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(19/12/2008 18:02:49)

Dell s'attaque aux excès d'emballage

Comme nombre de constructeurs informatiques, Dell a entrepris de diminuer de façon drastique la quantité d'emballage utilisée pour ses produits. Motivé tout autant par les réductions de coûts que par l'envie de sauver la planète, il espère économiser 8 M$ dans les quatre prochaines années, et éliminer environ 10 000 tonnes de matériaux (une estimation pour laquelle Dell a utilisé le calculateur de l'Environmental defense fund). Le constructeur exploitera de nouveaux matériaux tels que le polyéthylène haute densité (HDPE) qui est constitué à 100% d'éléments recyclés à partir de bouteilles de lait par exemple. Outre ses efforts sur l'emballage, Dell en profite pour proposer à ses clients (uniquement américains pour l'instant) le Greenprint Advisor. (...)

(19/12/2008 17:45:42)

Microsoft donne le détail de l'implémentation d'ODF dans le SP2 d'Office

Petit à petit, la promesse de Microsoft prend corps. L'éditeur promeut en effet dorénavant une politique d'interopérabilité et de transparence. Cette fois, c'est la façon dont ODF (Open Document Format), le format de document utilisé par OpenOffice, est implémenté dans le Service Pack 2 d'Office 2007 qui fait l'objet d'une documentation. Peter Galli, ancien journaliste embauché récemment dans l'équipe Open Source de Microsoft (dirigée par Sam Ramji) pour gérer la communauté, écrit sur son blog : « La publication de ces notes est d'importance, car cela explique les raison qui ont conduit à certaines décisions prises lors de l'implémentation. L'ouverture et la transparence permettent aux développeurs d'opérer leurs propres choix d'implémentation en toute connaissance de cause. » (...)

(19/12/2008 16:14:12)

