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(20/10/2008 12:52:19)

La prochaine génération de MID d'Intel embarquera la communication en 3,5G

La plateforme Moorestown, prochaine tentative d'Intel dans le monde du Mobile Internet Device (MID), embarquera une fonction de communication 3,5G (HSPA pour High Speed Packet Access). C'est la société belge Option N.V. et Ericsson qui mettront au point les modules idoines. L'appellation Mobile Internet Device (MID) recouvre une catégorie d eproduits légers et mobiles qui vont des PDA aux ultraportables. Intel a déjà annoncé son Evans Peak pour le Wimax, une technologie dont le fondeur est un des plus fervents promoteurs. Le fondeur, qui parlait jusque-là d'une disponibilité de la plateforme Moorestown pour 2009, évoque désormais plutôt la période 2009-2010. Moorestown succèdera à Menlow, commercialisée sous le nom de Centrino Atom depuis avril dernier. (...)

(16/10/2008 14:36:04)

Intel s'offre NetEffect

Intel a annoncé hier l'achat pour 8 M$ en numéraire de NetEffect. Cette société texane est spécialisée dans les adaptateurs Ethernet pour serveurs en Gigabit Ethernet et 10 Gigabit Ethernet et les processeurs Asic 10 Gigabit Ethernet. Plus intéressant pour Intel, NetEffect est l'un des fournisseurs de solutions logicielles et matérielles iWarp, une alternative Ethernet au protocole Infiniband du fondeur. Cette acquisition lui permettra de se renforcer dans des secteurs clés comme la virtualisation de serveur, le stockage via Ethernet (convergence entre les Lan et les San), ainsi que les fermes de calculs destinées aux HPC. Un moyen pour Intel de se renforcer dans le HPC Si l'offre précédente d'Intel pouvait convenir aux deux premiers marchés, le fondeur n'avait rien jusqu'ici dans le secteur de niche du 10 Gigabit Ethernet pour le HPC. Il pourrait ainsi intégrer les produits de NetEffect directement sur la carte mère d'un serveur pour une solution clé-en-main suffisamment économique pour rivaliser avec Infiniband, encore largement présent sur ce marché. A l'occasion de cet achat, Intel met la main sur l'ensemble du catalogue produit de NetEffect, sur ses brevets et sa technologie, et s'est engagé à conserver les 30 salariés de la société. L'ensemble fera désormais parti de sa division LAN Access. (...)

(13/10/2008 17:12:36)

Atos Worldline lance une solution pour développer des applications mobiles

Atos Origin propose Worldline Padda, une solution industrielle pour concevoir des applications mobiles. Elle s'adresse aux acteurs de l'industrie, des médias, de la grande distribution ainsi qu'aux banques. Elle est basée sur une infrastructure fonctionnant en mode client-serveur et sera hébergée chez Atos Worldline. Les applications mobiles sont développées du côté serveur avec une approche de type Web qui permet de personnaliser les applications (nouvelles fonctionnalités, design, ajout de logos, graphiques zoomables...). Worldline Padda permet de développer un annuaire d'entreprise, une consultation de messages vocaux et de mails, un paiement par mobile... Un système de cache permet à l'application mobile de ne télécharger que les éléments nouveaux et dont la personne a besoin. Testé et certifié sur plus d'une centaine de terminaux mobiles [[page]]Worldline Padda sera d'abord lancé en France puis en Belgique et en Allemagne. Il a été testé et certifié sur plus d'une centaine de terminaux mobiles. Cette solution a été conçue par Worldline, une filiale d'Atos spécialisée dans le traitement des transactions électroniques de grands volumes ainsi que les services de paiement. Atos a d'ailleurs récemment rejeté une offre de rachat de Worldline par le fonds Candover, qui en proposait 1,6 Md$. Malgré cette somme rondelette, la SSII française a préféré garder dans son giron une filiale qu'elle estime rentable et qui lui permet de réaliser 11% de son chiffre d'affaires (soit 654 M€ en 2007). (...)

