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(24/02/2012 09:32:22)

Une puce de monitoring ECG sans fil développée au CSEM

Initié par le Centre Suisse d'Electronique et de Microtechnique (CSEM), le projet européen  IcyHeart a pour but de développer une solution de monitoring ECG (électrocardiogramme) sans fil, discrète et alimenté par batterie pour une utilisation ambulatoire et capable d'analyser la forme de l'ECG et de détecter des événements anormaux en temps réel. Ce projet de recherche devra permettre des avancées technologiques majeures dans les domaines des solutions de détection, de conversion, de traitement et de transmission hautement intégrées dans une puce unique. La technologie d'IcyHeart devra générer une haute valeur de marché pour les PME européennes qui développe de nouveaux produits de monitoring cardiaque pour des environnements privés et professionnels.

Le projet IcyHeart est soutenu par la Commission européenneet comprend des chercheurs dans les technologies de pointe et des PME basés dans 5 pays européens. Il court sur 21 mois et il a démarré en octobre 2011.

ICTjournal.ch (...)

(04/07/2011 15:41:43)

La CFF mise sur le RFID pour supprimer les billets de train

Les CFF (Chemins de Fer Fédéraux suisses) ont décidé de poursuivre un projet visant à doter leurs abonnements de puces RFID, révèle la presse dominicale. Dirigée par Santiago Garcia, l'initiative de billet électronique vise dans un premier temps à doter les abonnements demi-tarifs et général de puces, de sorte qu'il ne sera pas nécessaire de remplacer la carte à chaque renouvellement. Ensuite, de 2014 à 2016, les trains seront peu à peu équipés de bornes de détection permettant d'identifier les puces et donc les passagers à bord, un investissement évalué à 200 millions de francs.

Dès 2017, le système devrait être pleinement opérationnel. Les titulaires d'un abonnement n'auront alors plus à acheter de billet et les CFF leur factureront les trajets effectivement réalisés en fin de mois. Le système réduira aussi la fraude explique la régie ferroviaire. Le projet n'a pour l'heure pas été présenté au Préposé à la protection des données suisse. Selon Santiago Garcia, les CFF disposeront cependant de moins de données que les opérateurs de téléphonie.

Des billets à tarifs variables

Outre la baisse de la fraude et une facturation a posteriori, le projet devrait permettre le développement de nouveaux modèles de prix particulièrement flexibles. Il serait ainsi par exemple possible d'augmenter les tarifs aux heures de pointe. Autre idée, qui pourrait intéresser l'Union des transports publics, stimuler leur usage via des programmes de voyageurs fréquents similaires à ceux des compagnies aériennes, à l'instar d'un projet pilote mené à Bangalore (en lien).

www.ICTjournal.ch

Crédit photo : D.R. 
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(05/04/2011 10:39:52)

Paiement par mobile : Buyster agréé Banque de France

Le paiement par mobile est le serpent de mer de ces dix dernières années. Cela bloquait entre les banques et les opérateurs mobiles. Afin de libérer la voie, les opérateurs mobiles hexagonaux ont créé une filiale commune, Buyster, qui vient d'être agréée comme établissement de paiement par la Banque de France. 

Buyster est une société détenue à parts égales par Bouygues Telecom, Orange, SFR et Atos Origin. La société a été fondée en février 2011. Son objectif est de développer, d'exploiter et de commercialiser un service de paiement en ligne basé sur le mobile. Buyster annonce son ambition d'être « un acteur du paiement incontournable du eCommerce et le leader du mCommerce en France ». 

L'Autorité de Contrôle Prudentiel de la Banque de France vient d'accorder à Buyster un agrément définitif en qualité d'Etablissement de Paiement. Cet agrément permet à Buyster d'acquérir et d'exécuter des ordres de paiement pour le compte des e-commercants, en conformité avec le cadre réglementaire en vigueur en France. L'obtention de cet agrément constitue une étape nécessaire pour l'exploitation et la commercialisation de Buyster. A cette occasion, le capital de Buyster est porté à 10,2 millions d'euros afin de « préparer le lancement opérationnel de son activité » indique Eric Gontier, directeur général de Buyster.

Illustration : Eric Gontier, directeur général de Buyster (crédit D.R.)