Le statut de l'auto-entrepreneur prêt pour démarrer le 1er janvier

C'est dans le grand amphithéâtre de l'Université Paris Dauphine qu'Hervé Novelli, secrétaire d'état aux PME, a présenté hier, jeudi 18 décembre, le très attendu statut d'auto-entrepreneur. Celui-ci permettra à tout un chacun (à partir de 18 ans), étudiant, chômeur, salarié, fonctionnaire ou retraité, de lancer une activité professionnelle en s'inscrivant en ligne à partir du 1er janvier prochain. L'un des grands atouts du statut, c'est qu'aucun prélèvement social ni fiscal n'est effectué tant qu'il n'y a pas de chiffre d'affaires. Celui-ci sera déclaré chaque mois ou chaque trimestre et c'est sur son montant que seront alors calculées les charges sociales et fiscales, dans un prélèvement fusionné et forfaitaire : 13% pour les activités d'achat et de revente (sur un chiffre d'affaires annuel qui doit être inférieur à 80 000 €) et 23% pour les activités de service (sur un CA annuel inférieur à 32 000 €). Parmi les activités libérales concernées par ce statut figurent, notamment, le conseil en informatique et en organisation, les informaticiens et les formateurs. Un prélèvement groupé et libératoire « Nous avons été un peu dépassés par le succès », a reconnu Hervé Novelli devant quelques 300 auditeurs, en expliquant que le site de l'auto-entrepreneur, ouvert le 17 novembre, avait déjà enregistré plus de 24 000 pré-inscriptions. Le secrétaire d'Etat n'hésite pas à qualifier le nouveau statut de révolutionnaire tant par le mode d'enregistrement de l'activité que par la mise en place d'un prélèvement libératoire pour les charges et taxes. « Il s'agit d'un régime ultra-simple pour démarrer une activité, ouvert à tous et puissamment démocratique », a-t-il affirmé avant de prendre les questions des candidats à l'auto-entreprise réunis dans l'amphithéâtre. Aux côtés d'Hervé Novelli, se tenaient François Hurel, auteur du rapport remis en septembre 2007 pour une meilleure reconnaissance du travail indépendant -première étape du parcours qui a mené au statut, Jean-Claude Volot, président du conseil de l'APCE (agence pour la création d'entreprises) et Maria Novak, présidente de l'Adie (association pour le droit à l'initiative économique) ; chacun d'entre eux ayant défendu avec conviction la nécessité de simplifier enfin et au plus vite le processus de création d'entreprise en France. « Toutes les questions complémentaires peuvent être adressées à l'APCE », a proposé Jean-Claude Volot. La mise en place du statut ayant été menée très rapidement, certains points sont encore imprécis. On ne sait pas encore avec certitude, par exemple, si le dispositif permet un cumul avec l'Acre (aide à la création ou la reprise d'entreprise). « Le statut peut intéresser deux types de consultants », selon le CICF La possibilité de créer une auto-entreprise étant ouverte aux salariés, le cumul d'activité s'envisage donc facilement. Les risques d'usages abusifs du statut ont également été évoqués hier. Ils sont divers. « Il ne s'agit pas d'exercer une activité sans en avoir les compétences, a évoqué avec évidence François Hurel, ni de proposer ses services aux clients de son employeur ». Un kit de l'auto-entrepreneur a été édité. Il comprend, outre un guide récapitulatif, des modèles de facture et un livre chronologique des recettes complété d'un registre des achats, pour tenir une comptabilité allégée. Les formulaires de déclaration doivent être mis à disposition à partir du 1er janvier 2009 sur le site. Interrogé sur le nouveau statut, Jean-Claude Tremintin, président de CICF-Management et administrateur de la CICF (chambre de l'ingénierie et du conseil de France), reconnaît que ce nouveau dispositif « facilite de manière générale l'exercice d'une activité indépendante, en complément de son activité première ». Il souligne toutefois que cette situation existait déjà, à condition que le chiffre d'affaires réalisé ne dépasse pas 10 000 à 12 000 euros Pour Jean-Claude Tremintin, le nouveau statut peut intéresser deux types de consultants, d'une part « les personnes déjà salariées qui souhaitent s'adjoindre une activité partielle de conseil », et d'autre part « les retraités qui veulent utiliser leurs compétences à temps partiel ». Le président de CICF-Management note par ailleurs que, « pour la profession, ce n'est que l'expression légalisée d'une concurrence déjà existante, soit par le biais du portage salarial », soit en recourant aux dispositions déjà prévues. Par ailleurs, tout en reconnaissant pour les personnes concernées l'intérêt de pouvoir exercer totalement légalement, il juge tout de même que « ces personnes ne s'impliqueront jamais comme de véritables entrepreneurs dans notre profession en maintenant ce statut ». Sur l'évolution de l'activité, le guide de l'auto-entrepreneur évoque effectivement une « sortie en douceur du régime de la micro-entreprise, en particulier si le chiffre d'affaires augmente. (...)

(19/12/2008 15:24:15)

Sun conduit le projet Aegis pour l'accessibilité des handicapés aux contenus numériques

Sun vient d'annoncer être officiellement à la tête du consortium Aegis, un projet soutenu par l'Union européenne destiné à améliorer l'accessibilité des personnes handicapées aux contenus numériques. Sun - et plus exactement Peter Korn, « accessibility architect » chez Sun et directeur technique du projet Aegis - se retrouve ainsi diriger un effort auquel contribuent une vingtaine d'entreprises en Europe et au Canada. En fait, Peter Korn avait déjà annoncé la chose il y a deux mois sur son blog. Et notamment le fait que sur les 12,6 M€ du projet, l'Union européenne fournissait 8,2 M€. Aegis - pour open Accessibility Everywhere : Groundwork, Infrastructure, Standards - vise à développer un standard pour que les ordinateurs, les appareils mobiles sous Java et les « applications Internet riches » (RIA) soient accessibles facilement aux personnes handicapées. Ce standard, baptisé Open Accessibility Framework (OAF), sera basé dans la mesure du possible sur des technologies Open Source, a expliqué Sun. Il existe déjà plusieurs initiatives allant dans ce sens pour divers logiciels, dans la communauté Gnome, dans la communauté OpenOffice, et bien sûr chez Microsoft. Sun précise d'ailleurs à ce propos qu'il ne cherche pas à les concurrencer, mais à fournir un standard sur lequel chacun pourra s'appuyer. (...)

