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(26/08/2010 13:13:10)

La téléphonie IP de Google, menace Skype (MAJ)

Contrairement à Gmail Voice et au vidéo chat de Google en service depuis deux ans, qui offrent l'accès à des fonctionnalités de communication audio et vidéo en ligne, ce système d'appel VoIP baptisé Call Phones permet de composer directement des numéros de téléphone, mais seulement depuis les États-Unis et le Canada pour l'instant. Cet ajout place Google en concurrence frontale avec Skype qui a défriché le marché de la téléphonie IP sur micro-ordinateurs et smartphones. "Dès aujourd'hui, vous pouvez appeler n'importe quel téléphone à partir de Gmail", a écrit dans un blog Robin Schriebman, ingénieur logiciel chez Google. "Nous avons testé cette fonction en interne et nous l'avons trouvé utile dans de nombreuses situations, comme quand il s'agit d'appeler rapidement un restaurant, ou de téléphoner dans une zone où le réseau passe mal." Pour réaliser des appels depuis Gmail, rien de plus simple, puisqu'il suffit en effet de cliquer sur "Appeler un téléphone" en haut de la liste de chat et d'entrer un numéro ou un nom figurant dans sa liste de contact. "Jusqu'à la fin de l'année au moins, aux États-Unis, les appels vers tout correspondant américain ou canadien seront gratuits," a-t-elle indiqué, ajoutant que "des taux très faibles" avaient été mis en place pour les appels vers d'autres pays (2 centimes par minute pour l'Europe par exemple).

Une forte base installée grâce à Gmail

Mais Google a-t-il la capacité de faire de call Phones un Skype killer ? Créé il y a 7 ans, Skype est devenu un outil pour les particuliers et les entreprises pour effectuer des appels vidéo et vocaux sur Internet. Fort de 600 millions d'abonnés, Skype a comptabilisé qu'au cours de la première moitié de l'année 2010, 6,4 milliards de minutes avaient été consommées en appel téléphonique sur son service. Mais, si Google débute dans cette compétition, il a l'avantage de pouvoir de mettre sur la table sa large base d'utilisateurs de Gmail, soit 200 millions d'utilisateurs environ. «Skype pourrait en prendre un coup,» a déclaré Dan Olds, analyste auprès du Gabriel Consulting Group. "Depuis des années, Skype permet d'appeler des correspondants sur des lignes terrestres et des téléphones cellulaires. Mais le fait d'avoir intégré la fonction dans Gmail, laquelle sera sans doute accompagnée d'autres offres, représente une extension pour Google, toujours à l'affût de nouvelles sources de revenus." Selon Dan Olds, la firme de Mountain View cherche à étendre son emprise sur sa clientèle et à se déplacer sur des marchés complémentaires susceptibles de drainer plus de revenus.

Jouer la synergie pour convaincre les utilisateurs

«L'ajout des appels vocaux à l'ensemble des produits existant améliore l'expérience utilisateur et permet de fidéliser davantage encore les personnes qui utilisent de plus en plus souvent les Google Apps," a déclaré l'analyste. «Google éloigne ainsi les gens d'un autre service comme Skype, et cela peut amener à certaines défections. Google a sans aucun doute la capacité et la dimension pour créer une brèche dans Skype, surtout si le géant de la recherche peut proposer ce service en complément de ses offres."
La fonction de téléphonie IP de Google devrait être disponible au cours des prochains jours aux États-Unis seulement. Pour la rendre fonctionnelle, les utilisateurs devront installer le plug-in voice et video de Google pour voir apparaître le bouton "Appeler des téléphones" dans leur liste de chat.

(...)

(26/08/2010 12:47:26)

Le brevet unique européen hypothéqué par la justice communautaire

L'avis d'un avocat général  de la Cour de Justice des Communautés Européennes pourrait bien mettre à mal la volonté de la Commission européenne de créer enfin un brevet européen unique. En effet, dans cet avis, le magistrat indique qu'un brevet centralisé serait contraire aux traités en vigueur.

