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(16/12/2008 16:04:11)
VMware achète Tungsten Graphics spécialiste de l'affichage
VMware a, en toute discrétion, mis la main sur Tungsten Graphics. Cette petite société, constituée de développeurs chevronnés, est spécialiste du graphisme 3D et travaille sur trois axes. Pour commencer, sur l'architecture TG-Gallium3D qui permet de créer une couche d'abstraction entre le matériel et les API. Né sous Linux, Galium3D est présenté comme opérationnel sous Windows. Ensuite sur TTM (translation-table maps) memory manager, un gestionnaire de mémoire graphique qui pallie les faiblesses de Linux dans ce domaine. Et, enfin, Mesa/DRI : Mesa est une implantation Open source de l'API OpenGL tandis que DRI (Direct Rendering Infrastructure) est un framework pour l'accès direct à la GPU (carte graphique). Il est utilisé dans tous les drivers 3D pour les postes clients sous Linux. Malgré la discrétion de VMware, il apparaît évident que le savoir-faire de Tungsten Graphics devrait contribuer à améliorer l'aspect graphique de la virtualisation des postes clients. Ce domaine est aussi crucial que complexe à résoudre sur un poste virtualisé. L'affichage est à la fois la composante la plus "lourde" à virtualiser et l'élément le plus probant pour apprécier la performance d'un poste virtualisé. (...)
(16/12/2008 15:21:34)IDC : la crise devrait favoriser le Green IT en 2009
Les difficultés économiques actuelles ainsi que le ralentissement des dépenses auquel sont confrontées les entreprises devraient finalement favoriser l'adoption des technologies dites 'vertes', indique IDC dans ses prévisions pour 2009. Le cabinet d'études pense qu'en raison des restrictions budgétaires, il est fort probable que les entreprises investiront davantage dans des projets qui leur permettront, à terme, de réaliser des économies, le Green IT, ou encore le cloud computing. Selon Frank Gens, vice-président sénior chez IDC, les entreprises commencent à prendre conscience que la transformation du système IT vers un modèle plus vert n'est pas seulement une source de coût, mais peut contribuer à réduire les dépenses. En 2009, les entreprises se tourneront vers de nouveaux systèmes de gestion de l'alimentation, que ce soit pour les postes de travail, les serveurs, les datacenters ou encore pour les locaux. HP, par exemple, estime que grâce à une optimisation de son système d'information, il pourrait parvenir à réduire ses dépenses de 1 Md$ l'année prochaine. En octobre dernier, une autre étude d'IDC montrait que le Green IT fait partie des priorités des entreprises françaises. 34% d'entre elles ont déjà mis en place des initiatives et 12% prévoient de développer une politique informatique de préservation de l'environnement au courant des prochains mois. Les raisons invoquées : réduire les coûts de fonctionnement du système d'information (80%), notamment en optimisant la consommation électrique des équipements. (...)
(16/12/2008 14:47:46)SGI supprime 15% de ses effectifs pour mieux résister à la crise
Silicon Graphics (SGI) subit à son tour les effets de la crise économique. Jeudi dernier, 11 décembre, le constructeur a annoncé qu'il prévoyait de supprimer 225 emplois dans le monde, soit 15% de ses effectifs. SGI a précisé que des coupes seraient effectuées dans différentes fonctions de haut niveau, sans pour autant entrer dans le détail des postes concernés. « L'impact de la crise des crédits et une économie mondiale fragilisée contraignent le groupe, ses clients et également ses concurrents à réduire le niveau des dépenses », a justifié Robert Ewald, PDG de la société, dans un communiqué. Il a ajouté que « les décisions difficiles d'aujourd'hui nous aideront à conserver de l'élan et un modèle économique plus fort et durable ». Pour aller de l'avant, la société entend maintenir l'accent sur la fourniture de solutions qui répondent à l'évolution des besoins de ses clients. Outre l'adaptation de ses prévisions d'investissements à la réalité du marché et la réduction de ses coûts opérationnels, SGI compte également renforcer la couverture de ses services à l'international, en nouant des partenariats, comme il l'a déjà fait au Japon et en Corée. Enfin, le constructeur continuera d'investir dans des technologies clés, notamment dans sa prochaine gamme de serveurs ainsi que ses outils de visualisation. (...)
(16/12/2008 12:29:07)Réforme de l'audiovisuel : la taxe sur les FAI et les opérateurs mobiles adoptées
L'examen du projet de loi sur le nouveau service public de la télévision avance à petits pas. Ce rythme de sénateur adopté par les députés n'a cependant pas empêché ces derniers d'adopter les articles prévoyant la création d'une taxe sur le chiffre d'affaires des opérateurs télécoms et des fournisseurs d'accès à Internet. Ces deux catégories d'entreprises seront prélevées à hauteur de 0,9% de leurs revenus, comme le prévoyait l'avant projet de loi. Et l'amendement qui proposait d'indexer la hauteur de cette taxe sur le chiffre d'affaires des acteurs considérés - ce qui aurait allégé le prélèvement affectant les plus petits acteurs - n'a pas été retenu. L'auteur de ce dernier amendement, Jean Dionis du Séjour, député Nouveau Centre du Lot-et-Garonne, n'a pas été avare de reproches à l'encontre de Christine Albanel, la ministre de la Culture. Selon lui, l'idée d'imposer les FAI et opérateurs mobiles est proche de l'hérésie : « Vous auriez pu choisir la légitimité, le courage politique, en augmentant la redevance. Vous ne l'avez pas fait. Vous auriez pu faire en sorte qu'il y ait au moins un rapport entre l'objet taxé et l'objet soutenu, en choisissant, par exemple, de taxer les écrans de télévision. Vous ne l'avez pas fait. » D'inévitables conséquences sur les investissements des opérateurs Des récriminations qui conforteront Yves le Mouël, le président de la Fédération française des télécoms, lui aussi courroucé par les dispositions adoptées. Dans un entretien à Reuters, le porte-parole des opérateurs met en garde le législateur en promettant que si le texte venait à être adopté dans les mêmes termes par le Sénat, « il y aurait des conséquences sur les investissements des opérateurs télécoms. » Une menace qui fait écho aux précédentes mises en garde des acteurs taxés sur une inévitable augmentation du montant des abonnements dont s'acquittent les abonnés. Un peu plus tôt, les édiles du Palais Bourbon avaient donné leur feu vert à l'amendement instituant une taxe sur les chaînes de télévision privées. Leurs recettes publicitaires devraient ainsi faire l'objet d'un prélèvement s'étalant entre 1,5% et 3%, « en fonction des évolutions conjoncturelles ». (...)
(16/12/2008 12:09:48)Google se défend de mettre à mal la neutralité d'Internet
Son le nom de projet OpenEdge, Google négocierait des accès privilégiés pour ses serveurs sur les réseaux des opérateurs américains. C'est du moins ce qu'a affirmé le Wall Street Journal en se fondant sur l'analyse de documents échangés entre Google et des opérateurs réseau. L'un d'entre eux se serait ému du fait qu'un accord de ce type signé avec le fournisseur californien pourrait faire tiquer la FTC (Federal Communications Commission). Google dément et pointe l'intérêt d'économiser de la bande passante Cette information fait peser sur le géant des moteurs de recherche le soupçon d'un contournement du principe de "Net neutrality" qui consiste en un accès équitable pour tous les fournisseurs de contenu. Ce qui serait en totale contradiction avec le discours de Google. Mais ce dernier s'est très rapidement fendu d'un démenti très sec dans lequel il insiste sur la différence entre la mise en cache des informations à proximité de ceux qui en ont besoin et une priorité exclusive des flux sur Internet. La mise en cache en local est le lot quotidien de sociétés comme Akamai, Limelight et du service CloudFront d'Amazon. A la différence près, soulignent les critiques, que, dans le cas de Google, il transfère en exclusivité des données sous son contrôle. Google rétorque en expliquant que la mise en place de ses serveurs-cache permet d'économiser de la bande passante. Par exemple, dès lors qu'il est mis en cache, un flux vidéo populaire n'a pas à être retransféré sur tout le réseau autant de fois qu'il est demandé. Des sommes colossales investies par Google dans ses centres serveurs [[page]] Le procès d'intention qui est fait à Google repose sur un débat très technique. La mise en place de serveurs-cache à des points stratégiques de l'infrastructure d'Internet est le pendant logique de l'effort que le Californien consent dans le déploiement de centres serveurs. La société de Larry Page et Sergey Brin investit des sommes colossales dans son infrastructure serveur. De plus, depuis fin 2005, elle se porte régulièrement acquéreur de "fibre noire" et tisse un réseau privé très performant entre ses datacenters. Des sites sur lesquels Google ne communique aucune information précise. On estime toutefois leur nombre à près d'une quarantaine de par le monde. Chacun contient a minima 150 racks ce qui donne un nombre de serveurs situés entre 200 000 et 250 000. (...)
(16/12/2008 11:48:29)Un outil Microsoft pour réutiliser les portlets SharePoint sur d'autres portails
Microsoft met à la disposition des développeurs un outil qui leur permet de réutiliser les mini-applications développées pour son portail SharePoint sur les portails d'autres fournisseurs. Sa boîte à outils WSRP pour Office SharePoint Server 2007 fournit des exemples de code pour produire, à partir des bibliothèques SharePoint, des données conformes WSRP (Web services for remote portlets, standard géré par l'Oasis -Organization for the advancement of structured information standards). C'est ce qu'explique l'éditeur dans un billet récemment publié sur son blog msdn.com. L'objectif est de pouvoir afficher des données SharePoint de façon native, à travers des 'portlets' acceptant des services WSRP, sur d'autres types de portails, par exemple BEA AquaLogic Portal, d'Oracle, WebSphere Portal, d'IBM, ou encore NetWeaver Enterprise Portal, de SAP. SharePoint peut déjà consommer du code WSRP provenant d'autres portails, rappelle Microsoft. Mais avec le nouvel outil, il est possible de faire le chemin inverse. L'éditeur dit répondre ainsi à la demande formulée par ses utilisateurs d'améliorer l'interopérabilité de ses produits avec les solutions concurrentes. (...)
(16/12/2008 09:49:31)Les DSI pourraient réduire leurs frais d'achats de licences de 10% à 20%
Selon le cabinet Sia Conseil, les DSI (directions des systèmes d'informations) gèrent très mal leur parc de licences de logiciels. Trois raisons sont invoquées : l'inventaire physique du matériel est peu fiable ; les directions métiers continuent d'avoir une certaine autonomie dans leurs achats de logiciels, ce qui empêche la DSI de piloter l'ensemble de façon cohérente ; et enfin, le périmètre de l'entreprise varie régulièrement (cession d'activités, croissance externe...). « Le budget de licences informatiques est un poste difficile à maîtriser ; les facteurs de dérive sont multiples et tiennent tant à l'accroissement rampant de la part des logiciels achetés, au détriment des logiciels produits en interne, qu'aux évolutions continues du nombre de fournisseurs et de leurs stratégies d'offre, de marketing et de facturation » dénoncent, Louis Catala, Nicolas Goldberg et Vincent-Joseph Laurent, auteurs de l'étude. Cette dérive repose sur le caractère de plus en plus indispensable des logiciels achetés, répartis en trois groupes par les auteurs de l'étude : ceux intimement liés aux matériels (gestion du stockage...) et à l'infrastructure de base (bases de données...) ; la bureautique au sens large (messagerie incluse notamment) ; et enfin les applicatifs métier (PGI, CAO...). [[page]] A cela s'ajoute l'attitude très agressive des éditeurs de logiciels, qui aboutit à faire peser une épée de Damoclès sur les entreprises : la moindre erreur de comptage des licences nécessaires peut se traduire par des pénalités importantes voire des actions en justice très préjudiciables à l'image de l'entreprise. Or les éditeurs adoptent des politiques très variables en la matière (y compris et surtout sur la manière de comptabiliser le nombre de licences nécessaires), ce qui complique à loisir le travail des DSI. Les licences d'entreprises permettant un nombre illimité d'installations, lorsqu'elles existent, peuvent certes séduire par leur apparente simplicité mais Sia Conseil dénonce leur coût exorbitant direct ou indirect (notamment via la maintenance). Les DSI acceptent donc aisément de céder aux injonctions amicales des éditeurs et d'acheter des licences inutiles. En effectuant des estimations sur les comptes du CAC 40, Sia Conseil considère qu'il peut être gagné de 10 à 20% sur les frais d'achats de licences. Quatre piliers ont été identifiés pour réaliser ces économies : créer des tableaux de bord par logiciel pour suivre au plus près les licences effectivement consommées selon la métrique de l'éditeur mais tenus par les clients et non par les vendeurs ; la gestion des licences « en retour » (inutilisées et pouvant être réaffectées au lieu d'en acheter de nouvelles) ; l'optimisation des contrats ; et enfin un meilleur pilotage de la maintenance. Sur une estimation réalisée au sein d'un grand compte du domaine de l'énergie, les économies possibles étaient de l'ordre de 14% du budget logiciel (soit 13 millions d'euros), la répartition des économies sur chaque pilier était, dans l'ordre, de 5,6 millions d'euros (43%), 4,6 millions (35,4%), 1,9 million (14,6%) et 0,9 million (7%). (...)
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