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Recrutement
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(26/10/2010 16:48:02)
L'Isep mise sur une pédagogie orientée projet
Approche par compétences, pédagogie par projet, coupure dans l'enseignement. Tels sont les temps forts de la réforme du cycle ingénieur engagée il y a deux ans par l'Isep (Institut supérieur d'électronique de Paris). «Nous avons décidé de revoir l'ensemble de la pédagogie afin de mieux motiver les futurs ingénieurs, favoriser leur insertion professionnelle et renforcer leur efficacité dès leur entrée sur le marché du travail », expose Michel Ciazynski directeur général de l'Isep. Ainsi, les cours, les travaux dirigés et pratiques ont été en partie remplacés par une méthode basée sur l'apprentissage par projets, alors que l'ancien modèle était basé sur l'utilisation de connaissances théoriques.
Des parcours qui se substituent aux options
A l'Isep, les étudiants sont les acteurs principaux dans la construction de leurs connaissances et le développement de leurs compétences. Réunis en petits groupes, ils travaillent sur des projets à caractère professionnel, s'inspirant d'une réalité industrielle, avec un semestre en informatique et un autre en électronique et signal. : Autre pan de la réforme : une logique orientée « parcours », qui remplace celle des options : à présent, le tronc commun se limite à la première année et les élèves peuvent ensuite choisir un parcours parmi ceux qui figurent au programme et qui intègrent un ensemble de modules dans quatre domaines techniques : informatique, réseaux et télécoms, électronique, signal et image.
L'Isep a également choisi d'appliquer une « coupure pédagogique », pont entre la fin de la classe préparatoire et l'entrée en cycle d'ingénieurs qui aide les jeunes à se familiariser rapidement avec le monde de l'entreprise et avec les différents métiers de l'informatique. Durant le mois de septembre, les 200 élèves de première année sont sensibilisés aux différents domaines de l'ingénierie. Pour découvrir les métiers et compétences qui s'y rattachent, des conférences métiers proposent des témoignages d'ingénieurs en poste, et des conférences thématiques sur différents sujets. Une trentaine de visites d'entreprises sont également organisées par l'Isep, chaque élève effectuant entre trois à cinq visites, en groupe de sept à trente, encadré par un professeur.
Des stages en entreprise dès la seconde année
L'autre évolution majeure du cycle ingénieur réside aussi dans l'introduction de parcours à visée professionnelle à partir de la seconde année, qui débute par un stage en entreprise de quatre à six mois. Dix parcours standards sont proposés aux élèves en informatique, traitement du signal et de l'image, électronique,, télécommunications et réseaux. A l'arrivée, élèves et entreprises semblent plutôt satisfaits. «L'apprentissage par la pratique s'inscrit parfaitement dans notre coeur de métier », souligne Annie Meheust, DRH de Capgemini FSGBU (Financial services global business) France. « Nous travaillons effectivement tous en mode projet, aussi bien en informatique que dans les fonctions de support », considère-t-elle. Selon la DRH, l'approche projet dispensée par l'Isep permet de disposer de candidats à la fois autonomes et « agiles », capables de s'adapter aux évolutions technologiques et également au contexte multiculturel.
Sarra Ghaib, élève de l'Isep en 3ème année raconte : « J'ai pu avoir accès à un tout un panel de métiers IT, dans différents secteurs d'activité, comme le conseil, le bâtiment, ou encore l'énergie. En seconde année, j'ai choisi la formule de l'alternance, en suivant parallèlement des cours en marketing, finance, comptabilité et conduite de projet, et j'ai finalement su que je voulais créer ma propre société. » De son côté Charles Couraud, étudiant en première année, se réjouit de la coupure pédagogique proposée par l'établissement. «Outre la découverte des différents métiers du secteur IT, le fait de travailler en groupe est plus motivant », estime le jeune homme qui indique vouloir se diriger vers l'univers des réseaux et des télécoms. D'après lui, il n' y aurait pas d'absentéisme grâce à ce mode d'apprentissage en mode projet.
Illustration : Elèves du cycle ingénieur de l'Isep. Crédit photo : Cédric Helsy.