Cette information, non dévoilée publiquement, pourrait porter un coup aux sociétés IT à l'origine d'un grand nombre de demandes de brevet.  Les inventions relatives à l'informatique ont eu le taux de croissance le plus élevé parmi toutes les catégories de brevets présentées à l'Office européen des brevets (OEB) au cours de ces dernières années. Ces entreprises militent depuis longtemps sur une approche commune de l'UE sur ce sujet, gage de protection de l'innovation. Le système actuel de dépôt de brevet dans chaque juridiction est cher et peu pratique, en particulier pour les petites entreprises.

Remise en cause plurielle


En plus de souligner l'incompatibilité juridique des brevets centralisés, l'avis de l'avocat général s'inquiète aussi sur de mise en place d'une Cour Européenne des Brevets (CEB)  par rapport au droit européen. «  ll ne faut donc pas exclure la possibilité que la future juridiction sur les brevets  ignore certains des principes et des dispositions du droit communautaire ou qu'elle ne sera pas capable d' en tenir compte pour résoudre les litiges entre particuliers en matière de brevets. Cette crainte est renforcée par le fait que les dispositions du projet d'accord sur la formation des juges de la future CEB ne contiennent aucune référence au droit européen », indique l'avocat général dans son avis que s'est procuré IDG NS.

La question de la langue de dépôt de brevets et leur traduction dans d'autres langues sont considérées comme la principale pierre d'achoppement au brevet unique. La Commission a tenté de résoudre ce problème le mois dernier, mais la proposition de compromis sur le régime linguistique subit également les critiques de l'avocat général.  Cette prise de position n'est pas contraignante pour la Cour de Justice des Communautés européennes, qui rendra sa décision finale avant la fin de l'année.

 

Illustration: Office Européen des Brevets

Crédit Photo: D.R

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(26/08/2010 12:24:33)

La version finale Ruby on Rails 3.0 arrive

A moins d'un imprévu de dernière minute, le framework de développement web Ruby on Rails sortira dans sa version 3.0 cette semaine. C'est ce qu'a indiqué son créateur, le Danois David Heinemeier Hansson (photo ci-dessus), dans un billet de blog publié le 24 août. Il y explique que « cette deuxième 'candidate' présente très peu de modifications par rapport à la première ». Il demande néanmoins aux développeurs de la communauté de l'aider à arracher les quelques 'mauvaises herbes' qui pourraient subsister, en particulier dans les deux outils auxiliaires récemment arrivés, Bundler (qui gère les dépendances d'une application) et ARel (qui simplifie la génération de requêtes SQL), et qui ont tous deux évolué des dernières semaines. Les différences entre la Release Candidate 1 et la RC2 peuvent être consultées sur le site GitHub utilisé pour le partage de code.

Rails 3.0 révèle l'influence du framework Merb duquel il s'est rapproché au sein d'un même projet en décembre 2008, notamment au niveau de l'amélioration des performances et des possibilités de plus-in. Les autres apports attendus de la version 3.0 comprennent une protection contre les attaques XSS (cross-site scripting), des helpers JavaScript, ainsi qu'un routeur basé sur les déclarations REStful.

David Heinemeier Hansson souligne enfin que Rails 3.0 dispose maintenant de sa propre branche stable, la branche maîtresse étant maintenant réservée aux développements de Rails 3.1.

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(26/08/2010 12:49:10)

Motorola investit dans les applications web en achetant 280 North

En acquérant 280 North, développeur d'applications web, Motorola semble prêt à s'impliquer encore plus dans l'enrichissement de l'écosystème Android. Cet achat se serait produit « un peu plus tôt cet été » selon Motorola, qui n'a pas dévoilé le prix de la transaction, mais il n'a été rapporté que mercredi par le site Techcrunch. L'éditeur 280 North est plus connu pour ses programmes 280 Slides et Cappuccino. Avec le premier, les utilisateurs peuvent constituer leurs présentations via leur navigateur web, trouvant facilement sur Internet les médias dont ils ont besoin, tandis que le second inclut des outils servant à enrichir les applications web. Pour Motorola, « cet éditeur nous aidera à promouvoir l'écosystème Android », affirme Tama McWhinney, porte-parole du constructeur.

Diversifier pour mieux régner

Motorola a misé gros sur Android. Pour se démarquer des concurrents utilisant eux-aussi l'OS, HTC et Samsung par exemple, l'entreprise a créé MotoBlur, interface utilisateur combinant les informations en provenance des réseaux sociaux comme Twitter et Facebook. Il précise néanmoins qu'il continuera d'intégrer cette interface à ses prochains smartphones.

Cette acquisition intervient alors que Motorola continue de préparer à diversifier son activité mobile, plan prévu depuis 2008. On peut aussi noter que l'entreprise n'est pas la seule, parmi les constructeurs de smartphones, à se lancer sur le marché des applications, Rim ayant récemment acquis Cellmania, éditeur d'applications spécifiquement mobiles.

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(26/08/2010 10:43:31)

Thomas Bravo s'empare de LanDesk

Racheté pour la 4ème fois en huit ans, LanDesk, spécialiste des logiciels de gestion informatique est passé successivement entre les mains d'Intel, Avocent, Emerson. Désormais, il appartient à un fonds d'investissements : Thoma Bravo. « Le seul changement, c'est la continuité ! » nous explique Frédéric Pierresteguy, directeur France et Europe du sud, de Landesk. « Thoma Bravo correspond à ce que nous cherchions, on garde les équipes et les structures, notre plan de développement est maintenu et soutenu par un financement, et on redevient Landesk Software, c'est une bonne nouvelle pour nos clients comme pour  nos partenaires ».

Landesk peut désormais réaliser son plan de développement et s'orienter vers le cloud et la mobilité. La société va également se porter davantage sur  les grands comptes, elle était jusqu'alors vouée au mid market, des entreprises entre 500 et 1 000 postes. Au passage, Landesk confirme son orientation totalement en indirect. Elle va recruter 5 à 10 personnes pour étoffer ses équipes de support, de services et de ventes.

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(26/08/2010 10:43:09)

APX s'offre la base client Systemat

Autant le rachat de Kappa était motivé par des raisons technologiques, la récupération de compétences Citrix, autant le rachat du fonds de commerce de Systemat relève pour APX de l'acquisition d'une base de client.  « Comme APX, Systemat est actif dans deux domaines principaux, l'intégration des infrastructures et les services support en infogérance », nous explique Noël Saille, Pdg d'APX.

Ce rachat supplémentaire est donc essentiellement dû à des motivations commerciales, alors que celui de Kappa était motivé par le renforcement de l'activité virtualisation de APX. La procédure est également différente. Systemat, qui appartenait à Netmakers, était en liquidation judiciaire après de multiples mésaventures, alors que Kappa était simplement de taille trop modeste pour pouvoir grandir sur un marché prometteur. L'intégration se fait aussi de manière opposée. Systemat est déjà intégré dans les structures d'APX alors que Kappa garde son nom et ses structures jusqu'à la fin de l'année.

Systemat passe à 14 agences


L'aspect régional de ce rachat est également important. Systemat compte deux agences, une à Lille, l'autre à Montpellier. Celle de Lille va renforcer l'agence que détenait APX dans cette métropole. Celle de Montpellier va compléter l'ancrage régional d'APX fort de 13 agences. La société détenait déjà une agence dans la même région, à Aix, mais celle de Montpellier gère des prestations pour Dell qui a installé son centre européen dans cette ville de Montpellier. Systemat était intégrateur de Dell, APX était fournisseur de services sur des matériels Dell, les deux activités se retrouvent désormais dans une seule et même société. « Là encore, la complémentarité est forte » souligne Noël Saille.

Dans cette opération, APX reprend 30 personnes, 19 salariés de Systemat, le reste étant issu des activités de sous-traitance de Systemat. Le chiffre d'affaires (CA) repris se monte à 7,5 millions d'euros (CA de Systemat en 2009), pratiquement le même que celui de Kappa (7 millions d'euros). APX va clôturer son exercice annuel fin septembre, Noël Saille table sur un chiffre d'affaires de 190 millions d'euros contre 171 lors de l'exercice précédent.

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