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(02/02/2011 12:11:13)
Annuels Osiatis : des revenus à 243,6M€ en hausse de 4,6%
L'année 2010 se termine bien pour Osiatis. Au cours du 4ème trimestre, la SSII a connu une nouvelle accélération de sa croissance. A 64,8M€ son chiffre d'affaires a progressé de 7,9%, dont 5% en organique, par rapport à la même période de 2009. Sur l'ensemble de l'année, les revenus ont augmenté de 4,6% (dont 3,3% en organique) pour s'établir à 243,6M€.
Croissance soutenue des services aux infrastructures
La dynamique est restée forte dans les services aux infrastructures qui représentent 88% du volume d'affaires consolidé. Au cours du 4ème trimestre 2010, cette activité a crû de 9,5% par rapport à la même période l'année précédente et de 6,9% sur l'exercice 2010 portant son chiffre d'affaires annuel à 213,5M€. Sur le marché français, les services ont progressé de 12,5% au cours du dernier trimestre 2010 (par rapport à la même période en 2009) et de 7,8% sur l'ensemble de l'année. Les revenus générés par les filiales internationales d'Osiatis ont légèrement progressé par rapport à l'an dernier (+2,6%) pour s'élever à 34,8 M€.
En revanche la branche développements et nouvelles technologies est en repli, avec de revenus à 30,2 M€, en baisse de 9,1% par rapport à 2009. Osiatis a toutefois précisé qu'au cours du 4ème trimestre, le recentrage progressif de cette activité aurait permis de contenir la baisse de volume d'affaires à -2,6%. La SSII compte évoiler ses résultats en mars prochain .
(...)
Trimestriels Microsoft : Loisirs et logiciels professionnels en hausse
Microsoft qualifie de « trimestre record » le chiffre d'affaires de 19,95 milliards de dollars qu'il a réalisé entre octobre et décembre 2010. Comparé à l'an dernier, la progression ne se limite pourtant qu'à 5%. Mais il faut se rappeler que l'éditeur avait alors engrangé d'importants revenus différés (1,71 milliard de dollars) provenant des pré-commandes de son système d'exploitation Windows 7, livré en octobre 2009. Si l'on ne tient pas compte de ces revenus, le chiffre d'affaires de ce deuxième trimestre fiscal 2011 (octobre-décembre 2010) a progressé de 15% par rapport à l'an dernier.
Comme à son habitude, Microsoft réalise une marge opérationnelle élevée sur le trimestre, à 40,9% de son chiffre d'affaires (42,3% sur le premier semestre de cet exercice 2011 qui s'achèvera fin juin). En revanche, son bénéfice net a légèrement baissé, à 6,63 milliards (-0,4%). Sur ce trimestre, la société a racheté 5 milliards d'actions et déclaré 1,3 milliard de dividendes.
+55% sur la division Loisirs
Les revenus ont été tirés par la division Loisirs, d'une part, et par les logiciels professionnels d'autre part. Le succès du capteur de mouvement Kinect et des consoles Xbox 360 qui lui sont associées ont dopé le chiffre d'affaires de l'activité de 55%, à 3,7 milliards de dollars par rapport à l'an dernier. Huit millions de Kinect ont été vendus en soixante jours depuis son lancement, ce qui a largement dépassé les attentes de Microsoft, a reconnu Peter Klein, le directeur financier du groupe.
Dans un tout autre domaine, la division Business a enregistré une progression de 24%, à 6 milliards de dollars, principalement grâce à la forte demande enregistrée sur la suite bureautique Office 2010, commercialisée en juin 2010. Les résultats obtenus avec Office ont dépassé les prévisions de tout le monde, assure Kevin Turner, directeur général de Microsoft, dans un communiqué. Sur ce trimestre, la division Business est celle qui pèse le plus lourd dans le chiffre d'affaires total du groupe fondé par Bill Gates : 30,2%.
L'an dernier, c'était la division Windows qui figurait à la proue du navire. Cette année, elle vient en second et représente 25,3% du CA total. Son chiffre d'affaires s'élève encore à 5 milliards de dollars, même s'il est en forte baisse (-30%) par rapport à l'an dernier pour les raisons précédemment indiquées. L'éditeur souligne qu'à ce jour, plus de 300 millions de copies de Windows 7 ont été vendues. Au passage, Microsoft ajoute que la bêta d'Internet Explorer 9 a été téléchargée plus de 20 millions de fois.