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(08/02/2011 09:50:15)

Des puces RFID pour suivre les échantillons organiques au CHU de Nice

Le CHU de Nice voulait mieux assurer la traçabilité totale des échantillons issus de prélèvements organiques tout en respectant les impératifs de confidentialité et de fiabilité liés à la nature des produits suivis. Il a intégré le pôle de compétitivité international Solutions Communicantes Sécurisées (SCS) pour travailler sur ce sujet avec ST Microelectronics, IBM, Tagsys, Psion, SPS, l'Institut Paoli Calmette, et l'Ecole des Mines de Saint Etienne.
L'établissement a donc mis en oeuvre une solution pilote sur les prélèvements thoraciques depuis juillet 2010 baptisée Mistrals. Elle a été développée puis intégrée par Fréquentiel. Son déploiement est envisagé sur l'ensemble des prélèvements.

La technologie choisie est celle de la RFID. Celle-ci permet en effet un repérage constant de l'échantillon tagué tout au long de la chaîne de traitement, du prélèvement au stockage définitif, y compris jusqu'à -196°C, parmi les 57 000 pièces stockées à ce jour. De plus, l'absence d'étiquette lisible par un oeil humain garantit la confidentialité des données tandis que le RFID permet malgré tout de gérer un grand nombre d'informations pouvant être lues sans contact (en l'occurrence avec des PDA Workabout Pro de Psion). Chaque échantillon prélevé peut être associé à jusqu'à 500 données par patient.
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(30/07/2010 16:14:32)

La puce RFID des passeports piratable à 70 mètres

Avec un matériel trouvé dans les rayons de différents magasins et sur eBay, le tout pour moins de 2 500 dollars, le chercheur a pu assembler un système qui, dit-il, lui a permis "de lire les balises contenues dans les puces RFID des passeports à une distance de 70 mètres." Mais celui-ci pense que l'appareil placé dans de meilleures conditions pourrait atteindre les 300 mètres. Chris Paget est même prêt à le prouver au cours de la conférence, si quelqu'un lui donne accès à un toit.  "Ces puces RFID sont également utilisées dans les passeports canadiens et les permis de conduire délivrés par l'État de New York," a t-il déclaré. Elles sont aussi utilisées pour le contrôle des stocks chez le leader de la grande distribution Wal-Mart.

Lecture des données cryptées

Le chercheur a indiqué qu'il ne savait pas précisément quelles données étaient stockées sur les puces puisqu'elles sont cryptées avec une clef MZR (Machine-Reable Zone ), mais selon lui, au minimum, il serait possible par recoupement d'identifier la provenance du titulaire du document. Le gouvernement américain déclare que les puces contiennent toutes les informations imprimées sur le passeport, y compris une copie numérique de la photo d'identité. Avec un peu de temps et de la puissance de calcul, la clef MZr peut toutefois être cassée. L'expert en sécurité Bruce Schneier a écrit sur son blog à propos des puces de ces documents: "cela signifie que les détenteurs de passeports diffusent en permanence leur nom, nationalité, âge, adresse et tout ce qui est inscrit sur la puce RFID. Donc, n'importe quelle personne en possession d'un lecteur peut avoir accès à ces informations, à l'insu du titulaire du passeport et sans son consentement. Les pickpockets, les kidnappeurs et les terroristes peuvent facilement - et subrepticement - repérer des ressortissants américains ou d'autres pays utilisant le même système, dans une foule », poursuit-il. Celui-ci a aussi imaginé différents scénarios dans lesquelles ces balises pourraient être utilisées, y compris si les gens étaient porteurs de ces puces de manière plus ordinaire. Par exemple, il a imaginé que les centres commerciaux pourraient balayer les clients et récolter les identifiants des visiteurs dès leur entrée dans le centre afin de les suivre et de créer un profil numérique pour chacun. "Cela pourrait fournir des informations précieuses en matière de marketing,"  écrit-il.

