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(16/02/2007 12:46:50)
Nokia Siemens Networks se montre à Barcelone
Nokia a profité du 3GSM pour occuper le devant de la scène en attendant la création effective de la coentreprise avec Siemens. Annoncée en juin dernier, la création de Nokia Siemens Networks, la coentreprise qui rassemble les activités réseaux et téléphonies mobiles des deux fabricants, devait être finalisée en janvier. Cette réponse au rachat de Marconi par Ericsson et à la fusion Alcatel-Lucent avait d'ailleurs obtenu le feu vert de l'Europe. Le responsable du projet chez l'équipementier allemand étant suspecté de corruption, le mariage sera finalement repoussé vers la fin du premier trimestre. En attendant, la nouvelle entité, détenue à 50/50 par les deux groupes mais dominée, sur le plan opérationnel, par les équipes de Nokia (c'est Simon Beresford-Wyllie, chargé de la branche réseaux chez Nokia qui est d'ailleurs à la barre) se montre au 3GSM. Elle a notamment profité du salon catalan pour annoncer la signature d'un accord avec NEC, qui prend le relais de Mobisphere, la joint-venture entre le Japonais et Siemens Networks. Il s'agit ici de poursuivre la collaboration dans le développement de la 3G et - éventuellement - du LTE (long term evolution), concurrent du Wimax mobile pour l'après 3G. Nokia Siemens Networks affirme également sa présence à Barcelone en y présentant une large gamme de solutions orientées communication d'entreprise dans les domaines du haut débit, de la mobilité et de l'IP. Le nouvel acteur semble ainsi beaucoup miser sur le « personal infotainment » multi accès (TV Mobile, d'IPTV, broadcasting...). Pour Simon Beresford-Wyllie, cinq milliards de personnes seront « connectées » en 2015 et le trafic multiplié par 100. (...)
(15/02/2007 14:48:29)Orange va étendre son offre FTTH
En juin 2006, Orange lançait en région parisienne son pilote d'accès à Internet par la fibre optique (FTTH). Aujourd'hui, l'opérateur s'estime satisfait du résultat et s'apprête à entamer le 1er mars la seconde phase de l'opération baptisée pré-déploiement. Entre ces deux dates, près de 100 000 Km de fibre GPON (Giga Ethernet Passive Optical Network) - qui autorise le dégroupage -[auront été installés et 700 accords signés avec les syndics d'immeubles. En tout, 11 500 clients seraient raccordables à ce jour. En terme de contrats signés, on est toutefois loin du compte puisqu'à peine 500 clients avaient basculé fin décembre vers la FTTH. Un chiffre que ne renie toutefois pas Orange qui fait remarquer qu'avec un taux de pénétration d'environ 5%, on se rapproche des chiffres constatés lors du démarrage de l'ADSL en 1999. Les zones concernées par le pré-déploiement sont les mêmes que celles de la phase pilote: certains quartiers de Paris ainsi qu'une partie des communes d'Asnières sur Seine, Boulogne Billancourt, Issy-les-Moulineaux, Rueil-Malmaison et Villeneuve-la-Garenne. Au cours du premier semestre, l'offre sera progressivement étendue à d'autres quartiers de la capitale ainsi qu'aux villes de Clichy-la-Garenne, Levallois et Neuilly-sur-Seine. Marseille, Toulouse, Lille, Lyon et Poitiers sont également en point de mire. Pour 44,9 €/mois, l'offre inclut un accès Internet jusqu'à 100 Mbit/s en réception et jusqu'à 10 Mbit/s en émission (100 Mbit/s symétriques en option), la TV numérique, le téléphone illimité ainsi que l'accès à un portail dédié (Web 2.0) personnalisable. (...)
(15/02/2007 12:35:15)Alcatel-Lucent et Orange rapprochent leur offres IP
Alcatel-Lucent a profité du Forum Alcatel (du 14 au 16 février, Palais de Congrès, Paris) pour annoncer un accord mondial avec Orange Business Services, en vertu duquel les deux entreprises proposeront une offre IP commune clés en main. Les clients d'Orange auront la possibilité de déployer des technologies Alcatel-Lucent de bout en bout, soit dans l'environnement classique d'un réseau exploité par leurs soins, soit dans le cadre d'un contrat d'hébergement de leurs infrastructures par l'opérateur. L'offre d'Orange Business Services s'étend de la conception du réseau jusqu'à son déploiement. Sont notamment inclus dans l'accord : les services de téléphonie professionnelle, les réseaux VPN IP, les offres de convergence fixe/mobile, les logiciels de communication unifiée ainsi que les centres de contacts avec traitement multimédia du trafic. On rappelle toutefois chez Alcatel-Lucent que cette alliance n'est pas exclusive, chacun étant libre de se trouver d'autres partenaires. (...)
