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(25/03/2011 10:53:32)

Annuels TRSB : Forte rentabilité en 2010

Comme en 2010, TRSB devrait connaître en 2011 plus de 20% de croissance organique, annonce le groupe. L'exercice 2010 s'est terminé avec 34,6 millions d'euros (ME) de chiffre d'affaires (CA) en croissance organique de 24,9%, de 51,4% en incluant la croissance externe.

Cette dernière comptera également en 2011, TRSB vient de reprendre Wyniwyg début mars, qui représente un CA de 17 ME. Une autre acquisition est prévue, mais de taille moins importante dans les mois à venir. Ces acquisitions porteront le CA 2011 entre 55 et 60 ME, avec une croissance organique supérieure à 20%.

La rentabilité est également forte. Sur 2010, TRSB annonce un résultat d'exploitation en progression de 22,7%, à 2,1 ME, soit 6,1% du CA, contre 7,6% en 2009. L'intégration d'EFS, située dans le difficile secteur de la maintenance monétique, explique cette légère baisse.

(...)

(24/03/2011 11:18:10)

Annuels Divalto : Retour à une croissance solide en 2010

« Lorsque l'on fait la somme de tous les vents contraires que nous avons affronté, on se dit que Divalto aurait pu prendre le bouillon en 2010 », lance Thierry Meynlé, le président du directoire de l'éditeur de PGI. Mais malgré la perte de son principal partenaire intégrateur, Prodware, le rachat d'une entreprise en difficulté, Idylis, et un contexte économique difficile, le dirigeant présente ce matin les résultats annuels d'une entreprise qui n'a pas sombré. En effet, Divalto a réalisé en 2010 un chiffre d'affaires de 11,5 M€, soit une progression de 17% dont 10% de croissance organique si l'on sépare les résultats d'Idylis. L'an dernier, les revenus de cet éditeur de logiciels de gestion en mode SaaS, racheté en mai par Divalto,  ont progressé de 30%. 

Cogesser a remplacé Prodware

La croissance d'Idylis tient notamment au travail réalisé par Divalto pour le doter d'un réseau de ventes indirectes. Jusqu'ici, l'entreprise limitait ses partenariats à la signature de contrats d'apporteurs d'affaires avec des cabinets d'expertise comptable. Ils sont aujourd'hui une soixantaine autour d'Idylis dont les trois quarts étaient déjà là avant l'acquisition. Le plus notable est qu'Idylis se soit entouré d'un réseau de distribution proprement dit grâce au recrutement de 40 revendeurs dont la moitié est issue du réseau de partenaires historiques de Divalto. Pourtant, cette avancée ne contente pas pleinement Thierry Meynlé. « Pour bien mailler le territoire, nous avons besoin d'au moins 300 revendeurs pour les logiciels Idylis », explique-t-il.

De nouveaux projets avec IBM

Le dirigeant de Divalto est en revanche beaucoup plus satisfait du travail réalisé par le réseau de distribution traditionnel des produits Divalto. Notamment parce que le portage du PGI Divalto sur la plate-forme IBM i (ex AS/400) en septembre 2009 a permis à l'éditeur de gagner de nouveaux projets avec les revendeurs IBM. En outre, son partenaire Cogesser est monté en puissance au point d'égaler Prodware qui générait 10% du chiffre d'affaires de Divalto. Globalement, Thierry Meynlé tire une grande satisfaction des résultats de Divalto en 2010 et ne manque pas de faire remarquer que « des concurrents tels que Cegid ou encore Sage France [Ndlr : respectivement +0,4% et +3% de CA en 2010] n'ont pas connu le même dynamisme que Divalto l'an dernier.»

Retour aux bénéfices en février

Certes, mais ces entreprises ont tout de même mieux tiré leurs épingles du jeux que Divalto en termes de bénéfices. Ainsi, bien que le résultat net de l'éditeur ressorte à 2 M€ grâce une réduction d'impôts, son résultat d'exploitation a, en revanche, reculé de 11% à -2,3 M€. Un chiffre à pondérer, puisqu'il intègre le million d'euros de pertes enregistrées par Idylis. « Nous sommes sur la bonne voie avec Idylis dont la situation a été en partie redressée sans tailler dans ses effectifs, indique Thierry Meynlé. Les premiers résultats se font d'ailleurs sentir puisque Idylis a été bénéficiaire pour la première fois au mois de février ».
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(22/03/2011 10:43:23)

Annuels Open : Objectif 300 millions de CA en 2013

Le CA 2010 de la SSII Open était connu : 260,4 millions d'euros (ME) en décroissance organique de 10% par rapport au CA 2009 (288 ME). Comment expliquer cette baisse ? L'un des deux co-présidents, Frédéric Sebag, la localise aux Pays-Bas et en Belgique, avec un recul de 25% (le CA sur ces deux pays est maintenant de 10ME et sera le même en 2011). En France, la baisse est de 4%.  La baisse des prix de vente aurait affecté la SSII qui n'a pas souhaité répondre à n'importe quel prix à toutes les demandes clients.

