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(01/03/2007 17:16:37)

Appel à compétences de consultants autour du RFID

Dans l'optique d'encourager les entreprises à exploiter au mieux les techniques de traçabilité à base d'étiquettes à identification par radio-fréquence (RFID) pour moderniser leur activité, l'Etat ne se cantonne pas à son rôle de régulateur et de gardien de la bande passante. En témoigne l'étude menée sous l'égide de la Direction générale des entreprises (DGE) et du ministre délégué à l'Industrie, publiée le 28 février, qui fait un point complet sur la technologie, les usages, les enjeux et les bonnes pratiques autour du RFID. D'emblée, l'accent est mis sur l'impact humain et l'acceptation de cette technologie. A ne pas sous-estimer, insistent les auteurs de cette étude, Alcom Consulting et Newton Vaureal Consulting, mandatés par le ministère. « Dès le début d'un projet RFID, les responsables de l'entreprise doivent être bien avertis qu'il leur faudra arbitrer entre les exigences et les attentes des responsables du système d'information, et les exigences et contraintes des techniciens chargés de la mise en oeuvre du système physique de collecte et d'échanges d'informations ». Et puisque, « sauf cas exceptionnel, les entreprises ne disposent pas en interne des compétences nécessaires pour mener à bien un tel projet, il leur faut prévoir de s'appuyer sur des intervenants externes dont les compétences doivent être reconnues et démontrables ». Un manque de conseil neutre et indépendant Là est précisément l'un des points critiques du développement de l'offre et de la demande RFID en France signalés par cette étude. « Si les compétences industrielles, aussi bien matérielles que logicielles sont bien identifiées et accessibles, ce n'est pas le cas des compétences en conseil ». Le constat est sévère. « Il n'existe pratiquement pas de conseil neutre et indépendant. La majorité des consultants ayant une bonne connaissance de la RFID sont rattachés à des intégrateurs de matériel, à des SSII ou à des organismes prônant l'implantation d'un standard particulier ». Juge et partie, donc. D'où un appel à la mobilisation des acteurs concernés : « Un effort tout particulier devra être fait pour que les entreprises puissent disposer d'un véritable choix de conseil neutre et indépendant ». Dans la présentation de l'étude et du livre vert, les services du ministre délégué à l'Industrie s'engagent à soutenir cet effort: « Comme toute nouvelle technologie, son appropriation doit être raisonnée. Les entreprises doivent faire preuve de vigilance dans leurs choix de standards et d'architecture pour choisir ceux qui correspondent le mieux à leurs besoins, en garantissant autonomie et confidentialité dans la gestion de leurs données, et en prenant notamment en compte la position exprimée par la CNIL en la matière ». De son côté, le ministère s'engage à contribuer, notamment à travers les pôles de compétitivité, « à soutenir la recherche, l'innovation et les usages ». Tout en précisant que « l'élaboration de normes ouvertes et interopérables et le développement de logiciels d'exploitation Open Source seront favorisés ». Les leviers d'action et divers scénarios d'intervention de l'Etat pour l'essor de ce marché sont envisagés. La liste des pôles de compétitivité concernés, selon cette étude, est suffisamment parlante : 13 sont directement impliqués, 19 pôles sont utilisateurs de la technologie RFID pour des application sectorielles, 21 pourraient être préconisateurs pour des applications de traçabilité, et seuls 13 des 66 pôles de compétitivité labellisés par l'Etat ne sont pas concernés a priori. (...)

(28/02/2007 17:38:57)

Tellabs souhaite gagner du terrain hors des Etats-Unis

Selon le rapport annuel de Tellabs, l'appétit croissant des utilisateurs pour la vidéo nécessite des réajustements de réseaux. Une minute de vidéo demanderait ainsi quatre fois plus de bande passante qu'une minute de musique, et le déchargement d'un clip vidéo sur un téléphone mobile en exigerait cinq fois plus qu'une conversation. De même, la TV HD serait cinq fois plus gourmande que la TV standard. « Aujourd'hui 250 millions de personnes ont souscrit un service Internet haut débit dans le monde et le mouvement ne peut que se poursuivre. Nos clients constatent d'ailleurs une demande soutenue pour de la bande passante. On voit que YouTube, après deux ans d'existence, représente 100 millions de streamings vidéo chaque jour. Si chacun des centaines de millions d'utilisateurs potentiels fait cela chaque jour, les réseaux actuels ne supporteront pas la charge », estime Krish Pabu, président et CEO de l'entreprise. Selon lui, le marché des ROADM (Reconfigurable Optical Add Drop Multiplexer), qui permettent de définir et de reconfigurer à distance les longueurs d'onde pour coller aux besoins des clients, devrait doubler d'ici à 2009 tandis que les besoins en routeurs multiservices devraient grimper de 39% sur la même période. Quant au marché de la fibre, il progresserait de 53% d'ici la fin de la décade. L'équipementier américain, dont les exportations ne représentent aujourd'hui que 25% du chiffre d'affaires, espère profiter de cette embellie pour décrocher quelques beaux contrats hors du continent nord-Américain et renouveler les exploits réussis en Australie avec Telstra et en Italie avec Telecom Italia. Le marché européen, en pleine croissance, serait d'ailleurs en point de mire. (...)