(09/10/2008 14:49:47)

Internet des objets: l'Europe des 27 demande un « droit au silence des puces »

«Les puces doivent pouvoir être déconnectées». C'est l'un des messages forts qu'ont voulu faire passer Eric Besson, secrétaire d'état français à l'économie numérique, et Viviane Reding, commissaire européen à la société de l'information, lors du sommet qui a réuni lundi 6 octobre les délégations ministérielles des 27 pays de l'Union. A l'heure où l'on prévoit l'extension des usages des technologies RFID et autres puces sans contact, au delà de la seule logistique, il est essentiel que la traçabilité des objets se fasse « dans le respect de la protection des données des entreprises et des citoyens », insiste la commissaire européenne. la souveraineté de l'Union européenne sur les infrastructures critiques de l'Internet du futur « Le développement de l'Internet des objets, lié à son acceptation, ne se fera que s'il est accompagné par ce droit au silence des puces », abonde le secrétaire d'état à l'Economie numérique. L'autre condition, retenue par l'assemblée des 27, est de donner de la consistance à la souveraineté de l'Union européenne sur les infrastructures critiques de cet Internet du futur. La France se pose en leader sur ce plan avec la constitution depuis le printemps dernier d'une toute première « racine » européenne pour un dispositif de nommage des objets (Object Naming Services) à l'initiative du consortium GS1 (30 000 entreprises adhérentes en France) et hébergée par l'opérateur Orange Business Services. Il s'agit de l'équivalent du DNS de l'internet actuel, (l'ONS américain relevant de Verisign). [[page]] «Il est indispensable que les choix technologiques faits aujourd'hui soient compatibles avec les usages envisagés. Les choix à opérer sont de nature politique car les enjeux sont au coeur de nos sociétés », souligne Eric Besson. Le sommet du 6 octobre a ainsi permis d'entériner le consensus des 27 sur cinq prises de position qui seront soumises à l'adoption du conseil européen des ministres télécoms lors de la prochaine réunion prévue pour le 27 novembre. Les cinq décisions retenues sont ainsi : - La nécessité de renforcer la sécurité et la résilience des réseaux, avec une coordination assurée par l'Enisa (Agence européenne chargée de la sécurité des réseaux et de l'information), ainsi que le renforcement des dispositifs de protection des mineurs. - La nécessité de coordonner au niveau européen la gestion du spectre de fréquences, aiguillonnée notamment par le passage au tout numérique du secteur audiovisuel. - L'objectif prioritaire de protection des libertés qui passe par la possibilité de désactiver (et réactiver) les puces. - L'affirmation du rôle moteur de l'Europe pour la gouvernance et l'émergence d'une gestion distribuée des infrastructures (et qui ne soit pas centralisée outre-atlantique), pour laquelle la « racine » française peut en quelque sorte servir d'expérience pilote. - Le renforcement de la coordination de la recherche et de l'échange des bonnes pratiques dans tous ces domaines. Tous ces sujets, avec l'accélération de l'accès au très haut débit indispensable à l'essor de l'Internet des objets, reviendront sur le tapis au niveau national dès la semaine prochaine. Nicolas Sarkozy devrait en effet présenter le plan pour le développement de l'économie numérique le 15 octobre. (...)

(03/10/2008 15:09:45)

Cisco et Microsoft unis dans une appliance pour sites distants

Cisco, en collaboration avec Microsoft, propose une appliance réseau sous Windows Server 2008. Cette appliance Windows Server on WAAS (Wide Area Application Services) est destinée à des sites distants. Commercialisée à partir de 10 000 $, elle embarque une version réduite de Windows Server 2008 (Server Core) pour déporter en local des fonctionnalités comme Active Directory, Microsoft Print Services, le DNS et le DHCP afin d'optimiser les connexions. Pour une fois d'accord, les deux sociétés considèrent que cette appliance répond mieux aux besoins des sites distants que l'alternative entre une installation complète de Windows Server 2008, avec toutes les applications en local (installation et maintenance coûteuse), et une connexion distante (accès ralentis). (...)

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