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(22/12/2008 17:38:49)

Harry 8 analyse plus de 2 Go de données en mémoire

Figurant parmi les offres décisionnelles historiques, apparue dès la fin des années 80, la suite Harry (reporting, tableau de bord, analyse multidimensionnelle, portail) est livrée depuis novembre dans sa version 8, qui supporte Windows Vista et le standard Unicode. Si cette suite s'utilise avec des SGBD classiques comme Oracle et Sybase, elle présente surtout l'intérêt de pouvoir s'appuyer sur une base de données 'orientée colonnes' (Harry Vector Server) pour analyser en mémoire de gros volumes de données. Cette aptitude la rend particulièrement bien adaptée aux requêtes ad hoc. Dans la version 8, la barrière des 2 Go en mémoire a été levée. « On peut désormais monter en mémoire, depuis les datamarts, autant de données à analyser que l'on veut », indique Tom Pertsekos, directeur marketing produits du pôle BI de Coheris (qui a racheté Harry fin 2004). Il rappelle que la solution a vocation à traiter des centaines de Go de données, voire quelques téraoctets « avec des temps de réponse tout à fait acceptables ». La suite compte 200 clients en France, notamment dans les secteurs de la banque (la BNP compte une dizaine de milliers d'utilisateurs pour des applications de reporting), de l'assurance, de la grande distribution ou encore dans le secteur industriel. API, services Web et visualisation 3D La version 8 d'Harry facilite également l'intégration de fonctions d'analyse dans des applications métiers ou des portails, par l'intermédiaire d'API (interfaces de programmation), d'exposition de services Web ou de portlets. L'éditeur prépare pour l'année prochaine les outils qui permettront de bâtir des applications composites (mash-up), précise Tom Pertsekos. Autre nouveauté, les utilisateurs s'abonnent désormais à des rapports afin d'être avertis, par courriel, à chacune de leur mise à jour (pièce jointe ou lien hypertexte). Enfin, l'interface utilisateur et la visualisation graphique ont également été sensiblement améliorées. Il est possible de construire les analyses à la souris, par 'glisser/déplacer' à partir d'un cube multidimensionnel. Des fonctions de visualisation en 3D ont été ajoutées et l'utilisateur peut cliquer directement sur les graphiques pour zoomer sur l'information, effectuer des tris ou appliquer des filtres. Développer le CRM analytique [[page]]Tom Pertsekos rappelle par ailleurs l'existence, au sein de Coheris, de l'offre d'analyse statistique et de datamining Spad, « tout à fait complémentaire à ce que fait la suite Harry ». Coheris, principalement spécialisé dans les solutions de gestion de la relation client (CRM), entend faire évoluer son offre de CRM analytique. « Il y a énormément de choses à faire dans ce domaine, notamment sur l'analyse des retours clients ou l'étude d'enquêtes, pour lesquelles nous nous appuyons sur les fonctions de text mining de Spad », souligne Tom Pertsekos. (...)

(22/12/2008 16:42:24)

Freescale supprime près de 200 emplois à Toulouse

Le fabricant de semi-conducteurs Freescale fait les frais de la dégradation du marché automobile. Le site toulousain du groupe, spécialisé dans la production de composants électroniques pour automobiles, vient en effet d'annoncer un PSE (plan de sauvegarde de l'emploi) qui se soldera par la suppression de 170 emplois à la production (opérateurs, techniciens et ingénieurs) et au support. Ce plan devrait s'effectuer par la voie des départs volontaires ouverte jusqu'au 17 janvier 2009. Limiter la casse grâce au temps partiel Lors d'un CE qui a eu lieu le 19 décembre, la CGT de Freescale a demandé la mise en place d'une commission de pilotage d'exécution du PSE, chargée de suivre l'évolution de l'emploi et les mesures d'accompagnement. L'organisation syndicale recommande également de faire appel au volontariat pour la mise en place de temps partiels choisis dans le but de réduire le nombre des licenciement. Enfin, elle demande l'annulation d'une procédure portant sur des changements concernant les équipes de week-end et de nuit, « afin de faire cesser la pression mise sur ces équipes en plein déroulement du PSE. ». En 2007, l'établissement toulousain de Freescale avait annoncé la suppression d'un peu plus d'une centaine d'emplois (dont la moitié d'ingénieurs, de cadres et techniciens). La même année, le fabricant annonçait son retrait du site de Crolles (250 salariés) pour la partie production. (...)

(22/12/2008 16:01:10)

La rupture de câbles sous-marins plonge le Web moyen-oriental dans le noir

Les liaisons Internet et téléphoniques entre l'Europe et la région Asie / Moyen Orient sont chaotiques depuis la rupture, vendredi 19 décembre, de trois câbles sous-marins, explique France Télécom. Les lignes ont été rompues au petit matin entre la Sicile et la Tunisie, « sur des segments reliant la Sicile et l'Egypte », précise l'opérateur historique. France Télécom, qui ignore encore l'origine de cette rupture, évoque deux hypothèses : un tremblement de terre qui se serait déclenché à grande profondeur, ou l'ancre d'un bateau qui aurait accroché les câbles. Sur les trois câbles sectionnés, deux - Sea Me We 3 et Sea Me We 4 - relient les pays situés entre la France et Singapour. Le troisième - Flag - relie le Royaume-Uni au Japon. Tous se trouvent à une profondeur de 200 à 400 mètres. Un navire-câblier, le Raymond Croze, a rapidement été envoyé sur les lieux de l'incident, chargé de 20 kilomètres de câbles de rechange. Si les liaisons transitant par Sea Me We 4 sont censées être totalement rétablies au soir du 25 décembre, il faudra attendre le 31 décembre pour que l'ensemble des communications soient à nouveau opérationnelles. Un délestage par les Etats-Unis D'ici là, de nombreux pays restent affectés par ces ruptures. Ainsi, 82% du trafic voix entre l'Inde et l'Europe étaient hors service vendredi, un taux ramené depuis à 60%. L'Arabie Saoudite, l'Egypte, la Malaisie et la Réunion sont également touchées. En attendant la réparation des câbles endommagés, France Télécom explique que « le trafic 'Business to business' entre l'Europe et l'Asie est rerouté pour l'essentiel via les Etats-Unis. » En janvier 2008, les câbles Sea Me We 4 et Flag avaient déjà été sectionnés, par la faute d'un navire ancré au large d'Alexandrie. L'ensemble du Moyen-Orient avait alors souffert d'une perte de connexion au Web, l'Egypte étant le pays le plus affecté par les dysfonctionnements. (...)

(22/12/2008 13:00:58)

Pierre Chappaz, fondateur de Kelkoo, lève le pied sur le Web

Le PDG du portail d'information Wikio, Pierre Chappaz, vient d'annoncer sur son blog qu'il allait mettre un terme (provisoire ?) à ses activités Internet, y compris peut-être sur son blog. Le co-créateur en 1999 du site Kelkoo, spécialisé dans la comparaison de prix sur le Web et revendu à Yahoo en 2004, se dit « écoeuré de l'ambiance qui règne sur le Net français ». Il se dit lassé d'être la cible d'attaques, souvent personnelles, en tant que patron de Wikio, ancien dirigeant de Kelkoo et acteur très visible du Web. Yahoo, qui avait acheté Kelkoo pour 475 M€ en 2004, l'a revendu en novembre dernier à un fond d'investissement pour moins de 100 M€. Pierre Chappaz a également investi dès 2005 dans le portail agrégateur de flux RSS Netvibes. Il a co-dirigé l'entreprise avant de quitter l'aventure en juillet 2007 à la suite d'un désaccord avec le fondateur du site, Tariq Krim, sur la stratégie de distribution et de monétisation de la société. Il était néanmoins resté actionnaire de Netvibes, désormais dirigée par Freddy Mini. En janvier 2008, Pierre Chappaz avait par ailleurs pris la direction d'ebuzzing.com, plateforme de mise en relation entre annonceurs et créateurs de contenus en ligne. (...)

(22/12/2008 12:55:21)

Bilan 2008 : l'administration Obama adepte des TIC et du green IT

Difficile de ne pas qualifier l'élection de Barack Obama à la présidence des Etats-Unis d'événement de l'année 2008. Y compris dans le monde des TIC. Son Blackberry toujours en main, le futur président américain est aussi un adepte du Web 2.0. Son équipe a, certes, mené une campagne classique, avec appels téléphoniques et porte-à-porte, mais elle a aussi exploité tous les recoins des blogs et des réseaux sociaux. Au cours de cette campagne, Barack Obama a également pris conseil auprès des patrons des nouveaux grands de l'IT, qu'il s'agisse de Google ou de Facebook. Parmi ceux qui auront la charge des nouvelles technologies, il a même déjà désigné Sonal Shah, une ancienne responsable de Google.org. En effet, depuis l'élection du 4 novembre, la nouvelle administration prend forme et confirme cet intérêt du futur président pour les TIC. Selon Barack Obama, ces dernières sont même une des clés de la relance économique et il les place au coeur de son « new deal » destiné à sortir les Etats-Unis de la crise. Mais ce n'est pas tout. Pour le futur président, les TIC représentent aussi un des meilleurs moyens de résoudre la question du réchauffement climatique. Pour preuve, la toute récente nomination de Steven Chu, prix Nobel de physique et adepte d'une informatique plus respectueuse de la Planète, pour s'occuper de l'énergie et de l'environnement. A lire sur ce sujet : - le 17 décembre : Un adepte du green IT en charge de l'énergie et de l'environnement pour Obama - Le 8 décembre : Barack Obama compte aussi sur les TIC pour relancer l'emploi aux Etats-Unis - Le 19 novembre : Le patron de Google encourage Barack Obama à miser sur les technologies - Le 17 novembre : Les prémices de la politique Obama 2.0 - Le 6 novembre : Barack Obama choisit ses responsables high-tech - Le 6 novembre : Barack Obama élu président des Etats-Unis - Le 5 novembre : Elections américaines : l'utilisateur de Blackberry le plus célèbre du monde l'emporte (...)

(22/12/2008 12:52:45)

Bilan 2008 : la percée du Web 2.0 en entreprise

Comment concilier les nouveaux usages du Web (que l'on nomme abusivement Web 2.0) et les pratiques de l'entreprise ? Le succès des blogs et des réseaux sociaux a mis en évidence l'émergence d'une nouvelle génération, familière des outils, mais pas forcément technique dans l'âme, les « digital natives ». Qu'elles le veuillent ou non, les entreprises doivent prendre en compte ce phénomène. D'une part, parce que quelles que soient les mesures de sécurité mises en place, ses collaborateurs font fi des frontières érigées entre les outils personnels et les outils professionnels, et exigent de ces derniers la même fluidité, la même simplicité. Plutôt que de subir ces nouveaux usages, il vaut donc mieux les encadrer. D'autre part, les entreprises ont tout intérêt à savoir utiliser ces nouveaux outils et ces nouveaux usages à leur propre profit. Le Web 2.0 est en effet un espace où s'instaure un dialogue inédit entre les représentants d'une entreprise et ses clients ou ses partenaires, et où les « digital natives » peuvent au mieux exprimer leur talent. Pourquoi ne pas en tirer parti ? A lire, à regarder et à écouter sur ce sujet : - Le réseau social Viadeo ouvre un espace entreprise pour les PME - Le Cebit invente l'expression « webciety » pour société et Web 2.0 - Tribune libre : les 'digital natives' en coaches technos des managers - Lancement en France de Worketer.com, un réseau social destiné aux informaticiens - Débat vidéo : l'entreprise 2.0, mythe ou réalité - En 2013, selon Forrester Research, le marché des outils du Web 2.0 en entreprise devrait peser 1,8 milliard de dollars - Réseaux sociaux et CV vidéo pertinents ou pas pour se faire recruter ? - Les réseaux sociaux, source d'information pour les entreprises - Google, Microsoft, Facebook et MySpace au Web 2.0 Summit : Microsoft a-t-il perdu la bataille du Web ? - Dossier : comment tirer parti des atouts des 'Digital natives' en entreprise - Les seniors bel et bien compatibles avec le Web 2.0 - Entreprise et Web 2.0 : le nouveau pouvoir des conversations - Etude Jemm Research : quels outils pour le Web 2.0 en entreprise - Etude IBM : comment adapter l'entreprise aux consommateurs 2.0 - Les mashups d'entreprise vedettes de la Web 2.0 Expo - Les entreprises encore très réticentes face au Web 2.0, d'après MessageLabs - Le réseau social, nouveau canal de recherche d'emploi - Micropole-Univers s'intéresse au dialogue social via le Web 2.0 - La conférence Demo montre un Web 2.0 plus professionnel - Les outils du Web 2.0 utilisés par un cinquième des entreprises, selon Changewave (...)

(22/12/2008 12:22:26)

Sondage flash : les sanctions contre le téléchargement illégal n'ont pas la cote

Nos lecteurs et le ministère de la Culture n'ont guère de vision commune sur les mesures à mettre en oeuvre pour endiguer le téléchargement illicite. La rue de Valois a passé une partie de l'année 2008 à tenter de convaincre du bienfondé de son projet de loi Création et Internet (dit Hadopi) - qui vise à punir les internautes indélicats en résiliant leur abonnement à Internet. Des efforts qui n'auront pas suffi à persuader nos lecteurs que cette voie est la bonne : seule une minorité d'entre vous estime qu'il faut en passer par des sanctions pour mettre fin au téléchargement illégal. Sur les 1813 suffrages exprimés, 5,4% jugent ainsi favorablement les desseins de Christine Albanel et considèrent qu'il convient de suspendre l'accès à Internet des téléchargeurs compulsifs. De même, vous n'êtes que 5,6% à croire à qu'une amende serait susceptible d'inciter les internautes à respecter le droit d'auteur sur le Web. A l'inverse, vous croyez largement au principe de la licence globale, évoqué lors des discussions sur la loi Dadvsi (Droits d'auteur et droits voisins dans la société de l'information) mais rejeté à l'issu du vote final, en 2006. Ce mécanisme, plébiscité par 46% des lecteurs du MondeInformatique.fr, consiste à autoriser les internautes à télécharger toutes les oeuvres qu'ils désirent moyennant un abonnement forfaitaire qui s'ajouterait, par exemple, à la somme versée mensuellement à leur FAI, et serait ensuite versé aux ayants droit. Enfin, vous êtes 43% à estimer que le téléchargement illégal est une dérive à laquelle nulle mesure ne saurait mettre fin. 780 d'entre vous considèrent ainsi ce phénomène comme une dérive inhérente au Web, à laquelle les mesures préventives, pas davantage que les sanctions répressives, pourraient apporter une réponse efficace. (...)

(22/12/2008 11:36:41)

Ovum regarde le cloud computing avec circonspection

C'est au tour du cabinet de consultants Ovum de souligner l'immaturité du cloud computing. Bien après une prise de position déjà réservée du Gartner Group, cette nouvelle étude confirme qu'il serait prématuré de quitter la rassurante architecture client-serveur pour les charmes d'une informatique répartie dans le nuage. Du moins pour les applications critiques. Cet avertissement posé, Ovum prédit, tout comme IDC, que la crise économique actuelle stimulera l'intérêt des entreprises pour les économies engendrées par une facturation à l'usage de ressources de Cloud computing. Un modèle que proposent désormais, la plupart des grands acteurs de l'informatique professionnelle. Même si le rapport Ovum ne dit rien de l'impact à moyen terme du cloud computing sur les DSI, il rappelle que l'engouement des fournisseurs en fait toutefois une tendance de fond, une mutation architecturale irréversible. Le cloud computing résulte de deux évolutions technologiques majeures : la virtualisation et l'ubiquité d'Internet. Conjuguées dans le cloud computing, elles répondent élégamment à la difficulté croissante des entreprises à gérer et à administrer un système d'information toujours plus complexe. Le Gartner prédit d'ailleurs l'émergence de clouds privés chez les grands comptes. Quant aux PME, elles ne devraient pas voir dans cette architecture une façon efficace de gérer un système d'information déjà existant, mais plutôt un moyen d'éviter l'écrasante charge de sa mise en place et, surtout, de son évolution. (...)

(19/12/2008 18:08:25)

+2,5% sur les budgets IT du secteur public en 2009, selon Markess

En 2009, les budgets informatiques des administrations françaises ne devraient augmenter que de 2,5%, en moyenne, alors qu'ils ont progressé de +6,5% entre 2007 et 2008 pour l'ensemble du secteur public. Ce sont les prévisions qu'établit Markess International dans son étude « Bilan et perspectives TIC dans l'administration française, 2008-2010 » en s'appuyant sur une centaine d'interviews réalisées avec des responsables de l'administration centrale, d'organismes sous tutelle et de collectivités locales (*). La situation, toutefois, ne sera pas homogène pour l'ensemble des acteurs publics. Pour les ministères, par exemple, le taux prévisionnel de croissance du budget informatique se maintient à +6% par rapport à 2008 (au même niveau que l'an dernier), alors que le budget IT des organismes sous tutelle devrait stagner en 2009 ou même se réduire, notamment en raison de baisses de subventions. Quant à celui des collectivités locales, il ne devrait pas progresser de plus de 3%, non seulement en raison de la conjoncture économique difficile, mais aussi à la suite de la mutualisation de certains projets. Pour ces collectivités, les perspectives sont donc moins enthousiasmantes qu'en 2008, année au cours de laquelle la croissance de leur budget informatique a atteint 8%. La part consacrée à l'externalisation devrait progresser Au sein de ces budgets, la part consacrée à l'externalisation devrait globalement progresser pour plus de la moitié (54%) des administrations centrales et locales interrogées par Markess International. Cette évolution résulte en partie de la révision générale des politiques publiques (RGPP). Une progression contrastée toutefois puisqu'elle oscillera, selon les cas, entre +1% et +10%. Un cinquième des administrations concernées prévoit une hausse supérieure à 10%, un peu moins de 2/5e la situent entre +5 et +10% et les autres prévoient +1 à +5%. Dans l'externalisation, le cabinet d'études classe tout autant l'hébergement d'infrastructures IT ou d'applications, que le recours à l'infogérance, ou encore l'accès à des logiciels utilisés en ligne comme un service, sous forme d'abonnement. L'hébergement et l'infogérance devraient surtout être choisis par les organismes sous tutelle et les intercommunalités. Markess note que les ministères et les conseils généraux évoquent également le recours à l'infogérance. En revanche, 39% des acteurs du secteur public indiquent que la part de l'externalisation stagnera dans leur budget IT. Pour les 7% restants, elle sera même réduite. (*) Pour compléter son étude, le cabinet a également interrogé une soixantaine de prestataires informatiques. (...)

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