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(29/03/2011 10:05:02)
Ceso-GTO franchit le cap du Centrex
Basé en Charente-Maritime, Ceso-Groupe Telecoms de l'Ouest (Ceso-Gto) dispose depuis 2007 d'une licence d'opérateur télécoms L 33-1. Elle lui permet de bâtir une offre de type centrex. Il la vendra, d'une part en direct sur son département et dans l'Ouest, d'autre part en dehors de cette région, en marque blanche avec d'autres intégrateurs, en particulier les membres du Groupement Convergence (64 adhérents) dont Ceso-Gto est membre.
L'offre est actuellement en test, auprès des clients de Ceso en Charente-Maritime et auprès d'intégrateurs du Groupement Convergence au plan national. Elle sera disponible commercialement, en direct et en marque blanche, avant l'été.
L'intégrateur en marque blanche chez Ceso conserve la propriété de son client. C'est le point différenciateur par rapport à d'autres offres télécoms en marque blanche. Il sera certifié par Ceso et formé sur différents points (positionnement des routeurs et des switchs, câblage). Il pourra alors revendre : l'offre de communication mutualisée de Ceso, des postes fournis par exemple par le Groupement Convergence et différents services. L'intégrateur est ainsi l'interlocuteur unique de son client et peut lui proposer une facture unique : télécoms, poste téléphonique, services, maintenance etc....
Une offre bâti avec l'opérateur Legos
Pour lancer cette offre, Ceso l'intégrateur-opérateur a constitué une équipe dédiée : 4 commerciaux, 6 techniciens, 2 ingénieurs. Il a bâti son offre avec un 1er opérateur partenaire, Legos, qui fournit un lien dédié et secouru sur le serveur de Ceso à La Rochelle. Des numéros locaux seront fournis par Legos pour la Charente Maritime, avec portabilité des numéros des clients de Ceso.
C'est plus qu'une offre supplémentaire dans le monde des télécoms. Ceso-GTO donne la possibilité aux intégrateurs, dont il est issu, de mieux assurer leur développement. La situation du secteur est délicate. « Pour éviter que ce soit chronique d'une mort annoncée, il faut trouver d'autres solutions » plaide Olivier Bruneau, le dirigeant de Ceso-Gto (...)
Cofidis transfère son SAN de Cisco à Brocade
Cofidis spécialiste du crédit à la consommation a choisi de renouveler son SAN avec des équipements d'un nouveau fournisseur. La société Cofidis emploie 1700 collaborateurs sur un site unique à Villeneuve d'Ascq (Nord) pour la vente à distance de crédit à la consommation. En 2008, l'entreprise avait 5,4 millions de clients.
Le réseau SAN de Cofidis était saturé. « Il y avait saturation des points de connexion. Nous ne pouvions plus accueillir ni de nouvelles baies ni de nouveaux serveurs. Notre stockage croît de 30 à 40 % par an, et nous ajoutons de six à dix serveurs par an » décrit Jean-Patrick Lorente, Directeur du Service Infrastructure de Cofidis. Le système d'information de Cofidis représente 180 To de données, et 80 applications tournent sur quatre systèmes d'exploitation différents : Windows Server, VMWare, Linux (Red Hat et Debian) et Unix de HP. Certaines applications sont virtualisées, avec différentes technologies selon leur nature : VMware vSphere, KVM de Red Hat ou HP-UX. Le recours au Cluster est fréquent afin de sécuriser les infrastructures IT.
Lors de l'appel d'offre, le premier objectif était clair : doubler la capacité des points de connexion. Cofidis en a profité pour challenger son équipementier historique, Cisco. Ce sont des commutateurs SAN MDS 9600 de Cisco qui étaient installés. « On aurait pu jouer la sécurité et poursuivre avec cet équipementier, ce qui n'aurait posé aucun souci pour nos équipes qui n'auraient vu aucun changement technologique. Mais nous souhaitions introduire un nouvel acteur dans notre infrastructure » se souvient Jean-Patrick Lorente. le réseau LAN reste essentiellement bâti à partir de commutateurs Série 6500 de Cisco, pour la gestion de VLAN part port.