(28/02/2007 10:30:03)

Une version définitive de Microsoft Exchange 2007 avant la fin de l'année ?

Microsoft a annoncé la semaine dernière que les fonctionnalités manquant à Microsoft Exchange 2007 seraient incluses dans la prochaine version bêta du produit disponible en avril. La version finale d'Exchange Pack 1 devrait, quant à elle, apparaître sur le marché au cours du second semestre, en même temps que le successeur de Windows Server 2003, Longhorn Server. Il n'est toutefois pas sûr que les deux produits seront compatibles à cette date, le groupe de Redmond restant très discret sur ce point. Celui-ci s'est contenté d'annoncer par le biais du blog consacré à Microsoft Exchange 2007 que ce dernier serait pris en charge par Longhorn « à travers les réseaux natifs IPv6 », sans plus de précisions. Un porte-parole de Microsoft a également annoncé que les plans concernant Exchange Pack 1 évoluaient et que l'entreprise allait annoncer « à une date ultérieure » quelles seraient les fonctionnalités incluses dans la version définitive. Un spécialiste proche de Microsoft a toutefois affirmé avoir reçu des assurances que le produit serait alors compatible avec la plate-forme Longhorn et prendrait en charge les contrôleurs de domaine de l'OS. Le renforcement des contrôles de sécurité des terminaux mobiles, une nouvelle mouture de Move Mailbox - qui permet d'importer et d'exporter des boîtes aux lettres - ainsi qu'une version enrichie d'Outlook Web Access (OWA), devraient figurer parmi les fonctionnalités de la version bêta. Notons que la plupart d'entre elles existaient déjà dans Exchange 2003. (...)

(27/02/2007 12:30:17)

Pour l'IEEE, le WiMax mobile sera la future 4G

L'IEEE (Institute of electrical and electronics engineers) a mis sur pied un groupe de travail qui planchera sur le 802.16m, la version mobile du WiMax. Il s'agit d'offrir un débit de 1 Gbps en tirant parti de la technologie MIMO (multiple input multiple output : de multiples entrées/sorties pour accroître le débit). La feuille de route prévoit un déploiement de la technologie en 2010, ce qui collerait avec le calendrier de la future 4G. La nouvelle norme devrait également être compatible avec le 802.16e, en cours de déploiement aux Etats-Unis par Sprint, et en Grèce par l'opérateur canadien Craig Wireless, associé pour l'occasion à son compatriote Nortel (par ailleurs fervent supporter du WiMax MIMO). Les jeux sont toutefois loin d'être faits, l'interopérabilité entre la 802.16e et la 802.16d ayant déjà soulevé pas mal de problèmes en son temps. Il se dit également que les militaires s'intéressent de près au 802.16m. Enfin, les lobbyistes auprès de l'UIT (Union internationale des télécommunications), passage obligé pour toute nouvelle norme, ne sont pas tous des fervents supporters du WiMax mobile. On attend donc avec intérêt la prochaine réunion de l'IEEE qui se tiendra à Paris au mois de mai. (...)

(26/02/2007 17:12:23)

LogicaCMG revend sa division Télécoms

LogicaCMG va vendre sa division Télécoms à un consortium emmené par l'Irlandais Atlantic Bridges Ventures et Lary Quinn, l'ancien CEO de Logica Mobiles, pour un montant de 265 M£ (environ 392 M€) payé en cash. La nouvelle entité, qui poursuivra sa collaboration avec la SSII, prendra le nom d'Acision. LogicaCMG, qui souhaite se recentrer sur son activité de services informatiques, va consacrer 130 M£ à des rachats d'actions. Le solde servira à réduire la dette ainsi qu'au rachat d'intérêts minoritaires. La division Télécoms réalise près de 60% de son chiffre d'affaires grâce à la vente de services de messagerie et de facturation aux opérateurs mobiles. « Cette vente est une étape logique », a commenté Chris McDermott, CEO de LogicaCMG Telecoms, qui va rejoindre la nouvelle entreprise. Cette cession inquiète cependant les analystes, qui font remarquer que Logica n'a pas su trouver d'acquéreur parmi ses partenaires industriels du marché des télécoms. « Au moment où s'opère la consolidation de l'industrie, dictée par des économies d'échelle, Acision, avec 1 700 personnes opérant dans 22 pays, devra reconsidérer sa stratégie de développement de produits et devra, elle aussi, réaliser des économies d'échelle », affirme Jean-Charles Doineau, responsable du bureau français du cabinet d'analyses Ovum. Ce dernier fait également remarquer qu'Acision est peu présente sur le continent américain ainsi qu'en Asie et dans le Pacifique, des régions qui représentent dorénavant le coeur du marché du SMS. (...)