Windows grignoté par les tablettes ?
L'analyste Andrew Bartels, du cabinet Forrester, estime que la principale surprise vient des bons résultats de la division Business. Non seulement Office, mais aussi les logiciels de gestion de la gamme Dynamics (en photo l'ERP Dynamics NAV) et le portail collaboratif SharePoint ont enregistré une forte croissance de leurs ventes. Cela indique une remontée sur le marché des solutions d'entreprise et c'est une bonne nouvelle pour Microsoft dont les revenus proviennent surtout des ventes aux entreprises, rappelle Andrew Bartels.
Illustration : Le logiciel de gestion intégrée pour PME Dynamics NAV 2009 R2, commercialisé par la Division Business de Microsoft.[[page]] Parmi les domaines ayant moins bien marché sur le trimestre, Andrew Bartels, de Forrester, pointe les ventes de Windows 7 qui n'ont guère progressé par rapport à l'an dernier. « Le marché des ordinateurs sous Windows se ralentit un peu. Il est difficile de dire ce qui se passe de ce côté-là, mais il est possible que l'iPad affecte les achats de PC », avance-t-il. Lors d'une conférence téléphonique avec des analystes, Peter Klein, le directeur financier de Microsoft, a convenu que les ventes de tablettes, telles que l'iPad d'Apple et la Galaxy de Samsung, avait pu ralentir globalement celles de Windows. Dans les achats grand public, cette année, les netbooks ont été remplacés par des ultra-portables et des tablettes, a-t-il estimé en précisant qu'il s'agissait surtout de matériels complémentaire et non du poste principal. « Cela a occasionné un petit glissement du côté grand public ».
La division Serveurs au-dessous des prévisions
Du côté de sa division Serveurs et Outils, Microsoft a enregistré un chiffre d'affaires de 4,39 milliards de dollars, en progression de 10% par rapport à l'an dernier, mais 2% au-dessous de ce que Forrester avait estimé. Sur la première semaine de janvier, l'éditeur a annoncé que Bob Muglia, qui dirigeait cette division, allait quitter la société dans l'année.
Microsoft n'a pas fourni de résultats financiers détaillés sur ses offres de mobilité et de cloud, se contentant d'exprimer son enthousiasme sur ces deux terrains en évoquant notamment, pour le cloud, ses produits Office 365 et Dynamics CRM, ainsi que des clients comme Pixar Animation Studios et ADP convertis à Azure. Pendant la conférence téléphonique, Peter Klein a tout de même indiqué que la société avait vendu deux millions de licences pour Windows Phone 7 et que la plateforme mobile avait déjà attiré 24 000 développeurs. Du côté du cloud, le directeur financier a simplement affirmé qu'il existait un fort intérêt parmi les clients potentiels en entreprise. « Cela va venir, et bien qu'il soit incertain d'évaluer la rapidité de mise en route, une fois que ce sera prêt pour l'accélération, cela avancera très vite », a-t-il indiqué au sujet d'Azure.
Enfin, la cinquième division de Microsoft, Online Services, qui regroupe les outils de publicité et de publication et des services comme le moteur de recherche Bing et le portail MSN, a vu augmenter ses revenus de 19,34%, à 691 millions de dollars. Néanmoins, c'est une activité qui perd toujours de l'argent : 543 M$ de pertes opérationnelles sur le trimestre clos fin décembre 2010.
Annuels Solutions30 : Croissance significative grâce au développement en Europe
En 2010, le chiffre d'affaires du prestataire de services IT pour les particuliers, les professionnels et les entreprises a atteint 54,6 M€, soit 21,6% de plus que l'année précédente. Solutions30 (ex-PC30) dépasse ainsi les prévisions de revenus, comprises entre 53 et 54 M€, qu'il avait faites en octobre dernier. Ce résultat est notamment dû au développement de la société en Europe, tout particulièrement en Italie et aux Pays Bas, où elle a réalisé 15% de son activité contre 12,8% en 2009. Après l'ouverture d'une filiale en Belgique en 2009 puis en Allemagne en 2010, Solutions30 projette de s'implanter en Espagne et au Royaume-Uni.
Les résultats de l'entreprise seront présentés plus en détail à ses actionnaires lors d'une assemblée extraordinaire prévue le 28 février. Cette réunion sera aussi l'occasion de leur faire valider le rachat des parts minoritaires des anciens managers de la division " desktop " de Sogeti rachetée par Solutions30 en juillet 2009. Le conseil de surveillance a déjà donné son accord le 20 janvier 2011.