Trois compétiteurs en lice
Trois sociétés ont répondu à l'appel d'offres. « Par rapport aux deux autres candidats, les équipes de la société que nous avons retenue ont très vite montré non seulement leurs compétences techniques, mais surtout leur capacité à offrir un véritable pilotage du projet de bout en bout. Les deux autres avaient bien l'expertise technique, mais ne proposaient aucune vision projet » casse un peu Jean-Patrick Lorente. La société retenue avait proposé et inclus le suivi du projet sur le long terme dans sa réponse.
Les équipements de commutation SAN mis en place peuvent accueillir jusqu'à 192 ports Fibre Channel. « Nous n'utilisons aujourd'hui qu'une seule carte avec 48 ports - à 8 Gbit/s- mais les possibilités d'évolution sont multiples, un point important pour faire face aux besoins de demain » ajoute le responsable. La fonctionnalité «Virtual Fabric» permet de plus de subdiviser le SAN en plusieurs SANs virtuels, chacun dédié à une application (ou groupes de serveurs.
Le projet a été démarré fin 2009 et s'est achevé en trois mois. « Nous avons mis le SAN en production sans aucune anomalie » ajoute Jean-Patrick Lorente. Le fournisseur retenu est Brocade, numéro un mondial du Fibre Channel et l'intégrateur est Scasicomp. 4 commutateurs SAN DCX4S de Brocade ont été déployés, chacun possédant une carte de connexion Fibre Channel à 48 ports à 8 Gbit/s. Deux bâtiments ont été équipés chacun de deux commutateurs.
« Nous avons doublé la capacité de points de connexion, nous pouvons encore la doubler sans changer d'équipements, simplement en ajoutant des cartes. Nous avons pu changer nos baies de stockage, et nous avons installé une VTL pour la sauvegarde. Enfin, nous pouvons exploiter pleinement la bande passante à 8 Gbit/s, et ainsi être prêts pour nos futurs projets » conclut le responsable des infrastructures.
CTIA 2011 : Le salon mobile pro ouvre ses portes
Le CTIA va fêter son 26e anniversaire en 2011 en accueillant plus de 1.000 exposants et 40.000 visiteurs. Le salon s'intéresse au sans-fil, aux communications convergentes, au haut-débit, et l'édition 2011 s'articulera fortement autour du thème "Mobile Life". Les exposants présenteront les dernières solutions d'entreprise, les produits peu gourmands en énergie, et les nouvelles technologies de divertissement mobile.
Alors que le Mobile World Congress de Barcelone s'attache avant tout aux produits grand public, le CTIA se concentre sur les technologies qui les rendent possibles : les services géolocalisés (Location Based Services), l'énergie intelligente (Smart Energy), la santé sans fil, l'informatique en nuage, les systèmes de transport intelligent (Intelligent Transportation), ou encore le paiement mobile (Mobile Money).
Illustration principale : Salle de tests de Mycom au CTIA 2011, crédit photo D.R.
HP finalise l'intégration de 3Par dans ses produits
Hewlett-Packard a combiné les plateformes Utility Storage de 3Par avec CloudSystem d'HP. Selon la société, cette solution donnera aux entreprises un système de stockage « idéal » pour tous les types de clouds - publics, privés et hybrides. Il centralise également la gestion des serveurs, du stockage et du réseau. David Chalmers, directeur technique de HP Enterprise Storage and Servers pour le Royaume-Uni et l'Irlande, a déclaré que les raisons de choisir ces technologies évolutives sont le thin provisioning (allocation dynamique de ressources) et les capacités multi-tenant, ce qui signifie que différentes personnes peuvent y accéder à tout moment. « Le thin provisioning signifie que vous pouvez augmenter la capacité de stockage dont vous avez besoin, » explique le responsable.
En outre, HP a intégré la technologie 3Par via une passerelle, baptisée HP Systems X9300, qui est basée sur la technologie NAS IBRIX. En plus d'autoriser le multi-locatif, David Chalmers a déclaré que la technologie 3Par donnera aux utilisateurs de cette gateway une gestion plus efficace de leurs données, au moment où ces dernières, structurées ou non, prennent de l'ampleur. « Il peut automatiquement transférer les données et les classer en fonction de leur pertinence ou de leur utilisation pour ne pas occuper des capacités de stockages trop coûteuses (comme le SSD) » précise-t-il. Le HP Systems X9300 sera évolutif pour gérer jusqu'à 16 Po.
