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(09/05/2011 09:10:06)
Pour la 1ère fois, le groupement Convergence a tenu salon
Créé il y a dix ans, le groupement Convergence regroupe aujourd'hui 64 adhérents, installateurs et intégrateurs réseaux et télécoms. Il tenait sa Convention annuelle au Palais des congrès de Versailles la semaine dernière. Pour la 1ère fois, le groupement y organisait un salon, 34 de ses partenaires fournisseurs ont répondu à l'appel. La convention se tenait la deuxième journée, en milieu d'après-midi, suivi d'un dîner en commun, le but étant, comme toujours chez Convergence d'allier travail et convivialité.
La Convention a permis de réunir 50 des 64 adhérents actuels de Convergence, représentés par 170 participants à cette convention. La partie salon a donné la possibilité de prendre des contacts plus faciles que sur un salon ou un Tour de France, chaque adhérent ayant à disposition ses fournisseurs et, réciproquement, chaque fournisseur rencontrant des partenaires intégrateurs très intéressés et totalement disponibles.
Les sessions plénières, en plus des assemblées générales de Convergence et de Convergence Business, ont permis de mettre l'accent sur les success story. Chaque adhérent a pu montrer à ses collègues des déploiements en clientèle ou des solutions développées en interne, particulièrement marquantes. La charentais Ceso, par exemple, parlait de son offre datacenter en marque blanche (*). Atlantic Telephone (du 64), d'une offre de mobilité également en marque blanche.
La Domabox lancée dans un mois
D'autres adhérents ont parlé d'affichage dynamique, ou de visioconférence avec Ubic (situé dans l'Herault). Le lorrain Entela Communication présentait sa Domabox. Lancée dans un mois, elle permettra de gérer tout un bâtiment (lumières, portes, vidéoconférence, eau, gaz, électricité).Cette interface pourra se mettre sur un smartphone.
Le groupement a également présenté de nouveaux outils de communication interne. Un Forum réservé aux adhérents leur permet d'échanger sur leurs meilleures pratiques. Le catalogue fournisseur va également passer sur le réseau, facilitant les mises à jour et la disponibilité. Les offres d'emploi vont être réunies en ligne par le groupement afin de faciliter les démarches des adhérents qui ont, comme dans tout le secteur, des difficultés pour mettre la main sur les bons profils.
Le groupement Convergence prépare également le lancement d'un outil de supervision de réseaux, développé par l'un de ses adhérents. Il est testé chez certains clients et sera mis sur le marché. Cet outil de supervision permet de contrôler et d'analyser le réseau d'une entreprise.
Un intranet pour les clients grands comptes
Enfin, à destination du client final, Convergence Business (la branche chargée de décrocher et traiter des contrats dans les grands comptes) met en place un intranet permettant de suivre les projets. La démarche suivie est celle du guichet unique. Le client dispose également d'un numéro de téléphone dédié et d'un interlocuteur pour répondre à ses demandes plus rapidement. Une base de données en ligne lui assure l'accès aux documents techniques.
Lors de sa dernière journée, le groupement s'est enfin, logiquement, projeté dans l'avenir. Avec des présentations sur le Saas et le cloud adaptées à la ToIP. Et toujours le même principe de partage de compétences.
(*)https://www.distributique.com/actualites/lire-l-integrateur-operateur-ceso-lance-une-offre-de-type-centrex-16206.html (...)
Brocade mise sur un mix IPv4 et IPv6
Le responsable marketing produit de Brocade, Keith Stewart, a indiqué lors des Technology Day de l'équipementier à San José, que ses clients sont actuellement en plein questionnement sur les migrations d'adresses IP (Internet Protocol).
« Sur ce sujet, il manque un point de vue pragmatique sur la gestion de cette transition. Le marché a été dominé par des positions opposées » confirme Keith Stewart. IPv4, le schéma d'adressage utilisé dans la plupart de l'Internet aujourd'hui, est limité à environ 4,3 milliards d'adresses Internet unique. La plupart d'entre elles ont déjà été attribuées. Les PC, serveurs, téléphones et autres appareils connectés ont besoin d'une adresse IP pour communiquer. Bientôt, ces équipements devront obtenir des adresses basées sur le protocole IPv6. En février dernier, l'Internet Assigned Numbers Authority (IANA) a attribué son dernier bloc d'adresses IPv4 à des registrars régionaux. Les réactions face à cette paupérisation des adresses ont été orientées vers les visions extrêmes.
Une position médiane et dans la durée
D'un côté, les « irréductibles IPv4 » estime que le système actuel d'adressage peut être étendue à travers un système NAT (network address translation) et qu'il n'y a pas d'incitation économique pour basculer à IPv6, souligne le dirigeant. Les « puristes IPv6 » pensent que toutes les entreprises devraient migrer vers ce protocole dans les 18 prochains mois. « Ce n'est tout simplement pas viable économiquement », s'insurge Keith Stewart et d'ajouter « il n'est pas non plus réaliste de penser que le système NAT répondra à l'ensemble des problématiques d'adressage aux seins des entreprises ».
« Nous croyons que la raréfaction est réelle, mais que la plupart des entreprises ont besoin de temps pour planifier et exécuter leurs stratégies. Les administrateurs doivent se préparer à une longue transition, divisée en plusieurs étapes. La prochaine décennie vivra avec la coexistence des deux protocoles », prédit le dirigeant.
Il n'est pas surprenant que Brocade prenne position, car il a des outils pour aider les clients à gérer cette transition. Par exemple, la série ServerIron ADX peut être utilisée pour adapter les sites existants et les services de l'entreprise au protocole IPv6. Brocade a également une passerelle NAT pour traduire des adresses IPv4 en IPv6.
Gestion de parcs IT : Kaseya rachète Intellipool AB
L'éditeur suisse Kaseya, spécialisé sur les solutions de gestion des infrastructures informatiques, a racheté le Suédois Intellipool AB, fournisseur de solutions de surveillance de réseaux et contrôle des performances. Il récupère ainsi le produit Intellipool Network Monitor (capture d'écran ci-dessus) qui permet de suivre jusqu'à des milliers d'équipements réseaux, mais peut aussi se borner à n'en gérer que quelques-uns. Cette offre supporte une vingtaine de systèmes d'exploitation. Dans un premier temps, son acquéreur proposera ce logiciel comme une extension à sa gamme de modules, avant de l'intégrer complètement dans sa plateforme Kaseya 2 d'ici la fin de l'année.
Si la suite modulaire de Kaseya s'adresse naturellement aux départements informatiques des entreprises, elle est aussi très adaptée aux besoins des prestataires de services IT. Disponible en version « on-premise » et en mode hébergé, elle rassemble des outils de sauvegarde, de migration de postes de travail, de surveillance, de gestion des patchs, d'audit et d'inventaire, d'anti-virus, de monitoring réseau, d'accès à distance, de service desk et de gestion des interventions (ticketing). En s'appuyant sur cette solution pour agir de façon préventive sur les équipements de leurs clients, les SSII et revendeurs à valeur ajoutée (VAR) peuvent leur garantir un niveau de services et, dès lors, vendre aux entreprises un engagement de résultat, explique Stéphane Hauray, directeur général de Kaseya France. Sur les 10 000 prestataires informatiques présents en France, outre 300 grandes sociétés et 3 000 de taille moyenne, on dénombre une majorité de petites sociétés ne gérant souvent qu'une centaine de machines, rappelle le DG. La solution de Kaseya permet aux prestataires de services managés de prendre en charge davantage d'équipements en générant une rentabilité supérieure (x 2,5 environ) à celle d'un contrat classique.