Une technologie facilement détournable

En général, les puces RFID sont activées par ondes radio. Elles utilisent ensuite l'énergie reçue pour répondre par un signal lui-même capté par un récepteur. «La balise est stimulée par l'onde radio pour être mise en route, puis la puissance diminue," explique Chris Paget. Les puces EPC Gen 2 utilisées dans la démonstration qu'il a faite au Black Hat ajustent le niveau des ondes pour communiquer avec l'émetteur, après avoir absorbé une partie de l'énergie pour alimenter la puce, un peu à la manière dont fonctionnent les radars. Le chercheur a d'ailleurs utilisé les équations qui servent à calculer les performances des radars pour optimiser la norme des transmetteurs/récepteurs RFID qu'il a trouvé dans le commerce. Les puces utilisent la bande de fréquence ISM (Industrie, Sciences, Médecine) à 900 MHz, avec laquelle les opérateurs radio amateurs sont autorisés à communiquer, à condition d'accepter tout brouillage causé par leurs appareils ISM. Selon Chris Paget, « dans les applications RFID, la puissance maximale nécessaire pour transmettre des ondes radio vers les puces est de 1 watt. » Mais en faisant en sorte que l'émetteur se comporte plutôt comme une station radio amateur et en lui appliquant la puissance légale maximum de 1 500 watts, on fait monter la limite théorique supérieure de la plage de lecture de quelques mètres pieds à plus de 3 kilomètres. « Avec de grandes antennes et des émetteurs plus puissants, comme ceux utilisés par l'armée, on pourrait pousser cette limite à une centaine de kilomètres », explique-t-il.

Une sécurité insuffisante

Pour conclure, il est toutefois utile de préciser qu'en théorie, les passeports américains sont équipés d'une trame métallique censée bloquer la lecture de la puce quand le document de voyage est fermé. Ce qui ne semble pas avoir arrêté Chris Paget. Le test n'a pas encore été réalisé avec des passeports européens, mais la technique devrait être parfaitement utilisable à mois que le génie administratif français ait réussi pour une fois à devancer les hackers... De vrais étuis de protection radio faisant office de cage de Faraday sont toutefois commercialisés depuis la diffusion des passeports biométriques RFID. Un achat judicieux pour les vacances, notamment quand on doit patienter de longues heures dans un aéroport.

Crédit photo : D.R.

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(30/06/2010 10:53:04)

Un site public sur les risques liés aux radio-fréquences

La ministre de la Santé Roselyne Bachelot a annoncé  la mise en ligne du portail "Radiofréquences, Santé, Environnement", une plateforme Internet dédiée aux radiofréquences, Radiofrequences.gouv.fr. Lancé en collaboration avec la secrétaire d'Etat chargée de l'écologie Chantal Jouanno et la secrétaire d'Etat en charge de la prospective et du développement de l'économie numérique Nathalie Kosciusko-Morizet, ce portail vise à renforcer l'information du grand public dans le domaine des radiofréquences.

Ce portail en ligne permettra à chacun d'accéder à des informations sur les risques sanitaires associés aux radiofréquences, à suivre les débats initiés par le Gouvernement, à découvrir les actions proposées et mises en oeuvre par les pouvoirs publics, ou encore à connaître les recommandations d'utilisation des téléphones portables. Les radiofréquences sont utilisées dans de nombreux domaines tels que la téléphonie mobile, la radio, la télévision, le Wi-Fi ou encore le bluetooth.

Crédit photo Shutterstock

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(12/05/2010 09:54:41)

Assises de la RFID : des puces pour mieux suivre les produits

Des experts et des fournisseurs de solutions RFID, des acteurs de la grande distribution tels que Carrefour ou Auchan, des spécialistes de la vente au détail tels que Cléor (une chaîne de bijouteries) ou du secteur de la santé se sont réunis lundi 10 mai au Ministère des Finances à Paris. Il s'agissait de faire le point sur la technologie RFID qui se développe rapidement dans le monde de l'entreprise. Les applications de ces puces de traçage sont doubles pour les industriels et les distributeurs. L'entreprise peut opter pour une amélioration de la gestion de sa chaîne logistique ou choisir de se concentrer sur le produit final qu'elle commercialise et de ce fait sur la gestion de la relation clients.


Pour le groupe Auchan, François Laveissière, directeur de l'innovation précise : « nous n'avons expérimenté le RFID qu'en interne sur la chaîne logistique, afin de retracer les échanges depuis la commande d'un produit jusqu'à sa réception. » Le groupe de distribution Carrefour a décidé, quant à lui, de ne négliger aucun aspect. Pierre Blanc, responsable de programme dans l'entité Innovation au sein de la Direction des Systèmes d'Information du groupe Carrefour, précise : « nous avons testé les puces RFID depuis plusieurs années, notamment pour la vente et la logistique ». Il semble satisfait de l'implantation d'une telle technologie car selon lui les puces RFID permettent « de contrôler rapidement et précisément les stocks ». En matière de logistique, le groupe passe ainsi moins de temps pour effectuer une commande. Pour l'heure, la mise en place de ces puces n'est déployée que sur quelques produits.

D'autres ne se sont concentrés que sur la dimension « suivi du produit », à l'image de Cléor, spécialisé dans la vente de bijoux, à travers ses 49 points de vente. A chaque inventaire la société doit défaire toutes ses vitrines. Pour Aurélien Senechal, directeur Général Délégué Opérationnel de Cléor, « les puces RFID permettent de tracer les bijoux et d'améliorer la gestion des stocks. Ainsi le temps consacré aux inventaires est réduit et les vendeurs peuvent se concentrer sur leur activité principale. » En tant que bijoutier, le groupe doit de plus faire face à un autre problème. Il ne doit pas dévaloriser les produits avec des étiquettes trop grosses. Les puces RFID répondent à ce besoin. C'est pourquoi il a commencé à déployer cette technologie il y a six mois.

Photo : les intervenants lors de la table ronde réunissant les acteurs de la grande distribution. De gauche à droite : Xavier Barras, Directeur innovation et technologie chez GS1, Aurélien Senechal, Directeur Général Délégué Opérationnel de Cléor, Pierre Blanc, Responsable de Programme dans l'entité Innovation du groupe Carrefour, Stefan Barbu, Business Development Manager chez NXP, François Laveissiere, Directeur de l'innovation chez Auchan, lors des Assises de la RFID le 10 mai à Paris.

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Pour ce projet orienté clients, les entreprises doivent prêter attention à ne pas entraver la vie privée des consommateurs. Un cadre réglementaire a à ce titre été instauré par la Commission Européenne. Manuel Mateo, Policy Officer - RFID and Internet of Things, European Commission, insiste sur le fait que « les opérateurs sont responsables des moyens mis en oeuvre et des applications ». Il précise que les entreprises doivent « informer les clients et indiquer la présence de puces dans les produits ». Dans ce cadre d'analyse, les distributeurs ont une alternative, soit ils décident de désactiver les puces au passage en caisse, ce qui s'appelle l'« opt-in », soit la puce n'est désactivée qu'à la demande du client. C'est l'« opt-out ».

Quelque soit l'option choisie, il y a une obligation d'information. En réponse à cette réglementation, le groupe Carrefour a mis en place des affichettes simples sur l'alimentaire, précisant que les produits sont tracés et une mention sur les étiquettes du textile. Comme le précise Pierre Blanc, « c'est un usage éthique des TIC (Technologies de l'Information et de la Communication) ». Les puces RFID sont totalement désactivées lors du passage en caisse et n'entravent donc pas la vie privée des clients. Le bijoutier Cléor a trouvé un autre système, ôter l'étiquette contenant la puce, et la recycler sur un autre produit. Ainsi, « il n'y a pas de lien entre le bien et le consommateur », déclare Aurélien Senechal.

D'autres secteurs ont également témoigné, dont le secteur de la santé. Christian Kovacik, directeur Général de la société KBS, a précisé que les puces RFID pouvaient « aider à tracer les poches de sang, à identifier et localiser les patients en gériatrie, et intégrer les actes dans les dossiers patients ». Les domaines d'actions de la RFID sont donc larges. Chaque secteur peut y voir une utilité.