En complément, HP a présenté le système de stockage HP P4800 G2 SAN. Intégré au châssis HP BladeSystem, il s'appuie sur le logiciel SAN/IQ 9.0 avec un support amélioré des API VMware pour l'intégration de baies de stockage. Ce support accélère certaines fonctions de VMware telles que le clonage, tout en réduisant la charge des serveurs VMware ESX. Ces améliorations permettent ainsi aux clients d'augmenter la densité de leurs machines virtuelles par unité de stockage.
Intel acquiert SySDSoft pour se renforcer sur le LTE
Les termes financiers de l'acquisition n'ont pas été annoncés, mais elle comprend 100 ingénieurs et scientifiques SySDSoft, selon le fabricant de puces. Cette acquisition est la première du genre pour Intel au Moyen-Orient.
SySDSoft a été fondée en 2002 et développe des logiciels embarqués pour les technologies de communication telles que LTE. La société conçoit également des circuits RF et analogiques intégrées dans les produits mobiles. En octobre, la société a annoncé une pile de protocoles pour les dispositifs à base de LTE qui peut gérer des vitesses de téléchargement en mobilité jusqu'à 300 Mbt/s et des vitesses de transmission jusqu'à 75 Mbt/s. Lors du Mobile World Congress en février à Barcelone, la société a également fait une démonstration d'un logiciel embarqué pour les femtocells basés sur LTE.
Un déploiement progressif
Cette opération intervient à un moment où le déploiement de LTE commence lentement à se déployer. Cela signifie un besoin accru en produits capables de se connecter à ce type de réseaux. Intel Mobile Communications développe des semi-conducteurs pour les smartphones, les tablettes et les modems USB. Cette filiale était anciennement une division d'Infineon Technologies, qui a été acquis par le fondeur de Santa Clara.
Le portefeuille de produits SySDSoft couvre notamment les technologies Wimax, WiFi, Bluetooth, USB sans fil, selon le site web de l'entreprise.
(...)
Le WiFi moins performant que l'Ethernet
Les personnes connectées en WiFi subissent une latence de l'ordre de 10 à 20% supérieure à ceux qui utilisent un câble Ethernet, selon une étude de l'institut d'analyse Epitiro dévoilée le 9 mars. En vitesse de téléchargement, la connectivité sans fil affiche des performances en moyenne 30% moindres que la connexion filaire. Une différence qui ne touche pas le temps de chargement des pages web mais peut causer de l'agacement lors de pratiques telles que les jeux en réseaux, la VoIP ou le streaming.
Les utilisateurs de réseau WiFi peuvent empêcher de trop fortes chutes de débit en réaménageant leur intérieur. Epitiro explique qu'en zone urbaine plusieurs routeurs WiFi peuvent emprunter la même chaîne de communication, causant des latences. En changer est possible. Les barrières physiques d'une maison ou d'un appartement (murs, portes, meubles) et les interférences avec d'autres appareils occasionnent également des contreperformances.
Epitiro a réalisé son enquête aux Etats-Unis, au Royaume-Uni, en Italie et en Espagne de novembre 2010 à février 2011. 14 001 personnes ont été interrogées. 56% d'entre elles étaient connectées en WiFi et 44% via câble Ethernet.
Juniper mise sur le réseau pour le cloud et la mobilité
Juniper Networks a confirmé aux analystes financiers la prévision d'une croissance annuelle de 20% pour son chiffre d'affaires sur le long terme. La société reste focalisée uniquement sur les réseaux et croit qu'elle peut continuer à prendre des parts de marché à ses concurrents. Et ce en raison de l'évolution des architectures tirées par l'explosion du trafic de données au sein des entreprises et chez les opérateurs, a déclaré le directeur général, Kevin Johnson, lors de la réunion annuelle de Juniper avec les analystes à San Francisco.