(19/12/2008 15:23:15)

Les salariés de STMicroelectronics Tours au chômage partiel

Le chômage partiel commence à gagner l'industrie des composants. Lors d'un CE extraordinaire qui a eu lieu mercredi 16 décembre, la direction de STMicroelectronics Tours a annoncé sa volonté de recourir, début 2009, au chômage partiel. Cette mesure concerne la quasi totalité des salariés du site d'Indre et Loire : sur les 1 500 personnes employées à la production du site de Tours, près d'un millier seront en inactivité pendant une période de trois semaines, entre janvier et mars 2009. En conséquence, leur salaire brut sera amputé d'environ 10% ce qui provoque l'indignation des syndicats : « ST Microelectronics a pour actionnaires de référence les Etats français et italien, rappelle Marc Leroux délégué syndical central CGT de STMicroelectronics France. La société est donc largement subventionnée par l'Etat français et les collectivités locales et elle jouit d'une situation financière qui n'impose pas une telle décision. » Dans un communiqué publié en février 2008, l'Elysée ne manquait pas de souligner le « caractère stratégique des activités de STMicroelectronics », précisant que cette prise de participation visait à préserver un actionnariat stable entre les parties françaises et italiennes, afin de favoriser le développement de la société et son indépendance. Problèmes de facturation, recul de la demande et report des commandes ST Microelectronics, qui emploie actuellement 52 000 personnes, dont 11 000 en France, a annoncé que son chiffre d'affaires pour le quatrième trimestre serait en dessous des prévisions indiquées. La société prévoit entre 2,2 milliards et 2,35 milliards de dollars de CA sur cette période, à comparer aux 2,7 milliards de dollars du trimestre précédent, soit une évolution séquentielle qui se situe dans une fourchette comprise entre environ -12,8% et -18,4%. La révision de cette prévision de chiffre d'affaires est la conséquence du ralentissement récent dans les facturations, des changements récents et importants de la demande et des reports de commandes pour le mois de décembre. Cette situation reflète les faiblesses déjà connues dans l'industrie, dans la plupart des régions et segments de marchés, et en particulier dans les communications sans fil, l'automobile et les périphériques informatiques. (...)

(19/12/2008 15:03:11)

SAP juge les Xeon X5570 deux fois plus performants que les X5470

Au banc d'essai Ventes et distribution en architecture multi niveaux de SAP, un système animé par deux processeurs Nehalem (Xeon X5570 à 2,93 GHz) délivre une capacité de traitement presque deux fois plus importante qu'un autre, à configuration similaire, mais équipé de deux Xeon X5470 à 3,33 GHz. Plus intéressant encore, un serveur à base de deux Xeon X5570 à 2,93 GHz Nehalem délivre une capacité de traitement à peine inférieure à celle d'un système animé par quatre Xeon X7460 à 2,66 GHz. Pour l'instant, SAP n'a publié de mesure avec des serveurs équipés de processeurs Shanghai d'AMD qu'en configuration octoprocesseur. Il faudra encore attendre pour connaître les performances en configurations biprocesseur de ces Opterons 8384 gravé en 45nm à 2,7 GHz et les comparer avec celles des Xeon X5570. (...)

(19/12/2008 12:57:12)