La situation semble également délicate à Madrid, où la cession des activités est en cours. En 2010, Open avait cédé ses activités au Canada. A l'international, l'accent est mis désormais sur du nearshore (avec 50 personnes à Barcelone et une quarantaine en Ukraine) et sur le développement de l'activité en Chine pour accompagner les clients et répondre le marché.

Côté rentabilité, Open termine son exercice 2010 avec un résultat opérationnel courant de 8,5 ME, représentant 3,3% du CA. En 2009 c'était 5,2 ME pour 1,8% du CA. Le résultat net des activités poursuivies se monte à +0,2 ME contre - 22,2 ME sur 2009. La partie « autres produits et charges opérationnels » indique -3ME sur 2010, contre -26,5 ME en 2009, signe que la restructuration due aux rapprochements des différentes entités et à la création de process communs, engagée en 2009, a également pesé sur les comptes 2010.


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« Trois indicateurs, importants pour notre profession, sont à relever chez  Open » note pourtant Guy Mamou-Mani, co-président. Et  de citer : le Taux d'occupation (revenu à 87,1%, contre 84,9% en 2009), le Taux journalier moyen (passé à 393 ME contre 386), un solde net des recrutements redevenu  en positif au Q4 2010. Open souligne également sa situation bilancielle, avec un gearing de 1, la dette nette se montant  50 ME et les fonds propres atteignant la même somme (*).

Une fois cette étape franchie, celle de la crise économique et de sa propre restructuration, Groupe Open développe son plan stratégique. Il tient en un chiffre : 5% de croissance du CA, en moyenne, sur les trois prochaines années. Avec  30 ME de croissance externe (sur plusieurs cibles), le CA 2013 devrait se situer à 330 ME. Le résultat opérationnel courant atteignant 8% (contre 3,3% sur l'exercice 2010).

Objectif à 3 ans : un CA de 300 millions d'euros

Open veut appliquer d'ici 2013 plusieurs grands principes : augmentation de la valeur produite, innovation technologique (MtoM, portail open source, mobilité), sectorielle (santé et bientôt énergie), industrielle (testing, agilité, cloud), innovation contractuelle (de nouvelles formes de contrats basés sur les résultats obtenus). Elle va recruter 800 ingénieurs en 2011 et table toujours sur un engagement environnemental et social (handicapés, mécénat) fort.

Mais la compétition est toujours aussi vive. Open estime s'être  hissé dans la compétition avec les grandes SSII. Toutefois, elle sera aussi bien en consortium avec d'autres SSII sur de très grands contrats internationaux qu'en concurrence frontale avec elles sur d'autres contrats intermédiaires...ou sur les recrutements d'ingénieurs (31 000 annoncés dans la profession).

(*) Le capital est détenu par Guy Mamou-Mani, Frédéric Sebag et Laurent Sadoun (l'ancien patron de Logix), à 47%, mais avec 62% des droits de vote. La financière de l'Echiquier compte pour 7,5% et le CM-CIC Asset Management pour 5%.

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(21/03/2011 09:50:16)

Annuels Archos : des résultats portés par les tablettes

Sur l'ensemble de l'année 2010, le fabricant de produits d'électronique grand public a enregistré une croissance de 44% de son chiffre d'affaires par rapport à 2009. La progression des ventes s'est notamment accélérée au dernier trimestre avec le lancement des tablettes de la Génération 8 sur le segment des produits à moins de 400 €.

Grâce une marge brute qui s'est améliorée de 10 points, des charges d'exploitation en hausse de 2,3% seulement et des dépenses générales et administratives réduites de 11% à 9,3 M€, le résultat opérationnel courant du groupe s'établit à +0,2 M€ contre -10,9 M€ en 2009. Quant à son résultat opérationnel, il n'est dans le rouge que de 0,15 M€ alors qu'il s'était enfoncé à -6,3 M€ en 2009. Archos semble donc sur la bonne voie pour un retour aux bénéfices opérationnels. D'autant qu'au deuxième semestre 2010, son résultat opérationnel courant est ressorti à +2 M€.

Après prise en compte des charges et des taxes, le groupe enregistre une forte réduction de sa perte nette qui s'établit à 2,3 M€ pour l'année 2010, contre 18,6 M€ en 2009. Quant à l'année 2011, elle commence sous de bons auspices puisque le chiffre d'affaires du premier trimestre de cette année (publié le 11 avril) devrait être égal ou supérieur à celui du quatrième trimestre 2010.

