Flux RSS
Recrutement
705 documents trouvés, affichage des résultats 431 à 440.
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |
(05/05/2008 14:01:37)
Peu de chance d'attirer les talents en Inde pour 320 euros par mois
[mise à jour] L'offre d'emploi défraie la chronique depuis deux jours. Publiée le 23 avril sur le site de l'ANPE, elle propose un poste d'informaticien à pourvoir à Pondichery, ancien comptoir français en Inde. Le recruteur recherche un développeur Java pour un contrat à durée indéterminée. Si les débutants, titulaires d'un BTS ou d'un DUT informatique, sont acceptés, on leur demande d'avoir d'« Excellentes connaissances de Java et C++, Visual Interface et DLL dans l'environnement Microsoft (98 et Vista) ». Là où le bât blesse, c'est que le candidat se voit offrir un contrat de droit local. Le salaire indicatif oscille entre 10 000 et 20 000 roupies par mois, soit 160 à 320 euros mensuels pour 40 heures hebdomadaires. En France, les salaires pour ces postes démarrent à 25 000 euros (voir notre « Enquête salaires 2008 » tout juste publié). Plus encore, ce qui a soulevé l'indignation des syndicats français, c'est la mention « Protection sociale et avantages à négocier » qui figure sur cette petite annonce. Cette dernière émanerait, selon France Inter, d'une Web agency française qui se serait cassé les dents dans l'Hexagone et souhaiterait se relancer en Inde (alors qu'il est indiqué sur le site de l'ANPE que l'entreprise compte plus de 5 000 salariés). Un informaticien formé en France ne partira pas dans ces conditions « Il y a longtemps que plus personne ne va en Inde en se limitant à des critères de coût », considère Laurent Py, PDG de Leirios, éditeur d'une solution d'industrialisation des tests logiciels interrogé par www.lemondeinformatique.fr. Leirios a justement lancé un projet d'implantation sur le sous-continent indien avec l'assistance de la société Qualitree. [[page]]« Les entreprises qui s'installent en Inde y vont plutôt pour rechercher des compétences. On y trouve une main d'oeuvre qualifiée et mature. » Le dirigeant français souligne que les salaires y ont progressé. Il note une inflation de 15 à 30% sur ceux des consultants seniors. « Le plus difficile sur place, c'est le recrutement, estime le fondateur de Leirios. Il y a désormais une vraie pénurie de compétences. Les ressources humaines constituent le point clé qui fait qu'une société allant là-bas réussit ou échoue : il y a une vraie lutte pour attirer les talents. » Et si Leirios envoie un collaborateur français dans sa filiale indienne, celui-ci partira avec un statut d'expatrié. Laurent Py note que si les 20 000 roupies proposées dans l'offre relayée par l'ANPE correspondent à un salaire de junior (les seniors sont rétribués de 40 000 à 80 000 roupies), les recrues risquent de partir au bout d'un an si on ne leur octroie pas 40% d'augmentation. Montrée du doigt, l'ANPE s'était défendue en expliquant que l'offre pouvait intéresser un candidat à l'expatriation. Laurent Py n'y croit guère. « Les chances de succès de recruter des collaborateurs de cette façon-là sont voisines de zéro, conclut-il. Un Français ne partira pas dans ces conditions, un informaticien indien ayant été formé en France non plus. » [mise à jour] 300 euros par mois pour tester la qualité logicielle Autre éditeur français implanté en Inde, GeoConcept, spécialiste de la cartographie décisionnelle, emploie neuf personnes à Chennai, dans l'Est du pays.[[page]] Les rémunérations de ces employés (quatre testeurs et cinq développeurs) s'échelonnent entre 300 euros et 730 euros mensuels, suivant les fonctions occupées. Le salaire des personnes chargées de tester la qualité logicielle est moins élevé que celui des développeurs. Par comparaison, la rémunération (160 à 320 euros) proposée sur le site de l'ANPE pour un poste de développeur Java se situe visiblement au-dessous de ce qui est proposé pour cette fonction sur le marché indien. Interrogé sur la mention « Protection sociale à négocier » de l'annonce incriminée, Eric Lanzi, président de GeoConcept, confirme que les assurances ne sont pas obligatoires en Inde. Mais pour le dirigeant, qui affiche son ambition de conserver à long terme ses salariés indiens (recrutés il y a un an et demi), « la protection sociale fait partie des éléments essentiels à leur offrir ». Cette année, l'éditeur français devrait par ailleurs proposer en moyenne des augmentations de salaire allant de 10 à 15% pour conserver ces collaborateurs qu'il a formés à ses produits. (...)
