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(08/01/2008 15:06:01)

Le PDG d'Intel prédit un lifting du visage du Web

Dans son discours inaugural hier au CES de Las Vegas, Paul Otellini, le PDG d'Intel, s'est plié à l'exercice habituel de la boule de cristal. Et ses prédictions ont rejoint en grande partie celles prononcées par Bill Gates la veille, puisque Paul Otellini a décrit un monde d'objets numériques interconnectés, et surtout un Web beaucoup plus personnalisé, offrant davantage d'immersion et d'interactivité. Pour le patron d'Intel, Internet offre une expérience pénible pour l'utilisateur. Prenant l'exemple de la recherche, Paul Otellini décrit un processus long, où il faut allumer un ordinateur, se rendre sur le site d'un moteur de recherche, puis parcourir les résultats. Ce processus est en train de changer, indique Paul Otellini. Bientôt, dit-il, il sera bien plus personnalisé, c'est la recherche qui viendra à l'utilisateur, et non l'utilisateur à la recherche. Et cela grâce à de nouvelles interfaces - Paul Otellini a cité l'exemple de la Wii, la console de jeu de Nintendo -, à des appareils connectés - grâce au Wimax, le standard défendu par Intel - et aux réseaux sociaux. Ainsi, l'utilisateur sera reconnu et ses besoins anticipés. Canmore, puce tout-en-un pour les appareils mobiles multimédias De fait, la caractéristique première des réseaux sociaux est d'agréger des données sur les utilisateurs. Paul Otellini a pointé sur eJamming Audiio, réseau social et outil collaboratif pour partager ses goûts musicaux et faire un boeuf avec d'autres internautes. Une collaboratrice de Microsoft, la veille, avait fait une démonstration de Zune Social, le réseau social, encore en bêta, rattaché au lecteur audio de Microsoft. Un bon moyen de partager ses goûts musicaux... et de diriger l'internaute vers un site d'achat en ligne. Revenant à sa marotte du jour, Paul Otellini a expliqué que se généraliseraient les appareils mobiles connectés au Web - et animés par des technologies Intel, comme le futur Canmore, une puce intégrant les éléments nécessaires pour de la télévision HD et du son de haute qualité. Grâce à ces puces tout-en-un, ces appareils prendront moins de place, et dans la mesure où ils seront connectés et connaîtront les goûts de l'utilisateur grâce aux réseaux sociaux, ils pourront anticiper ses demandes. Là, c'est aller un pas plus loin que Bill Gates, qui a dévoilé un prototype permettant de récupérer moult informations à partir d'un capteur photo : le programme du cinéma, le menu du restaurant, le trajet pour y aller... Mais il fallait viser et capturer l'image du bâtiment en question. Pour l'anticipation des besoins, il faudra attendre encore un peu. (...)

(07/01/2008 12:38:36)

Cisco rentre bien sur le marché du Wimax

Cisco a finalisé le rachat du spécialiste du Wimax Navini Networks le 19 décembre dernier. Une transaction, dont le montant n'a pas été communiqué, et qui, comme nous l'annoncions, marque l'entrée du géant des réseaux sur le marché du Wimax. Navini fabrique des stations de base Wimax et développe une technologie de « Beamforming » qui permet notamment de résoudre les problèmes d'interférences de signal. Dans un communiqué, Cisco explique qu'il compte intégrer Navini à sa division Wireless Technology. (...)

(31/12/2007 13:12:24)

En 2008, les DSI ont les moyens de briser le joug financier des éditeurs

Dans la lutte entre éditeurs de logiciels et utilisateurs, la roue pourrait tourner dans le bon sens en 2008. Tous en coeur, des analystes du Gartner Group, de Forrester Research et de PricewaterhouseCoopers s'accordent à distinguer une conjonction de facteurs favorables à une baisse des prix. On aurait pu croire que la vague de concentration et de retraits de la cote boursière allait avoir pour effet de renforcer les positions des éditeurs de logiciels dominants. Si des géants comme Oracle ou Microsoft continuent d'accroître leurs parts de marché, ce dernier est soumis à la concurrence de nouvelles façons d'utiliser les logiciels. Les logiciels en ligne (SaaS, Software as a service) arrivent en tête de cette nouvelle donne. Avec SalesForce.com en figure de proue, qui attire les regards sur la gestion de la relation client (GRC, CRM), ils vont profondément modifier le paysage. Il convient aussi de se tourner vers la bureautique en ligne. La vache à lait de Microsoft Office est trop grasse pour laisser indifférents les DSI. Sur ce créneau, c'est Google, avec Google Documents, qui occupe l'espace médiatique. Mais il ne faut pas oublier que les communautés du logiciel libre proposent une alternative aux logiciels surfacturés par Microsoft. Toutefois, la bureautique ne figure pas dans le coeur de cible des partisans du logiciel libre. Leur domaine de prédilection demeure l'infrastructure. Là, le succès de Linux estompe ceux obtenus sur les créneaux des SGBD et du middleware. A eux tous, les logiciels à code ouvert mettent sous pression les fournisseurs traditionnels. Ces derniers sont aussi mis sur la sellette avec l'émergence d'une véritable industrie de la tierce maintenance applicative. Pouvoir obtenir du support pour un logiciel auprès d'un autre que le fournisseur de ce dernier fait s'effondrer tout un pan du mur d'enceinte de la prison dans laquelle les clients s'étaient fait enfermer. Enfin, la virtualisation fait aussi souffler un vent de liberté là où l'on s'y attendait le moins : au coeur même des serveurs. Au couple processeur - application, par essence monogame et que l'on croyait indéfectible, succède un esprit libertaire qui préside à une cohabitation communautaire et hétérogène. Une douzaine de machines virtuelles qui se partagent un seul serveur est en passe de devenir monnaie courante. Même s'ils font tout pour verrouiller leurs contrats de licence, les éditeurs sont bien obligés de prendre en compte cette nouvelle souplesse. L'antithèse du carcan dans lequel ils cherchent à enfermer leurs clients. (...)

(21/12/2007 10:58:04)

Départ emblématique chez Cisco : Charles Giancarlo rejoint Silver Lake

Le directeur du développement de Cisco, Charles Giancarlo, vient d'annoncer qu'il quitterait la société le 31 décembre pour aller rejoindre une société d'investissement de la Silicon Valley, Silver Lake, à un poste de direction. Pour l'anecdote, Silver Lake a déjà hébergé des dirigeants en période de transition : Ed Zander entre Sun et Motorola, Michael Capellas entre MCI et First Data. C'est le deuxième départ cette année d'un haut dirigeant de la société, Michelangelo Volpi, vice-président en charge de la division des routeurs, ayant quitté Cisco en février dernier. Faut-il voir dans ces démissions une crise dans une société qui figure pourtant au top 10 des entreprises qui rémunèrent le mieux ses dirigeants et qui enregistrait jusqu'à maintenant un des plus faibles turnovers tous secteurs confondus ? Ou simplement l'effet de « l'horloge biologique », seule explication fournie par Charles Giancarlo, 50 ans, lors de la conférence de presse donnée à l'occasion de son départ ? Vice-président depuis 2005, Charles Giancarlo a joué un rôle important dans la stratégie de croissance externe de la société mais également au niveau du développement des technologies émergentes telles que la mobilité, la communication unifiée, la sécurité ou encore la vidéo. Il a aussi dirigé la branche grand public du groupe, Linksys. Charles Giancarlo sera remplacé par un groupe composé de sept managers qui rendront des comptes au PDG de Cisco directement, John Chambers. Baptisé « Development Council », ce groupe semble d'ailleurs être une nouvelle tendance de management chez Cisco, John Chambers ayant déclaré que ces « équipes de managers aident la société à bouger plus vite ». Quelles que soient les raisons des départs des hauts dirigeants de Cisco, John Chambers, pour sa part, n'a pas l'intention de quitter la société de sitôt : il prévoit de la diriger encore trois ans, peut-être même cinq. Un élément peut-être déterminant dans la décision de Charles Giancarlo, qui était jusqu'alors pressenti comme le successeur de John Chambers. (...)

(17/12/2007 17:55:07)

Colt attaque le projet de fibre optique des Haut-de-Seine devant Bruxelles

Y aurait-il du rififi dans la fibre optique ? L'opérateur anglais Colt prévoit d'attaquer devant la Commission européenne le projet de cablâge des Hauts-de-Seine, confié à un consortium réunissant Numericable, Neuf Cegetel et Eiffage. Au coeur du litige, un financement publique de 59 M€ (sur les 422 M€ au total) que Colt, qui quant à lui a investi 100 M€ dans le département, estime quasi-anticoncurrentiel. « Nous attaquerons ce projet devant la Commission européenne, car le réseau des Hauts-de-Seine sera financé par l'argent du contribuable, sans objectif de retour sur investissement. Nous ne sommes pas contre la concurrence, si les autres opérateurs ont les mêmes contraintes que nous », a déclaré Emmanuel Tricaud, directeur des affaires réglementaires chez Colt Telecom, aux Echos. (...)

(10/12/2007 16:21:05)

Juniper ouvre son système d'exploitation

Le spécialiste des infrastructures réseau Juniper vient d'annoncer l'ouverture de son système d'exploitation JUNOS. Baptisée Partner Solution Development Platform (PSDP), cette initiative permet aux clients et partenaires de développer leurs applications spécifiques à l'aide du kit de développement fourni par le constructeur. Lequel, selon les déclarations du constructeur, proposerait des interfaces « intelligentes et sécurisées » en standard pour utiliser les fonctions de routage et les divers services du système d'exploitation. Seuls les clients et partenaires adhérents au « Open IP Solution Development Program » auront accès à PSDP sous forme de licence valable un an. Pour Kim Perdikou, vice-président exécutif et responsable de l'entité des produits d'infrastructure de Juniper, les besoins créés par un marché de plus en plus disparate dépassent la capacité de développement ou d'innovation de n'importe quel vendeur. Et de fait, grâce à cette ouverture, les clients et partenaires pourront optimiser le routage de leurs flux, personnaliser la gestion de la bande passante ou encore mettre en place des politiques de sécurité spécifiques. Une stratégie qui n'est pas sans rappeler celle de son concurrent Cisco. (...)

(07/12/2007 12:09:34)

Le GET/Telecom Paris doublement récompensé pour ses travaux en sciences et technologies

Deux chercheurs du GET/Télécom Paris viennent d'être récompensés pour avoir contribué à faire progresser les sciences et les technologies de l'information et de la communication. Jean-Claude Belfiore, enseignant-chercheur au département communications et électronique (Comelec) de Télécom Paris a reçu la médaille Blondel, pour la qualité de ses recherches dans le domaine des communications numériques et ses contributions aux codes spatio-temporels. Travaux qui ont été adoptés pour la norme de transmission de données au débit sans fil, Wimax. Trophée « le plus prestigieux » de la SEE (Société de l'Electricité, de l'Electronique et des Technologies de l'Information et de la Communication), la médaille Blondel récompense un chercheur de moins de 45 ans, auteur de travaux ou de réalisations exceptionnellement remarquables. Le prix de la Ville de Paris pour une jeune scientifique parisienne a été parallèlement décerné à Ghaya Rekaya, elle aussi enseignante-chercheuse à l'Ecole nationale supérieure des télécommunications : elle a été élue par la ville pour ses travaux sur le "code d'or", un mode de codage qui a été également retenu pour le Wimax. (...)

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