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(09/11/2010 15:20:34)
Zscaler neutralise gratuitement Firesheep
Dévoilé par Eric Butler lors de la conférence sur la sécurité ToorCon qui s'est tenue à San Diego le mois dernier, Firesheep est capable de récupérer des informations de session stockées dans le cookie d'un navigateur web. Ces informations peuvent être facilement collectées quant elles transitent dans les deux sens entre l'ordinateur d'un utilisateur et un routeur WiFi non protégé. C'est le cas par exemple quand une personne est connectée à un service web du type Facebook. En effet, si la plupart des sites cryptent le trafic actif à partir du moment où l'utilisateur entre dans le site avec son identifiant - le chiffrement est indiqué par le cadenas présent en bas de page des navigateurs - la plupart basculent ensuite dans un mode de transmission d'informations non crypté pendant le reste de la session. Une faiblesse contre laquelle les experts en sécurité mettent en garde depuis des années, en particulier pour les utilisateurs des réseaux WiFi publics non sécurisés.
Firesheep détecte le trafic non crypté et permet à un intrus de «détourner» la session en cours, ou de se connecter à un site Web à la place de sa victime, en quelques clics seulement. Ce style d'attaque est possible depuis longtemps. Mais Firesheep apporte aux utilisateurs les moins habiles un outil de piratage puissant et surtout simple à utiliser.
Allumer des contre-feux
L'extension Blacksheep de Zscaler se charge de repérer si quelqu'un utilise Firesheep sur le réseau où il est connecté, laissant à l'utilisateur le soin d'apprécier la meilleure attitude à adopter en matière de sécurité quand il utilise un réseau WiFi ouvert par exemple. Lorsque Firesheep intercepte les informations de session pour un site web donné, il envoie une requête au site concerné en utilisant les valeurs contenues dans le cookie piraté. Le rôle de Blacksheep consiste à envoyer des requêtes HTTP toutes les cinq minutes sur chacun des sites surveillés par Firesheep, mais en utilisant de fausses valeurs de cookie. « Si Blacksheep détecte que Firesheep envoi une requête sur un site en utilisant ces fausses valeurs, il émet alors une alerte, » explique Zscaler.
Les experts en sécurité recommandent aux sites web de sécuriser tout le trafic, mais de nombreux sites ne le font pas, parce que l'opération nécessaire pour maintenir le chiffrement demande une puissance de traitement supplémentaire. Cependant, quelques progrès ont été réalisés : ainsi, depuis le début de l'année 2010, Google a activé, pour tous les utilisateurs de son service Gmail, le cryptage HTTPS auparavant proposé en option. Il existe d'autres moyens de se protéger contre Firesheep, comme par exemple ne pas utiliser les réseaux WiFi ouverts. Si ce n'est pas possible, il existe également l'extension « HTTPS Everywhere » pour Firefox, mise au point par l'Electronic Frontier Foundation, laquelle déclenche automatiquement une session chiffrée avec les sites Web capables d'en établir une. Une connexion VPN peut également servir à contrer ce type d'attaques.
(...)(09/11/2010 14:57:07)
Affaire TomorrowNow : Larry Ellison réclame 4 milliards de dollars
Vêtu sobrement d'une veste sombre et col roulé noir, Larry Ellison a d'abord été interrogé par David Boies, avocat d'Oracle, et a ensuite subit pendant environ 40 minutes un contre-interrogatoire de la part de Greg Lanier, l'avocat de SAP. L'éditeur de Redwood a poursuivi celui de Walldorf après avoir découvert que TomorrowNow avait volé des applications et des mises à jour sur un site d'Oracle. SAP a reconnu le vol et le procès porte sur l'évaluation du montant des dommages-intérêts.
Le témoignage de Larry Ellison était destiné à montrer quel est le volume de logiciels volés et combien SAP aurait dû payer pour obtenir ces programmes avec une licence. David Boies a demandé quels sont les facteurs pris en compte pour déterminer le prix d'une telle licence. « Il y a un élément très important, c'est combien de clients PeopleSoft et JD Edwards aurait pu nous faire perdre SAP », a répondu le dirigeant. Il a déclaré au tribunal que les services de TomorrowNow auraient pu permettre à SAP de capter jusqu'à 30% de la clientèle de PeopleSoft et 10 % pour Siebel. Basé sur le prix payé pour l'acquisition de ces entreprises, SAP aurait eu à régler 4 milliards de dollars pour une licence, a précisé Larry Ellison.
Une absence d'inquiétudes écrites
Mais lors du contre-interrogatoire, Greg Lanier a contesté l'affirmation selon laquelle le PDG d'Oracle se sentait menacé par l'acquisition TomorrowNow ou qu'il était inquiet de perdre des clients au profit de SAP. Aucune preuve n'a été présentée pour étayer ces affirmations, a-t-il répliqué. « Il n'y a pas un seul discours public ou privé, interne ou externe, des présentations, des e-mail ou une note gribouillée sur une serviette qui parlent de tout cela ? » a demandé l'avocat de la défense à Larry Ellison. Ce dernier a souligné «j'ai eu ces discussions avec les gens, mais je n'ai pas tendance à écrire ces choses ». Greg Lanier a aussi noté que seulement 358 clients, sur les 10 000 d'Oracle PeopleSoft sont passés à SAP après l'acquisition de TomorrowNow.
« Est-ce que vous savez exactement pourquoi un client d'Oracle vous a quitté pour aller chez TomorrowNow ? » a demandé l'avocat.
« Non, je ne connais pas les détails pour chaque client spécifiquement » a répondu Larry Ellison
Et 358 clients, « cela est assez loin de 30% des clients de PeopleSoft, ne pensez-vous pas ?" précise Greg Lanier.
« Non » a rétorqué le dirigeant.
Oracle a environ une semaine supplémentaire pour présenter ses arguments, après quoi SAP aura deux semaines pour exposer sa défense. Le jury devrait alors se prononcer d'ici la fin du mois sur le montant des dommages et intérêts que SAP devra payer.
Les Français bien équipés en ordinateur
Au troisième trimestre 2010, la France comptait 19 millions de foyers équipés d'un ou plusieurs ordinateurs, selon l'institut Médiamétrie. En un an, 1,2 million de foyers supplémentaires ont été équipés d'ordinateur(s), soit une progression de 7% par rapport au troisième trimestre 2009. Tendance du moment, les ordinateurs portables qui ont connu une forte croissance depuis 2009. En un an, ce sont près de 2 millions de foyers supplémentaires qui ont opté pour un ordinateur portable (+22%). Aujourd'hui, 40% des foyers sont équipés d'un ordinateur portable, contre 26,7% il y a deux ans.
Les netbooks ont le vent en poupe
Sur le segment des portables, ce sont les netbooks qui sont très appréciés des Français. 2,2 millions de foyers en possèdent un, soit deux fois plus qu'en 2009. 8,4% des foyers possédaient un netbook au troisième trimestre. Cette tendance pourrait s'accélérer avec l'arrivée des netbooks tactiles, souligne l'étude. Plus de 150.000 foyers prévoient ainsi de s'équiper d'une tablette dans les six prochains mois.
Parmi les foyers équipés, 28,7% (7,8 millions) sont multi-équipés, c'est-à-dire qu'ils possèdent plus d'un ordinateur. En un an, le nombre de foyers multi-équipés a progressé de 27%.
Cette enquête trimestrielle de Médiamétrie avec le cabinet GfK a été réalisée par ISL auprès de 22.000 foyers représentatifs de la population française.
Capgemini mise sur l'alternance pour favoriser l'employabilité des jeunes
Capgemini et sa filiale Sogeti ont décidé de collaborer avec la faculté de Paris 13-Villetaneuse, afin de développer l'alternance à travers des contrats d'apprentissage et de professionnalisation. L'initiative a été lancée en collaboration avec l'Institut Galilée, école d'ingénieurs de l'université et l'association « Nos quartiers ont du talent ». pour favoriser l'entrée des jeunes diplômés dans la boucle de recrutement. Grâce à ce dispositif, la SSII et à sa division intégration devraient intégrer 1 000 jeunes en alternance : 450 ont été embauchés en juin 2009 et 550 seront recrutés d'ici la fin de l'année. « Nous souhaitions identifier, avec le concours de l'université Paris 13 et de l'institut Galilée, les possibilités de collaboration en vue de mettre en place des formations en alternance spécifiques aux métiers de la conception et du développement des systèmes d'information », expose Géraldine Plenier, directrice de la responsabilité sociale et environnementale et d'ajouter. " Nous partageons des objectifs communs avec l'université Paris 13 dans la mesure où l'établissement entend doubler le nombre de ses alternants."
Double compétence informatique et scientifique
Pour Jean-Pierre Astruc, directeur de l'institut Galilée, il s'agissait de marier les connaissances scientifiques des étudiants de niveau Bac + 4 et Bac +5 avec les métiers de l'informatique. « Nous avons ouvert une filière en apprentissage intitulée «Informatique parcours informatique et réseau » et une autre en alternance sur le thème « conception et développement de systèmes d'information répartis pour répondre aux besoins des entreprises », rappelle -t-il. Objectif visé par ce dernier: que ses étudiants en recherche d'emploi puissent se reconvertir dans les métiers de l'informatique et acquérir une double compétence à la fois IT et scientifique. Le cursus de formation s'étale sur une période de 18 mois: 3 mois à l'Institut Galilée, 10 mois en entreprise, de nouveau un mois à l'institut et 4 mois dans l'entreprise.
Un moyen sûr pour sortir du chômage
Pour l'heure, une quinzaine de contrats de professionnalisation ont été conclus. En 2010, une quinzaine ont intégré une formation en contrat de professionnalisation. D'ici 2011 Capgemini/Sogeti comptent former une trentaine de jeunes par la voie de l'alternance Cette initiative semble être un moyen pour des jeunes scientifiques ayant un niveau Bac +5 et qui ne parviennent pas à trouver d'un emploi C'est le cas de Darine Djoudi qui a connu 18 mois de chômage, malgré un mastère de chimie obtenu à l'université Paris 13 : « J'ai eu vent du partenariat passé entre Capgemini/ Sogeti et l'université Paris XIII au travers de l'association « Nos quartiers ont du talent », raconte t-elle, et d'ajouter : "on me proposait un diplôme universitaire de niveau ingénieur rémunéré et assorti d'un CDI, je n'ai donc pas hésité." Après une première mission effectuée dans le domaine des transports, la jeune femme travaille depuis 8 mois dans le secteur bancaire.
Pourparlers avec des universités en région
Quant à Juilien Cordeiro, il a suivi une formation de trois mois sur Java à l'institut Galilée, Le jeune homme titulaire d'un mastère en physique/chimie à également connu 5 mois de chômage. La formule de l'alternance semble avoir séduit ce dernier : « J'ai pu réellement découvrir le métier d'informaticien, grâce à une première mission réalisée dans le cadre d'un projet pour un établissement public », se réjouit-il. Après 10 mois passés chez Capgemini, il reprendra les cours à l'institut Galilée, en février prochain, avant d'obtenir son diplôme universitaire en conception et systèmes d'information répartis. Géraldine Plenier entend multiplier cette initiative avec d'autres établissements universitaires en région. Elle entend également poursuive la collaboration avec les partenaires cités précédemment.
Illustration : l'institut Galilée. Crédit photo : D.R
(...)
Selon GFK, les ventes de tablettes éclipsent celles des netbooks
Si l'on se reporte deux années en arrière, le Netbook faisait la « Une ». Technophiles, analystes et vendeurs s'en félicitaient. « Il s'en est vendu 500 000 la 1ère année » nous rappelle Anselme Laubier de GFK. La vague des netbooks est-elle oubliée ? En tout cas, 2010 sera l'année de la tablette tactile. 450 000 iPad devraient être vendues dans l'hexagone (avec une sortie début juin). Portées à la fois par le buzz (et les talents marketing d'Apple), et le 3ème usage (après celui du PC et celui du téléphone), les tablettes devraient faire un malheur. D'abord chez les technophiles, pour les fêtes de fin d'année, ensuite pour un public et des besoins plus larges.
Il n'y aura pas de cannibalisation entre netbooks et tablettes, nous explique Anselme Laubier. Les technophiles qui s'étaient précipité sur le netbook iront en plus vers la tablette. Le netbook est devenu « deceptive », il ne suscitera pas de rééquipement. Et d'autres utilisateurs que les technophiles pourraient venir sur les tablettes PC, attirés par les contenus. Si le netbbook a été lancé un peu par hasard, conçu au départ pour les pays émergents par Asus, il a été proposé et a réussi ensuite dans les pays développés, suscitant une floppée de lancements. Le tablette PC est plus réfléchi et offre toute autre chose qu'un remplacement du PC portable à moindre coût, ce qui devrait lui permettre de dépasser le succès des netbooks.
Etude trimestrielle GFK - Médiamétrie
Des éléments tirés de l'étude que publie GFK, conjointement avec Médiamétrie, « Référence des équipements multimédias »(*). Elle porte sur le 3ème trimestre 2010. Fait marquant, le marché continue d'enregistrer de bonnes progressions. 71,1% des foyers sont équipés en micro-ordinateurs, soit 19 millions de foyers. En un an, remarque l'étude, 1,2 million de foyers supplémentaires se sont équipés. La crise économique n'aurait pas eu de prise sur cet achat. Cette croissance de l'équipement des foyers français en PC est de 7% entre le Q3 2009 et le Q3 2010. Dans le même temps, les connexions à Internet ont progressé de 11%. 67,7% des foyers français disposent désormais de cet accès. Inversement, quelques segments de marché régressent comme le GPS, l'électronique embarquée, l'audio portable.
Autres tendances marquantes, l'envolée des PC portables et le multi-équipement. 2 millions de foyers ont acheté des PC portables en l'espace d'un an. 40% des foyers en sont désormais équipés. Quant au multi-équipement, 3 foyers sur dix sont dans ce cas. Et 1,5 million de foyers supplémentaires ont rejoint cette catégorie en l'espace d'un an. Des chiffres clés pour connaître les décisions d'achats, qui tiennent à la fois du renouvellement, des primo-accédants, du multi-équipement.
(*) Publiée depuis 5 ans, cette étude trimestrielle est basée sur 11 vagues de 2 000 questionnaires chacune.
Un guide informatique pour acheter plus vert
Pour faire entrer un produit dans son catalogue, la SSDD s'assure qu'il remplisse plusieurs critères. Elle prend en compte le fait qu'il ait reçu différents labels de l'industrie (Energy Star, Epeat...), la façon dont il est fabriqué ou distribué, ou encore le niveau de maturité du fabricant en matière développement durable... A l'issu de ce passage au crible, deux notes sont attribuées au produit : l'une mesure l'engagement de l'entreprise en matière de développement durable, l'autre le respect environnemental du produit.
L'ensemble des fiches techniques constituées, dans lesquelles figurent également les caractéristiques techniques des produits, est accessible via un moteur de recherche ou à travers différentes rubriques (périphériques, systèmes d'impression, matériel informatique...).
Un outil qui se veut indépendant des fournisseurs
Si l'accès à l'ecoguide de greenflex est totalement gratuit, la SSDD n'en poursuit pas moins un but commercial. Opérationnelle depuis environ un an, greenflex propose en effet des prestations d'audit et de conseil en développement durable, une aide à la mise en oeuvre d'une politique d'achat responsable, et une offre de financement. Cette dernière est accompagnée d'outils de pilotage qui permettent aux entreprises de mesurer l'écologie et l'économie de leurs achats. « Nous ne nous faisons en aucun cas rétribuer pour faire apparaître un produit sur nos pages. Seul compte le fait qu'il remplisse nos critères de sélection », tient à préciser Frédéric Rodriguez, l'autre co-président de greenFlex. En revanche, la possibilité pour une entreprise de gérer ses achats à travers un espace personnalisé sur le site est payante. Plus précisément, cette prestations sera accessible aux entreprise étant entrées dans une relation contractuelle avec greenflex intégrant un ou plusieurs autres de ses services.
A terme, l'entreprise souhaite également mettre en place une place de marché où fabricants ou distributeurs et clients pourront se rencontrer. Là encore, greenflex indique ne pas avoir l'intention de percevoir de commission sur les achats qui seront réalisées via son outil. Ces achats devront toutefois être financées par ses contrats de leasing.
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