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Object Direct recrute en formant aux technologies Web
Le dispositif de formation que vient de mettre en place la société de services Object Direct est un peu particulier. Les cours, qui se déroulent en soirée, s'adressent notamment à celles et ceux qui désirent postuler auprès de l'entreprise. Animés par des consultants formateurs, ils sont également ouverts aux salariés de la société dans le cadre de leur plan de formation annuel. Les candidats et les collaborateurs sont accueillis au sein du centre de formation interne à l'entreprise. Ils pourront suivre gratuitement ensemble des formations sur les technologies Microsoft .Net, J2EE/ Spring3 et HTML5 (*). Le premier programme est planifié à Grenoble de novembre à janvier 2011.
Une initiative en support d'un plan de recrutement
Cette année, la maison mère Viseo a lancé un plan de recrutement portant sur une centaine de postes, dont 35% pour Object Direct. Partant du constat qu'une partie des postulants ne sait pas ce qu'apporte réellement une société spécialisée technologiquement par rapport à une SSII généraliste, il est apparu naturel à Franck Priore, directeur général d'Object Direct, d'ouvrir ce type de formations aux candidats pour qu'ils dépassent le cadre des entretiens de sélection.
Pourront donc s'inscrire les ingénieurs et consultants qui justifieront des pré-requis demandés (correspondant à un premier niveau de maîtrise de ces technologies). Une démarche d'intérêt pour les postes ouverts au sein d'Objet Direct ainsi que leur CV seront demandés aux participants, comme contributions. Les formations en soirée se déroulent sur un format plus court que les stages classiques. Organisées sur les sites de la SSII à Paris, Lyon et Grenoble, elles peuvent rassembler jusqu'à 18 participants, sur une tranche horaire de 18h30 jusqu'à 22h30. Le repas sera offert et les candidats disposent d'un ordinateur pour deux. Chacun ne pourra s'inscrire qu'à une seule formation de deux soirées complémentaires.
(*) Deux modules sur .Net (Architecturer une application XAML avec le pattern MVVM et le Mapping objet/relationnel avec NHibernate), la convergence J2EE6/Spring 3 et comment développer une application en HTML5 compatible avec la majorité des smartphones.
Illustration : extrait des spécifications HTML5 (crédit : W3C)
Les freelances IT tributaires des intermédiaires
iDirect.fr, en partenariat avec l'association professionnelle des informaticiens Munci, livre les résultats d'un sondage sur la sous-traitance mené auprès de freelances du secteur informatique. L'enquête a été conduite, du 11 au 16 octobre 2010, auprès des adhérents de iDirect, des consultants indépendants ayant une ancienneté moyenne de cinq ans et demi. L'étude montre d'abord que les missions sont majoritairement obtenues au travers d'un intermédiaire (66,46%).Il peut d'agir de SSII qui n'ont pas dans leurs salariés le profil demandé ou d'entreprises commerciales n'effectuant que du placement de freelances.
Puis viennent les cas de double-intermédiaires (16,31%), des missions obtenues sans aucun partenaire (15,37%) et enfin de celles effectuées avec plus de deux partenaires (1,86%).
Une marge de 27,48% pour les intermédiaires
Le sondage révèle également que les freelances sont parfois présentés à l'entreprise cliente comme étant des salariés de SSII (35,73% des cas). Mais dans la majorité des cas, le donneur d'ordre sait que le consultant est un indépendant revendu par une société tierce.
Enfin la marge moyenne des intermédiaires est de 27,48%, selon les freelances. Toutefois iDirect.fr émet une réserve sur ce point. La société indique que les indépendants n'obtiennent jamais copie du contrat client, qu'ils n'ont souvent qu'une affirmation verbale d'un agent commercial qui n'a aucun intérêt à faire connaître sa marge réelle. Le nombre de réponses à 20%, ratio souvent présenté comme standard, est d'ailleurs important, considère iDirect.fr, puisqu'il représente un tiers des réponses. Ces 27,48% en sus du prix freelance correspondent à un peu plus de 21% du prix payé par l'entreprise cliente.
