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(21/10/2009 12:08:11)

Sans surprise, le projet THD Seine mécontente certains opérateurs

( Source EuroTMT ) En donnant, fin septembre, son feu vert au projet de réseau à très haut débit dans les Hauts-de-Seine, THD seine, financé partiellement par le Conseil Général, la Commission européenne ne vient-elle pas de mettre à bas la délicate architecture réglementaire bâtie par l'Arcep pour inciter les opérateurs privés à investir dans le FTTH ? Si l'intervention des collectivités locales dans les télécoms est jugée légitime dans les zones où l'investissement privé fait défaut, le projet des Hauts-de-Seine est d'une tout autre nature. Ce département est l'un des plus riches de France et il a été intégré dans la zone 1 (la zone très dense) définie par l'Arcep dans le cadre de son projet de décision sur les conditions de déploiement des réseaux à très haut débit. Il s'agit d'une zone présentée comme rentable et où les opérateurs peuvent investir dans les infrastructures pour se concurrencer. Cette incitation à investir dans les réseaux répond d'ailleurs à deux objectifs principaux : éviter de recréer un monopole sur la boucle locale en fibre optique et favoriser l'emploi et la croissance économique. Corollaire: l'intervention des collectivités publiques dans cette zone n'y est pas jugée comme nécessaire. Cette philosophie semblait avoir été entérinée par la Commission européenne quand elle a émis ses propres recommandations sur les aides publiques pour déployer les réseaux FTTH. Elle estimait aussi que l'intervention des pouvoirs publics dans les zones très denses n'était pas utile. Une évolution attendue de la Commission européenne Quelques jours plus tard, Bruxelles a donc paru se déjuger en autorisant le projet des Hauts-de-Seine. D'où la stupéfaction de certains opérateurs, comme France Télécom, qui juge l'action de la Commission incohérente. « L'Arcep a proposé une réglementation précise dans les zones très denses où on est sûr qu'il y aura une concurrence par les infrastructures jusqu'au pied des immeubles. En même temps, la Commission européenne approuve un service d'intérêt économique dans ce département au motif qu'il peut y avoir de zones blanches. Cela pose un problème majeur de cohérence entre les décisions nationales et communautaires, et constitue de fait une grave remise en cause du cadre national en cours de définition par l'Arcep » souligne Eric Debroeck, le directeur de la réglementation de l'opérateur historique. France Télécom estime que la Commission européenne n'aurait pas dû accepter ce projet si elle avait appliqué ses propres lignes directrices. De leur côté, le conseil général et les opérateurs qui participent au consortium ayant obtenu la délégation de service publique pour le réseau du 92 justifient le projet par l'existence de zones peu denses à l'intérieur du département. Mais en privé, l'un des responsables du projet reconnaît que cet investissement public peut provoquer le trouble dans le secteur. S'il est encore trop tôt pour savoir comment les opérateurs vont réagir et s'ils vont revoir leur plan d'investissements dans les Hauts-de Seine, ce projet pose un certain nombre de problèmes. Alors que certains opérateurs notent que même dans Paris certains quartiers (comme le 16ème arrondissement) ne seront pas rentables, le risque est donc grand de voir maintenant d'autres collectivités locales pourtant classées en zone 1 réfléchir à des projets d'investissement public pour garantir la couverture en FTTH des « zones blanches » qui peuvent exister en leur sein. D'où une incertitude nouvelle pour les opérateurs qui souhaitent investir. Face à cet enjeu, l'Arcep ne doit-elle pas corriger son projet de décision ?

(...)

