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(08/04/2011 09:35:36)
Iliad rajoute les appels fixes vers l'Algérie au forfait Freebox
Iliad, la maison-mère de Free, a annoncé, jeudi 7 avril, l'introduction des appels vers les postes fixes en Algérie dans le forfait Freebox. Seuls les abonnés Freebox v6 et ceux en zones non dégroupées pourront profiter de cette nouvelle destination gratuitement. Néanmoins, les autres utilisateurs Freebox peuvent s'abonner à cette option, disponible à 2,99 euros par mois.
(...)(06/04/2011 10:21:05)Ciena répond aux nouveaux besoins avec du 100 G
A l'occasion du passage en région parisienne du « Lab innovation », un camion de démonstration des technologies de Ciena, Virginie Hollebecque, directrice des opérations pour la France, Israël et l'Afrique fait le point sur la vision de l'équipementier, un an après le rachat de l'activité MAN (Metro Area Networks) de Nortel Networks.
« Cet innovation Lab permet d'amener des experts des technologies au plus près de nos clients et de nos partenaires. Et sur certaines technologies comme le 100 G, le mieux est encore de voir ce qui marche. 'Seeing is remembering' » décrit-elle. 
L'innovation Lab de Ciena - Cliquer pour agrandir l'image
« Nous en sommes à la troisième génération d'Asic dans nos équipements, nous avons une génération d'avance, c'était d'ailleurs une des raisons de notre acquisition de Nortel Networks » ajoute-t-elle. Le marché de Ciena couvre désormais aussi bien les opérateurs télécoms que les entreprises. Il s'agit alors d'établissements financiers, des banques, d'entreprises de média ou d'organismes de la recherche qui ont des besoins spécifiques en termes de performance, de bande passante et de latence.
« A l'heure du Cloud Computing, il faut que les infrastructures télécoms permettent de tirer le meilleur parti de la virtualisation des applications » souligne Virginie Hollebecque. Des liaisons 100 G ont été mises en oeuvre par Ciena pour la bourse de New York, le NYSE, qui avait des besoins spécifiques en termes de latence. Idem pour le réseau Renater de la recherche. Des liens 100 G avec un routage IP effectué par des équipements de Cisco ou de Juniper Networks ont été mis en oeuvre avec les opérateurs SFR (entre Paris et Bordeaux) ou Verizon (entre Paris et Francfort).
Pour autant, la demande du côté du grand public, où de plus en plus consommateurs visionnent des programmes TV en HD a un impact différent selon les opérateurs télécoms. « Le déploiement du très haut débit s'effectue au cas par cas chez chaque opérateur, chaque réseau a ses contraintes, et nous regardons les liens qui ont besoin du 40 G ou du 100 G, qu'il soit délivré en mode 10 par 10, ou en 100 Gbit/s Ethernet » indique Virginie Hollebecque.
Elle ajoute « Nos concurrents chinois ne savent pas faire du 100 G ni du 40 G cohérent. » La technologie 40 G cohérent permet d'effectuer des transmissions optiques sur des fibres de moindre qualité et sur des distances plus longues, cela permet de récupérer des installations terrestres ou sous marines qui n'avaient pas été forcément prévues pour cette gamme de transmission. « Les opérateurs ont besoin de technologies leur permettant de bâtir des réseaux maillés capables de répondre aux besoins de débits qui sont imrpévisibles» conclut Virginie Hollebecque.
Très haut débit : Les élus locaux manifestent leur mécontentement
Les élus des collectivités locales s'inquiètent de l'accroissement de la fracture numérique et du fait qu'ils puissent être tenus pour responsables par leurs administrés. Le 4 avril 2011, à l'occasion de l'Assemblée générale de l'Avicca (Association des villes et collectivités pour les communications Électroniques et l'audiovisuel), ils ont demandé que la montée en débit des liaisons ADSL de l'opérateur historique soit prise en charge essentiellement au niveau national et non au niveau local, ceci en mesure transitoire, là où il n'est pas possible de passer directement à la fibre optique.
Où trouver les financements ?
Les leviers de financement proposés par l'Avicca sont multiples. Ils suggèrent un programme d'investissements massifs de France Télécom dans les zones où les débits ADSL sont insuffisants, une affectation des dividendes de l'Etat (actionnaire de France Télécom) aux aides aux projets locaux, une séparation structurelle de l'opérateur historique afin de constituer une entité sous maîtrise publique assurant une transition de la boucle locale cuivre à la boucle locale en fibre optique, le tout sans subventions, une régulation différente de la boucle locale cuivre afin d'inciter à l'investissement, ou une alimentation pérenne du Fonds d'Aménagement Numérique du Territoire. Ce dernier verrait son objet être élargi à la montée en débit, ou devrait dégager des moyens suffisants pour traiter en priorité, en fibre optique jusqu'à l'abonné, les zones où les débits ADSL sont insuffisants.