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(15/03/2011 11:17:22)

Résultats Eolen : En ordre de marche pour la croissance externe

Fin 2010, cette entreprise spécialisée dans le conseil et l'ingénierie en hautes technologies a réussi sa toute première levée de capitaux auprès du fonds d'investissement Audacia pour un montant de 2,5 M€. Une partie de cette somme vient d'être utilisée pour acheter Riskalis Consulting par le biais d'une des filiales du groupe. Ce cabinet d'audit et de conseil fournit aux acteurs de la finance/banque/assurance des prestations axées sur la construction et l'amélioration des processus ainsi que des outils de maîtrise des risques. En 2010, son chiffre d'affaires a atteint 2,7 M€. « C'est la première fois que nous achetons une entreprise dont l'activité ne repose pas sur la maîtrise des environnements IT », indique Pascal Leblanc, le fondateur et PDG d'EOLEN.

L'approche n'en reste pas moins en cohérence avec les rachats déjà effectués par le groupe EOLEN dans le but de s'implanter dans le secteur de la finance. En avril 2008, il a ainsi fait l'acquisition de A+ Financial Consulting, une SSII spécialisée dans les études pour les banques de financement. Au mois de décembre de l'année suivante, c'était au tour de son homologue System Consulting, qui vient d'être rebaptisée EOLEN Finance, d'être rachetée par le groupe. Comme A+ Financial Consulting, elle cible également les acteurs de la finance en leur proposant des prestations autour des plans de maintien en condition opérationnelle des serveurs.
Bientôt, le groupe EOLEN pourrait également faire son entrée dans le secteur des télécoms. Parmi les cinq dossiers d'entreprises dont il étudie le rachat, l'un d'entre eux est plus avancé et porte sur une société dont le coeur d'activité est la convergence multimédia.

« A chaque fois, nos opérations de croissance externe ont la même finalité. Il s'agit d'acquérir des sociétés déjà référencées chez les clients pour faire progresser notre position chez les entreprises du CAC 40 », explique Pascal Leblanc. Difficile, en effet, pour une société de services créée en 2006, de ne compter que sur sa propre croissance organique pour parvenir rapidement à cette fin. D'autant que les ambitions du groupe sont importantes. En 2015, il compte réaliser un chiffre d'affaires de 80 M€ et atteindre un effectif de 1000 personnes. Il part aujourd'hui d'un chiffre d'affaires de 7,6 M€ (2010) et un effectif de plus de 140 consultants.

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(14/03/2011 09:50:07)

Annuels Infotel 2010 : CA et profitabilité en hausse

Société de services, spécialisée dans la gestion des bases de données, Infotel a réalisé un chiffre d'affaires (CA) de 104,3 millions d'euros (ME) en 2010, en progression organique de 16,8%. Le résultat opérationnel se monte à 9,6 ME, soit 8,9% du CA, en progression de 38% par rapport aux chiffres de l'exercice précédent. Le résultat net part du groupe s'élève à 6,4 ME, soit 6% du CA, en hausse de 23,5%.

La société souligne sa bonne rentabilité, due à son impact commercial et au recours à la sous-traitance pour pallier les pics d'activité. Globalement, « les charges d'exploitation progressent moins que le CA », note le groupe. Les charges de personnel atteignent 45,8% du CA contre 49,6 pour celui de 2009. Les charges externes de sous-traitance sont passées de 32,5% à 35,1%.

Ces résultats contrastent avec ceux publiés il y a un an : croissance de 0,8% du CA 2009 (à 89,2 ME), résultat opérationnel en baisse de 22,5% à 7 ME, résultat net en baisse de 22,9%. Pour l'exercice 2011, Infotel prévoit un CA de 120 ME, sans croissance externe et avec une rentabilité encore supérieure.

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(10/03/2011 10:09:16)

Annuels Vision IT Group : Croissance modeste en 2010

A périmètre comparable, Vision IT Group a réalisé une croissance organique de 0,5% en 2010, avec un chiffre d'affaires (CA) de 106,4 millions d'euros (ME). En tenant compte de la croissance externe la progression est de 31%. Vision IT a en effet procédé à plusieurs acquisitions sur l'exercice : GFI Informatik, SCS gmbh, Qwise, les deux premières en Allemagne, la troisième aux Pays-Bas. Ces trois sociétés ont généré 21 ME de CA sur 2010.

Pour  2011, Vision IT entend profiter largement de la reprise. Signe de confiance, la société a mis en chantier 400 recrutements, sur toute l'Europe.  L'objectif de CA s'élève à 120 ME.

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(10/03/2011 10:04:27)

Annuels Linkbynet : Croissance record en 2010

Linkbynet affole les compteurs, en publiant son chiffre d'affaires annuel 2010. Il se monte à 22 millions d'euros (ME), en croissance organique de 35% !  Pour 2011, Linkbynet prévoit également une croissance d'au moins 30%. Elle devrait recruter une centaine d'ingénieurs, l'effectif était de 300 collaborateurs fin 2010 (avec 60 recrutements  l'an passé). La société, malheureusement, ne communique pas sur sa rentabilité.  En 2009, elle réalisait un résultat net de 2 millions d'euros pour un CA de 16,3 ME. La société compte deux activités : les services d'infogérance, la vente de matériels ou de licences.

Cette forte croissance s'explique, selon Matthieu Demoor  responsable marketing & communication par la qualité de service et le lien avec les clients, les deux étant liés. « Les clients existants renouvellent dans 95% des cas leurs contrats, rajoutant de nouveaux périmètres ». 80% des clients ont des contrats de 24 à 36 mois, 15% de contrats d'un an, le reste des contrats de 48 mois et plus. Enfin, Linkbynet va également constituer un réseau de « préconisateurs », des partenaires constructeurs, éditeurs ou agences web.

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(09/03/2011 11:19:35)

Annuels Iliad : Résultats solides pour les futures ambitions

2010 a été une année de consolidation des résultats avant les échéances de certaines ambitions. Ainsi le chiffre d'affaires ressort à plus de 2 milliards d'euros en hausse de 4,3% par rapport à 2009. L'EBITDA est en forte progression +20,7% à 798,1 millions d'euros. Le résultat net croit de 78% à 313,1 millions d'euros.

Au 31 décembre 2010, le nombre d'abonnés au fournisseur d'accès à Internet, Free, atteint 3,969 millions, soit 191 000 de plus que l'an passé. Le groupe Iliad, qui possède Free, annonce dans son rapport annuel un total d'abonnés (ceux du FAI Alice compris) de plus de 4,53 millions. En ce qui concerne la fibre optique, Iliad espère atteindre les 100 000 abonnés d'ici la fin de l'année, et une couverture de 4 millions de foyers d'ici la fin 2012.

Sur la partie mobile, le groupe rappelle son accord noué avec Orange sur l'itinérance 2G/3G. Free Mobile devrait lancer son offre commerciale au début de l'année 2012. A cette date-là, Iliad prévoit de couvrir 27% de la population française avec son propre réseau.

Fort de ces ambitions, Iliad anticipe un doublement de son chiffre d'affaires d'ici 2015 et une trésorerie issue de l'ADSL de plus de 1,1 milliards d'euros entre 2010 et 2012.

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(09/03/2011 11:14:28)

Résultats LNA : un optimisme affiché pour 2011

La SSDI (Société de Service et de Distribution Informatique) LNA a clos son exercice 2010 sur un chiffre d'affaires de 66 M€, en hausse de 10% comparé à l'année précédente. Son résultat avant impôts s'établit à 1,5 M€, soit sensiblement le même niveau qu'en 2009. Cette année-là, l'entreprise avait réalisé une performance encore meilleure qu'en 2010 avec des revenus en croissance de 15%. « La crise n'avait pas encore pleinement affecté notre secteur », justifie Thierry Martin, le président de LNA.

Quoi qu'il en soit, la SSDI relève encore une fois l'objectif de revenus qu'elle s'est fixée d'ici 2015. Il passe à 250 M€ contre 200 M€ annoncés lors de la clôture de son exercice 2009. Cette révision à la hausse tient notamment aux deux importants appels d'offres publics que l'entreprise a gagné cette année. Le premier a donné lieu à la signature d'un contrat avec l'UGAP (Union des Groupements d'Achats Publics) pour la fourniture de solutions de stockage et de serveurs pour un montant prévisionnel de 100 M€ sur trois ans. Le second, gagné auprès du SAE (Service des Achats de l'Etat), porte sur la fourniture de systèmes d'impression sur 4 ans pour un montant prévisionnel de 87 M€.

Le fait d'avoir remporté ces marchés contribue à rendre nécessaire des embauches supplémentaires chez la SSDI. En 2011, celle-ci cherche notamment à recruter deux à trois commerciaux avant-vente en serveur et stockage et deux autres profils similaires dans le secteur de l'impression. Une dizaine de commerciaux grands comptes généralistes devraient également la rejoindre ainsi qu'au moins six commerciaux pour renforcer l'effectif de ses six agences régionales.

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