(13/02/2007 15:49:27)3GSM Barcelone: l'industrie du mobile fait son show annuel
Comme chaque année à la même époque, l'industrie du mobile se retrouve pour le 3GSM World Congress, le salon phare du secteur qui, pour la seconde année consécutive, se tient à Barcelone. Avec près de 60 000 visiteurs attendus, le 3GSM World Congress est l'un des plus grands événements high-tech de l'année. On peut y découvrir les dernières innovations en matière de services, de logiciels, de terminaux et de réseaux. Comme en 2006, le haut débit et la télévision mobile sont parmi les thèmes les plus en vogue. Les démonstrations de versions rapides de la 3G (HSPA) se multiplient de même que les démonstrations de télévision mobile au standard DVB-H, mais aussi MediaFlo (le concurrent signé Qualcomm). Rares sont ainsi les fabricants de terminaux qui ne présentent pas sur leur stand un téléphone capable de recevoir la télévision (à l'instar de Nokia, Sagem, Samsung...). Et quand on ne parle pas de TV mobile, c'est à la vidéo sur mobile que l'on s'intéresse, à l'image d'Adobe, qui profite du salon pour annoncer l'arrivée prochaine des vidéos Flash sur téléphones portables. Une autre évidence est la montée en puissance des services de téléphonie convergents. Que l'on parle de technologie UMA ou de SIP, le nombre de terminaux capables de supporter des communications voix cellulaires, mais aussi, en mode IP va croissant, et cette tendance est encore plus marquée dans les terminaux professionnels (comme les derniers modèles de la série E de Nokia, les G500 ou G900 de Toshiba ou le dernier smartphone série 500 d'HP). L'objectif des constructeurs est de tenter d'imposer le téléphone mobile comme terminal unique, capable à la fois de se connecter au PABX d'entreprise et au réseau de l'opérateur ou à un réseau de hotspots WiFi en déplacement. Wimax est aussi présent, quoique moins mis en avant que l'an passé. Si les exposants ne semblent plus avoir aucun doute sur le déploiement de la technologie pour la fourniture de services hauts débits fixes, nombreux sont ceux qui affichent des réserves sur la version mobile de la technologie. "Pas avant 2009 ou 2010", semble être le consensus chez les équipementiers. En attendant, les réseaux 3G ont le vent en poupe. Pas de quoi rassurer sur le sort du Wimax mobile. (...)
(13/02/2007 14:00:37)Nortel donne un coup d'accélérateur au Wimax MIMO
En décembre, Nortel signait avec Kyocera Wireless (qui fournit notamment des cartes PCMCIA) un accord visant à promouvoir la technologie MIMO (Multiple Inputs Multiple Outputs) dans le domaine de la mobilité. En utilisant plusieurs antennes, aussi bien côté émetteur que côté récepteur, on peut ainsi transférer des données sur une plus longue portée et à plus grande vitesse qu'avec les technologies sans fil standard. Cet accord porte ses premiers fruits puisque les deux partenaires, associés pour la circonstance à Runcom, spécialiste de la technologie OFDMA (Orthogonal Frequency Division Multiple Access), ont réalisé un appel sans fil Wimax multifournisseur utilisant exclusivement des composants MIMO. Celui-ci a été effectué depuis le laboratoire technologique de Nortel à Ottawa dans le spectre des 2,5 GHz. Un poste Wimax 5020 de base du constructeur canadien ainsi qu'un prototype de carte PCMCIA de Kyocera Wireless équipée d'un jeu de puces MIMO fourni par Runcom ont été utilisés pour l'occasion. Nortel s'engage ainsi dans le sillage des constructeurs, Samsung en tête, pour qui la 4G sera Wimax. Rappelons que l'opérateur américain Sprint Nextel a décidé d'investir près de 3 Md$ pour couvrir les Etats-Unis en 4G WIMAX dans la bande de fréquences des 2,5 GHz, prenant ainsi à contre-pied les Européens, pour qui le Wimax se situerait plutôt dans la bande des 3,4-3,5 GHz. On attend avec curiosité la prochaine World Radiocommunication Conference de l'UIT qui se tiendra en octobre à Genève, qui devrait mettre un peu d'ordre dans tout ça. (...)