(02/05/2008 16:13:06)Deux écoles lyonnaises lancent un mastère spécialisé en PLM
L'ECAM (Ecole catholique des arts et métiers) et l'INSA (Institut national des sciences appliquées), toutes deux à Lyon, créent en partenariat un mastère spécialisé (MS) en PLM. Le product lifecycle management, en forte croissance, se fait de plus en plus une vraie place chez les industriels. Et il intéresse désormais aussi bien les secteurs de l'agro-alimentaire, du textile, de la biologie que les activités historiques du PLM et de la CAO comme l'automobile, l'aéronautique ou l'électronique. Au delà de la simple option souvent proposée, les deux écoles ont décidé de bâtir un cursus d'une année complète sur le sujet. Le MS couvrira l'ensemble des problématiques liées à la mise en oeuvre du PLM, depuis la conception du système d'information jusqu'à son déploiement et à son exploitation. L'objectif est de former des chefs de projets spécialisés chez les industriels ou des responsables techniques et ingénieurs d'étude chez les éditeurs et les intégrateurs. Les diplômés proposeront à leurs employeurs une compétence à la fois technique (architectures distribuées, conception UML, structuration des données) et fonctionnelle (gestion du cycle de vie, modèles utilisés, méthodes de mise en oeuvre). Le MS se déroule sur onze mois dont 420 heures de formation en école et au moins cinq mois de stage. L'inscription pour la prochaine rentrée, en septembre 2008, est ouverte à partir de cette semaine et jusqu'au 14 juillet. Elle concerne les jeunes diplômés des écoles d'ingénieurs et de l'université (niveau Bac+5), les salariés ingénieurs, les cadres en poste et les techniciens expérimentés ainsi que les demandeurs d'emploi titulaires d'un Bac+5 ou Bac+4 avec 3 ans d'expérience. (...)
(30/04/2008 16:49:09)Alten recrute 2300 ingénieurs dans dix villes de France
Alors que certains misent sur les outils du Web 2.0 pour recruter, d'autres prônent la bonne vieille méthode du tour de France. C'est notamment le cas d'Alten qui organise du 19 au 29 mai 2008 son second 'road tour' de recrutement dans une dizaine de villes étapes. L'objectif est ambitieux, puisque la SSII compte sur 2 300 nouvelles recrues en France d'ici la fin de l'année. Les postes sont à pourvoir dans les métiers de la mécanique, de l'électronique et de la microélectronique, des télécommunications et de l'informatique industrielle, du management de projets, des systèmes embarqués, des systèmes d'information et des réseaux. Alten réunit aujourd'hui près de 10 500 collaborateurs (dont plus de 87% d'ingénieurs de haut niveau) et espère passer à 12 000 salariés d'ici à 2010. Les consultants et experts techniques d'Alten témoigneront de leur expérience tandis que l'équipe managériale et RH prodiguera aux candidats des conseils personnalisés sur la réalisation de leurs CV et l'optimisation de leur recherche d'emploi. Les rendez-vous se dérouleront tous en début de soirée. C'est Paris qui ouvrira le bal, le 19 mai à la Cité des Sciences et de l'Industrie de La Villette. Le 20 mai, ce sera au tour de Toulouse à la Bodega Bodega, puis Strasbourg (sur la péniche Le Hot Boat ), et de Sophia-Antipolis (au Sun City Café). Le 22 mai, des rencontres auront lieu à Rennes (au café La Place ), Nantes (au Loft) , Lille (au NetWork Café), Marseille (au Sport's Beach Café), et Villeurbanne ( aux « Terrasses du Parc). Les dernières rencontres se dérouleront le 29 mai à Brest (au Pub Hamilton). (...)
