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(29/11/2005 17:40:06)

Le programme Seti@home migre sur le framework de calcul distribué BOINC

Le premier grand projet de grille de calcul distribuée, SETI@Home, dont l'objectif est la recherche d'intelligence extraterrestre, sera mis en sommeil le 15 décembre prochain et migrera sur le framework de calcul distribué BOINC (Berkeley Open Infrastructure for Network Computing (BOINC) conçu par l'Université de Berkeley. Les utilisateurs du client distribué SETI@Home sont invités à migrer vers le client BOINC et ce qui leur permettra, s'ils le souhaitent, de participer à d'autres projets de calcul en parallèle de la recherche des insaisissables petits hommes verts... BOINC permet de contribuer à des projets de calculs distribués dans le domaine des études climatiques, de l'astronomie, de la physique des particules ou de la biologie. (...)

(29/11/2005 17:41:43)

Microsoft met à jour sa suite en mode hébergé pour PME

Microsoft vient d'annoncer à ses partenaires la mise à jour 3.5 de sa suite de solutions en mode hébergé pour PME, Solution for Hosted Messaging and Collaboration. La solution renferme les dernières mises à jour d'Exchange Server 2003 SP2, Windows Server 2003 SP1 et Live Communications Server 2005 SP1. Principale nouveauté : l'intégration de la technologie Direct Push Technology de push email d'Exchange, qui reroute automatiquement les messages électroniques vers des solutions Windows Mobile, sans alertes SMS. Egalement au programme, le support d'ActiveDirectory permettant aux utilisateurs de synchroniser leur mot de passe avec la suite hébergée. Microsoft prévoit par ailleurs d'étendre ActiveDirectory à d'autres usages, mais dans les futures versions. (...)

(29/11/2005 17:40:36)

France Telecom et l'Arcep s'écharpent sur le déploiement de réseaux fibres

Je t'aime, moi non plus. La grande histoire d'amour entre l'Arcep et France Télécom se poursuit avec comme nouveau terrain de débat les investissements dans la fibre optique. L'Arcep, dont le cadre réglementaire actuel, semble avoir plus pour but de faire reculer les parts de marché de France Télécom que d'encourager l'investissement dans l'infrastructure, souhaite que les nouveaux investissements opérés par l'opérateur historique dans la fibre optique puissent être mis à disposition des opérateurs alternatifs dans le cadre d'offres de gros. France Télécom, de son côté, veut bien investir dans son infrastructure de transport, mais à la condition d'en user comme bon lui semble Si France Télécom accepte le fait que le réseau de boucle locale, construit alors qu'il était opérateur public, soit mis à la disposition d'opérateur tierce, il refuse que ses nouveaux investissement profitent aussi à des concurrents qui n'investissent pas ou peu dans l'infrastructure. Cela ne semble pourtant poser aucun problème à l'Arcep. S'exprimant lors des journées de l'IDATE, à Montpellier, Paul Champsaur, son président, a concédé que " l'investissement des opérateurs alternatifs dans les réseaux d'accès optique pour les entreprises parait aujourd'hui faible [par rapport à celui de France Télécom qui a investit lourdement dans un plan d'équipement des zones d'activités ]". Mais selon lui, "un scénario de développement de fibre dont les modalités conduiraient, de droit ou de fait, à une re-monopolisation du marché du haut débit professionnel ne serait pas conforme aux objectifs fondamentaux de la régulation. A moyen terme, tant les entreprises individuellement que la compétitivité de la France dans son ensemble en paieraient le prix." Evidemment du côté de France Télécom on ne l'entend pas de cette oreille. Pour Didier Lombard, le patron de l'opérateur, l'attitude de l'Arcep présente un risque d'entrave au développement technologique des réseaux. Selon lui, la sur-régulation d'un marché, qui ne relève plus du monopole, pourrait nuire à l'investissement et à l'innovation technologique. Et de souhaiter que l'Arcep ne force pas l'opérateur à ouvrir ses nouveaux investissements à la concurrence pour lui permettre de les rentabiliser plus rapidement. Une position proche de celle de Deutsche Telekom en Allemagne, qui a lié un investissement de 3 MdE dans la fibre optique à une dérégulation du secteur. Selon l'opérateur, le projet permettrait de créer 5000 emplois, avec tous les sous-entendus que cela implique en cas de réponse négative de RegTP, le régulateur allemand. (...)