Le constructeur a débuté cette conférence en présentant la série PTX, une plate-forme à destination des fournisseurs de services, qui combine la commutation de paquets et des composants de réseau optique. Ceci fait suite à l'annonce récente de QFabric, une nouvelle architecture conçue pour réduire la brique « réseaux » des datacenters à un seul commutateur logique. La simplification des réseaux est au coeur de la stratégie globale de Juniper, visant à la fois l'extension et la réduction des coûts des réseaux. Le cloud computing et la mobilité sont les principaux moteurs de cette demande de rénovation des réseaux, a dit Kevin Johnson. Les opérateurs et les entreprises ont besoin de faire évoluer leurs réseaux et donc de disposer d'architectures plus simples. Aujourd'hui, le modèle consiste plutôt à déployer une multiplicité d'équipements souligne le dirigeant et d'ajouter « l'approche traditionnelle dans les réseaux n'est pas durable, d'ailleurs l'industrie a été victime de la complexité issue de cet héritage. »
Un fournisseur de services qui souscrit à ce point de vue est l'opérateur japonais NTT Communications, qui au cours des deux dernières années a vu le trafic sur son réseau fédérateur Internet trans-Pacifique passer de 180 Gbt/s à 450 Gbt/s. Il s'attend même à ce que ce débit évolue à 600 Gbt/s d'ici la fin de cette année, a déclaré Kempei Fukuda, directeur du réseau mondial de NTT. L'opérateur prévoit de passer son trafic de coeur de réseau vers une architecture convergente de type PTX au cours des prochaines années, précise le responsable nippon.
Une stratégie de pure player du réseau
Mark Sue, analyste chez RBC Capital Markets estime que Juniper peut probablement atteindre ses prévisions de croissance sur le long terme. La société a annoncé une progression de 23% de son chiffre d'affaires en 2010. Une variable clé sera de savoir en combien de temps Juniper va imposer QFabric et les produits PTX, s'interroge l'analyste. La commercialisation des produits est prévue respectivement pour le troisième trimestre de cette année et le premier trimestre de 2012. Mark Sue estime aussi que la société devra élargir son marché adressable avec d'autres produits.
Kevin Johnson a minimisé la vulnérabilité de Juniper à la faible marge des produits réseaux comme cela a été le cas aussi pour Cisco Systems en raison de la popularité de certains commutateurs plus abordables. John Chambers, PDG de Cisco a d'ailleurs qualifié cette découverte de désagréable. Juniper souhaite mettre l'accent sur les commutateurs innovants à valeur ajoutée plutôt que ceux meilleurs marchés. A la différence de son concurrent qui a élargi son champ d'application vers l'électronique grand public et les serveurs, Juniper souhaite rester un pure player du réseau. Même si son dernier processeur Junos Express est considéré comme très puissant et qu'il pourrait équiper des serveurs, la société n'a actuellement aucun plan pour vendre des systèmes de calcul ou de stockage, précise Pradeep Sindhu, vice-président, directeur technique et fondateur de Juniper. Il préfère travailler sur les datacenters à travers sa technologie sur les réseaux plutôt que sur les serveurs, car en évoluant, le réseau joue un rôle plus important dans la performance des centres de calcul.
Aller sur les autres briques du datacenter risquerait aussi de froisser les partenaires de Juniper, tels que IBM, Dell et NetApp, qui aident à vendre les équipements réseaux, conclut l'analyste Mark Sue.
Illustration: Kevin Johnson, PDG de Juniper
Crédit Photo: D.R
(...)(03/03/2011 11:39:51)
Accord d'itinérance, Orange ouvre son réseau 2G/3G à Free Mobile
Free Mobile utilisera les infrastructures de son concurrent Orange pour étendre son réseau 3G en France, suite à un accord "d'itinérance 2G, élargi à la 3G" signé entre les deux acteurs le 2 mars dernier. Cet arrangement permettra à Free de devenir le quatrième opérateur français à partir de 2012, face à Orange, SFR et Bouygues Télécom.
L'accord entrera en vigueur dès que Free Mobile aura couvert 25% de la population par ses propres moyens. D'ici 2018, la société du fournisseur d'accès à Internet Iliad prévoit d'étendre son réseau à 90% de la population.
Crédit photo : D.R. (...)| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |