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(18/02/2011 17:17:59)
Annuels Bull : la croissance s'est accélérée au 2e semestre
(Mise à jour) Deux mois après avoir présenté sa stratégie BullWay, avec laquelle il affiche l'ambition de devenir, en trois ans, l'un des leaders européens des systèmes numériques critiques, Bull présente des résultats intéressants sur son exercice 2010. Son chiffre d'affaires a progressé de 12% à 1,24 milliard d'euros, à taux de change et périmètre courants par rapport à 2009 (+2,7% en organique, c'est-à-dire à taux de change et périmètre constants d'une année sur l'autre). Après un premier semestre en retrait, la croissance a repris au troisième trimestre (+4,1%) pour s'accélérer sur le quatrième (+11,6%). Sur l'année, les prises de commande se sont élevées à 1,31 milliard d'euros, soit une augmentation de 11,4% par rapport à l'an dernier (+3,7% en organique).
« L'entreprise est mobilisée pour progresser », a commenté le PDG de Bull, Philippe Vannier, en faisant référence au programme BullWay dont l'organisation est en cours de déploiement. Il a également rappelé qu'un audit du groupe avait été réalisé avant l'été. Ces derniers mois ont donc constitué « une période assez particulière où l'on a pu tester la volonté des équipes à assurer cette transformation. » Et la période allant de juillet 2010 à l'été 2011 s'annonce comme une année de transition. Un plan d'embauche d'un millier de personnes(*) est prévu, la moitié des recrutements concernant la France, l'autre moitié devant s'effectuer à l'international.
L'offre HPC, cruciale pour l'avenir de Bull
La trésorerie opérationnelle de Bull à l'issue de 2010 est jugée satisfaisante par le PDG et son directeur financier, John Selman. Elle permet de couvrir les besoins non récurrents et les éventuelles acquisitions ciblées si des opportunités, notamment technologiques, se présentaient. Quant au bénéfice net « toujours insuffisant » selon le directeur financier, il a certes été multiplié par 4,6 en un an, à 6,5 M€, mais en partant d'un résultat net 2009 qui « n'était pas très élevé ».
En considérant séparément chaque catégorie d'activités de Bull, John Selman souligne que les solutions matérielles, produits traditionnels du constructeur, ont montré une croissance de 11% et une bonne dynamique commerciale au 2e semestre (le book-to-bill est de 1,04 et la marge brute est stable). L'offre HPC, « cruciale pour l'avenir de Bull » est désormais la plus importante. Elle a représenté 150 millions d'euros en 2010, ce qui représente une progression de 50%. Parmi les références de l'année, le groupe cite, pour son offre bullx, le Tera 100 mis en place au CEA, mais aussi Genci et Awe. Sur bullion, Xerox et sur novascale gcos, la CNAF.
gcos, encore bon pied bon oeil
A noter que l'activité liée à l'environnement gcos a cessé de décliner, a signalé Philippe Vannier en réponse à une question de l'assistance lors de la conférence de presse des résultats. Son chiffre d'affaires s'est établi à 60 M€ environ. « Ces serveurs ont comme atout leur extrême fiabilité. Nous avons pris des commandes de systèmes en 2010 et nous allons en chercher de nouvelles. Chaque année, cette activité baisse moins vite que prévu. Il va y avoir un plateau que j'espère à 40 M€ -et que nous souhaitons compenser par d'autres ventes ailleurs- mais pas en 2011. »
Excellentes performances pour l'activité Services...
MAJ (*) En tenant compte des départs, l'effectif devrait augmenter de 500 à 600 personnes. Aucun plan de départs n'est prévu, ceux-ci devraient se faire de manière plus individuelle.
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Léger tassement pour l'activité Maintenance (-1,3%), mais avec une petite hausse des commandes (+0,5%) et une marge brute de 27,6%. L'activité Services & Solutions a, en revanche, enregistré « d'excellentes performances, à contre courant du marché », ne manque pas de souligner John Selman. La progression s'élève à 3,8% alors que Syntec numérique a fait état de 1% de croissance sur le marché des logiciels et services en 2010. La marge brute n'a pas augmenté autant que Bull l'aurait souhaité, notamment en raison de provisions que le groupe avait placées sur certains projets difficiles.
Bull mise sur les appliances DLP d'Amesys en 2011
Enfin, sur l'activité Securité et systèmes critiques, Bull annonce un chiffre d'affaires de 89 M€ et des prises de commandes de 90 M€ avec une marge brute à méthode constante de 29%. Dans ce domaine, des affaires ont été décalées, probablement sur 2011, espèrent les dirigeants. A cela s'ajoute par ailleurs l'offre de sécurité Data Leakage Prevention d'Amesys qui va être lancée. Ce produit de prévention des pertes des données permet une analyse en temps réel des données dans une appliance Bull. Trois gros clients français ont accepté d'être des partenaires de lancement de cette offre. Ce sont des machines assez conséquentes « sur lesquelles nous fondons certains espoirs », a confié le PDG.
Objectif : 700 M€ à l'international en 2013, soit 50% du CA
D'ici à 2013, Bull s'est fixé un objectif de chiffre d'affaires situé entre 1,35 et 1,45 milliard d'euros et un bénéfice avant impôt et taxes (EBIT) entre 50 et 60 M€. A cet horizon, le groupe souhaite réaliser 50% de son chiffre d'affaires à l'international, sans diminuer la partie réalisée en France. Aujourd'hui, le ratio est de 55% pour la France. « C'est un gros challenge », reconnaît Philippe Vannier qui rappelle que cela correspond, à terme, à environ 700 M€ d'un côté et de l'autre, soit 1,4 M€ au total. Mais le PDG semble confiant. « Notre position d'acteurs de niche [associant une offre d'infrastructures de puissance et des applications de sécurité] nous met dans une position favorable face à nos concurrents, ajoute-t-il Philippe Vannier. Comment, notamment, envisager le cloud sans solutions de sécurité ».
(...)(17/02/2011 09:33:46)
Annuels UTI Group : Des résulats conformes aux objectifs
La SSII UTI Group publie ses résultats pour l'exercice 2010 (clos le 31 décembre) qui s'élève à 28,51 M€, en hausse de 10,8% par rapport à 2009. La croissance du groupe s'est nettement accélérée au second semestre avec une hausse de 19,2% par rapport à la même période de l'exercice précédent, tandis qu'au premier semestre la progression restait modérée, à 3,1% par rapport à 2009. Cette croissance est principalement due à l'augmentation de 9,7% des effectifs opérationnels de la SSII ainsi qu'aux taux d'inter contrats faibles.
La société, dont l'activité se concentre principalement autour des secteurs banques (37%) et assurances (21%), enregistrait un chiffre d'affaires de 25,73 M€ en 2009. Les résultats pour l'exercice 2010 confirment, selon la direction, les objectifs d'amélioration du niveau de marge opérationnelle courante.
Annuels Atos Origin : bénéfices en hausse en 2010 et confiance affichée pour 2011
Pour dresser un bilan rapide de l'année 2010, Thierry Breton, PDG d'Atos Origin, résume rapidement que l'amélioration de la profitabilité, la génération de cash flow et la légère baisse du chiffre d'affaires sont conformes aux objectifs et en phase avec le consensus du marché. Le résultat net du groupe bondit à 116 millions d'euros (+625% par rapport à 2009 avec 35 millions d'euros) et le cash flow opérationnel à 143 millions d'euros contre 117 millions en 2009 et - 58 millions en 2008. Le CA est toutefois en recul de 3,5% à 5,021 milliards d'euros, alors que Thomson Reuters attendait 5,023 milliards d'euros. Après deux années de baisse du CA, Thierry Breton prévoit de renouer avec une légère croissance organique en 2011.
Thierry Breton déplore toujours dans ses comptes l'impact assez lourd de la faillite du groupe de tourisme et de distribution allemand Arcandor en 2009. Un manque à gagner significatif a en effet grevé la filiale allemande même si de nouveaux contrats ont été signés avec Karstadt et Neckermann. Toujours en Allemagne, le fait marquant de l'année 2010 reste l'accord industriel avec Siemens pour la reprise de son activité SIS et l'entrée du groupe teuton dans le capital d'Atos Origin à hauteur de 15%. Pour concurrencer plus efficacement Cap Gemini et Accenture, Atos Origin compte terminer l'intégration de la division SIS en juillet prochain. « Nous avons démarré les processus d'intégration et l'accord sera opérationnel le 1er juillet », a précisé Thierry Breton au cours d'une conférence téléphonique. L'intégration de SIS devrait avoir un impact significatif sur le second semestre du groupe. Le PDG attend une hausse du CA de 6% au moins.
Illustration principale : Thierry Breton, PDG du groupe Atos Origin
Annuels Infodis : activité stable en 2010
Près de 83% des revenus du groupe et 90% de son résultat ont été générés par sa filiale Infodis IT (services informatiques) qui regroupe 200 de ses 250 collaborateurs. Visuladis (distributeur en vidéo numérique), sa seconde filiale, a vu son chiffre d'affaires s'apprécier de 20% à 3 M€ en 2010. Elle devrait enregistrer une croissance de son activité de l'ordre de 10% en 2011.
L'année en cours devrait être l'occasion pour le groupe Infodis de réaliser des opérations de croissance externe. En janvier, l'entreprise a en effet recruté Gérard Guerguerian au poste de directeur général (le groupe en compte trois), un ancien vice-président senior d'Atos Origin. Avocat spécialisé dans les fusions acquisistions, il a pour mission de faire doubler la SSII de taille très rapidement.
Trimestriels SII : des revenus en hausse de 21,6% au 3e trimestre
Suite à l'annonce de ces résultats, SII a relevé ses prévisions pour l'ensemble de son exercice 2010/11 qui devrait se terminer sur un chiffre d'affaires de 220 M€ (avec une croissance organique supérieure à 13%) contre 213 M€ annoncés précédemment. Si cet objectif était atteint, la société de services enregistrerait alors un revenu annuel en hausse de 15,7%.
Bilan 2010 des SSII et des éditeurs : la profitabilité de retour
Méthodologie :
Les sociétés sont classées par ordre alphabétique.
Nous ne prenons évidemment en compte que les croissances organiques.
Les chiffres sont généralement non audités et se concentrent pratiquement sur un seul indicateur : le CA annuel
Les liens conduisent à des articles déjà réalisés les jours précédents
Les SSII
- Additeam
Le 28 janvier 2011 : Annuels Additeam : Un CA de 7,5 M€ en 2010
- Ausy
Le 6 janvier 2011 : La SSII Ausy acquiert Aptus
Ausy affiche une croissance organique de 15,7% avec un CA annuel de 197,7 ME. La France progresse de 14,4% en organique.
- GFI
Le 11 février 2011 : Après une année 2009 difficile, GFI Informatique espère un rebond
GFI affiche un CA annuel total en 2010 de 657,9 ME en recul de 0,6%. La France progresse de 1,1% sur l'année. Il s'est désengagé de plusieurs activités en Italie et en Allemagne au cours de cette année.
- Neurones
Même en période de crise, Neurones ne fléchissait guère, en sortie de crise, la SSII publie une croissance à deux chiffres + 10,3% de croissance du CA en organique avec un CA annuel de 239,6 ME. Le taux de marge opérationnelle se monte à 10,2%.
- Open
Le 4 février 2011 : Annuels Groupe Open : La SSII termine sa restructuration
- Osiatis
Le 2 février 2011 :Annuels Osiatis : des revenus à 243,6M€ en hausse de 4,6%
- Proservia
Le 1er février 2011 : Annuels Proservia : Chiffre d'affaires en progression de 8,3%
- SQLI
La société réalise un CA de 170,3 ME en progression de 8,4% à périmètre comparable, de 10% en intégrant deux sociétés rachetées en 2009 : Naga Conseil et Aston Education.
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Les éditeurs
- Cegid
Le 24 janvier 2011 : Annuels Cegid : une année de transition vers le SaaS
- Esker
Le 25 janvier 2011 : Annuels Esker : SaaS et internationalisation vecteurs de croissance
Les intégrateurs
- eBizcuss
Après avoir reculé de 7% en 2009, l'activité du groupe de distribution eBizcuss est repartie à la hausse en 2010. L'an passé, la société a en effet réalisé un chiffre d'affaires de 63,04 M€, soit une hausse de 10,8% par rapport à 2009. L'activité du groupe a bondit au second semestre avec une croissance de 20,2%, comparée à la quasi stagnation 0,7% enregistrée lors du premier semestre.
Cette croissance est principalement due au dynamisme de l'activité Entreprise d'eBizcuss qui a bénéficié de l'engouement de ses clients pour l'iPad d'Apple. L'activité Grand Public du revendeur a également contribué à la hausse de ses revenus annuels, en tirant aussi parti du succès de l'iPad et des autres produits Apple chez les particuliers. Ce pôle commercialise en outre la gamme d'accessoires Energy (pour iPods, iPhones et MacBook...), conçue par eBizcuss, dont le succès auprès de la grande distribution a pesé positivement sur la croissance du groupe. Ces bons résultats devraient permettre à eBizcuss de publier le 28 avril prochain des comptes définitifs faisant apparaître un retour à la rentabilité lors du second semestre 2010.
- Keyrus
Keyrus affiche une forme insolente, avec +11,2% de croissance organique annuelle pour un CA de 119,7 ME. Les grands comptes (70% du CA total) ont assuré cette croissance avec + 17,3% sur l'année. Le mid market (30% du CA total) est en légère baisse de 2,2%.
- Micropole
A périmètre et taux de change constants, Micropole (société de conseil et intégrateur en BI, ERP, CRM) a progressé de 6,8% avec un chiffre d'affaires annuel 2010 de 100,5 millions d'euros (ME). Largement au dessus de la moyenne du secteur, qui est de 1%.
Deuxième bonne nouvelle : toutes les activités progressent. Du moins est-ce le cas de la BI et des activités web (e-commerce ou applications métiers). L'activité ERP était en souffrance au 1er semestre et s'est redressé au second, offrant une moyenne positive. La formation, avec +10% et les régions avec 15% sont très au dessus de la performance générale de l'entreprise. Micropole s'attend pour 2011 à une progression encore plus forte, en organique et à l'international.
Annuels 2010 : Alcatel-Lucent sur la voie de la reprise
Deux ans après l'arrivée d'une nouvelle direction et le début de la crise économique mondiale, Alcatel-Lucent publie ses résultats annuels 2010. Des résultats très attendus. Le chiffre d'affaires (CA) s'élève à 15,9 milliards d'euros en hausse de 5,5% par rapport à l'exercice précédent. Le directeur général, Ben Verwaayen ne peut que se féliciter de chiffres qui valident sa politique.
La rentabilité semble également au rendez-vous. Le résultat d'exploitation ajusté (avant coûts de restructuration, perte de valeur sur actifs, résultats de cession de sociétés consolidées, litiges et amendements) se monte à 288 millions d'euros (soit 1,8% du CA). La marge brute ajustée (elle ne prend pas en compte l'impact des écritures d'allocation du prix d'acquisition de Lucent) se monte à 5,57 milliards d'euros (soit 34,8% du CA).
Le 4ème trimestre s'est révélé très performant avec un CA de 4,86 milliards d'euros, en hausse de 22,6% par rapport au même trimestre de l'année précédente, de 19,3% par rapport au 3ème trimestre 2010.
Annuels Cegedim : chiffre d'affaires en hausse de 6%
L'éditeur Cegedim a réalisé un chiffre d'affaires de 926 millions d'euros (ME) en 2010 contre 874 en 2009. L'augmentation se situe à 6% (en données publiées), mais à 0,8% en organique. Cegedim compte trois activités. CRM et données stratégiques forment l'essentiel, avec 526,4 ME en 2010, en baisse de 0,5%, l'activité destinée aux professionnels de santé forme 270,9 ME en baisse de 0,2%, la partie «assurance et services » progresse de 9,2% à 129,1.
