Flux RSS
Réseaux
2191 documents trouvés, affichage des résultats 481 à 490.
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |
(13/11/2008 16:08:05)
Cisco virtualise l'interface entre son offre SAN et l'environnement VMware
Cisco va collaborer avec VMware pour optimiser l'intégration de ses MDS (Multilayer DataCenter Switch) pour SAN (Storage area network) dans l'environnement virtuel du second baptisé VDC-OS (Virtual Datacenter OS). Pratiquement, les administrateurs pourront déplacer leurs serveurs physiques ou virtuels en préservant leur configuration vis-à-vis des commutateurs et des baies de stockage. Cette annonce s'inscrit dans le partenariat technologique entre les deux sociétés annoncé lors de la manifestation VMworld de septembre dernier. Ce partenariat pêche toutefois par un manque de précision sur la façon dont VD-OS, du côté de VMware, et Datacenter 3.0, du côté de Cisco, cohabiteront à terme. En effet, les deux projets visent tous deux à une supervision globale de l'infrastructure des systèmes d'information. (...)
(06/11/2008 12:30:26)Trimestriels Cisco : l'équipementier contraint de geler ses embauches
Conformément aux prévisions communiquées cet été par son PDG John Chambers, l'Américain Cisco a vu ses ventes augmenter de 8%, à 10,3 Md$, sur son premier trimestre fiscal. En revanche, le fournisseur de solutions réseaux n'enregistre aucune progression sur son bénéfice net qui, à 2,2 Md$, reste au niveau du premier trimestre 2007 (par comparaison, il y a un an, le bénéfice net de l'équipementier avait progressé de 37% et son chiffre d'affaires de 17%). Il dégage un bénéfice net de 42 cents par action. Mise en place d'un régime de crise Comme d'autres géants du secteur IT avant lui, Cisco se voit contraint d'adopter un régime de crise : gel des embauches, réductions des déplacements, coupes dans les dépenses marketing. Cet ensemble de mesures devrait aider l'entreprise à réduire ses dépenses de 1 Md$ par rapport au budget initialement prévu pour son second trimestre fiscal, a exposé hier John Chambers, au cours d'une conférence téléphonique. Le PDG a dressé un sinistre tableau de la crise financière. A l'instar de nombreux autres fournisseurs IT, Cisco a subi une baisse notable de ses commandes en octobre : -9% sur ce dernier mois, par rapport à l'an dernier, et -3% sur l'ensemble du trimestre. C'est en octobre que la crise a vraiment été ressentie de façon générale, confirme John Chambers. Pour l'équipementier, les ventes aux entreprises sont les plus touchées (-11% sur le trimestre), alors que les ventes aux fournisseurs de services et au secteur public sont restées étal. Le repli a démarré aux Etats-Unis et s'est étendu à l'Europe et aux autres régions avec, malgré tout, de bonnes performances au Japon et en Allemagne. Profiter de la crise pour avancer [[page]] S'attendant à ce que les prochaines semaines se calquent sur les performances d'octobre, Cisco prévoit une baisse de son chiffre d'affaires de 5 à 10% sur son deuxième trimestre fiscal. Mais, parallèlement à ses efforts de réduction des coûts, Cisco compte utiliser sa puissance de feu pour augmenter ses parts de marché, à un moment où ses concurrents se trouvent affaiblis. Le directeur financier, Frank Calderoni, a indiqué que le fournisseur prévoyait d'investir sur des marchés où ses équipements réseaux gagnent du terrain, comme la vidéo, les applications de collaboration et la virtualisation de centre de données. En dépit du ralentissement anticipé, John Chambers table sur une évolution positive de l'économie dans un avenir relativement proche. (...)
(03/11/2008 11:31:35)Encore mal connue et mal vendue, la ToIP progresse lentement en France
La pénétration de la ToIP en France (téléphonie sur IP) est constante d'une année à l'autre mais reste faible. Pour 2008, 16% des sites interrogés (soit 78 000 sites et 431 000 accès télécoms) sont en ToIP. C'est 4% de plus qu'en 2007, une progression représentant 20 000 nouveaux sites. Les TPE (6 à 9 salariés) sont à 18% de pénétration, les moyennes entreprises (10 à 499 salariés) à 14%, les grands comptes (plus de 50 salariés) à 18%. Par taille d'entreprise, sur les petites structures (celles de moins de dix salariés), Scholé remarque une forte pénétration des box ADSL (Live Box d'Orange, 9Pass de l'ex NeufCegetel etc.) qui comptent pour 42% dans l'équipement des TPE. 27% d'entre elles ont des passerelles IP, 16% des IPBX, 4% seulement du Centrex. 21% ne répondent pas et 4% ne savent pas. A l'échelon supérieur, dans les structures de 10 à 499 salariés, la 'box' tombe à 33%. Les logiciels de téléphonie présentent un taux de pénétration de 67% dans les moyennes entreprises et de 60% dans les grands comptes. Les passerelles IP en revanche atteignent 45% de parts de marché dans les moyennes entreprises et 53% dans les grands comptes (au-delà de 500 salariés). Les IPBX sont respectivement à 20 et 16% de parts de marché, le Centrex à 8 et 4%. Satisfaction relative des utilisateurs [[page]] En terme de satisfaction, 65% de ceux qui ont adopté la ToIP la jugent d'aussi bonne qualité que les solutions traditionnelles, 30% la trouvent moins bonne et 5% seulement meilleure. Toute la partie services arrive en tête des éléments de satisfaction. Parmi eux, on retrouve le partage de documents (cité par 31% des interrogés), la messagerie unifiée (29%), le travail collaboratif (25%), les annuaires mutualisés (21%). Conclusion du cabinet d'études : le marché évolue lentement, il faut l'aider, donc comprendre les freins au développement de la ToIP et trouver les arguments pour accélérer le rythme. Scholé Marketing a identifié des éléments qui vont dans ce sens. Constructeurs et installateurs peuvent prendre appui d'abord sur le renouvellement des équipements. Un tiers des PABX sont à renouveler Un tiers du parc de PABX doit être renouvelé : 19% ont 9 ans et plus, 12% de 6 à 8 ans. Pour le reste, 29% ont entre trois et cinq ans et 38% des PABX installés ont moins de trois ans. Dans le même ordre d'idées, 40% des établissements ont un câblage datant de six ans et plus. Ce pourcentage monte à 55% pour les entreprises de plus de 500 salariés. Autre « bonne nouvelle », c'est-à-dire susceptible de déclencher des décisions d'investissement, la consommation téléphonique est jugée coûteuse. 35% des entreprises trouvent leur facture élevée ou trop élevée, cette proportion grimpe à 46% dans les grands comptes. 41% des entreprises multi-sites et 38% de celles équipées en IP déclarent également leur facture télécoms trop élevée. Au total, Scholé Marketing a noté 4% d'intentions de migration dans les entreprises en faveur de solutions de ToIP. Ce pourcentage est une moyenne. Dans les grands comptes, il grimpe à 19%, reste à 10% pour celles entre 10 et 499 salariés et plonge à 1% en dessous de 10 salariés. Des chiffres plutôt faibles. Manque de notoriété et freins technologiques [[page]] Manque de notoriété et freins technologiques Scholé a donc cherché à identifier les arguments qui défavorisent encore la ToIP : elle n'est pas assez connue (par 30% seulement des sites interrogés), et quand elle est connue c'est surtout pour les box grand public. Plus grave, les offres professionnelles ne sont connues que par 15% des sites interrogés. Les freins sont liés également à des facteurs technologiques. 48% des sites interrogés invoquent la mauvaise qualité de la voix, 45% l'investissement trop onéreux, 42% la dépendance vis-à-vis du réseau Internet, 31% la nécessité de refondre le réseau de données, 25% la sécurité. Rien d'étonnant à voir 57% des interrogés évoquer une technologie encore peu mature. 90% des entreprises mettent en avant les économies escomptées avec la ToIP Du côté des avantages, un argument balaye tous les autres : les économies. 90% des entreprises le mettent en avant. Loin derrière, on trouve l'indépendance vis-à-vis des opérateurs (26%) et les services offerts (26%). Les économies escomptées tiennent à la communication (70%), les services de maintenance et d'exploitation (45%), le câblage (34%). A l'évidence, l'écosystème concerné (opérateurs, constructeurs, installateurs, intégrateurs) a du pain sur la planche. Les relations entre ces différents acteurs sont probablement à optimiser s'ils veulent vendre d'avantage de solutions en ToIP. (*) Méthodologie de l'enquête : L'Observatoire a été lancé en 2007 avec une première enquête portant sur 5 000 entreprises. Pour 2008, Scholé Marketing enquête en deux vagues (3 200 enquêtes au total, une en mai et une autre en cours) auprès des établissements, donc des sites de production. (...)
(03/11/2008 08:58:03)ECR mesure la consommation d'énergie des périphériques réseaux
Les mesures de consommation énergétique des systèmes et périphériques se multiplient. De l'historique Energy Star jusqu'aux outils que concocte le Green Grid pour les datacenters, plus un composant informatique n'échappera bientôt au contrôle. La semaine dernière, ce fut le tour des périphériques télécoms et réseaux. Ce sont Ixia et Juniper Networks qui ont créé l'initiative ECR pour Energy Consumption Rating (mesure de la consommation énergétique) avec le laboratoire national Lawrence Berkeley (LBNL). Ixia est un fournisseur de systèmes de tests de performance IP et vient justement d'annoncer son produit IxGreen pour mesurer l'efficacité énergétique du routeur T1600 de Juniper Networks. IxGreen s'appuie sur ECR. Une moyenne de mesures à différents débits Dans les réseaux, la consommation électrique est fortement affectée par la perte de charges électriques pendant le transfert de données, elle-même causée par des conducteurs et des isolants électriques imparfaits. Pour tenter une mesure efficace, l'ECR s'appuie sur une série de tests. Le premier détermine le débit maximal Tf en Gbps supporté par le périphérique en full duplex. Le système est soumis à ce débit durant 1200s. Il en résulte une consommation énergétique moyenne Ef. Le même test et la même mesure sont exécutés avec un débit deux fois moindre. Enfin, la consommation est mesurée pour un fonctionnement à vide. La mesure ECR simple donne un ratio de consommation d'énergie en fonction du débit (Ef/Tf). Un calcul plus complexe, l'ECRW, additionne les consommations d'energie à plein débit, à demi débit et à vide, en affectant à chacune un poids différent. Cette formule mesure la capacité dynamique d'adaptation énergétique du périphérique. Neutralité oblige, ECR sera open source et indépendant des fournisseurs. Il servira à classer aussi bien des routeurs, des commutateurs Ethernet que des appliances de sécurité. L'initiative espère aussi fournir une jauge commune et standard à l'industrie des équipements télécoms et réseaux. Reste que pour l'instant, seuls les deux fondateurs sont membres. (...)
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |