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(15/03/2007 20:02:10)
Cisco va racheter WebEx pour 3,2 milliards de dollars
Cisco est retombé dans son péché mignon : les rachats à plusieurs milliards de dollars pour diversifier son activité. Le fabricant de routeurs vient d'annoncer vouloir racheter WebEx Communications pour 3,2 Md$. Son précédent gros rachat remonte à janvier dernier, où Cisco avait pris le contrôle d'Ironport, un spécialiste des solutions de sécurité de messagerie pour 830 M$. Cette fois, Cisco mettra la main sur une offre d'outils de téléconférence et de collaboration pour les petites et moyennes entreprises. L'offre WebEx, vendue sous forme de service, permet d'échanger en temps réel ou de façon asynchrone au travers d'Internet. Charles Giancarlo, responsable du développement de la société, a expliqué que Cisco allait utiliser les technologies WebEx pour concevoir une combinaison plus solide de plateformes de communication et de collaboration. Pour Scott Sinclair, analyste au sein de Technology Business Research, ce rachat s'inscrit dans une stratégie entamée il y a plus d'un an dans le domaine de la collaboration. Il lie notamment ce mouvement aux rachats (plus modestes) d'outils de réseaux sociaux, tels que Tribe.net et Five Accross. C'est aussi un bon moyen, dit-il, d'étendre son activité à des entreprises auxquelles Cisco ne s'adresse pas directement d'habitude. Les conseils d'administration des deux sociétés étant d'accord, la fusion n'attend plus que le feu vert des autorités antitrust. Cisco espère pouvoir conclure l'affaire vers la fin de son année fiscale, soit cet été. (...)
(15/03/2007 15:11:51)L'IEEE ratifie la deuxième version de la norme 802.11n
L'IEEE (Institute of Electrical and Electronics Engineers) vient de ratifier définitivement le draft (brouillon) 2 du standard 802.11n, ouvrant la voie à l'interopérabilité des produits. Basée sur la technologie WiFi MIMO (Multiple Inputs Multiple Outputs), la norme 802.11n permet des débits théoriques de 540 Mbit/s sur les réseaux locaux sans fil, grâce à la combinaison de plusieurs canaux (huit maximum en théorie, quatre en pratique) non superposés. Les premiers tests de certification vont donc pouvoir commencer afin d'autoriser la mise sur le marché de produits compatibles avec la norme définitive, prévue pour 2008. La compatibilité avec les produits « Pre-N » (issus du draft 1) déjà en circulation semble également assurée, moyennant quelques modifications mineures du firmware. La hache de guerre semble donc définitivement enterrée entre les deux groupes qui s'opposaient au sein de l'IEEE sur le nombre de canaux, leur gestion, les fréquences utilisées et les débits autorisés. (...)
(15/03/2007 13:34:02)Cebit 2007 : la Commission européenne ne veut pas réguler la RFID pour ne pas l'entraver
« Chaque année, je viens ici annoncer une nouvelle réglementation. Aujourd'hui, ce ne sera pas le cas. » Très attendue pour sa première intervention sur le Cebit, portant sur la RFID, Viviane Reding, commissaire européenne chargée de la société de l'information et des médias, a expliqué que « malgré la pression de certains Etats qui souhaitent tout réguler », la Commission européenne avait décidé après un an d'étude, à 11 heures ce matin, de ne pas publier de réglementation spécifique. « Nous ne devons pas sur-réglementer », a expliqué Viviane Reding. Au contraire, dit-elle, la Commission doit fournir aux industriels l'assurance qu'ils peuvent se lancer dans ce marché sans entraves. Tout en les prévenant qu'une grande responsabilité leur incombe, sur le chapitre du respect de la confidentialité des données personnelles. Viviane Reding a clairement expliqué que ce sont des considérations économiques qui ont conduit à cette décision. Si on prend en compte la valeur ajoutée (logiciels, matériels, services) en sus des étiquettes RFID, « le marché européen pourrait passer de 500 millions d'euros en 2006 à plus de 7 milliards d'ici 10 ans ». Sachant que « les Européens sont très forts dans les domaines concernés : mobilité, fabrication de puces... » En revanche, la Commission s'appuie sur une étude de la Deutsche Bank pour estimer que le taux de croissance du marché RFID en Europe, évalué pourtant à 45%, est en deçà de celui du marché mondial, évalué pour sa part à 60% (il se serait vendu un milliard d'étiquettes RFID dans le monde en 2006). Autrement dit, des emplois et de la croissance passeraient déjà sous le nez de l'Europe. Une simple mise à jour de la directive sur la vie privée La commissaire européenne dit aussi s'être appuyée sur un sondage en ligne mené entre juillet et septembre 2006, qui a obtenu 2190 réponses, de simples citoyens européens essentiellement (à 70%) mais aussi d'industriels, de chercheurs, d'institutions publiques, etc. L'enquête a révélé un manque d'information sur ces étiquettes radio intelligentes (à 60%), et certaines inquiétudes sur le respect de la vie privée. Ainsi, 74% se disent très inquiets sur l'usage de la RFID par les employeurs pour suivre les employés tant au sein de leur entreprise qu'en dehors. Pour les sondés, indique la Commission européenne, le renforcement de la protection de la vie privée viendra des solutions techniques (à 70%), de la transparence et de l'information (67%) et de la mise à jour des réglementations actuelles (55%). C'est donc la voie qu'a choisie Viviane Reding, puisque la Commission compte proposer vers le milieu de l'année, « dans le cadre du réexamen des lois communautaires sur les télécommunications, des modifications à la directive 'vie privée et communications électroniques' afin qu'elle tienne compte des applications RFID ». La recommandation devrait être publiée fin 2007. D'ici là, la Commission crée un groupe de travail qui accueillera l'ensemble des acteurs du marché, industriels et éditeurs de logiciels par exemple, mais aussi le groupe de travail existant déjà sur la protection des données. Les communiqués et les études sont disponibles sur le site de la Commission européenne consacré à la RFID. (...)
