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(26/08/2010 17:48:20)
La falsfication d'identité a un prix sur Internet
Les activités des piratage informatiques telles que le vol d'identité ou le phishing ne concernent pas uniquement un détournement d'argent selon McAfee, fournisseur de solutions de sécurité (récemment racheté par Intel). En effet, les cybers pirates disposent d'un arsenal plus large que ce que l'on pouvait penser. Ils peuvent fournir à tout criminel en fuite un document falsifié lui permettant de se promener rasséréné.

Un tableau du prix des passeports falsifiés (Crédit : McAfee)
Le passeport est l'objet le plus falsifié. Certains sites pourront, moyennant de l'argent, falsifier un passeport pour le pays que vous souhaitez. A titre d'exemple le passeport le moins cher, celui de l'Azerbaïdjan, ne coûtera « que » 870 dollars quand au passeport français, il vaudra 5 530 dollars. Les sites dans ce genre peuvent créer de fausses cartes de crédit avec des soldes pouvant monter jusqu'à 50 000 dollars.

Un tableau du prix de cartes de crédit falsifiés (Crédit : McAfee)
De fait, il est désormais possible de travestir tout un ensemble de papiers officiels c'est pourquoi McAfee, avertit le public en lui conseillant de faire très attention à la diffusion de leurs données personnelles, que ce soit sur les réseaux sociaux ou dans la vie « réelle » étant donné que le pirates informatiques redoublent d'ingéniosité pour voler tout document pouvant leurs rapporter de l'argent. (...)
Dell surenchérit pour 3Par à 24,30 $ par action
Dell a donc finalement réagi à l'offre de 24 dollars par action lancée par HP pour l'achat de 3Par. L'écart se joue de peu sur le chiffre global, les deux propositions valorisant la société autour de 1,6 milliards de dollars chacune, mais reste visible au prix par action. Dell est désormais prêt à mettre 24,30 $ pour chaque action, après son offre originelle de 18 $ par action (pour un total d'environ 1,15 milliards de dollars) qui avait été dépassée d'un tiers par les 24 $ de HP. L'offre a été acceptée par 3Par, qui avait dès le début soumis une réserve à l'acquisition finale stipulant que la meilleure enchère l'emporterait s'il venait à y en avoir une. Pour cette dernière proposition, dans le cas où 3Par accepterait encore une fois une offre supérieure, elle aurait à reverser 72 millions de dollars de compensation à Dell en accord avec la clause de dédit. HP n'a pas encore commenté ce dernier rebondissement.
Crédit Photo : D.R.
HP acquiert Stratavia, spécialiste de la gestion du cloud
Cette société, basée à Denvers, propose des outils pour automatiser le déploiement, le paramétrage et la gestion des bases de données et du middleware. Les solutions Stratavia qui comprennent la plateforme Data Palette en charge de la détection des modifications de paramètrage, seront combinées aux services HP Service Automation.
L'avantage clé des solutions de Stratavia est d'automatiser des tâches qui sont utilisées dans des environnements hybrides où les applications hébergées comprennent des éléments physiques ou en mode cloud. De plus en plus d'entreprises migrent une partie de leur infrastructure IT dans le cloud, d'où l'importance de la capacité à gérer l'ensemble des écosystèmes. Devant la complexité de la tâche, les sociétés ont besoin d'outils pour automatiser aussi bien les grands que les petits changements.
Aucun montant n'a été donné pour cette acquisition.
Illustration: Data Palette Plateform
Crédit Photo: D.R
(...)(26/08/2010 16:05:00)France-IX, une place de peering structurée à Paris
Depuis quelques années, les points de peering (point d'échange du trafic Internet des opérateurs ou fournisseurs de services) se trouvaient très dispersés dans la capitale. Après les études d'un groupe de travail, le projet France-IX a vu le jour en janvier 2010. Originalité par rapport aux plateformes existantes, il s'agit d'une association à but non lucratif qui regroupe Akamai, Jaguar Network, Neo Telecoms et Interxion. Elle est actionnaire d'une SAS (société à actions simplifiées) chargée des aspects opérationnels, techniques et commerciaux, explique Frank Simon, directeur général de cette entreprise. Il ajoute que « ce modèle existe à Londres (LinX), Amsterdam (AMS-IX ) et Francfort (DE-CIX) avec succès ».
Dans les premiers temps, France-IX a déployé les différents équipements de commutation sur les plaques des membres (Interxion 1, 2 et 5, Telehouse 1,2) de l'association. La mise en place de serveurs, ainsi que de l'administration s'est déroulée par la suite. Pendant cette phase de déploiement, la plateforme a offert ces services à ses membres « pour tester la qualité de service » souligne Franck Simon. La phase opérationnelle sera payante : 1500 euros de frais d'installation et une cotisation comprise entre 0 et 1900 euros mensuels selon les services. Ces derniers comprennent l'unicast ou le multicast IPv4 et IPv6, ainsi que des serveurs. L'association développe également son infrastructure pour répondre au marché des applications triple et quadruple play.