Annuels Additeam : Un CA de 7,5 M€ en 2010
La SSII Additeam a réalisé en 2010 un chiffre d'affaires de 7,5 M€, soit une hausse de 16,2% comparée à l'année précédente. Ciblant principalement les grands comptes, ce prestataire de services créé en 2003 dispose actuellement d'un portefeuille de clients d'une quarantaine d'entreprises. La société est fortement implantée dans les secteurs du retail et de la banque/assurance/finance qui représentent respectivement 41% et 36% de ses revenus. 83% de ses prestations sont réalisées en régie, 14% au forfait et 3% en régie forfaitisée. En 2010, le taux d'inter contrat de ses collaborateurs n'a atteint que 4%.
Pour le compte de son exercice 2011, la SSII anticipe un chiffre d'affaires de 9 M€. Elle réaliserait alors une croissance de 20%, soit une projection bien supérieure au 3% de hausse attendus par le Syntec pour le marché des logiciels et des services cette année.
SAP France : le 4e trimestre a tiré les ventes de licences
Bien moins spectaculaire que la performance réalisée par SAP au niveau mondial (+35%), la progression affichée par sa filiale française sur ses ventes de licences atteint malgré tout 9% sur le quatrième trimestre (mise à jour : les chiffres France n'incluent pas Sybase). Une croissance avec laquelle SAP France avait renoué depuis le troisième trimestre (+6% alors), a rappelé ce matin Nicolas Sekkaki (en photo), son directeur général. Elle aura permis d'enregistrer, sur l'ensemble de l'exercice, une petite hausse de 3% sur les ventes de licences dans l'Hexagone. De fait, sur certains marchés matures, comme la France et l'Allemagne, SAP a enregistré des hausses moins marquées que sur les pays émergents ou, même, sur l'Amérique du Nord (sur l'ensemble du continent américain, les ventes de licences ont crû de 54% au 4e trimestre).
SAP France réaffecte ses commerciaux
Pour 2011, en revanche, « on nous demande une croissance à deux chiffres », annonce le dirigeant français. Un résultat déjà obtenu par la filiale au quatrième trimestre sur certaines activités, comme la Business Intelligence qui a enregistré 15% de croissance (+5% sur l'année complète). Au sein de ces gammes BI, les solutions de gestion du risque et de la conformité (GRC, governance, risk & compliance) se sont notamment très bien comportées avec une croissance à trois chiffres (*). « C'est le résultat d'un travail quotidien, nous avons refocalisé davantage de personnes sur la BI et nous en avons embauché, explique le dirigeant. Nous avons renforcé l'écosystème, réinvesti dans les régions et le retour est là. Mais nous n'avons pas encore réalisé tout le potentiel ». D'où la réorganisation pour 2011 annoncée la semaine dernière, qui traduit une volonté de mieux répartir les forces commerciales. Plus de 50% des commerciaux ont ainsi changé d'affectation de territoire.
Des clients n'ayant jamais acheté chez SAP
En dehors de la BI, plusieurs lignes de logiciels ont bien fonctionné au 4e trimestre chez SAP France, en particulier, le CRM (gestion de la relation client), avec là aussi, une croissance à deux chiffres, et la gestion des talents (HCM, Human Capital Management). La filiale a par ailleurs enregistré plusieurs affaires supérieures à 1 million d'euros au quatrième trimestre, et même un contrat supérieur à 10 millions d'euros. « Sur l'année, nous avons accueilli 300 nouveaux clients », dénombre Nicolas Sekkaki. Parmi lesquels au dernier trimestre, de grands clients et, de plus en plus, des entreprises qui n'avaient jamais acheté chez SAP, de même que des « winbacks » remportés sur certains concurrents. Parmi ces nouveaux clients figure par exemple la société Elis, spécialiste de la location-entretien de vêtements professionnels, qui a opté non seulement pour l'ERP, mais aussi pour l'offre de CRM et pour des déclinaisons mobiles. Des déploiements qui permettent à cette entreprise d'accompagner sa stratégie de croissance externe. « Nous avons de nouveaux clients ERP sur des projets significatifs », confirme Nicolas Sekkaki. Parmi les marchés ayant le mieux fonctionné en cette fin d'année, le dirigeant cite par ailleurs le secteur public, les services, les biens de consommation et les sciences de la vie.