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Apec 2010 : la reprise de l'emploi IT se confirme
Dans l'informatique, neuf entreprises sur dix ont recruté au troisième trimestre 2010, contre huit sur dix au troisième trimestre 2009. C'est ce qu'indique la note de conjoncture trimestrielle publiée aujourd'hui par l'Association pour l'emploi des cadres. Les prévisions de recrutements progressent en outre de 4 points et, pour 58% des entreprises de la high-tech, le volume de recrutement des cadres est plus élevé par rapport à l'an passé : dans l'informatique, 21% des entreprises ont ainsi prévu de recruter des cadres au cours du quatrième trimestre 2010.
Forte demande pour des profils systèmes, réseaux et données
S'agissant du volume des postes à pourvoir par secteur, l'informatique fait encore une fois partie des domaines où les hausses se sont fortement accélérées depuis le début de l'année. Dans l'IT (qui représente 23% de l'ensemble des offres d'emploi des cadres au global), la progression du nombre d'offres s'est maintenu à un haut niveau : + 67% au cours du troisième trimestre 2010, soit 20 147 annonces publiées par l'Apec au cours de cette même période, après + 69% enregistré au deuxième trimestre 2010. S'agissant des offres par fonction, c'est une fois encore l'informatique, avec 3 offres sur 10, qui enregistre l'une des hausses les plus élevées avec + 91%. La plus forte demande de cadres se situe dans le domaine des système, réseaux, données (+ 93%) et dans celui de l'informatique de gestion (+ 87%). L'Apec précise, par ailleurs, que 69% des entreprises qui ont embauché au troisième trimestre indiquent avoir engagé des jeunes diplômés.
Une offre IT pour 29 candidatures
Dans la filière high-tech, une offre a attiré en moyenne de 29 candidatures Toutefois, cette catégorie aurait amorcé un mouvement de baisse. Enfin, 71% des recruteurs IT déclarent qu'il leur a été difficile de trouver des candidats adaptés au poste, dont 16% « très difficile ». L'Apec souligne qu'il faut mettre en relation ce jugement avec le fait que le nombre moyen de candidatures par offre a reculé pour cette fonction.
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Monster réitère ses journées virtuelles de recrutement
Monster, spécialiste de la gestion de carrière en ligne, lance la troisième édition des Monster edays, ses journées virtuelles de recrutement. Jusqu'au 29 octobre, les candidats peuvent postuler en ligne et de façon interactive, avec les entreprises 24h/24 et 7j/7, partout en France ou à l'international. Grâce à des vidéos intégrées aux annonces, ils ont la possibilité de découvrir, de l'intérieur, l'environnement de travail des recruteurs. Des chats (vidéo et texte), faisant office d'entretiens d'embauche, autorisent la communication en direct avec des responsables d'entreprises de différentes agences régionales. Des outils permettent également aux employeurs de suivre les visites et les candidatures sur le stand et d'accéder à la base de CV qualifiée de Monster. « A la différence des salons traditionnels, cette formule permet aux exposants de toute région d'être visibles sur un plus grand laps de temps », expose Laurence Bricteux, directrice du marketing chez Monster, et d'ajouter : de leur côté, les postulants peuvent envoyer leurs questions quelque soit l'endroit où ils se trouvent, se promener dans les allées, visualiser les stands des exposants, postuler aux offres, et rebasculer à tout moment vers notre site d'offres d'emploi. »
Accéder à des candidatures de qualité
Cette année, la manifestation, qui compte sur 110 000 visiteurs uniques, accueille une quinzaine d'entreprises de tous les secteurs, dont celui de l'IT, représenté par des éditeurs (Cegid, Microsoft, NeoSoft), des SSII (Cella, CSC) et des fabricants de périphériques sans fil pour téléphonie mobile (comme Parrot). Au menu, des postes couvrent différents profils correspondant à tous niveaux d'expérience et de qualification, en région parisienne, en province, comme à l'étranger. Pour CSC, il s'agit de la seconde participation. "Nous souhaitions renouveler l'opération car elle nous a permis d'accéder à des candidatures de qualité que nous n'avions pas pu toucher par la voie des petites annonces", témoigne Sophie Vandermeersch, responsable du recrutement chez CSC. Pour elle, cette formule établit également un lien de proximité avec les candidats, au travers des chats, ce qui n'est pas possible lors des salons traditionnels, du fait d'un fort afflux de visiteurs.