(29/11/2005 17:36:53)

Les Etats européens s'accordent sur les caractéristiques des cartes d'identité biométriques

En préparation du conseil européen sur la justice et les affaires intérieures qui se déroulera le 1er et le 2 Décembre à Bruxelles, les représentants des états membres de l'Union se sont accordés sur les critères minimums que devront respecter les futures cartes d'identités nationales sécurisées dans les Etats qui ont choisi d'en émettre. Dans un souci de cohérence avec les standards déjà définis pour l'établissement des passeports européens sécurisés (règlement EC2252/2004), les représentants des différents pays ont défini les identifiants biométriques, qui devront figurer sur les documents d'identité, ainsi que la nature des moyens techniques pour les stocker. Dans un document de travail publié sur le site statewatch.org, les Etats préconisent de coupler les données biométriques aux mesures de sécurité déjà existantes dans les différents documents d'identité nationaux (encres, techniques d'impressions, hologrammes...). Les nouvelles cartes utiliseront au minimum deux types d'identifiants biométriques : une photographie et deux empreintes digitales, des données qui seront stockées sur une puce sans contact. Ces éléments biométriques ne pourront être accédés que pour vérifier l'authenticité du document ou vérifier l'identité du porteur de la carte lors d'un contrôle tel que prévu par la législation nationale de chaque pays. Pour assurer une émission sécurisée des nouvelles cartes d'identité, les demandeurs devront faire leur demande en personne lors de la procédure de demande de la carte. Une vérification soigneuse de leur demande de document devra être effectuée en utilisant tout moyen pertinent (registres d'Etat-civil, base de données des passeports et cartes d'identité, permis de conduire..). La procédure ne pourra être réalisée par un seul fonctionnaire mais devra être fragmentée de façon à ce que jamais une seule et unique personne n'assume l'intégralité des tâches nécessaires à l'émission d'un document d'identité sécurisé. Les processus de collecte des informations menant à la réalisation du document et à sa distribution au titulaire devront être sécurisés par les différentes autorités administratives compétentes. En France, en l'état actuel du projet INES (identité nationale électronique sécurisée) , le nombre de centres d'émission sera limité, de telle sorte que dans certains départements, il faudra se déplacer dans une sous-préfecture ou dans une préfecture pour faire établir le document, alors que la carte d'identité actuelle peut être demandée en mairie. Il est à noter que l'accord sur les caractéristiques des nouveaux documents biométrique n'est que technique. Il n'impose aucune contrainte ni calendrier d'adoption de ces documents aux Etats-membres. En principe, tous devraient commencer, si ce n'est déjà fait, à émettre des passeports biométriques avant octobre 2007. Côté cartes d'identité, la France devrait en principe commencer à émettre ses cartes l'an prochain, outres les nouveaux identifiants biométriques, ces cartes devraient incorporer un certificat électronique, utilisable pour les téléprocédures avec l'administration. Chez nos voisins, la Belgique a commencé la distribution de sa carte d'identité électronique en 2004, mais celle-ci ne contient pour l'instant pas de données biométriques. L'Allemagne prévoit les premières distributions de son "biometrische Personalausweis" en 2007 et l'Angleterre, jusqu'alors réfractaire aux cartes d'identité, devrait directement passer aux "ID Card" biométrique en 2008. (...)