Auditer avant de s'engager
Sur les dix nouveaux clients signés par la filiale française au cours de ce premier trimestre, 7 sur 10 étaient des prestataires de services IT et les 3 autres, des entreprises, détaille Stéphane Hauray pour illustrer l'intérêt croissant des professionnels de l'infogérance pour les outils qu'il commercialise. « L'un des gros problèmes des prestataires est le surstaffing », rappelle Stéphane Hauray. Avec une solution d'automatisation et de détection préventive des pannes, ils sont en mesure de gérer deux fois plus de machines, estime le directeur général. Il constate qu'il y a une prise de conscience des SSII et des VARs de l'importance d'un outil adapté pour s'engager sur un résultat. « A chaque nouveau client, le prestataire installe Kaseya en mode audit et le rapport qu'il obtient le renseigne sur l'état de santé du réseau et des besoins en maintenance ». Quelle est la proportion de machines anciennes, quels types d'interventions prévoit-il, quels serveurs vaut-il mieux changer d'emblée ou bien assortir d'une maintenance plus coûteuse. Le VAR ajuste au mieux le contrat qu'il va proposer en ayant une visibilité complète de l'état du parc avant de s'engager, car il est difficile de revenir ensuite sur les conditions offertes. « On mesure les risques et on limite les mauvaises surprises en connaissant bien l'infrastructure du client. Tout doit être intégré dans la rentabilité ».
Un module de facturation centralisé
Le mois dernier, Kaseya a ajouté à sa suite intégrée un module de facturation, Service Billing 1.0. Celui-ci permet aux fournisseurs de services d'infogérance d'automatiser leur facturation depuis une console centralisée. L'outil leur procure une vision complète de leurs activités pour les différents clients. Il leur permet aussi d'améliorer leur rentabilité et d'optimiser leur trésorerie. L'éditeur a également mis à jour son module Service Desk. Dans sa version 1.3, celui-ci intègre principalement un compteur de session pour les besoins de facturation sur tous les tickets et bons d'intervention ouverts, la création de listes de tâches pour les techniciens pour chaque ticket ouvert.
Illustration ci-dessus : le module de facturation Kaseya Service Billing, KSB - (cliquer ici pour agrandir l'image)
Illustration d'ouverture : logiciel de surveillance des équipements réseau et de contrôle de performance Intellipool Network Monitor, d'Intellipool AB (cliquer ici pour agrandir l'image)
(...)
Trimestriels Netgear : En pleine croissance
Le fabricant américain de produits réseaux, de stockage et de sécurité a clos le premier trimestre de l'année 2011 sur un chiffre d'affaires de 279 millions de dollars, en hausse de 31% à période comparée de l'exercice précédent. Ses activités en EMEA ont affiché un fort dynamisme avec une croissance de 51% aboutissant à des revenus trimestriels de 122,6 millions de dollars. Netgear réalise désormais 44% de ses facturations dans cette zone géographique contre 47% dans la zone Amériques. Outre-Atlantique, le chiffre d'affaires du fabricant a aussi progressé (+22%) pour atteindre 132 M$. La croissance est en revanche bien moindre dans la zone Asie-Pacifique (+5%) où les revenus se sont établis à 24 M$.
«Notre croissance impressionnante au premier trimestre est le résultat de l'introduction de nouveaux produits sur le marché lors de ces derniers mois. Nos produits pour la connexion TV et mobile, nos passerelles câble Docsis 3.0 et nos récents systèmes de stockage pour les entreprises notamment, ont enregistré un excellent accueil de la part du marché », estime Patrick Lo, le président et CEO de Netgear.
Parallèlement à la hausse globale de son chiffre d'affaires, Netgear a également enregistré un bénéfice net (norme GAAP) en progression de 54% à 21,2 M$. La marge brute (non GAAP) représente quant à elle à 32,1% de ses facturations contre 35,2% un an, tandis que la marge opérationnelle (non GAAP) recule également de 1,1 point à 12,6% du chiffre d'affaires.
Illustration: Patrick Lo, CEO de Netgear
(...)(05/05/2011 14:51:44)Iomega sort des solutions NAS pour PME avec SSD et réplication
Plusieurs serveurs NAS évolutifs viennent compléter l'offre de stockage en réseau qu'EMC destine, par l'intermédiaire de sa filiale Iomega, aux PME et aux sites distribués des plus grandes entreprises. La gamme StorCenter PX Series comprend des modèles pour environnements de bureau (px4-300d et px6-300d, quatre et six baies) et montage en rack (px4-300r, quatre baies). Elle se décline en diverses versions, la première se présentant sans disque dur, jusqu'à celle pouvant accueillir 18 To. Ces baies NAS sont optimisées pour recevoir des disques SATA (serial ATA) de 3,5 pouces à 7 200 tours par minute, mais elles peuvent aussi utiliser des disques de 2,5 pouces. Les StorCenter PX présentent par ailleurs une interface iSCSI pour le transfert de données en mode bloc.