(*) D'autres activités BI, comme l'EIM (Enterprise Information Management) ont été plutôt en décroissance.
Illustration : Nicolas Sekkaki, directeur général de SAP France (crédit : LeMondeInformatique.fr)[[page]]
L'ensemble du catalogue ouvert aux partenaires
Parmi les grands axes stratégiques pour 2011, SAP France entend mettre l'accent sur son écosystème en ne limitant pas ses partenaires au marché des PME/PMI, mais en leur ouvrant aussi, selon affinités, le reste de son catalogue en fonction de leurs compétences. « J'ai créé une direction Ecosystème et Channel, dirigée par Dominique Comte [qui assurait jusque-là la direction de la division PME], a expliqué Nicolas Sekkaki. Cela regroupe les alliances, les distributeurs, les PME adressées en mode indirect et l'offre hébergée Business ByDesign. Il y a des produits de notre portefeuille applicatif que nous ne vendions pas [plus de 300 sur 3 000 au total] parce que nous manquions de ressources pour les commercialiser. Ces produits-là vont maintenant pouvoir être distribués en mode indirect. » Dans les mois à venir, la filiale va ainsi ouvrir à ses partenaires, potentiellement, l'ensemble de ses clients.
En projet, une filiale pour l'Afrique du Nord
Outre cet axe important sur son écosystème, SAP France va développer ses efforts sur ses lignes de produits en croissance : le SCM (gestion de la chaîne logistique), la gestion des ressources humaines, le CRM... La réorganisation sera également très forte autour des industries avec des départements dédiés pour chacune et par segments de clients. Ces derniers sont répartis en trois groupes : les 38 comptes-clés de la filiale (40% du chiffre d'affaires de la filiale et jusqu'à présent 40% des commerciaux de SAP France, mais plus en 2011 avec la redistribution des forces), les clients Entreprise achetant de façon plus ponctuelle et « auxquels on s'adresse avec des profils très spécialisés », et, enfin, les nouveaux clients à conquérir. Nicolas Sekkaki va également créer une direction régionale. Par ailleurs, d'ici trois mois, le directeur général espère annoncer l'ouverture à Casablanca d'une filiale pour couvrir le marché de l'Afrique du Nord.
Annuels EMC : Bénéfices et chiffre d'affaires en nette hausse
Sur l'année 2010, le chiffre d'affaires d'EMC a été consolidé à 17 milliards de dollars, soit une hausse de 21% par rapport à 2009. Le bénéfice net GAAP a augmenté de 75% à 1,9 milliards de dollars. Le bénéfice net non-GAAP2 était de 2,7 milliards de dollars, en hausse de 46%, et le bénéfice non-GAAP2 « étendu et partagé » de 1,26 milliards de dollars, en augmentation de 40%. La société a réalisé une trésorerie disponible record de 4,5 milliards de dollars, soit une hausse de 36%, et une trésorerie opérationnelle de 3,4 milliards de dollars, en hausse de 31%.
Joe Tucci, président et directeur général d'EMC souligne : « La performance d'EMC en 2010 a été la meilleure de son histoire, marquée par une croissance rapide, des gains de parts de marché, une puissance financière et des investissements importants dans l'innovation technologique. Equipés d'un portefeuille de produits, de services et de partenaires stratégiques puissant et distinctif, nous n'avons jamais été plus confiant dans la position d'EMC pour mener à bien cette transformation de l'IT comme un service ».
David Goulden, directeur financier, note : « En 2010 nous avons exécuté notre triple play de manière impressionnante - en acquérant simultanément des parts de marché, en réinvestissant de façon significative dans notre entreprise et en fournissant une meilleure rentabilité. D'énormes progrès sur tous ces objectifs ont été réalisés tout au long de l'année ce qui positionne EMC sur la meilleure position financière et opérationnelle que l'entreprise n'a jamais eue. Nous sommes en excellente position pour continuer à faire évoluer nos résultats triple play en 2011. »
EMC a également continué à utiliser sa puissance financière pour effectuer des acquisitions stratégiques ciblées vers des zones à forte croissance, comme Isilon Systems, fournisseur de solution de stockage en cluster, et Greenplum, spécialiste en analyse d'entreprise, ou avec l'éditeur de logiciels de risques et de conformité Archer Technologies.
Crédit photo : D.R.