La partie CRM a progressé de 0,7% au 4ème trimestre, essentiellement grâce à l'Asie et aux pays émergents et à son offre OneKey aux Etats-Unis. Les mêmes pays et régions ont assuré le succès de l'activité « données stratégiques ». Le 4ème trimestre est également favorable à l'activité « professionnels de santé » qui enregistre sur trois mois une progression organique de 5% avec des succès en Grande-Bretagne (réorganisation du système de soins, informatisation des pharmacies) et en France (informatisation des pharmacies, progression de la publicité sur les lieux de vente, informatisation des médecins et des kiné). La partie «assurance et services » progresse avec Cegedim Activ (assurance de personnes).
Pour 2011, le groupe anticipe une croissance de 4% de son chiffre d'affaires, la moitié provenant de la croissance externe.
Annuels Groupe Open : La SSII termine sa restructuration
La SSII Groupe Open publie son chiffre d'affaires annuel 2010, marqué par un recul de 9,6% à 260,4 millions d'euros. « Notre situation n'a rien à voir avec celle de l'ensemble de la profession », explique Guy Mamou-Mani, nous achevons une période de transformation de deux ans. Notre résultat global 2010 n'est donc pas une surprise, nous l'avions anticipé ».
La SSII repart en effet de l'avant. Elle prévoit d'embaucher 800 ingénieurs en 2011. Elle en a perdu 350 en 2010 du fait de sa restructuration. Le 21 mars, elle présentera d'ailleurs son plan stratégique pour les trois ans à venir. Les analystes financiers ont visiblement compris le message. Dov Lévy de CM-CIC apprécie le 4ème trimestre qui marque la poursuite de l'amélioration en France et tranche radicalement avec le trimestre précédent.
L'ingénierie applicative représente plus de 60% du CA
Rappelons que Groupe Open est le résultat d'une opération rapide et récente. Ses dirigeants se sont fixé l'objectif d'atteindre la taille actuelle il y a trois ans. Pour cela, ils se sont séparés de leur activité distribution (société Logix) et ont racheté une autre SSII (Sylis). Open compte actuellement trois activités : l'ingénierie applicative qui représente plus de 60% du CA, l'infrastructure de services qui en fait le tiers, le conseil pour 5%.
A l'international, Open a réduit sa voilure et se prépare à changer de cap. En 2010, la société a en effet vendu sa filiale au Canada, Consultem, et rapproché ses structures existantes en Belgique et en Hollande des structures françaises de la région Nord. La SSII vise désormais les pays émergents. Elle a ouvert des bureaux en Chine avec une trentaine de salariés.
Trimestriels Nintendo : CA et bénéfices en nette baisse
A deux mois de la fin de l'année fiscale, l'ensemble des résultats de Nintendo clignotent en rouge. Le constructeur nippon a annoncé la vente de 15,7 millions de DS (tous modèles confondus) et de 13,7 millions de Wii entre avril et décembre derniers. Au cours de cette même période en 2009, Nintendo écoulait 7,3 millions d'exemplaires supplémentaires de sa console portable et 3,3 millions de Wii en plus. La DS atteint tout de même les 144 millions d'unités écoulées dans le monde depuis son lancement en 2005 tandis que 85 millions de Wii ont trouvé acheteurs en quatre ans.
Le marché des jeux vidéo ne se porte pas mieux. Avec 99 millions de ventes entre avril et décembre derniers, les titres DS accusent une baisse de 21%. Les Pokémon et Mario se partagent les premières places avec Pokémon version blanche et version noire (5,32 millions), New Super Mario Bros. (3,73 millions), Les Pokémon Argent/Or (3,32 millions) ou Mario Kart (2,8 millions). Sur les 150,5 millions de jeux Wii (six millions de moins qu'en 2009), Wii Sports en concentre 12,19 millions. Suivent Wii Sports Resort (10,21 millions), New Super Mario Bros. (6,58 millions) ouSuper Mario Galaxy 2 (6,15 millions). Au total, 16 jeux vidéo estampillés Nintendo ont franchi la barre du million d'exemplaires vendus.
La société japonaise affiche un chiffre d'affaires de 7,35 milliards d'euros, en recul de 31% en comparaison à ses résultats enregistrés entre avril et décembre 2009. Etablis à 452 millions d'euros, ses bénéfices sont en chute de 74,3% en un an.
Illustration principale : Siège social de Nintendo à Kyoto, crédit photo Moja
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