L'Avicca demande un débat parlementaire sur ces différentes options de financement national de la montée en débit, suivi de décisions rapides. Un des moteurs de la réaction de l'Avicca provient du fait que le passage au très haut débit sur fibre optique est un chantier qui prendra au moins quinze ans dans le Programme national Très haut débit, et l'association ne veut pas rester sans rien faire en attendant pour les zones qui ont aujourd'hui des débits insuffisants. Au passage, l'Avicca souligne que l'opérateur de la boucle locale cuivre et les fournisseurs d'accès à internet dégagent des marges positives considérables sur cette activité depuis plusieurs années.
Une politique attentiste chez Orange
L'association critique l'opérateur historique qui n'a aucun plan pour faire monter en débit le réseau qui lui appartient : « il envisage seulement de faire appel aux subventions des collectivités, et concentre ses intentions d'investissements sur les zones rentables de déploiement de la fibre optique. » L'Autorité de régulation des télécoms en prend aussi pour son grade, puisque l'Avicca indique le dispositif présenté par l'Arcep affecte tous les coûts d'investissements au demandeur de la montée en débit, qu'il s'agisse de collecte, hébergement, modification de la boucle locale, « accompagnement » des opérateurs privés pour leurs DSLAM, c'est-à-dire en fait aux collectivités.
Toujours selon l'Avicca, le coût de la montée en débit, en dehors des zones qui pourraient être fibrées dans les prochaines années, a été estimé de deux à cinq milliards d'euros, suivant les objectifs de débits à atteindre. Or, le programme national Très haut débit ne prévoit au maximum que deux cent cinquante millions d'euros pour aider les collectivités sur ce sujet, répartis jusqu'en 2017.
Crédit photo : D.R.
Paiement par mobile : Buyster agréé Banque de France
Le paiement par mobile est le serpent de mer de ces dix dernières années. Cela bloquait entre les banques et les opérateurs mobiles. Afin de libérer la voie, les opérateurs mobiles hexagonaux ont créé une filiale commune, Buyster, qui vient d'être agréée comme établissement de paiement par la Banque de France.
Buyster est une société détenue à parts égales par Bouygues Telecom, Orange, SFR et Atos Origin. La société a été fondée en février 2011. Son objectif est de développer, d'exploiter et de commercialiser un service de paiement en ligne basé sur le mobile. Buyster annonce son ambition d'être « un acteur du paiement incontournable du eCommerce et le leader du mCommerce en France ».
L'Autorité de Contrôle Prudentiel de la Banque de France vient d'accorder à Buyster un agrément définitif en qualité d'Etablissement de Paiement. Cet agrément permet à Buyster d'acquérir et d'exécuter des ordres de paiement pour le compte des e-commercants, en conformité avec le cadre réglementaire en vigueur en France. L'obtention de cet agrément constitue une étape nécessaire pour l'exploitation et la commercialisation de Buyster. A cette occasion, le capital de Buyster est porté à 10,2 millions d'euros afin de « préparer le lancement opérationnel de son activité » indique Eric Gontier, directeur général de Buyster.
Illustration : Eric Gontier, directeur général de Buyster (crédit D.R.)
Au coeur de la Silicon Valley : Des contenus affichés plus rapidement avec CDNetworks (Part 4)
Moins connue en Europe qu'Akamai, CDNetworks a été fondé en 2000 en Corée du Sud par Samuel Ko pour répondre aux besoins de performances IP des opérateurs télécoms et accélérer globalement le trafic des entreprises sur Internet. La société annonce un chiffre d'affaires de 100 millions de dollars avec des bureaux et des labs à Séoul et à San José. « Notre approche du marché est globale même si les besoins de nos clients sont différents », assure Samuel Ko (voir illustration ci-dessous).

En France, les références sont déjà nombreuses : Lacoste, Pixmania, le Printemps, ArianeSpace, Libération.fr ou encore EuroNews ont fait appel aux services de CDNetworks pour contourner les faiblesses du réseau IP et accélérer les temps de réponse des applications destinées aux consommateurs, mais aussi des services utilisés en interne.