En option, ces serveurs reçoivent des disques SSD pour doper les performances, une nouveauté pour Iomega. Ils peuvent aussi disposer de fonctions avancées de protection de données. Dans ce domaine, Iomega annonce plusieurs niveaux de RAID (0, 1, 10, 5, 5+1 hot spare et 6), l'échange des disques à chaud, une alimentation sans interruption, des quotas d'utilisateurs ainsi qu'une capacité de réplication entre les dispositifs, pour assurer la continuité de l'activité ou la reprise d'activité après un plantage. Là aussi, cela constitue une première pour Iomega.
A installer en environnement virtualisé
Ces serveurs sont certifiés pour les environnements de virtualisation VMware vSphere 4.0, Citrix XenServer et MS Windows Server 2003/2008/2008 R2 HyperV. Sur EMC World, la semaine prochaine, le fabricant prévoit de montrer le transfert en streaming de multiples images virtuelles de postes de travail depuis des disques SSD vers un serveur StorCenter. « La virtualisation constitue vraiment une application cible pour ces produits », explique Marc Tanguay, directeur général des produits de stockage en réseau chez Iomega. « Cela procure des performances très intéressantes pour certaines applications, par exemple dans le cas de centres d'appels qui démarrent très vite le matin, ou encore pour les flux vidéos en streaming ».
Les nouvelles fonctionnalités logicielles dont bénéficient ces serveurs NAS devraient permettre à Iomega d'étendre sa présence dans les agences de grandes entreprises, estime Marc Tanguay. Les StorCenter PX proposent notamment les services de domaine Active Directory (AD DS) de Microsoft pour réseaux distribués, ce qui permet aux serveurs d'effectuer des réplications avec un datacenter centralisé.
Les prix des StorCenter px4-300d s'échelonnent de 799 euros (sans disque) à 2 000 euros environ (avec quatre disques de 3 To), ceux du px6-300d vont de 899 euros (sans disque) à 2 650 euros environ (avec 18 To). Enfin, le modèle rack, px4-300r démarre à 1 600 euros et monte à 2 850 euros (avec 12 To).
Illustration : Gamme StorCenter PX de Iomega
L'accès WiFi à l'hôtel analysé et noté
Bien qu'Internet soit souvent devenu une nécessité basique, trouver une connexion lors d'un déplacement peut s'avérer frustrant et onéreux. HotelChatter publie chaque année son Hotel WiFi Report, listant les pires et meilleurs hôtels en matière de WiFi.
La certitude que de nombreux voyageurs seraient prêts à payer n'importe quel prix pour une connexion internet pousse les hôtels à continuer la pratique de tarifs exorbitants - parfois plus de €20 par jour. HotelChatter affirme cependant que certaines chaînes se mettent à l'écoute des clients, en proposant le WiFi gratuit. Ils offrent un accès Wi-Fi totalement libre, gratuit dans le hall ou bien à des tarifs intéressants via un programme de fidélité.
Les hôtels de luxe ne sont pas des modèles
Mais, il semble que d'autres n'en soient pas là, notamment les plus établissements les plus luxueux. L'étude montre que ces derniers ne changent pas leurs tarifs, très élevés, alors que les hôtels économiques proposent maintenant un accès gratuit à internet.
Marriott, W Hotels et InterContinental ont été classés dans la catégorie des pires solutions WiFi, de même que Sofitel, Four Seasons, Mandarin Oriental et Ritz-Carlton. Hotel Indigo, Kimpton ont été jugés les meilleurs dans ce domaine tout comme Aloft qui remporte la palme.
En dépit de tout cela, se connecter à internet dans un hôtel se révèle toujours difficile, la qualité du réseau WiFi variant selon les pays, les chaînes et même d'un établissement à un autre.
Libye : les rebelles ont créé leur propre réseau mobile
« Le nouveau réseau nommé Libyana Al Hurra, est opérationnel depuis le 2 avril, et il est physiquement isolé du réseau Libyana de Tripoli, » a déclaré Ousama Abushagur, un ingénieur télécom libyen basé aux Émirats arabes unis (EAU), qui a dirigé l'équipe chargée de mettre en place le nouveau réseau. Jusque-là, dans la région de Benghazi et dans les autres places fortes tenues par les opposants, les gens devaient utiliser les téléphones satellites de Thuraya Télécommunications. Mais, « le coût de ces communications étant élevé, rares étaient les personnes qui pouvaient se permettre de téléphoner, » a déclaré l'ingénieur dans un entretien. « De plus, ils devaient se placer dans des zones à découvert pour passer des appels, et ne se sentaient pas en sécurité, » a-t-il ajouté.
Le satellite en système de secours
Avant que les opposants soient coupés du réseau mobile Libyana Tripoli, toutes les communications étaient acheminées par des systèmes centralisés sur Tripoli. « Le HLR (Home Location Register) du réseau GSM (Global System for Mobile Communications) qui gère la base de données des abonnés admis sur le réseau, ses passerelles internationales, le Short Message Service Centers (SMSC), et autres éléments clés du réseau, se trouvaient à Tripoli, » a encore expliqué Ousama Abushagur.
Avec son équipe, ils ont dû introduire dans le réseau des équipements et des données essentielles avant de pouvoir offrir un service de téléphonie mobile dans l'Est du pays. En particulier, ils ont dû reconstruire le HLR et ajouter des éléments au réseau de cette zone géographique, pour ne plus dépendre du système centralisé à Tripoli. « Nous n'avions pas de HLR, ce qui signifie que nous ne savions pas quels utilisateurs autoriser pour le connecter au réseau, » a déclaré l'ingénieur. « L'équipe a dû reconstruire une base de données couvrant au mieux l'Est du pays, afin de permettre aux gens d'utiliser le réseau, sans interruption de service, » a-t-il expliqué.
Déjà 800 000 utilisateurs
« Grâce à l'aide financière d'hommes d'affaires libyens travaillant dans les Émirats Arabes Unis, nous avons pu acheter des équipements auprès de différents fournisseurs, et les transporter sur Benghazi avec un avion qui a transité par l'Égypte, » a confié Ousama Abushagur. L'équipe a également acheté une capacité satellite sur Intelsat 15, et l'a connecté au réseau IDT pour le service vocal international. « D'autres opérateurs internationaux peuvent également se connecter à ce réseau, », a-t-il ajouté. Le 2 avril, le nouveau réseau comptait environ 800 000 cartes SIM actives.
Comment mener à bien un projet en e-santé
A partir d'une étude documentaire sur les projets menés en Europe (hors France), l'ASIP Santé et la FIEEC ont sélectionné dix projets qui ont été étudiés sur place dans six pays européens : Royaume-Uni (Whole System Demonstrators - NHS National Program for IT), Belgique (VINCA I et II), Norvège (Teledialysis - Nett i Nord), Danemark (Télésurveillance en pneumologie), Pays-Bas (Ksyos Teledermatology - Portavita Digital logbook), Allemagne (SHL Telemedezin Monitoring Medical Center - Vitaphone telemedical platform - TEMPiS).
Sept facteurs clés de succès ont été isolés à partir de cette étude : réflexion stratégique partagée entre acteurs publics et privés, une gouvernance agile et adaptée à la taille du projet, évaluation globale des apports des solutions de télémédecine et de télésanté, constance dans l'effort pour les développer, souci de répondre aux besoins des professionnels de santé et des patients, sensibilisation appropriée des utilisateurs autour de ces nouvelles techniques, et enfin infrastructures et des technologies adaptées et interopérables.
Le compte-rendu de l'étude rend compte e détail de ces sept facteurs clés de succès et en tire les enseignements opportuns pour la situation française. L'étude se télécharge gratuitement sur le site web de l'ASIP Santé.
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