(28/11/2005 17:36:26)

Marconi renoue avec la croissance

Récemment racheté (quasi totalement) par Ericsson, l'équipementier Marconi annonce une hausse de 9% de son chiffre d'affaires sur le deuxième trimestre de son année fiscale. Le chiffre d'affaires de 312 millions de livres sterling (contre 285 millions sur le premier trimestre) est en partie tiré par les réseaux optiques et d'accès. A trimestre comparable, Marconi réalisait 305 millions en 2004. La marge brute est de 30,8%. La société dégage 7 millions de livres de profits alors qu'elle enregistrait 6 millions de pertes sur le trimestre précédent. Sur le semestre, les revenus atteignent 597 millions contre 594 millions sur le semestre comparable en 2004. Les pertes s'élèvent à 31 millions de livres contre 14 millions l'an passé, dues en partie à 29 millions de charges de restructurations et litiges. (...)

(28/11/2005 17:35:57)

Juniper double ses effectifs techniques en Inde

Nouvel eldorado de la main d'?uvre technique qualifiée, l'Inde continue d'attirer les industries occidentales. Juniper annonce vouloir doubler son équipe technique sur son site de Bangalore, passant ainsi de 325 à 650 personnes. « Ces équipes regroupent des compétences en développement logiciels et matériels, en tests de systèmes, en documentation techniques et en support clients» explique Sridhar Sarathy, responsable des opérations pour Juniper en Inde. L'équipementier a investi 8,5 millions de dollars pour ouvrir une nouvelle antenne à Bangalore, regroupant 3 sites chargés notamment de sortir les routeurs de la gamme « J ». L'équipementier possède d'autres centres de développements aux US, en Israël, en Chine et au Canada. (...)

(28/11/2005 17:33:28)

l'ADTITE veut fédérer les distributeurs et d'intégrateurs Télécoms et réseaux

Une vingtaine de distributeurs, intégrateurs et revendeurs spécialisés dans les réseaux et télécoms et dans les nouvelles technologies de l'information viennent de s'unir au sein de l'ADTITE (Association des Distributeurs des Technologies de l'Information et Télécoms aux Entreprises). Basée à Lyon, l'association se donne pour but de fédérer les sociétés de services, intégrateurs, installateurs privés, revendeurs, conseils, SSII, VARS, agents commerciaux, distributeurs, concessionnaires, agissant sur le secteur des réseaux et télécommunications et des technologies associées. Elle vise à créer un label de qualité pour garantir aux entreprises clientes le professionnalisme de ses membres, mais aussi à assurer la promotion et la défense des intérêts moraux et professionnels de ses adhérents vis-à-vis des fournisseurs et notamment des opérateurs télécoms. Un assez grand nombre d'intégrateurs et de revendeurs du secteur des réseaux et télécoms, spécialisés dans le service aux PME, ont été victimes de pratiques parfois contestables des opérateurs, lors de l'explosion de la bulle internet et de la concentration à marche forcée qui s'est opérée sur le marché français. Comme l'explique Philippe Fontfrède, le président de l'association, les distributeurs sont un maillon essentiel pour la fourniture de services aux entreprises, car les opérateurs n'ont pas la surface nécessaire pour couvrir les 2,5 millions de PME hexagonales. Ils jouent ainsi un rôle essentiel de conseil et de formation auprès des PME, et sont un maillon indispensable entre les fournisseurs et les entreprises clientes. L'ADTITE aura pour but de valoriser ce rôle mais aussi d'assurer de constituer un contrepoids de taille face à la concentration des opérateurs sur le marché français. (...)