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(08/10/2009 15:52:25)

RFID, GPS et 3G pour gérer les panneaux de signalisation à Paris

Dans le cadre d'un appel d'offre portant sur des travaux de mise en oeuvre de la signalisation verticale (panneaux) et horizontale (marquages routiers, passages piétons), la Mairie de Paris souhaitait disposer fin 2009 d'une vision complète et réactualisée en permanence, de l'état de ce patrimoine de signalisation. Elle voulait également bénéficier d'outils d'aide à la décision en vue d'anticiper et d'optimiser les dépenses. La ville a finalement opté pour une solution de gestion des équipements basée sur différentes technologies - 3G/GPRS, RFID, GPS, cartographie Google Maps/Earth et Extranet. A la clé : une consultation en temps réel et une traçabilité des équipements et des opérations. Concrètement, lors des opérations de pose ou de maintenance, des opérateurs de terrain identifient les panneaux grâce à des PDA, via des tags RFID. Dans le même temps, ces opérateurs géolocalisent et valident leurs positions à l'aide du GPS et de Google Map, puis photographient les panneaux, avant de renvoyer les informations en temps réel via une connexion GPRS/3G. Les utilisateurs de la Mairie de Paris, quant à eux, accèdent via le web à une application de gestion du patrimoine de signalisation verticale, qui comprend une base de données globale et cartographique Google Maps, un moteur de recherche, ainsi que des générateurs d'analyse, de conception de documents et d'export des données en format Excel ou Open Office. Baptisée Patrimonia, la solution a été développée par Aximum (spécialiste de la sécurisation des voies) qui s'est lui-même appuyé sur l'intégrateur UBI Solutions. Aujourd'hui, plus de 150 personnes exploitent quotidiennement Patrimonia, soit une trentaine de chefs d'équipes d'Aximum pour tracer les équipements et les opérations et plus de cent collaborateurs de la Mairie de Paris pour gérer la signalisation. (...)

(08/04/2009 11:07:17)

Luc Chatel veut faire des Français les champions du sans contact

Certaines technologies encore peu exploitées n'attendent que des usages innovants, et des acteurs qui sauront les proposer. Tel est le message que Luc Chatel, secrétaire d'État chargé de l'Industrie et de la Consommation, tente de faire passer aux entreprises françaises, en lançant un programme doté de 3,5 M€ pour « développer de nouveaux services et applications basés sur les étiquettes électroniques RFID et/ou le NFC, pour les entreprises ou les citoyens ». A l'heure actuelle, la RFID (Radio frequency identification) est surtout utilisée dans le domaine industriel, pour apposer des étiquettes électroniques (tags RFID) sur des marchandises et des conteneurs, qui peuvent ainsi être identifiés lors de leur passage sous un portique. Dans le grand public, si on excepte le déploiement massif de la RATP pour ses passes Navigo, seule la start-up française Violet tente vraiment d'en développer l'usage, avec ses lapins Nabaztag. Le NFC (Near field communication) offre de son côté la possibilité de faire communiquer entre eux des objets à une courte distance : plusieurs expériences en cours tentent ainsi de transformer les téléphones mobiles en outils de paiement sans contact. Sur la lancée du premier appel à projets IPER (Innovation dans les processus d'entreprises par la RFID), qui a retenu l'année dernière cinq dossiers, le ministère demande des projets collaboratifs dont les travaux « devront intégrer la recherche de nouveaux modèles et pratiques commerciaux basés sur l'interaction avec les utilisateurs et la confrontation avec la demande du marché ». Pour être éligible, un projet devra être présenté par au moins deux entreprises, et « une part minimale de 30% des dépenses » devra être réservée à des PME. (...)

(17/03/2009 18:35:40)

Reportage : LMI a testé la carte d'embarquement biométrique chez Air France (vidéo)

Comment utiliser les nouvelles technologies pour simplifier les formalités d'accès à bord des avions ? Air France teste actuellement son programme de « smartboarding » auprès de 1500 habitués de la ligne Paris-Amsterdam. Tous se sont vus attribuer une carte à puce, qui sert à la fois à stocker leurs empreintes digitales et à imprimer au verso les billets électroniques. Il leur suffit dès lors de glisser la carte dans une borne automatique pour s'enregistrer, puis, une fois le contrôle de sécurité passé, de présenter leur carte à un lecteur sans contact tout en posant l'index sur un lecteur d'empreintes digitales. Un journaliste de la rédaction a testé le procédé. Reportage à découvrir en vidéo ou en texte. (...)

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