(20/10/2009 14:10:58)

Cisco rénove son best-seller, le routeur ISR

Cisco en aurait vendu plus de 7 millions d'unités dans le monde depuis son lancement en 2004, soit une base installée valant 10 Md$ ! L'ISR (Integrated services router) a fait de Cisco le roi du routage d'agence, avec une part de marché dépassant les 90%, d'après Zeus Kerrvala, du Yankee Group. L'équipementier en présente aujourd'hui une nouvelle version, l'ISR G2, optimisé pour les flux vidéo (téléprésence, télésurveillance...) et les services virtualisés. Parmi les innovations, on peut aussi noter la capacité d'activer des services au sein du routeur, sans avoir besoin d'en passer par une mise à jour matérielle. Surtout, l'ISR G2 apparaît comme le support d'une stratégie, appelée Borderless Network, dont l'ambition est de permettre à chaque collaborateur d'une entreprise d'accéder à des services ou des applications depuis n'importe où et quelque soit son mode d'accès (appareil et type de réseau). (...)

(16/10/2009 15:37:38)

7 opérateurs retenus pour poser de la fibre optique dans les immeubles

L'Arcep a publié la courte liste des opérateurs télécoms en France devant être tenus au courant de l'installation des lignes de communications en fibre optique dans les immeubles. Ceci afin que ces opérateurs puissent se greffer sur une infrastructure en cours de mise en place. On retrouve bien sûr Free, SFR, France Télécom, Numéricable ainsi que Sequalum (l'opérateur constitué pour le département des hauts de seine). Plus inattendu, il y a Covage qui est l'association de Vinci Networks, spécialiste de la conception, de l'exploitation et de la maintenance des réseaux de télécommunications et de AXIA, un opérateur d'opérateurs de réseau Très Haut Débit. (...)

(14/10/2009 09:32:58)

Pour étoffer son offre LTE, Cisco fait main basse sur Starent Networks

Après le spécialiste de la vidéoconférence Tandberg, Cisco vient d'annoncer l'acquisition prochaine de Starent Networks, un fournisseur d'infrastructure pour les réseaux mobiles en IP pour les opérateurs. Valorisé à 2,9 milliards de dollars avec ce rachat, Starent conçoit des produits qui gèrent des accès aux réseaux sans fil 2,5 G, 3G et 4G pour des coeurs de réseaux d'opérateurs mobiles. Les produits de Starent sont déployés dans des réseaux CDMA2000 (1X, EV-DO), UMTS/HSPA, LTE, WiFi, et WiMAX. Cisco a déjà réalisé un investissement significatif en Wimax avec le rachat de Navini Networks en 2007 pour 330 millions de dollars, et a remporté un contrat avec l'opérateur Clearwire en début de cete année. Mais Verizon et AT&T vont partir sur le standard LTE. Le rachat de Starent par Cisco pourrait viser à ne pas rater ce virage. La compagnie affirme que ses manoeuvres sont «indépendantes des réseaux d'accès ». Les produits de Starent sont déployés dans les réseaux de 100 opérateurs mobiles dans 45 pays. Selon l'accord signé, Cisco donnera 35 $ par action en cash pour chaque action de Starent. Starent a été créé en 2000 et côté en 2007. La société emploie 1000 personnes dans le monde. Au 31 décembre 2008, Starent Networks avait un chiffre d'affaires de 254 millions de dollars, en croissance de 74% par rapport à 2007. (...)

(08/10/2009 15:52:25)

RFID, GPS et 3G pour gérer les panneaux de signalisation à Paris

Dans le cadre d'un appel d'offre portant sur des travaux de mise en oeuvre de la signalisation verticale (panneaux) et horizontale (marquages routiers, passages piétons), la Mairie de Paris souhaitait disposer fin 2009 d'une vision complète et réactualisée en permanence, de l'état de ce patrimoine de signalisation. Elle voulait également bénéficier d'outils d'aide à la décision en vue d'anticiper et d'optimiser les dépenses. La ville a finalement opté pour une solution de gestion des équipements basée sur différentes technologies - 3G/GPRS, RFID, GPS, cartographie Google Maps/Earth et Extranet. A la clé : une consultation en temps réel et une traçabilité des équipements et des opérations. Concrètement, lors des opérations de pose ou de maintenance, des opérateurs de terrain identifient les panneaux grâce à des PDA, via des tags RFID. Dans le même temps, ces opérateurs géolocalisent et valident leurs positions à l'aide du GPS et de Google Map, puis photographient les panneaux, avant de renvoyer les informations en temps réel via une connexion GPRS/3G. Les utilisateurs de la Mairie de Paris, quant à eux, accèdent via le web à une application de gestion du patrimoine de signalisation verticale, qui comprend une base de données globale et cartographique Google Maps, un moteur de recherche, ainsi que des générateurs d'analyse, de conception de documents et d'export des données en format Excel ou Open Office. Baptisée Patrimonia, la solution a été développée par Aximum (spécialiste de la sécurisation des voies) qui s'est lui-même appuyé sur l'intégrateur UBI Solutions. Aujourd'hui, plus de 150 personnes exploitent quotidiennement Patrimonia, soit une trentaine de chefs d'équipes d'Aximum pour tracer les équipements et les opérations et plus de cent collaborateurs de la Mairie de Paris pour gérer la signalisation. (...)

(06/10/2009 18:58:38)

Convergence fixe-mobile, un marché de à 900 millions d'euros en 2013 selon l'Idate

Une étude réalisée par l'Idate dresse un état des lieux des services de convergence fixe mobile à destination des entreprises, à travers l'analyse des catalogues d'offres des principaux opérateurs de cinq pays d'Europe de l'Ouest - France, Allemagne, Espagne, Italie et Royaume-Uni. L'enquête effectuée en 2008 fournit un certain nombre d'indicateurs sur les marchés de la convergence fixe mobile et de la VoIP en entreprise. Des offres larges et disparates L'étude des catalogues d'offres des opérateurs montre une grande diversité des services placés sous la bannière de la convergence fixe mobile. Ils peuvent différer soit au sein d'un même opérateur qui couvre plusieurs pays et qui n'a pas la même stratégie selon les marchés, soit dans un même pays où les opérateurs se positionnent différemment pour des raisons stratégiques, techniques et économiques. Ce schéma représente les briques de construction des offres de convergence fixe mobile, en fonction des segments de marché. Ces opérateurs peuvent en effet intégrer dans leur catalogue, un ou plusieurs types de services de convergence : - convergence de tarifs : un même plan tarifaire pour les fixes et les mobiles. - convergence de services : un même ensemble de services accessibles depuis le fixe ou le mobile avec une optimisation des coûts de communications. - convergence de terminaux : un terminal mobile dual-mode avec des fonctionnalités avancées, en communications fixes et mobiles. Les offres de convergence fixe mobile constituent un outil permettant aux opérateurs : - la rétention du client, en prenant en charge tous ses accès fixes et mobiles, voire les services voix et données. - la capacité à regagner la confiance des clients partis à la concurrence. - la diminution de l'effet d'érosion de l'ARPU (chiffre d'affaires moyen par client) des services de téléphonie fixes et mobiles. - la possibilité de proposer des prestations d'intégration, d'exploitation et de maintenance afin de valoriser l'ARPU. C'est surtout le cas pour les opérateurs intégrés offrant une large palette de services associés à leur coeur de métier de fournisseur de solutions télécoms. Les revenus générés dans les cinq principaux pays d'Europe de l'Ouest sur des offres de convergence fixe mobile pourraient atteindre 900 millions EUR en 2013. Ces offres permettront donc aux opérateurs d'avoir un léger effet positif sur la baisse de l'ARPU constatée ces dernières années. Mais ce marché sera handicapé par les surcoûts - investissements en équipements et coûts d'exploitation - que peuvent représenter ces offres pour l'entreprise, au regard des bénéfices. En temps de crise, la rationalisation des investissements n'incite pas à adopter ce type de services. La position de mono-fournisseur peut constituer un frein Si l'entreprise peut percevoir un réel avantage dans une vision mono-fournisseur télécom (une seule facture, un seul interlocuteur pour les services voix et données, un seul centre de support), il n'en demeure pas moins que les négociations pour le renouvellement des solutions seront plus délicates. Changer d'opérateur sera très difficile lorsque l'entreprise est mono-fournisseur. Cette vision est encore renforcée chez les grands comptes : il existe bien souvent une volonté d'avoir plusieurs fournisseurs pour les différentes solutions télécoms de l'entreprise. (...)