(28/11/2005 17:31:52)

Le marché français des solutions de sécurité croît de 17 % en 2005

La croissance du marché français des solutions de sécurité devrait atteindre 17,4 % en 2005, à 1113 ME, après s'être élevée à 15,5 % en 2004. C'est l'une des principales conclusions d'une étude réalisée par le cabinet IDC France. Si l'étude indique que la croissance du budget consacré à la sécurité augmente, elle révèle également que la part ces dépenses progressent plus rapidement que l'ensemble des budgets IT. Ainsi, en 2004, les dépenses informatiques globales ont crû de 3,2 % alors que celles liées à la sécurité gagnaient 15,5 %. Ces dernières représentaient 2,4 % de l'ensemble de la facture IT des entreprises et des administration en 2004, un taux qui devrait atteindre 2,7 % en 2005. Plus de la moitié des dépenses en sécurité sont liées aux services. Avec 530 ME en 2004, ils affichaient une progression de 15 % sur un an et constituaient 56 % du budget global. Si ce taux devrait reculer d'un point cette année, la facture des services affichera néanmoins une progression comparable à celle de 2004 pour s'aligner à 612 ME. Les appliances ont marqué le marché de la sécurité en 2004 avec une croissance de 28 %, à 70 ME, soit 7,4 % des dépenses totales. En 2005 cette hausse devrait s'accélérer : le budget consacré aux appliances atteindra ainsi 96 ME, soit 8,6 % des dépenses globales liées à la sécurité et progressera de 37 % sur un an. Enfin, la facture des logiciels - 348 ME en 2004, en hausse de 14 % - passera à 405 ME cette année, soit une croissance de 16,4%. Ce marché est porté par les solutions de gestion sécurisée du contenu qui représentent 46,1 % des dépenses liées aux solutions en 2005, contre 45 % en 2004. (...)

(25/11/2005 17:19:29)

Données personnelles : les députés européens contre le stockage supérieur à un an

Le projet de directive discuté par le Parlement et les 25 gouvernements des Etats membres prévoit de doter police et services de renseignements de davantage de moyens dans leur lutte contre le terrorisme. Les 25 exécutifs membres de l'Union européenne ont soutenu le projet visant la conservation pendant deux ans des données relatives aux appels téléphoniques et pendant six mois pour celles liées à Internet. Des délais que les eurodéputés membres de la Commission des libertés civiles ont estimé trop longs. Ils ont alors amendé le projet pour ramener la période de conservation des données à douze mois. Ils ont également établi que le stockage de ces données doit intervenir uniquement dans les cas de crime sérieux et non pour n'importe quelle infraction comme l'auraient souhaité les gouvernements européens. Et comme l'auraient également désiré les sociétés d'édition musicale qui ont activement réclamé l'utilisation des logs Internet comme base de poursuite des auteurs de téléchargements illégaux. La Commission des libertés civiles a, d'autre part, souhaité que les gouvernements soient tenus de dédommager les FAI et les opérateurs des coûts engendrés par le stockage des données et leur mise à disposition aux agences de renseignement. Les parlementaires européens, enfin, entendent rendre optionnelle la conservation des données téléphoniques en cas d'appel infructueux. Selon un porte-parole du gouvernement britannique, qui occupe actuellement la présidence de l'Union, les Etats membres sont opposés à presque toutes les modifications suggérées par les parlementaires. Et plus particulièrement en ce qui concerne les délais de conservation et le remboursement des coûts. C'est maintenant au tour des ministres européens de la justice et de l'intérieur de se réunir, le 1er décembre, à Bruxelles, pour finaliser leur position et tenter d'infléchir les amendements des députés. (...)

(25/11/2005 17:27:53)

Cobit, Itil et ISO 17799 sur un pied d'égalité

L'ITGI, en collaboration avec l'Office of Government Commerce britannique, vient de publier un document intitulé "Aligner Cobit, Itil et ISO 17799 dans l'intérêt des affaires". Autrement dit un document directeur indiquant comment associer normes, bonnes pratiques, recommandations et méthodes traitant de gouvernance des systèmes d'information, afin que les buts de ces textes parviennent à concorder et à se compléter. 62 pages denses de textes et surtout de tableaux établissant les correspondances entre Cobit et Itil, Itil et ISO à Cobit... bref, du « cross reference » aussi ardu que rigoriste. (...)

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