(13/02/2007 10:53:18)Le CPL s'installe sur le toit de la Grande Arche
Les manifestations et expositions organisées sur les 1 600 m2 du toit de la Grande Arche de la Défense nécessitent bien souvent une connexion haut débit. L'accès ADSL de 2 mégas utilisé par les services internes ne pouvait être partagé pour des raisons de sécurité. Les gestionnaires du site ont donc porté leur choix sur une solution CPL (courant porteur en ligne) qui permet d'offrir aux clients un accès dédié à travers un modem Interlane branché sur la prise électrique. L'avantage est double: d'une part, il n'est pas nécessaire d'installer un nouveau câblage. D'autre part, on peut facilement adapter l'installation aux évènements organisés. Le client bénéficie d'un débit 2 Mbits/s. « En se partageant ce débit, on peut avoir jusqu'à dix connexions simultanées dans de bonnes conditions », précise Gil Rodde, responsable du projet à la Grande Arche. Des relais WiFi peuvent éventuellement compléter l'installation. Expérimentée pour la première fois à grande échelle en 2004 à la Haye-du-Puits dans le département de la Manche, cette technologie était destinée initialement à couvrir les zones blanches. Désormais elle se pose en rival de l'ADSL. (...)
(12/02/2007 16:24:52)Objectif Mars : la Nasa teste les puces RFID dans l'espace
Les puces RFID peuvent-elles supporter un séjour hors de l'atmosphère ? C'est la question à laquelle la Nasa va tenter de répondre à partir de l'été prochain en envoyant des puces à radio-fréquence dans l'espace. La finalité est de déterminer si les futures missions vers Mars pourront embarquer la technologie RFID. La navette Endeavour, dont le lancement est prévu en juillet à destination de la station spatiale internationale, embarquera plusieurs modèles d'étiquettes, sur supports papiers et plastiques, explique Fred Schramm, responsable R&D à la Nasa. Une fois arrivées à destination, elles seront entreposées à l'extérieur de l'ISS et y resteront environ un an. L'objectif de l'agence spatiale est d'étudier leur résistance aux températures extrêmes, aux ultraviolets ou autres poussières solaires. La prochaine étape consistera à mener d'autres batteries d'essais à destination de la Lune. Le gouvernement américain ayant relancé un programme d'exploration sélène, une navette décollera dans 27 mois pour préparer le retour des astronautes sur notre satellite et emportera des puces RFID. « La plupart des choses qui fonctionneront sur la Lune fonctionneront aussi sur Mars », indique Fred Schramm. Les étiquettes à radio-fréquence devraient être utilisées pour surveiller et assurer la maintenance des engins spatiaux et pour suivre les conditions environnementales pendant les missions extra-terrestres. Elles pourraient aussi palier l'incapacité des astronautes à renseigner des systèmes en données collectées lors de sorties hors d'un véhicule. Et « s'il sont à l'intérieur, nous préférons les occuper à faire d'autres choses, poursuit Fred Schramm. Nous voulons automatiser l'enregistrement d'informations ». Ainsi, si un paquet de nourriture est transporté d'une cabine à l'autre pour être consommé, le système RFID pourrait enregistré de façon autonome son déplacement et le fait qu'il n'est plus disponible. Si les tests se rélèvent concluants, et si les puces RFID supportent les conditions extrêmes auxquelles elles seront exposées, elles pourraient être disposées sur chaque partie d'une navette - à l'intérieur comme à l'extérieur - et permettre une collecte d'informations globale via un réseau local puis un réacheminement vers la Terre. Les étiquettes qui seront utilisées lors des prochains essais sont conçues par la société américaine Intermec. Son porte-parole estime que les puces construites à base de plastique ont de grandes chances de résister aux conditions spatiales. A noter que la Nasa contrôle déjà ses installations au sol grâce à la RFID. (...)
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