La SSII compte donc sur le côté interactif de la manifestation pour l'aider à réaliser 500 embauches d'ici la fin de l'année, dont une majorité de profils expérimentés pour des postes situées en Ile-de-France. "Etre présent sur ce type de salon revient moins cher - soit entre 5 000 à 15 000 euros NDLR- que de passer par un cabinet de recrutement", considère la représentante de CSC. "Cette formule a également pour avantage de renforcer notre visibilité et d'attirer des candidats qu'on n'a pas l'habitude de toucher", indique t-elle.
Restait la formation à l'outil, seule ombre au tableau lors des précédentes éditions. Cette année, l'accompagnement semble avoir été réalisé bien en amont par Monster. "Un tour d'horizon sur les nouveautés proposées dans le cadre de cette édition a été effectuée" précise Sophie Vandermeersch. Plusieurs heures ont notamment été consacrées au fonctionnement des stands, aux questionnaires adressés aux candidats et à la mise en ligne de témoignages.
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Mozilla trouve son PDG chez SAP
Gary Kovacs, qui entrera en fonction en novembre, vient de SAP où il était vice-président senior des marchés, des solutions et produits de SAP, après l'acquisition de Sybase. Il a occupé auparavant le poste de directeur général et vice-président des produits de téléphonie mobile chez Adobe. Il a également travaillé chez Macromedia et IBM. Il succède à John Lilly qui, plus tôt cette année, a annoncé son intention de prendre du recul pour se concentrer sur ses activités de capital-risqueur. L'ancien dirigeant de Mozilla a expliqué sur son blog : « il a une profonde expérience pour mener la bataille de ce qui définira l'avenir de l'Open Web : les mobiles et le rich media » et d'ajouter que la mobilité est «une zone extrêmement importante où nous avons beaucoup à prouver dans les prochaines années ». (...)
(15/10/2010 11:59:34)Le marché de l'emploi IT devrait se stabiliser en 2010
Cadremploi et Keljob, spécialistes de la gestion des carrières sur Internet, ont organisé hier une conférence de presse intitulée « La reprise du marché de l'emploi est-elle durable ? » Les débats ont été précédés par une introduction sur l'état du marché en France. Ils ont révélé que, même si le chômage a augmenté dans l'IT, dans le même temps le nombre d'offres d'emploi publiées sur Internet a progressé depuis les sept derniers mois, après 20 mois consécutifs de baisse. La dernier indicateur d'emploi publié par l'Apec indiquait ainsi qu'en août dernier, la fonction high-tech représentait 28% des offres d'emploi cadres, soit 7 805 annonces IT sur un total de 24 800. En chiffres cumulés, sur douze mois glissants (c'est à dire sur la période de septembre 2009 à août 2010, par rapport à la période de septembre 2008 à août 2009), la progression des annonces concernant les cadres informaticiens a atteint 25%.
Répondre au développement de l'informatique embarqué
Selon Cadremploi et Keljob cette situation s'explique majoritairement par la mobilité, et en particulier celle des cadres. Eve Royer, responsable des ressources humaines d'Assystem, société de conseils et d'ingénierie a fait savoir pour sa part que son entreprise comptait recruter 900 collaborateurs en 2010, et que 650 embauches avaient déjà été réalisées depuis le début de l'année. « Ces niveaux de recrutement s'expliquent surtout par le dynamisme de deux secteurs, celui de l'énergie nucléaire, où la visibilité d'Assystem est forte et celui de l'automobile, du fait du développement de l'informatique embarquée. » a-t-elle déclaré. Dans cette SSII, 90 % de ces recrutements représentent des créations nettes d'emploi, et 10 % visent à répondre au départ de collaborateurs qui ont démissionné. Dans la grande majorité des cas, les personnes recrutées le sont en CDI. Assystem prévoit également de réaliser 1 200 embauches en 2011, dont 80 % de cadres et d'ingénieurs, en CDI.