Aberdeen : il faut protéger les bases de données de l'intérieur

Alors que le périmètre extérieur des réseaux d'entreprises a été considérablement renforcé, la véritable menace aujourd'hui sur les bases de données (SGBD) vient de l'intérieur. Une étude d'Aberdeen Group auprès de 120 grandes entreprises a mis évidence le rapport proportionnellement inverse entre les brèches de sécurité et les mesures de sécurité interne. Mieux : les entreprises les plus vertueuses en matière de sécurité sont aussi celles qui savent gérer les environnements les plus complexes avec des coûts inférieurs. En s'appuyant sur une enquête déclarative et un certain nombre d'entretiens individuels, Aberdeen a recensé les meilleures pratiques en matière de sécurisation des données critiques. Le cabinet indique que selon les estimations des entreprises et des analystes, les SGBD stockent entre 62% et 90% des données critiques d'une société. Autant dire, conclut Aberdeen, que tous les oeufs sont dans le même panier. Il convient donc de choisir des paniers solides, de combler les trous dès qu'ils apparaissent, de surveiller la circulation du panier, de brouiller ou mélanger certains oeufs... En termes de conseils moins métaphoriques et plus technologiques, cela se traduit notamment par : - recourir aux mécanismes de sécurité inclus dans les SGBD : cryptage des données, gestion différenciée des rôles des DBA (de par la nature de leur travail, les administrateurs de bases de données représentent en effet la menace la plus importante), outils d'audit, etc. ; - utiliser un outil de supervision tiers (DAM, Database activity monitoring), qui enregistre les activités de toutes les bases et peut agir de façon automatisée en cas de violation d'une règle de sécurité (en émettant une alerte, en bloquant un utilisateur, etc.) ; - adopter une technique de « data masking », masquant la véritable nature des données, notamment lors de phases de développement et de test ;[[page]] - créer éventuellement des bases spécifiques (« database vaults ») pour le traitement de données ultra-sensibles (Aberdeen précise que de plus en plus d'entreprises recourent à cette méthode afin de pouvoir être conformes au nouveau standard de l'industrie des cartes bancaires, PCI DSS, Payment card industry data security standard) ; - adopter une technique de chiffrement préservant le format des données (utile lorsqu'une même données est partagée par plusieurs bases) ; - passer au « virtual patching » : un système tiers se charge de surveiller la publication de rustines par les éditeurs, et d'ériger un bouclier prenant en compte ces mises à jour de sécurité sans qu'il soit besoin d'arrêter la base et de tester toutes les dépendances applicatives. Toutefois, tout ne réside pas dans la technologie. Aberdeen met aussi l'accent sur : - Les processus. Avant de réfléchir aux techniques de sécurité, il faut réfléchir aux processus : quelles sont les données sensibles, à quel rythme faut-il pratiquer des audits, quelles règles de supervision faut-il mettre en place ? - L'organisation. Les entreprises aux SGBD les plus sûrs ont mis en place une équipe chargée de la sécurité, ainsi qu'une politique de formation. - La gestion des connaissances. Aberdeen place sous ce vocable les bonnes pratiques en matière de supervision humaine : savoir lire et interpréter les rapports d'audit, afin d'éditer des règles métier susceptibles de protéger les données sans handicaper le fonctionnement opérationnel des applications. (...)

(19/12/2008 12:54:54)

Orange menacé de perdre l'exclusivité de ses contenus audiovisuels

Le mercredi 17 décembre restera pour Orange une journée noire. Les députés, dans le cadre de l'examen du projet de loi sur le nouveau service public de la télévision, ont en effet adopté un amendement qui remet en cause la stratégie de l'opérateur historique en matière de fourniture de contenus. Déposé par des parlementaires UMP, l'amendement dispose que « la commercialisation d'une offre de services de communication audiovisuelle par voie électronique éditée par un opérateur de communications électroniques ne peut être réservée aux seuls abonnés aux offres d'accès à Internet de ce même opérateur. » En clair : il ne devrait pas être obligatoire de souscrire un abonnement auprès du FAI Orange pour recevoir les chaînes foot et cinéma du diffuseur Orange. « Les consommateurs doivent avoir la liberté de choix de leur prestataire sur chaque type de services », expliquent les édiles qui proscrivent l'enfermement du consommateur « dans une relation exclusive avec un prestataire unique pour des services de nature différente. » Même si l'amendement ne cite pas explicitement Orange, la référence à cet acteur semble évidente dans la mesure où il est le seul à conditionner l'accès à des contenus exclusifs à ses abonnés à Internet. La rue de Valois opposée à l'amendement Si le texte venait à être adopté dans les mêmes termes par les Sénateurs, qui en feront lecture en janvier, les chaînes cinéma et foot - cette dernière coûtant 203 M€ par an à l'opérateur historique - devront être accessibles depuis les bouquets proposés par tous les FAI. Cette éventualité semble néanmoins improbable : la ministre de la Culture paraît décidée à tout faire pour convaincre les locataires du Palais du Luxembourg de confirmer le vote des députés. Christine Albanel estime en effet que l'amendement induit une diminution de la concurrence entre des acteurs qui « ne pourraient plus se démarquer aux yeux du consommateur. » Si ce 17 décembre était à marquer d'une pierre noire en ce qui concerne le FAI Orange, l'opérateur mobile éponyme a également vécu une journée délicate. Le Conseil de la concurrence a en effet suspendu l'accord d'exclusivité liant Orange et Apple pour la commercialisation de l'iPhone en France. Résultat de cette décision : Bouygues et SFR vont pouvoir distribuer à leur tour le smartphone à la pomme. (...)

(19/12/2008 12:51:50)

La hausse du dollar émousse le deuxième trimestre d'Oracle

Oracle a annoncé jeudi des résultats légèrement en deçà de ses prévisions pour son deuxième trimestre clos le 30 novembre. La faute principalement à la remontée du dollar, selon l'éditeur. Sur ce trimestre, le chiffre d'affaires global d'Oracle a atteint 5,6 Md$ en normes Gaap, en hausse de 6% par rapport au même trimestre l'an dernier (non Gaap : 5,7Md$, +6%). Le bénéfice trimestriel, lui, a perdu 1% sur l'an dernier, avec 1,3 Md$ (non Gaap : 1,7 Md$, +8%). Le revenu Gaap par action se contente de 0,25 $ alors qu'il aurait atteint 0,29$ sans la hausse de la monnaie américaine (le revenu non-Gaap atteint 0,34$, en phase avec les prévisions des analystes). Par rapport à la même période l'an dernier, les ventes de licences ont cru de 8% ce trimestre, mais les nouveaux logiciels ont perdu 3%. Là-encore, face aux analystes, Oracle a blâmé les fluctuations des taux de change avec le dollar qui ont mécaniquement réduit la valeur de certaines ventes réalisées hors des Etats-Unis. Le chiffre d'affaires de la maintenance a augmenté de 20% et les services de 5% (Gaap). Plusieurs contrats emportés face à Salesforce L'éditeur a profité de l'annonce de ses résultats trimestriels pour se féliciter de sa plus importante signature de contrat de gestion des forces commerciales en ligne. Une opération qui lui aurait permis de dépasser son rival en la matière, Salesforce.com. Selon le PDG d'Oracle, Larry Ellison, le client concerné, dont il n'a pas dévoilé le nom, aurait même quitté Salesforce pour Oracle. Il a ajouté qu'il ne s'agissait pas du seul succès emporté sur son concurrent ce trimestre. L'éditeur a également vendu sa première Database machine, une offre couplant serveurs et base de données, concoctée avec HP. Larry Ellison a aussi évoqué la poursuite de sa série d'acquisitions. « Certaines sociétés sont évaluées à des prix beaucoup plus attractifs aujourd'hui, a-t-il expliqué, mais je ne suis pas sûr qu'elles soient particulièrement enthousiastes à l'idée d'une vente. Oracle recherche des opportunités de grosses acquisitions si le prix est juste. » (...)

(19/12/2008 09:26:32)

Le Brésilien Positivo ne veut pas être racheté par Lenovo, mais veut bien d'une alliance

Lenovo n'achètera pas le fabricant de PC brésilien Positivo. Du moins, pas tout de suite. Le constructeur chinois, 4e fournisseur mondial, avait fait une offre pour acquérir la majorité du capital de Positivo Informatica, mais les deux entreprises ont finalement expliqué qu'étant donné le contexte incertain, les négociations s'arrêtaient là. Visiblement, la somme offerte par Lenovo n'était pas suffisante aux yeux de Positivo, et le Chinois n'a pas souhaité surenchérir. Pour IDC, il est probable que les actionnaires n'aient pas souhaité vendre, alors que l'action est au plus bas : Positivo a perdu plus de 80% de sa valeur boursière en un an, et même avec la hausse liée aux spéculations sur un éventuel rachat, sa capitalisation est restée sous la barre du milliard de reals (moins de 280 M€). En revanche, le constructeur brésilien s'est dit ouvert à des propositions de partenariat, et Lenovo a déclaré en examiner l'opportunité. D'après la presse brésilienne, Positivo serait aussi considéré comme une cible potentielle par Dell. Confrontés à des marges qui diminuent de façon drastique sur les PC, les fabricants cherchent en effet à étendre leur volume d'affaires. Lenovo - dont le rapport annuel 2007/2008 fait apparaître une réserve nette en cash de 1,6 Md$ - serait ainsi en pourparlers avec Fujitsu-Siemens : il semblerait que Fujitsu, désormais seul capitaine à bord, cherche à se désengager du marché des PC. (...)

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