« Internet n'est pas très bon pour accélérer les applications dynamiques. Il n'a pas été conçu pour ça. Pour remédier à cet état, nous ne proposons pas de hardware pour accélérer le web qui est aujourd'hui une extension naturelle des entreprises. Toutes les entreprises ont aujourd'hui une vitrine web et si votre application web est lente, vous ne garderez pas vos clients », martèle Jeff Kim, vice-président en charge du marketing (voir illustration ci-dessous), « personne n'attend plus de 30 secondes ! ».
Rendre Internet plus rapide
Si Internet n'a pas été conçu pour la performance, mais pour acheminer les informations à bon port - les récentes catastrophes au Japon en sont un bon exemple - les sociétés spécialisées dans le CDN (Content Delivery Network, d'où le nom de la société) proposent des prestations clefs en main pour accélérer les échanges IP. « Nous ne nous contentons pas de dire à nos clients qu'il est nécessaire d'acheter plus de bande passante », indique Alexei Turmarkin, CTO de CDNetworks (voir illustration ci-dessous), « nous proposons un cloud [des serveurs proxy en fait NDLR] pour permettre à l'utilisateur d'accéder à un tunnel utilisant un protocole plus rapide pour aller sur Internet ».

Pour accélérer les temps de réponse, les contenus sont bien sûr compressés et chiffrés si besoin. Des services DNS (CloudDNS) et d'équilibrage de charge (Global Server Load Balancer) sont également proposés par l'entreprise pour optimiser et contrôler en temps réel les espaces cloud computing. La compagnie coréenne offre aussi du stockage en ligne résilient et redondant avec son service WPS pour accélérer les échanges et trouver le contenu le plus proche de l'utilisateur.
Nos prochaines étapes nous mèneront chez Arkaia, Virtual Instruments, Box.net et Scality pour parler de sauvegarde, de surveillance de réseaux SAN, de travail collaboratif en ligne et enfin de stockage distribué.
(...)(04/04/2011 12:04:52)
Des offres verticales chez Colt
Depuis le 1er janvier dernier, l'opérateur télécoms Colt s'est réorganisé en trois divisions : CES (Colt enterprise services), CCS (Colt communication services), et DCS (Data center services). La première traite des services managés et plus généralement de tous les produits et services pour les grands comptes. Elle travaille en direct. La deuxième s'adresse aux PME, plutôt aux grandes PME, avec des services de gros (« wholesale ») et des produits spécifiques destinés aux PME. Elle est issue de la fusion des divisions « PME » (qui était dirigée par Richard Blaustein, l'ancien patron France) et « wholesale » (dirigée par François Eloy) et travaille uniquement en indirect. La troisième se met en place et permettra de vendre de l'espace dans les centres de données de Colt.
«Au delà de l'organisation par pays, ces « business unit » sont complètement intégrées», note François Eloy, vice-président exécutif (au plan corporate) de la nouvelle division CCS. Annoncée au mois d'octobre dernier, cette réorganisation doit « stimuler la croissance de l'entreprise, accroître sa performance et améliorer l'efficacité de ses différentes branches», remarque le patron mondial Rakesh Bhasin. Une charge exceptionnelle de 35 à 40 millions de livres a été passée pour réussir cette réorganisation qui doit entraîner une économie annuelle récurrente d'environ 20 millions d'euros.
Une majorité d'agents commerciaux
La division CCS, la seule qui vende en indirect, travaille aujourd'hui avec deux canaux. D'un côté les carriers, de très gros opérateurs comme Orange, AT&T, BT ou SFR. Ils vendent essentiellement des offres d'accès sur la boucle locale. L'autre canal est plus composite. Il comprend à la fois des agents commerciaux et des revendeurs. Les premiers, et c'est l'originalité de Colt, représentent l'essentiel de ce canal. Colt compte 600 agents dont une centaine en France.
Ce deuxième canal va connaître une profonde mutation. Actuellement, il commercialise des services et va se tourner vers de nouvelles offres en préparation. Des offres verticales, disponibles pour le réseau avant l'été. François Eloy cite plusieurs secteurs comme la santé, les jeux en ligne, les médias. Des offres qui nécessiteront de recourir à de nouveaux partenaires, des VAR sectoriels, d'une certaine taille. «Très offensif, le responsable de Colt souligne : nous avons une place à prendre sur ces marchés».
Colt propose également ses offres de manière différente, avec le concept Smart Office, qui permet au client de moduler les différents services proposés : accès, voix, sécurité, sauvegarde.