(15/03/2007 11:51:33)Cebit 2007 : Samsung récidive sur le front des ultraportables
Un an après avoir présenté son ultraportable Q1, Samsung récidive en dévoilant au Cebit de Hanovre son petit frère, le Q1 Ultra. Forcément plus petit et plus puissant. D'un poids de 690 grammes (contre 780 pour le Q1), le Q1 Ultra fait la même largeur que son prédécesseur (22,8 cm) mais perd un peu en profondeur (12,4 cm contre 14 cm) et en épaisseur (2,4 cm contre 2,7 cm). Parmi les autres changements, on peut noter que l'écran tactile de 7 pouces gagne en résolution, avec 1024x600 contre 800x480 pour le Q1. Le clavier est toujours divisé en deux, afin de pouvoir tenir l'étrange objet des deux mains tout en tapant du texte. Le Q1 Ultra embarque un processeur Intel à 800 MHz, 1 Go de mémoire DDR2 et le nécessaire pour se connecter à divers réseaux sans-fil. Il tourne sous Windows Vista Home Premium et non plus sous Windows XP Tablet PC Edition. Disponibilité et prix n'ont pas été annoncés. Les tarifs du Q1 allaient de 1300 à 2000 dollars. (...)
(13/03/2007 17:36:36)Quand Internet surfera sur les ondes hertziennes
Que faire des canaux télévisés non attribués ? Aux Etats-Unis, Google, Dell, Microsoft, HP, Intel et Philips veulent s'en servir comme alternative au WiFi et au Wimax pour distribuer des accès Internet sans fil aux particuliers et aux entreprises. La première cible serait les zones rurales où l'accès haut débit est plus réduit, faute de couverture ADSL ou par fibre optique insuffisante. En ville, cette technologie pourrait être utilisée pour redéployer un accès Internet sans se préoccuper des murs (qui peuvent faire obstacle au WiFi) ni de la couverture électrique (support d'un réseau CPL). Avant d'être commercialisé, un prototype doit d'abord être examiné par la FCC (Federal Communication Commission) pour éliminer tout risque d'interférence avec les autres systèmes de diffusion. Si la commission donne son accord, les premières applications commerciales devraient apparaître en 2009. (...)
(13/03/2007 17:25:13)L'Idate se penche sur l'avenir du secteur des télécoms en Europe
Dans une étude intitulée « les télécoms dans l'Europe de 2015 », l'Idate (Institut de l'Audiovisuel et des Télécommunications en Europe) envisage différentes hypothèses d'évolution du secteur en partant de la situation actuelle. Celle-ci est plutôt satisfaisante, estime l'institut qui rappelle que l'Europe est aujourd'hui en pointe dans le domaine de la téléphonie mobile et en deuxième position (après l'Asie) pour ce qui concerne Internet. Ces bons résultats sont dus en grande partie aux investissements massifs consentis par les opérateurs. Les perspectives à moyen terme paraissent toutefois plus hypothétiques. La baisse de la téléphonie fixe, le ralentissement de la croissance de l'ADSL, la saturation du marché de la téléphonie mobile et l'adoption plus lente que prévue de la 3G par les consommateurs plongent les principaux acteurs dans le doute, ce qui a un impact négatif sur les investissements. Après avoir passé en revue les différents moteurs et freins du marché (technologie, compétition, souhaits des consommateurs, politiques de régulation...), l'Idate envisage trois scénarios d'évolution possibles. Le premier, baptisé Télépocalypse part de l'hypothèse que la baisse des prix ne sera pas relayée par l'adoption massive de nouveaux services. Cela se traduira par une grande frilosité des investisseurs, la disparition des acteurs les plus dynamiques et par un poids plus important des pouvoirs publics. Le second (Compromise Convergence) envisage une croissance modérée des revenus provenant d'un côté des services d'interconnexion, de l'autre, de quelques services basiques et premium, illustrés aujourd'hui par les SMS. Enfin, le scénario Evernet part du principe que le rôle accru des télécommunications créera des opportunités de croissance aussi bien pour les fournisseurs d'infrastructure que pour les fournisseurs de services, donnant ainsi naissance à une industrie des télécommunications européenne dynamique et compétitive. Un scénario qui ne sera possible, estime l'Idate, que si les pouvoirs publics européens jouent leur rôle en favorisant la concurrence, les coopérations et la mise en place de nouveaux services. Rendez-vous dans 8 ans. (...)
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