Annuels VMware : +39% sur les ventes de licences au 4e trimestre
VMware, la très prospère filiale d'EMC spécialisée dans les technologies de virtualisation, poursuit sur sa lancée. Son quatrième trimestre s'est clos, fin 2010, sur un chiffre d'affaires de 835,6 millions de dollars, supérieur aux prévisions des analystes. Entre octobre et décembre, celui-ci a progressé de 37% par rapport au quatrième trimestre 2009. Quant au bénéfice net dégagé sur la période, il a plus que doublé, passant de 56 M$ l'an dernier à 120 M$, et produisant un bénéfice par action de 0,28 dollar (contre 0,14 un an plus tôt).
Tant les ventes de licences que de services ont enregistré une forte hausse sur ce dernier trimestre : respectivement 39%, à 422,3 M$, et 36%, à 413,3 M$. A noter que l'éditeur américain inclut dans son activité services, les revenus de la maintenance logicielle. Le PDG de la société, Paul Maritz (en photo), constate que VMware a bénéficié, en fin d'année, d'une augmentation sur les investissements et de l'intérêt qui entoure la virtualisation, perçue pour une technologie centrale pour moderniser les infrastructures.
Une progression globale de 41% sur l'année
Sur l'année entière, le chiffre d'affaires de la société atteint 2,9 milliards, soit une progression de 41% par rapport à 2009. Les ventes de licences s'établissent à 1,4 Md$ (+36%) et les revenus générés par les services (prestations professionnelles et de maintenance) sont passés à 1,456 Md$ contre 994,5 Md$ en 2009, soit une augmentation de 46,4%. En 2010, le bénéfice net s'élève à 357 M$, contre 197 M$ l'an dernier, avec un bénéfice par action de 0,84 dollar contre 0,49 dollar un an plus tôt.
Il s'agit de chiffres non audités où il ressort que, sur le quatrième trimestre 2009, la marge opérationnelle représente 15,6% du chiffre d'affaires de la société (11,7% l'an dernier). Sur l'année, elle s'établit à 15% (10,8% en 2009).
Estimations 2011 : des ventes de licences entre +14 et +19%
Pour le trimestre en cours, qui s'achèvera fin mars, le directeur financier de l'éditeur, Mark Peek, prévoit que les ventes se situeront entre 800 et 820 M$, soit une augmentation de 26 à 29% par rapport à la même période l'an dernier. Il s'agit, cette fois encore, d'une estimation supérieure à celle des analystes (786 M$). Sur l'exercice 2011, l'éditeur table sur un chiffre d'affaires situé entre 3,45 et 3,55 milliards de dollars, soit une augmentation de 21 à 24% par rapport à 2010. VMware pense que ses ventes de licences progresseront de 14 à 19% sur l'année.
Illustration : Paul Maritz, PDG de VMware (crédit VMware)
(...)(25/01/2011 10:15:53)Annuels Esker : SaaS et internationalisation vecteurs de croissance
L'entreprise réalise 68% de son chiffre d'affaires à l'international. Il confirme sa présence aux Etats-Unis avec une croissance de ses filiales américaines de 10%, ainsi qu'en Europe (18% de croissance). Esker accentue sa présence internationale en Asie-Pacifique avec l'ouverture d'une nouvelle filiale en Malaisie. Avec l'adoption du SaaS, les filiales étrangères Esker ont enregistré une croissance de 56% de leur activité à la demande.
Esker annoncera ses bénéfices au mois de mars.
Annuels Cegid : une année de transition vers le SaaS
La rentabilité sera donc regardée de près (les résultats définitifs étant publiés le 2 mars). La société indique que son résultat brut d'exploitation sera supérieur au précédent (qui se montait à 59,4 ME). En revanche, son résultat opérationnel courant serait inférieur à celui de l'an passé (28,5 ME). Côté opérationnel, l'éditeur indique que ses ventes de logiciels ont progressé de 12% sur l'exercice. Celles en mode Saas s'envolent à +23%.
Fin décembre, Cegid a finalisé deux projets de croissance externe. Un dans l'édition de logiciels de gestion pour collectivités locales, avec le rachat de Visa Informatique (6 ME de CA annuel, 85 collaborateurs). L'autre, Axeteam est un intégrateur (400 000 euros de CA, 3 collaborateurs). Cegid a parallèlement conclu un accord avec un syndicat de 8 banques pour le renouvellement d'une ligne de crédit de 200 ME destinée à financer sa croissance externe.
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