La fin programmée d'Etebac accélère la migration vers l'IP
Cette fois, plus rien ne pourra sauver les protocoles-dinosaures qui traînent encore parfois dans les SI d'entreprises, et pas seulement des PME. Le 30 septembre 2011 signera l'arrêt définitif de l'Etebac (Echanges TElématiques BAnques Clients), en lien avec l'arrêt du réseau X25 de France Télécom, Transpac. Ce dernier eut son heure de gloire à l'époque du Minitel triomphant. Le réseau Etebac constitue encore aujourd'hui le lien entre 90 000 entreprises et leurs banques, notamment pour la monétique (cartes bancaires).
La migration vers les réseaux IP est bien sûr engagée depuis longtemps avec des protocoles comme Swiftnet ou Ebics. Mais les derniers retardataires risquent de se retrouver fort marris le 1er octobre 2011 s'il ne peuvent plus rien encaisser par carte bancaire, même si c'est dans un lointain établissement provincial.
Etebac n'est capable de transmettre des données que via des fichiers textes dans des formats à largeurs fixes franco-français comme CFONB 120 et CFONB 240. Ces formats sont eux aussi amenés à disparaître assez rapidement, même s'ils pourront toujours être transférés pendant quelques temps, sur support amovible par exemple.
A l'inverse, Swiftnet et Ebics sont autant capables de transférer des formats textes à largeurs fixes que des formats XML, notamment celui des fichiers du système européen Sepa, ISO XML 20022.
Une petite revue de détail s'impose donc pour les DSI avant qu'il ne soit trop tard. La suppression des dernières poches Etebac est, évidemment, le bon moment pour supprimer aussi les créations de fichiers dans un format CFONB. Une bonne pratique serait d'accompagner un passage à Swiftnet ou Ebics d'une migration au format ISO XML 20022.
Crédit photo : D.R. (...)
Le Wimax 2 ratifié par l'IEEE
Le 802.16m est également connu sous le nom WirelessMAN-advanced ou WiMax-2. Il a été développé comme le successeur du 802.16e, première norme mondiale pour le WiMax mobile. Le nouveau standard a mis plus de 4 ans avant d'aboutir et arrive dans un contexte très concurrentiel. En effet, une grande majorité d'opérateurs ont choisi le LTE pour construire leur réseau de 3,75 G. Le Long Term Evolution partage certaines caractéristiques communes avec le Wimax mais provient d'un corps de normes différents.
Lors du salon CEATAC à Tokyo l'année dernière, Samsung a fait la démonstration d'un réseau compatible 802.16m qui atteint une vitesse de 330 Mbit/s. La norme est conçue pour fournir des vitesses de l'ordre de 100 Mbit/s pour les utilisateurs finaux. Ce standard utilise des technologies comme le MIMO (multiple-in, out multiples) pour améliorer ses performances. Il peut également être utilisé avec de petites stations de base appelées femtocells et avec les réseaux auto-organisés. L'organisme de normalisation assure aussi la rétro-compatibilité du 802.16m avec le standard en cours.
Concurrencé par LTE-Advanced
Sprint Nextel, propriétaire majoritaire de Clearwire (en charge du déploiement du Wimax aux Etats-Unis), a indiqué l'année dernière qu'il était intéressé par le 802.16m. Mais Clearwire est à la recherche de capitaux pour étendre son réseau et de nombreux observateurs s'interrogent sur les orientations technologiques des deux sociétés.
Plus tôt cette année, les représentants des plus grands fabricants mondiaux ont approuvé la version finale de LTE-Advanced. Ce standard doit selon l'Union Internationale des Télécommunications devenir celui de la 4G.
IPsteel sécurise le WiFi avec AirTight Networks
Le grossiste à valeur ajoutée Ipsteel introduit en France et en Belgique SpectraGuard de l'américain AirTight Networks. Cette solution de prévention des intrusions pour les réseaux sans fil (Wireless Intrusion Prevention solution ou WIPS) se compose d'une appliance d'administration et de monitoring reliée en Ethernet à autant de capteurs que nécessaire pour couvrir le périmètre à sécuriser.
Dès lors, ces derniers vont empêcher toute personne située à l'extérieur de capter le signal du réseau wifi de l'entreprise équipée si elle n'est pas référencée dans l'annuaire des utilisateurs. Ils peuvent aussi éviter que l'équipement personnel d'un collaborateur qui se connecterai depuis le périmètre autorisé sans passer par le réseau de sa société ne puisse devenir une passerelle d'accès au systèmes d'information de l'entreprise.
A noter que l'appliance peut être administrée à distance. Cela autorise pour un revendeur de proposer SpectraGuard en mode SaaS en n'installant que des capteurs au sein de l'entreprise à sécuriser. (...)
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