(29/04/2008 12:38:17)Index Freelance.com: Les spécialistes de Business Objects dans le top 10
C'est au tour des experts du décisionnel d'apparaître au Top 10 des compétences les plus recherchées sur des missions de courte durée. L'index est en effet marqué par l'arrivée des spécialistes de Business Objects, placés pour l'instant en queue de peloton. Il s'agit de consultants/développeurs intervenant sur des mises à jour ou des migrations vers les versions BO V5, V6 ou BO XI. Les missions portent notamment sur du conseil pour assurer la mise en place de BO V5, sur du développement, et sur du transfert de compétence vers les utilisateurs. Elles nécessitent l'intervention de consultants BO possédant une expertise en prévisions budgétaires, de concepteurs expérimentés sur Univers BO, ou de développeurs pour réaliser des Univers et business view BO.
En revanche, Freelance ne relève pas de changement significatif dans le peloton de tête du top 10. Depuis plusieurs semaines, les profils Unix, essentiellement des développeurs et des administrateurs, gardent l'avantage, talonnés par les spécialistes d'Oracle. Les consultants SAP reprennent la troisième marche du podium aux profils Java, en repli de plus de trois points, depuis la semaine dernière. Du côté des spécialités, les professionnels des langages de programmation (Java, Cobol, C++, etc.) et des logiciels de gestion, surtout sur SAP, restent les plus courtisés.
Méthodologie : les pourcentages indiquent la proportion des offres nécessitant la spécialité ou la compétence donnée dans l'ensemble des offres à pourvoir. Panel représentatif des 615 offres de projets informatiques disponibles au 28 04 2008 (pondération par rapport à l'importance de la demande).
(...)
En informatique, senior rime souvent avec chômeur, confirment la Dares et l'Apec
Dans un contexte de plein emploi, comme l'indique la dernière note de conjoncture publiée par l'Apec, la problématique des informaticiens seniors reste pourtant au coeur des débats lorsqu'on aborde la question du chômage. Dans une note sur les tensions du marché du travail observées au cours du second semestre 2007, la Direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques (Dares, ministère du Travail), montrait que le nombre de demandeurs d'emploi en informatique s'élevait à 35 545 en juin 2007, soit un taux de chômage de 7,1%. L'Apec a également décidé de se pencher sur la question, en publiant pour la première fois une étude sur les recrutements des cadres de 50 ans et plus, par secteur, dont l'informatique. Les résultats montrent bien que dans la IT, le chômage frappe davantage que dans d'autres filières : en effet, les embauches des seniors y sont trois fois moins fréquentes que pour l'ensemble de la population des cadres. En 2007, les activités informatiques n'ont recruré que 2% de seniors âgés de 50 ans et plus, tandis que 8% seulement de seniors ont été embauchés dans les études techniques , l'ingénierie et la R & D. Des chiffres peu élevés, malgré une augmentation sensible de l'effectif senior dans l'informatique, par rapport à 2001. 8% d'embauches pour les plus de 15 ans d'expérience [[page]] Ce pourcentage reste cependant très insuffisant, les entreprises de la high-tech ayant tendance à miser sur des jeunes diplômés (34% des embauches en 2007), formés aux dernières technologies du marché, et très peu sur les profils expérimentés (8% des informaticiens ayant plus de 15 ans d'expérience recrutés en 2005, contre 13% en moyenne). Face à ce constat, l'association pour l'emploi des cadres a demandé à un informaticien âgé de 58 ans de témoigner sur sa situation. Patrick Gaudillet, directeur de production, est resté sans emploi pendant plus de trois ans, après avoir été licencié par une SSII située dans le Sud de la France. « L'âge est l'un des facteurs les plus discriminants en France, surtout dans l'informatique, témoigne-t-il. Sur 800 CV envoyés, je n'ai reçu aucune réponse positive. La situation était telle qu'on m'a conseillé de me diriger vers un autre secteur d'activité. Du coup, j'ai eu l'idée de me lancer dans la création d'entreprise. » Son projet à peine bouclé, Trigône, une SSII parisienne, le contacte pour lui proposer un poste. Il laisse son projet de création d'entreprise pour un CDI qu'il signera illico. Quitte à baisser son salaire de 30%, et accepter un trajet de deux heures chaque jour, depuis la ville de Dijon où il réside, jusqu'à Paris, où siège l'entreprise qui a décidé de l'accueillir. (...)
(23/04/2008 18:12:04)Bilan Apec T1 2008 : légère baisse des recrutements dans l'informatique et le conseil
Au cours du premier trimestre 2008, l'optimisme des recruteurs de la sphère IT ne s'est pas démenti. La dernière note de conjoncture trimestrielle publiée par l'Apec montre que le marché de l'emploi des informaticiens est toujours porteur, sur fond de niveaux élevés de recrutements externes. C'est en recherche et développement (+73% d'offres au premier trimestre 2008) que la hausse a été la plus significative, grâce au dynamisme des filières études techniques et projets affaires, qui ont respectivement bondi de 76% et 77%. Le marché de l'emploi informatique se maintient, en dépit d'un léger ralentissement de la croissance du volume des offres : +31% au premier trimestre 2008, après + 40% lors du précédent trimestre. Des évolutions différentes selon les segments du conseil Dans le secteur du conseil (ingénierie/informatique), les recrutements réalisés au cours des trois premiers mois de 2008 sont également en léger recul, en perte de 7 points par rapport à 2007. Même constat de baisse modérée concernant les prévisions d'embauche des entreprises du conseil IT : 62% d'entre elles ont l'intention de recruter au deuxième trimestre 2008, contre 67% l'an dernier. Cette moyenne recouvre des évolutions divergentes : dans le conseil informatique, 95% des entreprises ont réalisé des embauches au cours du premier trimestre 2008, et 90% ont l'intention d'y procéder au cours du trimestre prochain. Mais les autres segments du conseil, comme l'ingénierie et la gestion, se montrent au contraire prudents, avec une seule entreprise sur deux qui a recruté au cours des trois premiers mois de cette année, et pas davantage qui prévoient de le faire au cours du trimestre à venir. Pour l'Apec, ce repli serait en partie dû à des difficultés de recrutement. Seulement 19 candidatures par offre [[page]] L'association note en effet que les fonctions de la high-tech sont celles qui reçoivent le moins de candidatures : les filières informatique et R&D, nettement en dessous d'une moyenne de 40 candidatures par offre, reçoivent 19 demandes seulement pour une offre d'emploi. Pourtant, les activités informatiques et les études/conseils sont celles qui recrutent le plus. On ne s'étonnera donc pas du faible taux de postes pourvus dans ces filières (qui s'élève à 56% en R&D), ni de la part élevée des recrutements abandonnés, dont 34% sont toujours en cours dans le secteur R&D. Principale raison de ces abandons ? La définition du poste, qui rassemble 37% des sondés. D'ailleurs, c'est l'informatique qui semble faire les frais des plus fortes tensions du marché de l'emploi, avec la plus forte part de recrutements jugés difficiles. Dans cette filière, 80% des recruteurs indiquent ne pas trouver les bons candidats : 46% jugent les procédures de recrutement très difficiles, et 36% estiment même qu'elles sont très difficiles. Du coup, les entreprises informatiques ont tendance à cibler des jeunes diplômés : c'est notamment le cas de 68% d'entre elles. (...)
