03)

Des Australiens imaginent Internet à la vitesse de la lumière

Des chercheurs australiens ont mis au point un composant optique qui permettrait aux routeurs d'Internet de transmettre les données 60 à 100 fois plus rapidement. Le Cudos (Centre for Ultra-high bandwidth Devices for Optical Systems) de l'université de Sidney a mis quatre ans à mettre au point un composant qui utilise des "rayures sur du verre" en tant qu'aiguillages pour commuter les données en une picoseconde. Selon le professeur Ben Eggleton, les portes peuvent s'ouvrir et se fermer un million de fois en une seconde. Cette technologie photonique à une capacité d'un térabit par seconde. (...)

(11/07/2008 10:46:32)

Le concours national d'aide à la création d'entreprises technologiques récompense 60 projets informatiques

Cette année, pour sa dixième édition, le concours national d'aide à la création d'entreprises technologiques innovantes a récompensé près de 200 projets sur 1 174 dossiers reçus. Sur 175 lauréats, une soixantaine de projets informatique ont été sélectionnés. Dans la catégorie projets en cours de création ou de développement, l'éditeur Lemonway a été retenu pour sa capacité à innover dans la banque 2.0 et le guichet virtuel. Il s'agit en effet de mettre en oeuvre une plateforme mobile de paiement sécurisée multi-banques, destinée aux institutions financières. Une solution construite autour d'une boîte noire de sécurité permettant le cryptage et la compression des flux de données financières échangées directement entre les téléphones mobiles et les systèmes bancaires sécurisés. 230 000 € obtenus grâce aux subventions perçues à l'issue du concours Mais le projet nécessitait un budget important pour que les transactions puissent se faire directement par téléphone, sans passer par les banques. Dans certains pays, en Afrique par exemple, les établissements financiers ne sont pas toujours présents. « L'application nécessitait 230 000 € supplémentaires, que nous avons pu obtenir grâce aux subventions perçues à l'issue du concours », expose Sébastien Burleat, PDG de Lemonway. Désormais, ce programme innovant pourra compter sur les 400 000 euros de subventions offertes dans le cadre du concours. [[page]] Un label précieux pour attirer les investisseurs Le fait d'avoir été sélectionné à l'issue d'une compétition nationale permettra également au jeune entrepreneur d'augmenter ses chances auprès des investisseurs. « La rigueur des critères de sélection et la réputation d'excellence du concours crédibilisent le projet et lui confèrent un label précieux pour la recherche de financements complémentaires », précise le créateur de projet. Laurent Bourmault, concourait, lui, pour la seconde fois dans la catégorie projets en émergence. Cette fois, la récompense tant espérée a été attribuée à ShareNews Services, sa régie publicitaire en ligne à vocation culturelle destinée à valoriser le rôle des entreprises privées dans le financement de la culture. « L'an dernier, le projet avait pourtant retenu l'attention des organisateurs, se souvient-il. Mais il manquait de maturité et exigeait le renforcement des équipes qui travaillaient à son développement. » Cette année, il a su convaincre le jury. Du coup, Laurent Bourmault se prépare à participer de nouveau l'année prochaine, dans la catégorie création et développement. Ce type de concours est un moyen pour lui d'attirer investisseurs et business angels. Une priorité pour tout porteur de projet, selon lui. (...)

(10/07/2008 09:15:03)

System@tic se dote d'un plan d'action en faveur des PME

La faible représentation et le peu d'influence des PME font partie des reproches récurrents faits aux pôles de compétitivité. C'est pourquoi System@tic, le plus important des pôles à vocation mondiale dans le domaine des TIC, cherche à démontrer son intérêt pour les petites structures avec un plan d'action qui leur est réservé. « Pour nous, une PME est une entreprise qui ne dépasse pas une ancienneté de 5 ans, un C.A. de 3,5 M€ et un effectif de 30 personnes », précise Jean-Noël de Galzain, vice-président du financement et du développement des PME de Systema@tic. A son lancement en 2005, la structure n'en comptait qu'une vingtaine dans ses rangs. Aujourd'hui, elle en regroupe 167 avec 75 grandes entreprises et 58 laboratoires. Le pôle a recruté 40 nouvelles petites entreprises chaque année. Et le bureau exécutif accueille désormais trois d'entre elles. Les acteurs de System@tic collaborent sur des projets d'outils et de logiciels de conception de systèmes électroniques. Des ensembles matériels et logiciels qui envahissent l'industrie, en particulier dans l'aéronautique et l'automobile. Les acteurs de ce marché ne s'organisent pas comme le reste du secteur high-tech. Les grands donneurs d'ordre sont les concepteurs de ces systèmes avec de grands industriels spécialisés. Mais ce sont de tout petits acteurs, appelés techno-providers par la profession, qui réalisent les outils. Renforcer les partenariats entre les PME et les grandes entreprises [[page]]Dans le cadre de son plan d'action, System@tic va par exemple organiser un comité de promotion et de marketing en collaboration avec Inria Transfert et mettre en place petit à petit un label PME. « 85% de nos PME emploient moins de 50 salariés, rappelle Jean-Noel de Galzain. Il faut absolument les aider à grandir. Et il faut accompagner les autres à l'export. » System@tic compte aussi renforcer les partenariats entre les grands comptes et les PME autour de nouvelles activités ou de transferts technologiques, par exemple. Le rapprochement entre grandes et petites entreprises était déjà un des objectifs de départ des pôles. Bien sur, le pôle francilien va aussi s'attaquer à la question sensible du financement. Il se met en quête de forces d'accompagnement qui donneraient aux PME un accès plus simple et plus efficace aux investisseurs. Le pôle organisera des rencontres avec ces derniers pour des entreprises à différents stades de développement : amorçage, développement, et entreprises qui souhaitent partir à l'export. L'objectif : obtenir davantage d'aides, et des aides plus conséquentes. Il a aussi procédé le 21 mai à une opération « coup de poing ISF Tepa». La loi dite TEPA (en faveur du travail, de l'emploi et du pouvoir d'achat) permet en effet aux contribuables soumis à l'ISF de bénéficier d'une réduction d'impôt s'ils investissent dans des entreprises innovantes (75% de leur investissement est déductible du paiement de l'ISF dans la limite de 50 k€ par an). Depuis la chasse aux « ISF » est ouverte et System@tic n'y échappe pas. Trois des sept PME innovantes présentées par le pôle aux heureux contribuables ont réussi à lever 500 000 € en tout juste trois semaines de processus. L'opération sera réitérée l'an prochain. (...)

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