(01/10/2009 09:24:49)

Cisco achète le spécialiste de la vidéoconférence Tandberg

L'équipementier télécoms Cisco a annoncé son intention d'acquérir le spécialiste norvégien de la vidéo-conférence Tandberg pour 3 Mds de dollars. Le géant américain dispose déjà d'une offre très haut de gamme de téléprésence qui nécessite des installations de salles spécifiques. Avec ce rachat, il récupère des produits plus adaptés à des entreprises de taille moyenne en taille et en prix. (...)

(28/09/2009 16:35:28)

3Com fait une crise d'identité pour ses 30 ans

Trente ans après sa naissance, et après un gros passage à vide, 3Com semble être de retour pour de bon. L'équipementier a juste un épineux problème à résoudre : sous quel nom se présenter. Six mois environ après son entrée en fonction, le directeur général France du fabricant a en effet réuni quelques journalistes pour faire un point sur la société, et a distribué selon les cas des cartes de visite estampillées du logo 3Com ou du logo H3C. « Mais au dos, ajoutait-il, elles portent les trois logos : H3C, 3Com et TippingPoint ! » 3Com a clos fin mai son exercice fiscal sur un chiffre d'affaires en légère hausse (+1,7%) à 1,317 Md$, et a surtout arrêté de perdre de l'argent. Un rétablissement que le fabricant doit à son aventure chinoise, puisque, comme l'explique Jérôme Larchet, avoir son centre de recherche et développement en Chine permet d'une part de tirer les prix vers le bas, d'autre part d'être réactif quand les clients demandent des adaptations. C'est un sérieux plus, dit-il, lorsqu'on veut affronter l'acteur archidominant du secteur, Cisco. Le patron de l'entité chinoise prend la tête de la société en 2008 3Com revient de loin. Créé en 1979 par Robert Metcalfe, l'inventeur d'Ethernet, le fabricant atteint son apogée en 1999. Il vend alors des PDA (les Palm), des modems (US Robotics) et des routeurs (CoreBuilder), et affiche 5,7 Md$ de revenus. Entre erreurs de management et retournement du marché, la chute est ensuite violente et continue, le chiffre d'affaires passant sous la barre du milliard de dollars en 2003. A cette époque, 3Com revient sur sa décision de se séparer de l'activité routeurs d'entreprise, qu'il jugeait pas assez rentable. L'Américain se rapproche alors de Huawei, créant une coentreprise lui permettant de revendre les équipements réseau du Chinois. Deux ans après, il acquiert TippingPoint, un spécialiste de la sécurité. En 2006, quelques mois après avoir annoncé un chiffre d'affaires 2005 à 651 M$, 3Com parvient à monter dans le capital de la coentreprise H3C, passant de 49% à 51%. Un certain Robert Mao est alors débauché de Nortel pour diriger les opérations en Chine, et si possible monter dans le capital de H3C. Ce sera chose faite en 2007 : 3Com prend le contrôle de tous les actifs, et son chiffre d'affaires se redresse à 1,267 Md$. Aujourd'hui, 3Com joue donc sur ses trois identités : 3Com quand il s'adresse aux PME, TippingPoint pour le marché de la sécurité, et H3C pour les routeurs. Cette dernière activité étant celle qui a sauvé le groupe, peut-être prendra-t-elle le pas sur les autres, du moins en termes d'image. En tout cas, on peut noter que le CEO de l'entreprise vient de ce secteur, puisqu'il s'agit de Robert Mao, nommé à ce poste en avril 2008. (...)

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