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(24/08/2010 12:26:55)

Le conseil d'administration d'OpenSolaris se dissout

Réagissant au désintérêt d'Oracle pour la version Open Source de Solaris, révélé le 13 août par un mémo interne de l'éditeur, l'OpenSolaris Governing Board (OGB) vient d'officialiser sa dissolution. Son président John Plocher, l'a annoncé hier par mail. Le contrôle de l'OGB repasse donc dans les mains d'Oracle, ainsi que le prévoit le règlement mis en place à l'origine par Sun Microsystems.

Ce n'est pas une surprise. A la mi-juillet, les membres de ce conseil avaient mis en garde le repreneur de Solaris et demandé la nomination d'un intermédiaire entre l'éditeur et l'OGB pour parler de l'avenir de la version Open Source et des relations avec la communauté OpenSolaris. Le conseil avait averti qu'il démissionnerait si rien n'était fait d'ici sa réunion du 23 août. Ce qu'il a fait hier (cf en encadré un extrait de sa communication).

La version prévue en mars n'a pas été livrée

Depuis qu'Oracle avait définitivement acquis Sun en janvier dernier, il était resté très silencieux sur ses projets concernant la distribution ouverte de Solaris, alors qu'il a clairement plébiscité la version commerciale de l'OS sur ses gammes de serveurs. En mars dernier, il n'a pas livré la version qui était prévue et n'a fourni aucune explication à ce sujet à l'OGB.

Désormais, par le mémo parvenu mi-août jusqu'à la communauté OpenSolaris, on sait que l'éditeur ne prévoit plus de livrer de versions de l'OS dans sa distribution ouverte, offrant à la place, à l'intention des développeurs et des utilisateurs occasionnels, une version binaire gratuite du système d'exploitation, baptisée Solaris Express.

Quel avenir pour OpenSolaris sans Oracle ?

Le mois dernier, lors de la conférence Open Source d'O'Reilly à Portland (Oregon), Simon Phipps, l'un des membres de l'OGB et ancien collaborateur de Sun, avait confié qu'il doutait qu'OpenSolaris puisse continuer à être développé sans l'aide d'Oracle, dans la mesure où la majorité des développeurs qui connaissaient l'OS étaient des salariés de l'éditeur.

Pourtant, Garrett D'Amore, ingénieur qui participe au projet Nexenta (qui combine OpenSolaris et l'interface GNU/Debian pour bâtir une solution de stockage basée sur ZFS), a lancé début août un projet dérivé d'OpenSolaris, sous le nom d'Illumos. Il affirme que plusieurs noms connus soutiennent déjà cette initiative, « des contributeurs ayant participé au code de Solaris par des apports très importants », selon lui.

L'avenir d'Open Solaris qui se dessine semble donc s'inscrire sous le signe de la concurrence avec Oracle plutôt que sous celui de la collaboration entre l'éditeur et la communauté Open Source.

(...)

(24/08/2010 12:24:02)

Des offres triple play plus taxées et donc plus chères

Ces formules très populaires, qui combinent accès Internet, téléphonie fixe et télévision, sont actuellement taxées par la TVA à 19,6% à hauteur de 50% de la facture. Cette part pourrait grimper à 60 ou 70%. Annoncé comme « l'un des sujets brûlants de la loi de Finances 2011 » par le quotidien économique, la révision de la fiscalité sur les offres triple play pourrait intervenir dès l'année prochaine. Jusqu'à présent, le régime fiscal des fournisseurs d'accès à Internet bénéficie d'un cas particulier. Un taux normal à 19,6% s'applique sur une moitié de la facture, tandis qu'un taux réduit à 5,5% est appliqué à l'autre moitié.

La Commission européenne prévoit un taux réduit de TVA sur la télévision payante, mais pas sur l'accès à Internet et la téléphonie fixe. Bruxelles estime donc anormal d'appliquer le taux réduit sur une moitié de la facture alors que l'offre de télévision n'est pas utilisée par tous. L'Etat pourrait être tenté d'agir rapidement pour répondre à la demande de la Commission européenne, le manque à gagner s'élevant à plusieurs centaines de millions d'euros par an.

Selon Les Echos, le gouvernement étudierait plusieurs options : imposer aux opérateurs de présenter deux factures aux abonnés afin de distinguer clairement le coût des services de télévision taxé à hauteur de 5,5%, ou alors relever la TVA à 19,6% sur toute la facture. Troisième solution, supprimer la TVA réduite sur les chaînes privées, Canal+ compris. Enfin, l'option la plus réaliste consisterait à ramener de 50% à 40%, voire 30%, la part de la facture soumise au taux réduit de 5,5%. Cette dernière solution « n'est pas idéale » souligne le journal, "car il n'est pas dit que la télévision représente réellement 30% ou 40% de la consommation des offres triple play". De plus, Bruxelles pourrait juger que la France n'a pas véritablement réglé le problème.

Conséquence pour le consommateur, le forfait triple play, proposé généralement à 29,90 euros/mois aujourd'hui, pourrait coûter demain quelques euros supplémentaires.

(...)

(24/08/2010 12:24:17)

Le cloud vecteur d'idées innovantes

Le rapport établit que les infrastructures IT traditionnelles et rigides entravent l'innovation car le déploiement et les tests sont longs à mettre en place. De son côté, les services informatiques à la demande bénéficient d'une plus grande rapidité de mise en oeuvre et d'exécution.

« Souvent les coûts et le temps nécessaires pour tester un produit ou service innovant, pour éprouver une méthode marketing sont si inabordables qu'ils découragent les entreprises avant même d'essayer », informe l'étude. « Mais le cloud computing offre un moyen peu coûteux et flexible de déployer l'infrastructure nécessaire pour expérimenter les idées ». Par exemple, le rapport mentionne que l'entreprise 3M utilise la solution Azure de Microsoft pour analyser rapidement des concepts sur les produits destinés aux consommateurs tandis que la société McKesson utilise l'outil « Analytics Cloud » de SAS pour étudier les données marketing.

Toutefois, PWC reconnaît dans son étude que le cloud computing accroît les problèmes de sécurité, tout comme ceux de conformité réglementaire et ceux liés aux aspects économiques et financiers. (...)

(23/08/2010 17:27:19)

Summit Partners investit 100 millions de dollars dans Avast Software

Les solutions de sécurité sont décidément très recherchées. Après l'acquisition de McAfee par Intel ,  Avast a indiqué que son capital comprenait un actionnaire supplémentaire. Ce dernier, Summit Partners a en effet investi 100 millions de dollars dans la société tchèque.  Connue pour ces solutions gratuites pour le grand public, Avast Software indique qu'il protège un ordinateur sur cinq dans le monde entier contre les logiciels malveillants.

« Avec Summit Partners, nous allons poursuivre notre stratégie visant à offrir une solution gratuite au plus grand nombre. Nous n'avons pas l'intention de changer notre business modèle et nous conservons notre positionnement de vente au détail » explique Vince Steckler, PDG d'Avast Software. Avec cette opération capitalistique, Scott Colins, directeur général du fonds d'investissements rejoindra le conseil d'administration de l'éditeur.

Cette augmentation de capital intervient sur un marché de la sécurité en plein ébullition. Rapprochement, fusion-acquisition, les éditeurs de logiciel de sécurité pour les résidentiels et les entreprises sont très courtisés. L'orientation vers les services web et le cloud computing augmentent la demande en solution de sécurité.

 

Illustration: Vince Steckler, PDG d'Avast

Crédit Photo: D.R

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