(23/02/2007 17:06:16)

Avaya donne de la voix sur IP à la suite hébergée de Google

Avaya vient d'annoncer qu'il allait intégrer son offre IP Office à la suite bureautique présentée hier par Google, ce qui permettra, notamment, d'étoffer les fonctions de voix sur IP et de messagerie instantanée de Google Talk. Cette offre combinée vise les petites entreprises. Elle sortira à l'automne prochain et sera distribuée par le réseau de revendeurs d'Avaya. Rappelons que la suite Google Apps existe dans une version gratuite (Edition Standard), assortie de publicités, et dans une version vendue 50 dollars par utilisateur et par an, Google Apps Edition Premium. Dans les deux cas, elle rassemble des fonctions de messagerie (Gmail), de dialogue en direct (Google Talk), un agenda, un traitement de texte, un tableur, un outil pour créer une page d'accueil (Start Page), un logiciel pour concevoir un site Web (Page Creator), un antivirus et un antispam. La version payante se complète d'API (interfaces de programmation) qui permettent à d'autres fournisseurs de développer des applications autour de la suite de Google. C'est sur ces API qu'Avaya s'appuie pour développer son offre combinée. La solution d'Avaya fournira aux abonnés de Google Apps Edition Premium une seule boîte de réception pour leurs échanges vocaux, leurs courriels, leurs dialogues en direct et leurs télécopies. Le fournisseur prévoit aussi des fonctions permettant aux abonnés du service de partager des contacts, des alertes et des informations sur le profil des autres utilisateurs (en ligne/absent...). Le responsable d'une équipe itinérante pourra ainsi vérifier rapidement quels sont les collaborateurs connectés avec qui il peut entrer en contact, tout en ayant accès aux informations sur les fournisseurs et les clients. Mieux encore, Avaya cite l'exemple d'un fabricant américain capable de passer en un instant d'un mode de communication longue distance avec son usine chinoise à un échange voix/données avec l'un de ses clients, en utilisant d'un côté le réseau Google Network et, de l'autre, les outils de communication d'Avaya. (...)

(21/02/2007 17:12:51)

IBM classé n°1 des logiciels de gestion télécoms par OSS Observer

Le cabinet américain OSS Observer vient de classer IBM en tête du marché des logiciels d'administration des réseaux. Un classement établi sur les revenus générés dans le domaine de la gestion des erreurs et des événements des systèmes de communication fixe, mobile et haut débit. Big Blue coiffe sur le poteau son concurrent HP ainsi que Telcordia, pourtant grand spécialiste des logiciels de réseaux. Ce bon résultat est dû, selon le cabinet, à la politique de développement interne dans ce domaine ainsi qu'à l'acquisition de Micromuse. IBM Tivoli Netcool aurait ainsi été choisi par un millier de FAI dans le monde, parmi lesquels les 20 premiers opérateurs mondiaux. Selon OSS Observer, les logiciels de gestion haute disponibilité et de gestion d'évènements des réseaux devraient rapporter 850 M$ en 2011, contre 600 M$ en 2006, soit une croissance de 7 % l'an. La gestion de l'assurance qualité des réseaux devrait, quant à elle, connaître une croissance annuelle de 9% par an et générer 3 milliards de dollars à l'horizon 2011. (...)

(20/02/2007 11:33:06)

La Vienne déploie du CPL sur son territoire pour 25 euros par mois

Comme tant d'autres oubliés du progrès, les 525 habitants de Saint-Secondin, dans la Vienne, devaient se contenter des 56 kbps maxi fournis par France Télécom. Pour leur permettre de bénéficier du haut débit, le Syndicat intercommunal d'électricité et d'équipement du département de la Vienne (SIEEDV) et son concessionnaire Soregies ont déployé une solution CPL (Courant porteur en ligne) fournie par la société Courant Multi Média. Celle-ci avait déjà été testée à Saulgé, une autre commune du département. Grâce à un point de collecte alimenté par une liaison spécialisée, les habitants - y compris ceux des hameaux éloignés - peuvent désormais se connecter à Internet via le réseau électrique de la commune. Ils disposent pour cela d'un adaptateur CPL CMM « plug and play ». Soregies, qui a endossé le rôle de FAI, a fixé le prix de l'abonnement 512 kbps à 25 euros par mois. Dans un second temps, les abonnés pourront bénéficier d'un débit de 2 mégas. Le budget du déploiement, soit environ 160 000€, a été pris en charge par l'Etat, le Conseil Général, le SIEEDV et la Région Poitou-Charentes. D'autres communes du département devraient bientôt suivre la voie du CPL. (...)

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