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(21/10/2010 18:22:08)

Software AG met la main sur Data Foundations, spécialiste du MDM

En rachetant Data Foundations et sa solution de MDM, l'éditeur allemand Software AG compte intégrer cette technologie à son offre de produits de BPM (Business process management ou gestion des processus métiers) et à ses solutions middleware. Cette acquisition est la dernière en date d'une série sur le marché du MDM, réduisant peu à peu les rangs des fournisseurs indépendants. En février dernier, IBM mettait la main sur Initiate Systems, alors que de son côté Informatica s'apprêtait à racheter Siperian.

Les données de référence s'appliquent à des entités telles que des produits ou des clients qui ont des applications multiples en commun. Les entreprises utilisent des solutions de MDM pour s'assurer que ces informations sont constantes et correctes, alors que des données de référence défectueuses peuvent causer des problèmes variés relatifs aux commandes ou aux déclarations d'expédition.

Associer MDM et BPM

Sofware AG envisage de relier les outils de Data Foundations à ses offres de BPM webMethods et Aris, a indiqué Wolfram Jost, CTO de l'entreprise. Les outils de BPM sont utilisés pour concevoir des processus métiers, comme la façon dont les employés sont recrutés ou les approvisionnements sont effectués. « La gestion des données de référence possède une valeur en tant qu'outil qui fonctionne seul et Data Foundations est en mesure d'offrir cela », a précisé le directeur technique et d'ajouter : « Cependant la réelle valeur réside dans l'intégration du MDM avec le BPM. Et nous aurons l'opportunité de montrer à quel point le MDM et le BPM sont capables de fonctionner ensemble. »

L'éditeur de Darmstadt semble avoir décidé, dans un premier temps, de regarder le potentiel du MDM apporté dans le cadre de cette acquisition, plutôt que de développer organiquement sa propre technologie. Cette stratégie n'a rien de nouveau pour le fournisseur qui a récemment racheté la société webMethods et l'éditeur des outils Aris IDS Scheer. La firme a décrit l'acquisition de Data Foundations comme « un rachat technologique », et non pas comme une stratégie qui pourrait lui permettre de gagner des parts de marché. Le fournisseur allemand compte dévoiler ses nouvelles offres, l'année prochaine,  à l'occasion du prochain Cebit de Hanovre.

Illustration : Wolfram Jost, CTO de Software AG

 

 

(...)

(21/10/2010 18:07:47)

BonitaSoft s'ancre aux Etats-Unis et fait entrer le BPM par la petite porte

En septembre 2009, le jeune éditeur français BonitaSoft levait 2 millions d'euros auprès de Ventech et Auriga Partners. Un an plus tard, il complète ce tour de table en récoltant 2,5 millions d'euros de plus auprès des mêmes investisseurs. La première tranche devait servir à mettre sur le marché, en France et à l'international, son logiciel de gestion des processus métiers (BPM) disponible en Open Source depuis un certain temps déjà. « Notre objectif premier était de réaliser un beau produit », relate Miguel Valdés-Faura, PDG de BonitaSoft. Mais, très vite, avant même qu'une équipe commerciale ait pu être constituée, la solution rencontre un accueil très prometteur. Trois mois après la création de la société, les téléchargements atteignent déjà un rythme de croisière de 40 000 par mois depuis 200 pays. « Les gens qui téléchargeaient ont rapidement sollicité formation et expertise », explique le dirigeant. Il fallait dès lors que l'équipe commerciale soit créée. Ce qui fut fait, cet été à Paris, les développeurs restant basés à Grenoble.

Un tiers des téléchargements vient des Etats-Unis

Aujourd'hui, le demi million de téléchargements est en vue et BonitaSoft a conquis plus de 70 clients (sur quinze pays) dont 40 gagnés depuis juillet dernier, grâce aux collaborateurs recrutés. « Notre modèle économique est très similaire à ceux de Talend et ExoPlatform, explique Miguel Valdés-Faura en rapprochant sa démarche de ces deux éditeurs français qui s'appuient également sur le modèle Open Source. Les ventes s'effectuent à distance ». Parmi les clients, beaucoup se trouvent en Europe, en particulier en France, mais aussi outre-Atlantique. « Depuis quelques mois, un tiers des téléchargements viennent des Etats-Unis et nous avons signé des clients sur place », confirme le PDG. Parmi ceux-ci, BonitaSoft dit avoir décroché « le leader de la pharmacie ».

C'est donc le bon moment pour aborder le marché nord-américain en ouvrant d'emblée deux bureaux, l'un sur la côté Ouest, à San Francisco, où s'installera Miguel Valdés-Faura, et l'autre à Boston. Pour piloter les activités commerciales de ce bureau situé sur la côte Atlantique, l'éditeur français a recruté David Cloyd, ancien de Tibco et Xerox, qui fut précédemment directeur général de Nuxeo pour les Etats-Unis.

Entrer dans les grands comptes par la petite porte

BonitaSoft vient tout juste de livrer la version 5.3 de sa suite de BPM, qu'il a doté de fonctionnalités avancées de simulation et d'un support renforcé pour les déploiements dans le cloud (architecture multi-tenant et API Rest). Sur le marché, l'éditeur fait face à des poids lourds tels qu'Oracle, Tibco ou IBM. « Nos clients connaissent nos concurrents, mais ils en ont assez d'investir des budgets élevés, de l'ordre de 300 000 euros. Ils peuvent télécharger rapidement notre solution sur le web, l'évaluer et constater qu'elle dispose des mêmes fonctionnalités », affirme le PDG. Il décrit deux types d'utilisateurs. D'une part, ceux qui se servent déjà une offre concurrente et veulent se tourner vers un autre produit pour des projets moins sensibles. « Ces utilisateurs sont une cible parfaite pour nous », considère Miguel Valdés. D'autre part se trouvent des entreprises qui veulent automatiser leurs processus métiers, mais ne peuvent pas se payer les outils. Elles sont prêtes à coder leurs solutions de BPM « à la main », mais elles peuvent aussi se tourner vers BonitaSoft. « Nous entrons dans les grands comptes par le bas », reconnaît le dirigeant. Nous essayons de ne pas combattre nos grands concurrents avec leurs propres armes. A ce jeu-là, une petite société est perdante ».

BonitaSoft compte aujourd'hui 30 personnes dont 12 travaillant à la R&D sur le site de Grenoble. Aux Etats-Unis, d'ici à cinq mois, l'éditeur aura embauché huit personnes de plus. A noter que parmi les membres de son conseil d'administration se trouve Bertrand Diard, PDG de Talend, qui a implanté sa société outre-Atlantique il y a trois ans.

On peut aussi signaler qu'au nombre des partenaires de BonitaSoft, il en est un qui se démarque au milieu des acteurs de l'Open Source. C'est Microsoft. « Nous sommes conscients que nos clients ont des systèmes hétérogènes », explique à ce sujet Miguel Valdés-Faura. Et sur le terrain, on constate que Microsoft ne manque pas de rappeler son partenariat avec l'éditeur de Bonita Open Solution, soucieux de montrer qu'il collabore en bonne intelligence avec les acteurs de l'Open Source.

Illustration : Miguel Valdés-Faura, PDG de BonitaSoft (...)

(21/10/2010 17:50:58)

La troisième ère du mobile attendue en 2014 selon le Gartner

Le cabinet d'études Gartner estime que le marché des mobiles atteindra mille milliards de dollars par an, chaque année, d'ici 2014. Au-delà de ce chiffre hallucinogène, le Gartner analyse les tendances de fond. Pour Nick Jones, vice président du cabinet, « nous voyons trois grandes époques dans la mobilité, celle dominé par les fabricants et leur produit emblématique (comme le RAZR de Motorola), elle a été suivie par l'ère des applications (avec l'iPhone), l'avenir appartient au cloud et à l'accès en continu au multimédia.

De plus, le Gartner estime que le smartphone, qui domine les ventes dans les pays émergents, sera un produit de niche au-delà de 2014. Apparaîtront alors de nouveaux types d'appareils comme les tablettes ou les e-books qui trouveront un rôle à jouer dans les entreprises. Jusqu'en 2014, les salariés mobiles utiliseront à la fois un PC portable et un smartphone.

Côté smartphone, la compétition est vive, Symbian perd des parts de marché, au profit de Android et iPhone OS. Android va apparaître également dans des appareils électroniques  grand public. Sans être des plates-formes, certains outils devraient jouer un rôle dans la diffusion d'applications, le Gartner cite Flash et les outils de script (navigateurs de réalité augmentée, systèmes de cartographie).

Crédit photo : D.R.

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(21/10/2010 15:35:54)

Object Direct recrute en formant aux technologies Web

Le dispositif de formation que vient de mettre en place la société de services Object Direct est un peu particulier. Les cours, qui se déroulent en soirée, s'adressent notamment à celles et ceux qui désirent postuler auprès de l'entreprise. Animés par des consultants formateurs, ils sont également ouverts aux salariés de la société dans le cadre de leur plan de formation annuel. Les candidats et les collaborateurs sont accueillis au sein du centre de formation interne à l'entreprise. Ils pourront suivre gratuitement ensemble des formations sur les technologies Microsoft .Net, J2EE/ Spring3 et HTML5 (*). Le premier programme est planifié à Grenoble de novembre à janvier 2011.

Une initiative en support d'un plan de recrutement


Cette année, la maison mère Viseo a lancé un plan de recrutement portant sur une centaine de postes, dont 35% pour Object Direct. Partant du constat qu'une partie des postulants ne sait pas ce qu'apporte réellement une société spécialisée technologiquement par rapport à une SSII généraliste, il est apparu naturel à Franck Priore, directeur général d'Object Direct, d'ouvrir ce type de formations aux candidats pour qu'ils  dépassent le cadre des entretiens de sélection.

Pourront donc s'inscrire les ingénieurs et consultants qui justifieront des pré-requis demandés (correspondant à un premier niveau de maîtrise de ces technologies). Une démarche d'intérêt pour les postes ouverts au sein d'Objet Direct ainsi que leur CV seront demandés aux participants, comme contributions. Les formations en soirée se déroulent sur un format plus court que les stages classiques. Organisées sur les sites de la SSII à Paris, Lyon et Grenoble, elles peuvent rassembler jusqu'à 18 participants, sur une tranche horaire de 18h30 jusqu'à 22h30. Le repas sera offert et les candidats disposent d'un ordinateur pour deux.  Chacun ne pourra s'inscrire qu'à une seule formation de deux soirées complémentaires.

(*) Deux modules sur .Net (Architecturer une application XAML avec le pattern MVVM et le Mapping objet/relationnel avec NHibernate), la convergence J2EE6/Spring 3 et comment développer une application en HTML5 compatible avec la majorité des smartphones.

Illustration : extrait des spécifications HTML5 (crédit : W3C)

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(21/10/2010 13:53:38)

Faut-il protéger Mac OS X contre les malwares ?

Tout le monde sait que le système d'exploitation Mac OS X est bien sécurisé. Les partisans d'Apple se font chaque fois un plaisir d'expliquer les défauts de Windows, et de dire à quel point ils se réjouissent de ne pas avoir à se soucier des logiciels malveillants et des exploits sur leurs machines. Alors, les Mac n'ont pas besoin de logiciels de sécurité et il n'y a a plus rien à dire sur le sujet ? Eh bien, pas tout à fait. S'il est vrai que certains aspects de Mac OS X rendent plus difficiles les intrusions ou l'attaque de ce système par des malwares, celui-ci n'est pas invulnérable. Les Mac ont aussi bénéficié d'une longue période de sécurité du fait de leur répartition discrète, autrement dit, la cible n'était pas assez importante pour motiver les développeurs de malware à se donner du mal à trouver des modes d'attaques. Mais, même si Mac OS X affiche toujours une part de marché minime par rapport à Windows, Apple a gagné du terrain et commence à apparaître sur le radar des menaces.

Le Mac prochaine cible des trojans ?

« Nous sommes à un moment charnière où il va bientôt devenir financièrement intéressant pour les cybercriminels de concentrer leurs efforts sur les utilisateurs Mac,» explique Ivan Fermon, vice-président senior de la gestion produits chez Panda Security. « Quand Apple atteindra 15 % des parts de marché à travers le monde, ce qui devrait bientôt arriver selon nous, nous prévoyons que les pirates vont commencer à attaquer la plate-forme. L'augmentation rapide du nombre d'appareils de marque Apple utilisés - iPhone, iPod, iPad - rend également la plate-forme Mac beaucoup plus attrayante en terme de cible. » Selon Luis Corrons, directeur technique chez PandaLabs, l'entreprise « détecte en moyenne 55 000 nouvelles menaces chaque jour. Les pirates sont toujours à la recherche de nouvelles pistes pour tirer profit de leur activité, ce qui explique la multiplicité croissante des logiciels malveillants. » Il confirme que « jusqu'à récemment, les utilisateurs Apple ne représentaient pas une cible attrayante pour les pirates, compte tenu du nombre limité de victimes possibles, comparé à Windows. Mais aujourd'hui, le marché a évolué, la popularité d'Apple est mondiale, et les chiffres rendent la plate-forme de plus en plus attrayante pour les cybercriminels. »

Une montée en puissance perceptible


Panda a identifié environ 5 000 variantes de malware ciblant spécifiquement les systèmes Apple, et repère une moyenne de 500 nouvelles souches chaque mois. Le Mac fait aussi l'objet de plus d'attention et on lui consacre plus de recherches en matière de sécurité. En 2009, on n'avait identifié que 34 vulnérabilités sur Mac, mais deux mois avant la fin de l'année 2010, ce nombre est déjà passé à 175. Il convient également de mentionner qu'actuellement, de nombreuses attaques ciblent les domaines de l'ingénierie sociale et se soucient peu de la plate-forme utilisée. Le phishing mise surtout sur la naïveté des utilisateurs, et cela quel que soit le système d'exploitation.

Donc, la réponse à la question de savoir si le Mac a besoin de protection contre les logiciels malveillants est « oui ». Ou, du moins, les ordinateurs Apple auront bientôt besoin d'une protection contre les logiciels malveillants, si la plate-forme continue à croître jusqu'à s'avérer une cible financièrement intéressante. Il faut considérer ce changement comme un signe de reconnaissance, presque un honneur : si Apple gagne suffisamment de parts de marché, les cyber-criminels s'y intéresseront davantage ! C'est la raison pour laquelle Panda Security et Kaspersky proposent depuis peu des anti-virus pour Mac OS X.

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(21/10/2010 13:44:55)

OpenStack, le projet de cloud Open Source, progresse

La mise à jour du code du projet surnommé « Austin » est disponible, soit trois mois après le lancement de l'aventure. OpenStack comprend le code qui alimente Cloud Files de Rackspace et la technologie Cloud Servers, ainsi que les logiciels développés par la NASA pour sa plate-forme cloud, Nebula. Une composante initiale basée sur Cloud Files, OpenStack Object Storage, avait été publiée en juillet. La mise à jour « Austin » améliore le déploiement, corrige des bugs et ajoute certaines fonctionnalités, comme un analyseur de statistiques et un meilleur contrôle d'accès. Un autre élément, appelé OpenStack Compute, moteur de provisioning construit avec le code de Cloud Servers et Nebula est maintenant disponible pour les essais et prototypes au sein d'Austin.

Ce projet Open Source, qui est disponible sous la licence Apache 2.0, est considéré par certains comme une alternative aux plates-formes de cloud propriétaires comme EC2 d'Amazon (Elastic Compute Cloud), ainsi qu'à la profusion d'offres des fournisseurs pour la création de clouds privés.
Rackspace souligne qu'il n'a aucun intérêt à intégrer le secteur des logiciels, préférant gagner des clients sur la qualité de son service d'hébergement. Par conséquent, la société estime que se tourner vers la technologie Open Source a du sens, car l'entreprise bénéficiera des développements menés par une communauté.

Des soutiens de poids

Rackspace et la NASA ne font pas cavalier seul. Le projet bénéficie du soutien d'AMD, Intel, Dell, Citrix et de dizaines de petites entreprises qui développent des services de gestion de surveillance de cloud et d'autres outils. Pour les fondeurs, ce projet  les intéresse car ils sont à la recherche d'acteurs dans le domaine des plates-formes logicielles en complément de leurs puces qui équipent les datacenters.

SAP, pour sa part, annoncé une série d'initiatives pour fabriquer des clouds privés, à la fois grâce à des outils en propre, mais  également via des partenariats avec IBM, Hewlett-Packard, Cisco Systems, EMC et VMware. Les fournisseurs tels que SAP sont plus enclins à collaborer avec d'autres acteurs établis, mais cela pourrait changer si de grands groupes poussent OpenStack comme outil de création de clouds privés, souligne Michael Coté, analyste chez Redmonk

Pendant ce temps, les contributeurs à OpenStack sont déjà tournés vers la prochaine itération prévue pour janvier 2011, dont le nom de code est « Bexar ». Ce sera un sujet de discussion lors d'un « Design Summit » prévu lui en novembre prochain.

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(21/10/2010 12:20:55)

Les freelances IT tributaires des intermédiaires

iDirect.fr, en partenariat avec l'association professionnelle des informaticiens Munci, livre les résultats d'un sondage sur la sous-traitance mené auprès de freelances du secteur informatique. L'enquête a été conduite, du 11 au 16 octobre 2010, auprès des adhérents de iDirect, des consultants indépendants ayant une ancienneté moyenne de cinq ans et demi. L'étude montre d'abord que les missions sont majoritairement obtenues au travers d'un intermédiaire (66,46%).Il peut d'agir de SSII qui n'ont pas dans leurs salariés le profil demandé ou d'entreprises commerciales n'effectuant que du placement de freelances.
Puis viennent les cas de double-intermédiaires (16,31%), des missions obtenues sans aucun partenaire (15,37%) et enfin de celles effectuées avec plus de deux partenaires (1,86%).

Une marge de 27,48% pour les intermédiaires

Le sondage révèle également que les freelances sont parfois présentés à l'entreprise cliente comme étant des salariés de SSII (35,73% des cas). Mais dans la majorité des cas, le donneur d'ordre sait que le consultant est un indépendant revendu par une société tierce.

Enfin la marge moyenne des intermédiaires est de 27,48%, selon les freelances. Toutefois iDirect.fr émet une réserve sur ce point. La société indique que les indépendants n'obtiennent jamais copie du contrat client, qu'ils n'ont souvent qu'une affirmation verbale d'un agent commercial qui n'a aucun intérêt à faire connaître sa marge réelle. Le nombre de réponses à 20%, ratio souvent présenté comme standard, est d'ailleurs important, considère iDirect.fr, puisqu'il représente un tiers des réponses. Ces 27,48% en sus du prix freelance correspondent à un peu plus de 21% du prix payé par l'entreprise cliente.
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(21/10/2010 11:29:00)

Le Cigref crée une chaire de recherche au Canada sur la vie numérique

Le Cigref poursuit le travail de recherche entamé avec la mise en place de sa Fondation en 2008. Au delà de la création de valeur pour les entreprises par les SI, l'association s'intéresse de plus en plus aux usages et à la sécurité de la vie numérique quotidienne, professionnelle ou non, en admettant que la distinction ait encore un sens.

Le club vient ainsi d'annoncer un partenariat avec l'Université Laval (Québec) pour la création d'une chaire de recherche sur les cultures numériques. Le budget pour le programme, d'une durée de cinq ans, est de deux millions d'euros, soit une moyenne de 400 000 euros par an.

Pour Bruno Ménard, président du Cigref, « Cette chaire répond à la mission du Cigref de promouvoir l'usage des systèmes d'information comme facteur de création de valeur et source d'innovation pour les entreprises. Elle complète les travaux actuellement menés par la Fondation Cigref (sous l'égide de la Fondation Sophia Antipolis). Cette Chaire favorisera des contacts plus étroits entre le milieu universitaire et l'entreprise pour permettre une réflexion élargie sur l'ensemble des problématiques du monde numérique et des transformations qui en découlent ».

Illustration : Bruno Menard, président du Cigref
(crédit photo : vidéos IT News Info, nov 2008)
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(21/10/2010 11:13:36)

France Telecom baisse le prix des appels du téléphone fixe

A compter du 21 octobre, France Telecom appliquera un seul et même tarif pour les appels émis depuis et vers une ligne fixe en France métropolitaine, que ce soit en heures creuses ou pleines, pour ses abonnés. Exit donc les tarifs locaux et nationaux.

Les DOM bénéficieront quant à eux d'une baisse de 20% sur leurs appels depuis un téléphone fixe vers un téléphone mobile en métropole. Certaines communications nationales passeront en communications locales par ailleurs.

Selon France Telecom, cette "réforme" devrait toucher quelque 7 millions de clients pour 150 à 200 millions d'appels chaque année. (...)

(21/10/2010 11:13:22)

L'Ecole Numérique Rurale, source de croissance pour les revendeurs informatiques

Présente sur le segment de l'éducation dès 2004, cette entreprise fondée par des enseignants éditait initialement des manuels scolaires interactifs sur CD-Rom. « Nous avons rapidement réalisé que les taux d'équipements en informatique variaient beaucoup d'un établissement. Pour ceux qui ne disposaient pas d'au moins un poste pour deux élèves, l'utilisation de nos contenus perdait de son intérêt », relate Florian Depenne, le responsable commercial de Maskott. Pour proposer à ces clients une solution à ce problème, le créateur de contenu devient en 2007 distributeur d'Onfinity, un fabricant d'une solution capable de rendre un vidéoprojecteur interactif.  « Par la suite, des clients nous ont demandé des solutions de tableaux blancs interactifs classiques. Nous avons alors signé un partenariat exclusif pour la France avec le fabricant portugais CLASUS. De fil en aiguille, nous avons ajouté à notre catalogue l'ensemble des matériels équipant une classe numérique, comme des ordinateurs portables et des chariots pour les transporter », détaille Florian Depenne.

Des revenus multipliés par 10 en un an

Résultat de cette stratégie : Maskott a ajouté un zéro à son chiffre d'affaires entre 2008 et 2009. Et, l'entreprise compte bien exploiter au maximum l'évolution de son positionnement. Dans cette optique, elle a recruté il y quelques jours un nouveau commercial chargé de développer ses ventes. En outre, elle conclut un partenariat avec un des poids lourds de la distribution qu'est Ingram Micro. Référencé depuis août par le grossiste généraliste, les produits que Maskott fait fabriquer par ses partenaires seront ainsi commercialisés par d'autres revendeurs. A plus long terme, la société souhaiterait également proposer aux clients d'Ingram Micro de délivrer pour leur compte des prestations d'installation et de formations à leurs clients.

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