Développement des POP et décentralisation
France-IX a bénéficié de l'apport des points de présence de Panap, point de peering de Bouygues Telecom (hérité du réseau Club Internet). Près de 140 opérateurs s'appuyaient sur cette plaque et sont en cours de migration vers les services France-IX. Par ailleurs, une interconnexion avec SFINX de Renater, réseau de l'Education Nationale, a été réalisée au mois d'août. Pour Franck Simon, la rentrée sera l'occasion de « consolider les points de présence sur Paris et d'en déployer d'autres, une dizaine de plus d'ici mi-2011 ».
Les yeux se tournent notamment vers Marseille, qui a l'avantage d'être très bien desservie par les câbles sous-marin, la reliant à l'Afrique et à l'Asie. Cette ouverture au trafic international est une forte ambition de France-IX qui entend bien redonner à Paris ses lettres de noblesse dans les échanges internationaux.
(...)(26/08/2010 16:06:55)Davantage d'informaticiens en recherche d'emploi en juillet
Communiquées hier, les données brutes collectées sur le chômage par la Dares* font apparaître une augmentation des inscrits à Pôle Emploi parmi les métiers des systèmes d'information et des télécommunications au mois de juillet 2010, par rapport au mois précédent. Avec 32 000 inscrits, on retrouve un niveau comparable à celui d'avril où 32 200 personnes étaient en recherche d'emploi sur ces fonctions. Ce décompte englobe les personnes sans emploi et les personnes ayant exercé une activité réduite de courte ou de longue durée. En mai et juin, leur nombre avait amorcé une baisse avec 31 800 puis 31 500 inscrits. Il s'agit ici de données brutes, non corrigées des variations saisonnières et des jours ouvrables.
+23,5% d'inscrits en un an selon le nouveau décompte
Le décompte récapitulatif fourni par la Dares montre que, un an plus tôt, 25 900 personnes sans emploi étaient inscrites en juillet 2009 dans les métiers liés aux systèmes d'information et de télécommunications, en englobant les demandeurs d'emploi ayant une activité réduite. Soit, en un an, une augmentation de 23,5% du nombre d'informaticiens inscrits au chômage. Rappelons en outre que la Dares a réorganisé sa classification métiers au début de cette année, faisant passer les professions de l'informatique dans la catégorie « métiers des systèmes d'information et de télécommunication » et reclassant au passage une partie des postes sur d'autres métiers. Ce nouveau décompte avait fait baisser le nombre d'inscrits
assimilés jusqu'alors aux métiers de l'informatique (pour mémoire, la Dares avait totalisé 30 700 inscrits en juillet 2009 parmi les professionnels de l'informatique, contre 25 900 avec le nouveau décompte « SI et télécommunications »).
En juillet 2010, en bornant le décompte aux personnes de la catégorie A, qui n'ont pas eu d'activité dans le mois, même réduite, les métiers des systèmes d'information et de télécommunication atteignent 26 100 inscrits à Pôle Emploi en juillet, soit un peu plus qu'en mai (26 000), alors que juin avait enregistré un léger mieux avec 25 500 inscrits en recherche d'emploi sans activité, même réduite. Le tableau récapitulatif de la Dares indique qu'ils étaient 21 900 en juillet 2009.
*Dares : Direction de l'Animation de la Recherche, des Etudes et des Statistiques, Ministère du travail, de la solidarité et de la fonction publique.
Les catégories A, B et C de la Dares : "La plupart des demandeurs d'emploi inscrits à Pôle emploi sont tenus de faire des actes positifs de recherche d'emploi : certains sont sans emploi (catégorie A), d'autres exercent une activité réduite courte, d'au plus 78 heures au cours du mois (catégorie B), ou une activité réduite longue, de plus de 78 heures au cours du mois (catégorie C)."
Red Hat offre son API cloud comme standard ouvert du marché
"Nous ne voulons pas que Deltacloud soit sous le contrôle d'un vendeur en particulier, Red Hat compris. Si nous voulons accéder à une véritable interopérabilité et à une réelle portabilité, nous avons besoin d'un instrument de contrôle tiers," a déclaré Bryan Che, chef de produits cloud pour Red Hat, au cours d'une webcast pendant laquelle il a tracé la feuille de route de l'entreprise en matière de cloud computing. "Le manque d'interopérabilité entre les différents vendeurs de solutions cloud est l'une des préoccupations majeures des entreprises qui pèse dans leur décision d'adopter ou non le cloud," a souligné Gary Chen, directeur de recherche en logiciels de virtualisation pour l'entreprise chez IDC, lors d'une présentation qui a accompagné l'annonce de Red Hat.
Une ouverture progressive
C'est en septembre 2009 que Red Hat a lancé Deltacloud sous forme d'un ensemble d'API Open Source qui pouvaient être utilisées pour répartir les charges de travail entre différents fournisseurs de services cloud IaaS (Infrastructure-as-a-Service), comme Amazon et Rackspace. Afin de dispatcher la charge de travail entre les différents prestataires de cloud, les clients doivent pouvoir s'appuyer sur "une architecture et une pile compatibles avec le système qu'ils font tourner en interne," a déclaré Paul Cormier, président de Red Hat pour les produits et technologies. Pour encourager les contributions extérieures, Red Hat a cédé le code base de Deltacloud à l'Apache Incubator, un service de dépôts de logiciels qui, par la suite, peuvent éventuellement être supervisés par la Fondation Apache. L'éditeur a également créé le site APIwanted.org, sur lequel des parties tierces peuvent soumettre leurs suggestions pour des API supplémentaires ou signaler les fonctionnalités qu'ils souhaitent voir dans Deltacloud. Red Hat a également affirmé que, à part elle, d'autres entreprises participaient à l'élaboration de Deltacloud, ou l'utilisaient d'une manière ou d'une autre, citant notamment Cisco, Dell, Hewlett-Packard, IBM, Ingres et Intel. Red Hat a également annoncé qu'elle proposerait bientôt une solution de Plateform-as-a-Service construite autour de sa pile logicielle middleware JBoss.
D'autres alternatives pour un cloud ouvert
Mais Red Hat, n'est pas seul à s'être penché sur la question. Un certain nombre de fournisseurs de services cloud cherchent aussi des solutions. En juillet, Rackspace et la NASA ont entamé l'opération OpenStack pour collecter des logiciels Open Source développés pour le cloud computing. Plus tôt cette semaine, Eucalyptus Systems a lancé la version 2.0 de sa plate-forme cloud, qui utilise l'API AWS (Amazon Web Services). La société en a profité pour dire au passage que, en raison de sa popularité, l'AWS était devenu de facto un standard.
C'est le Cloud Management Working Group, entité du DMTF, l'organisme chargé de superviser des normes comme le CDM (Common Diagnostic Model), DASH (Desktop and Mobile Architecture For System Hardware) et OVF (Open Virtualization Format), qui examinera la proposition de Red Hat en vue de l'adoption de Deltacloud en tant que standard.
Les systèmes informatiques du Pentagone attaqués par une clef USB
D'après un secrétaire d'état à la Défense, une agence d'espionnage étrangère serait responsable de l'attaque la plus sérieuse à l'encontre du réseau informatique du Pentagone. Elle était parvenue à insérer une clef USB contenant un code malveillant sur un ordinateur de l'armée américaine situé au Moyen-Orient. Dans un article du Washington Post, basé lui-même sur un futur article de Foreign Affairs, il est décrit que le virus pourrait bien avoir transféré des secrets et plans de l'armée sur des serveurs basés en dehors du territoire américain. L'auteur, le secrétaire adjoint à la Défense William J. Lynn, expose que cet incident est à l'origine de la stratégie de défense actuelle du Pentagone, qui inclut des moyens de détecter les intrus sur le réseau et qui avait interdit, en novembre 2008, l'usage des petits appareils de stockage dans le complexe. Cette interdiction s'est depuis légèrement assouplie, autorisant un usage limité de tels dispositifs.
De véritables risques
Dans l'article en question, William J. Lynn ne divulgue pas le pays ayant orchestré l'attaque, ni quels secrets militaires ont été éventuellement dérobés. Il indique toutefois que « une douzaine de programmeurs peuvent, s'ils trouvent une vulnérabilité à exploiter, menacer le réseau logistique complet des Etats-Unis, voler des plans, neutraliser les capacités des services d'intelligence et gêner les potentielles frappes militaires sur des ennemis ». C'est d'ailleurs pour protéger ces éléments qu'a été créé fin 2009 le Cyber Commandement militaire. Le responsable ministériel informe à ce propos que plus de 100 organisations étrangères d'espionnage tentent de s'introduire dans les réseaux américains. Alors que l'attaque de 2008 avait été tenue volontairement secrète, il est temps, selon lui, d'informer l'opinion des risques présents sur les réseaux informatiques en montrant que même celui du Pentagone n'a pas été épargné.
Illustration : William J. Lynn III, Secrétaire Adjoint à la Défense Américaine
Crédit Photo : D.R.
Orange Business Services acquiert l'intégrateur Alsy
Orange Business Services (OBS) poursuit sa politique d'acquisition d'intégrateurs. Après Silicomp et Dynetcom dans les réseaux, Almerys pour la santé, Groupe Diwan et Neocles, l'opérateur télécoms annonce l'acquisition d'Alsy.
Cette fois, il s'agit d'un intégrateur spécialiste des environnements Microsoft. Créée en 1990, Alsy affiche un chiffre d'affaires 2009 de 14 millions d'euros, contre 12,89 en 2008. La société compte 140 collaborateurs, elle est certifiée « Microsoft Gold Partner ».
OBS et Microsoft soulignent l'intérêt de ce rapprochement pour le développement des communications unifiées. Il y a un an, ils signaient un accord pour la distribution dans 21 pays, par OBS, des solutions Online Services de l'éditeur.
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