Des recrutements en hausse de 10% selon le Syntec
De son côté Eric de Saqui de Sannes, DRH de Sogeti et représentant de Syntec Informatique, a indiqué que les prévisions du Syntec faisaient état d'une progression de 10 % des embauches entre 2009 et 2010, à environ 26 000 contre 24 000. Il a estimé que les effectifs devraient donc rester stables, alors que 3 500 emplois avaient été détruits l'année dernière. Sogeti a réalisé 944 embauches, en France, depuis le début de l'année. Entre 1 150 et 1 200 recrutements seront réalisés sur l'ensemble de 2010. La SSII envisage également d'intégrer 1 500 collaborateurs en 2011, dont 80 % de cadres, et 40 % de jeunes diplômés. Un plan destiné aux jeunes, qui vise notamment au développement des contrats d'alternance sera mis en place. Le DRH de Sogeti considère enfin que le développement de l'activité liée aux systèmes informatiques qui servent au fonctionnement des réseaux sociaux sera sans aucun doute porteur pour les acteurs de l'informatique.
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Baromètre HiTechPros/CIO : Le marché repart à la baisse
Pour ce mois de septembre, les catégories techniques les plus demandées n'ont pas changé. En effet, les compétences les plus recherchées restent : « Nouvelles technologies » (27,8 % des demandes), « Systèmes, réseaux, sécurité » (26,5 % des demandes), et « Consulting Expertise » (14 % des demandes).
Les demandes ayant le plus augmenté ce mois-ci sont les catégories techniques suivantes : PGI (+28,00 %) ; systèmes, réseaux, sécurité (+23,46 %) ; et mainframe (+7,41 %). A l'inverse, les catégories techniques les plus affectées par une baisse de la demande ce mois-ci sont : Recette et support utilisateurs (-3,19 %), moyens systèmes type AS/400 (- 9,52 %) et, malgré un volume qui reste très élevé, « Nouvelles technologies » (- 17,32 %).
Synchrone Technologies, une SSII en pleine croissance
Pour l'exercice 2009, Synchrone s'est déjà distinguée en affichant une croissance de son chiffre d'affaires de 25%, à 25,5 millions d'euros (ME). Pour 2010, elle devrait progresser encore avec 36 ME, en croissance de 40%. « C'est un aboutissement, explique son Pdg, Laurent Leconte, depuis notre création en 2001, nous avons acquis des certitudes quant à notre performance commerciale et un certain nombre d'années de recul».
L'axe numéro un de développement est sectoriel, Synchrone ne travaille que dans la banque. « Nous assurons aussi bien, des prestations de corporate banking (front et middle office, gestion des risques), de retail banking (à destination des clients), qu'une partie transverse (infrastructures et bases de données) », explique Laurent Leconte.
La société, forte de 450 consultants, a donc besoin de nouvelles compétences et recrute 200 consultants en 2010, 260 sont prévus en 2011, en données brutes. La majorité des recrutements se fait sur Paris et l'Ile-de-France, le reste sur les implantations en région : Paca, Rhône-Alpes-Auvergne, Toulouse et Montpellier. 25% des recrutements s'adressent à des jeunes diplômés.
Une base de données de 110 000 CV
Synchrone recrute avec ses moyens propres et des moyens plus traditionnels. La société a structuré une base de données interne avec tous les CV reçus. 110 000 au total. « Nous avons notre Monster interne » glisse Laurent Leconte. Entrent aussi en ligne de compte : la cooptation, le relationnel avec les écoles d'ingénieurs, ou plus simplement des annonces sur les sites de recrutement. « Nous n'avons pas spécialement de difficultés à recruter. La difficulté pour une SSII n'est pas de recruter mais de trouver les bons profils » note Laurent Leconte.
La société envisage également de s'implanter sur d'autres régions, l'Alsace et la Bretagne sont ciblées. Mais sans calendrier précis et surtout sans croissance externe. Malgré ses bons résultats Synchrone reste sage. Seules des créations de filiales sont envisagées. Sur des compétences pointues et pour intéresser des cadres dirigeants. Trois existent déjà : « Synchrone Solutions » pour l'Open Source, « Synchrone Recrutement » pour les besoins internes ou ceux des clients en ressources humaines, Synchrone Consulting et Facilities. Une autre devrait voir le jour en matière de sécurité. (...)
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