(21/04/2008 13:46:02)Les sites d'emploi des entreprises françaises mal notés
Potential Park, un cabinet d'études et de conseil suédois, vient de publier un classement des 100 meilleurs sites de recrutement d'entreprises, en France et dans l'ensemble de l'Europe. Pour ce qui est de l'Hexagone, une seule entreprise (Total) figure au sein du top cinq des portails d'emploi institutionnels. C'est en effet le jobboard d'un Américain, en l'occurrence Accenture, qui reste le mieux noté, à la fois par les Français et l'ensemble des Européens. Ce qui permet au géant du conseil IT d'obtenir un excellent score, et de s'octroyer la seconde place du classement de l'Hexagone, et la troisième marche du podium à l'échelle européenne. « Les grands groupes largement implantés à l'international ont très bien pensé leur message envers les jeunes talents français et disposent de sites très outillés », a commenté Torgil Lenning, fondateur du cabinet suédois Potential Park, auteur du classement. En 9e position du palmarès français, et 10e au niveau européen, IBM. Absent du classement européen, Capgemini et son jobboard est néanmoins élu 26e site en France. Pour dresser son analyse, Potential Park s'est appuyé sur les réponses de plus de 8 000 jeunes, dans 14 pays différents, diplômés et étudiants de dernière année de grandes écoles et d'universités. Plus de 400 sites d'emploi ont ainsi été passés en revue, en France et dans l'ensemble de l'Europe. (...)
(16/04/2008 12:27:54)Indice Keljob.com : plus de 81 000 offres pour les informaticiens en mars
En mars dernier, l'indice de mesure des offres diffusées sur Internet et publié par le site d'emploi Keljob.com a gagné 43 points supplémentaires en l'espace de deux mois : le nombre d'annonces en ligne a ainsi doublé en un peu plus de trois ans, pour atteindre 464 000. Cette tendance à la hausse devrait vraisemblablement se poursuivre jusqu'en juillet prochain, estime le site d'emploi. Sans surprise, c'est encore une fois le secteur de l'informatique et des télécoms qui joue le premier rôle, en s'accaparant quelque 17,5% du marché, avec 81 200 postes à pourvoir sur la Toile. Le secteur R&D suit, mais de très loin, avec seulement 2,% des offres. En dressant une analyse de sites par catégorie, Keljob note que les offres déposées par les cabinets de recrutement ont très fortement augmenté (+40%) au cours du mois dernier. A l'inverse, le nombre d'annonces publiées sur les sites d'emploi spécialisés sont en légère baisse (- 4,5%), tandis que les propositions de stages continuent de reculer, mais de façon plus sensible (- 18,3%). (...)
(15/04/2008 14:37:09)Index Freelance.com : les spécialistes d'Unix, en tête du Top 10 depuis trois mois
En cette deuxième semaine d'avril, le quatuor de tête des compétences reste inchangé. La demande des recruteurs se concentre une nouvelle fois sur les spécialistes d'Unix, en tête du palmarès depuis près de trois mois, et ce en dépit d'un fléchissement de 2,3 points. Un bémol cependant concernant les compétences Unix, en particulier sur les environnements IBM : en effet, les demandes sur AIX ont reculé, cette semaine, de quelque 3,3 points.
Juste derrière Unix, les incontournables professionnels d'Oracle, de Java et de SAP campent sur les mêmes positions depuis maintenant trois semaines. Les administrateurs, les ingénieurs et les développeurs font, encore une fois, partie des compétences les plus recherchées.
Du côté des spécialités, la tendance observée ces dernières semaines se confirme : les experts des langages de programmation, logiciels de gestion et bases de données demeurent les plus courtisés sur des missions de courte durée.
Quant à l'index d'évolution de la rémunération des experts freelances, basé sur le prix moyen des offres proposées par Freelance.com, il reste stable en se maintenant à 480 euros depuis déjà plusieurs mois.
Méthodologie : les pourcentages indiquent la proportion des offres nécessitant la spécialité ou la compétence donnée dans l'ensemble des offres à pourvoir. Panel représentatif des 585 offres de projets informatiques disponibles au 14 Avril 2008 (pondération par rapport à l'importance de la demande.
(...)
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |