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(27/08/2010 11:52:49)

HP propose 27 $ par action pour 3Par et Dell s'aligne (Maj)

A peine quelques heures après que Dell ait surenchéri sur l'offre d'HP en proposant 24,30 $ par action pour le fournisseur de solutions de stockage 3Par, HP a encore une fois misé plus haut que son concurrent, et est désormais prêt à mettre 27 $ par action. Le total de la transaction est maintenant de l'ordre de 1,8 milliards de dollars, tandis que l'offre initiale de Dell se montait à 1,15 milliards. Les termes du contrat entre 3Par et Dell n'excluaient toujours pas définitivement la possibilité d'une contre-proposition d'HP, mais incluaient par contre une clause de dédit 72 millions de dollars de compensation en cas de rupture. Et dernière surprise de la journée, le texan s'est aligné sur l'offre de HP et propose donc également 27$ par action ! HP peut toutefois encore surenchérir, 3Par étant dans l'obligation d'accepter - pendant une courte durée seulement - une offre significativement supérieure.

Hier, David Frink, porte-parole de Dell, était resté suffisamment vague quant à un éventuel surenchérissement. « Nous allons prendre notre temps, évaluer la situation et agir dans les meilleurs intérêts de nos clients et de nos actionnaires. Nous annoncerons notre décision en temps voulu ». Aujourd'hui, le grand gagnant dans l'histoire est très clairement 3Par, qui affichait des pertes sur les bénéfices nets de son année fiscale.

(...)

(27/08/2010 10:33:19)

Auxia passe au SaaS pour ses factures entrantes

Il est vrai que le métier d'Auxia est assez particulier et que l'essentiel de son chiffre d'affaires est effectué en dehors du périmètre de la maison mère. Cette ancienne filiale des Pompes Funèbres Générales est surtout spécialisée dans les contrats d'assurance décès pour les obsèques, la prime servie en cas de décès pouvant être en argent (pour financer les funérailles) ou bien en prestation (inhumation ou incinération avec telle cérémonie et tels articles).

Auxia intervient en premier lieu sous marque blanche en étant distribué via les entreprises de pompes funèbres. Cette activité historique ne représente plus que 50% de son activité globale. L'autre moitié est maintenant constituée d'une activité de gestion de portefeuille pour des contrats portés par la société d'assurance Prédica (distribués par les réseaux Crédit Agricole et Crédit Lyonnais). La filiale étend également ses activités avec des assurances à faibles prix et faibles indemnisations pour couvrir des cas d'accidents mais aussi avec des services comme le recueil des volontés pour l'organisation des obsèques. Cette diversification des activités a accompagné une forte croissance du chiffre d'affaires gérées mais aussi des effectifs, même si Auxia reste une PME (organisée en plusieurs entités juridiques pour des raisons légales). De 50 personnes en 2007, Auxia est passé à une centaine, les activités atteignant aujourd'hui un total d'environ 320 millions d'euros par an pour à peu près 700 000 contrats gérés.

Des processus bouleversés

Le SI d'Auxia est en cours de refonte pour s'adapter à cette évolution et en profiter pour se moderniser. Le système financier passe ainsi de Sage 100 à Sage 1000, le système de gestion des contrats de Opus à Sunshine, tous deux produits de l'éditeur Extel, le pilotage des ordres de prélèvements bancaires d'Exabanque à Allmybaks, etc.

Les méthodes de travail sont également en pleine refonte. La gestion des factures entrantes n'est pas stratégique en elle-même : beaucoup de choses étant mutualisées au niveau groupe, le nombre de factures entrantes est très limité (un millier par an environ). Mais la refonte des processus imposait de revoir leur traitement sous peine d'un blocage. « Le coût de traitement des factures est tout à fait marginal par rapport, par exemple, à la gestion des 700 000 contrats, et économiser sur ce poste n'était clairement pas le sujet ; notre démarche était une démarche qualité pour éviter les coûts de non-qualité et pour adopter une organisation plus ouverte et transparente » indique Xavier Le Clech, DAF d'Auxia.

Auparavant, en effet, le circuit de traitement des factures était limité à peu de personnes et manquait de visibilité. Pour obtenir une information, il fallait savoir interroger la bonne personne. De plus, le suivi était réalisé sur des feuilles Excel indépendamment de la comptabilité avec, régulièrement, des problèmes de réconciliation entre les deux. Xavier Le Clech précise : « Nous avons voulu ouvrir le flux dans le cadre de notre réorganisation pour faciliter la supervision et la validation en passant à un mode contributif et transparent facilitant la prise de conscience des coûts ». Désormais, de multiples opérateurs entrent les données, scannent les factures entrantes et initient le circuit de validation.

Le DAF d'Auxia avait, dans un emploi précédent, pu juger de tous les effets positifs de ce type d'organisation.

Le SaaS pour éviter les blocages

Le choix d'une dématérialisation avec traitement dans une GED est une chose. Opter pour le mode SaaS en est une autre. « Le mode Saas nous a permis de mener le projet facilement et rapidement, en quelques réunions, avec un co-pilotage DSI/DAF » répond Xavier Le Clech. Il précise aussitôt : « nous avons choisi Yooz comme produit de test du mode SaaS. D'autres sont clairement envisagés. Une autre solution nous aurait contraint à un projet lourd, bloquant notre réorganisation à cause d'un point non-stratégique. De plus, un DSI a toujours des difficultés à comprendre les outils très spécifiques de la direction financière et le SaaS déporte la question sur un prestataire spécialisé externe. »

Pour l'heure Auxia bénéficie d'un partenariat avec Yooz, une filiale d'Itesoft. A terme, le coût du service sera lié aux nombre de factures traité.

(...)

(27/08/2010 10:05:43)

SFR secondera la Poste dans son aventure mobile

« La Poste et SFR ont pour ambition de développer une offre de téléphonie mobile pré-payée et post-payée simple, d'un haut niveau de qualité et à destination du plus grand nombre », indique un communiqué du groupe. En mars dernier, l'établissement postal avait annoncé son intention de se lancer dès l'année prochaine dans la téléphonie mobile en vendant des forfaits en tant qu'opérateur mobile virtuel (MVNO).

Pour revenir à l'un des coeurs de métier des PTT, l'ancêtre dont il est issu, l'entreprise sera donc partenaire de SFR, deuxième opérateur de France sur le marché de la téléphonie mobile, dont elle louera le réseau et les infrastructures.

Un réseau de distribution très bien maillé

La Poste n'est pas tout à fait novice dans le secteur de la téléphonie. Elle vend déjà des cartes prépayées dans ses agences, et compte pas moins de 500 000 clients sur l'année 2009, pour un chiffre d'affaires de 150 millions d'euros. La prochaine étape sera donc de distribuer des abonnements dans ses points de présence. Objectif fixé, se lancer sur le marché de la téléphonie mobile dès 2011, et parvenir, à terme, à capter 1,5 à 2 millions de clients.

La France compte actuellement une dizaine de MVNO (Auchan Mobile, Virgin Mobile, etc.) qui louent les infrastructures de l'un des trois opérateurs propriétaires de leur réseau (France Télécom, SFR et Bouygues Telecom). Selon l'Arcep (régulateur des télécoms), les MVNO captaient fin 2009 un peu plus de 3,5 millions de clients (+24,3% en un an), contre environ 55,6 millions pour les trois opérateurs historiques. (...)

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