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(19/08/2010 11:15:01)
EDF mise sur la téléprésence
Premier producteur d'électricité en Europe et premier fournisseur d'électricité en France, EDF compte plus de 38 millions de comptes clients et 160 000 salariés dans le monde. Il rencontrait des difficultés pour la collaboration à distance de ses équipes réparties dans plusieurs pays. Pour défendre son image « verte », EDF désirait également limiter au maximum les déplacements de ses personnels.
Après appel d'offres, EDF a mis en place des salles de réunion avec téléprésence permettant à des équipes situées dans les différentes implantations d'échanger comme si elles étaient situées dans la même pièce. L'électricien a choisi une solution entièrement administrée par le prestataire, en l'occurrence Managed Virtual Meeting d'Easynet Global Services. Le Centre d'opérations et de supervision du Réseau (VNOC) d'Easynet s'occupe de l'installation, la maintenance, le paramétrage et l'administration du service. Six salles de téléprésence permettent une collaboration sécurisée à distance : une salle à la tour EDF de la Défense, une salle au siège à Paris, une salle à Londres au siège d'EDF Energy, une salle à Milan au siège d'Edison, une salle à Karlsruhe, au siège d'EnbW et une salle au bureau de représentation du groupe à Washington.
Chaque salle est pré-équipée multi-écran multi-utilisateurs, avec partage possible d'un poste de travail (pour une présentation), en vidéo haute définition et son spatialisé.
Le coût du projet n'a pas été précisé.
Le cloud d'Amazon propose la réservation d'instances de base de données
Avec Reserved Database Instances, Amazon Web Services propose une nouvelle manière d'utiliser sa base de données relationnelles (RDS). Désormais, les utilisateurs peuvent payer en une fois et à l'avance pour réserver une base de données dans une région donnée pour une durée de deux ou trois ans. En contrepartie, Amazon leur octroie une remise sur le tarif horaire. Les coûts pour réserver une base de données s'échelonnent entre 227,5 dollars pour une année et 350 dollars pour trois ans, plus 0,046 dollar par heure au lieu de 0,11 dollar, correspondant au taux horaire normalement appliqué, d'après la liste des tarifs établis par Amazon. Dans le cas où la solution Reserved Database Instance est choisie pour toute la période, la réduction peut atteindre jusqu'à 46 %, selon l'éditeur.
Les utilisateurs peuvent réserver jusqu'à 20 bases de données, sans avoir à fournir de justificatifs. Au delà, ils doivent remplir un formulaire de demande, comme l'indique une FAQ d'Amazon. Si les utilisateurs souhaitent faire passer leur base de données à une classe supérieure, c'est à dire avec plus de mémoire et plus de puissance de traitement, le tarif bascule vers les taux horaires standards.
Sur le plan pratique, Amazon Reserved Database Instance et On-Demand DB sont identiques. Elles permettent toutes deux l'accès à une base de données MySQL. Le code, les applications et les outils utilisés aujourd'hui avec les bases de données MySQL fonctionnent avec Amazon RDS. De la même manière, l'éditeur procède aux mises à jour automatiques du logiciel. Pour l'instant le service est encore indiqué comme fonctionnant en version bêta.
Une startup développe un processeur de probabilités
Lyric Semiconductor, jeune société fondée par un scientifique du MIT et un vétéran de l'industrie, travaille actuellement sur un processeur conçu pour calculer les probabilités, et qui pourrait augmenter les performances des ordinateurs pour certaines applications. La puce GP5 est décrite par la société comme « une plateforme programmable de calcul de probabilités pour tous les usages », celle-ci précisant par la même que les calculs pourraient aller 1 000 fois plus vite que les processeurs x86 d'Intel ou AMD. Elle devrait être utilisée entre autres dans la prise en charge de requêtes, la détection des fraudes, le filtrage du spam, la modélisation financière et le séquençage du génome, etc...
Calculs parallèles
Lyric, qui prévoit d'offrir des échantillons du GP5 en 2013, est une entreprise qui a été financée par l'agence américaine DARPA (Defense Advanced Research Project Agency) à hauteur de 20 millions de dollars, d'autres institutions et la firme d'investisseurs Stata Venture Partners. Cette société se différencie de la concurrence par approche différente de la conception des puces. Elle s'appuie sur les ponts logiques à « interrupteurs » binaires. Lyric base ses puces sur des ponts fonctionnant plutôt sur la base d'un rhéostat, selon ses propres dires. « Ces circuits récupèrent les données d'entrée et travaillent sur les requêtes de sortie compris entre 0 et 1, à travers des probabilités ».
Grâce à ce système, le GP5 devrait effectuer ses calculs en parallèle, et non pas en séquences comme les processeurs traditionnels. Il devrait se baser sur la puce Lyric Error Correction pour mémoire flash, annoncée mardi. Cette dernière est utilisée pour corriger les erreurs sur ces mémoires de manière plus efficace que les autres puces, en plus d'une taille et d'une consommation réduite.
Illustration : Puce Lyric Error Correction
Crédit Photo : Lyric Semiconductor
PayPal pourrait faire son entrée sur l'Android Market
Selon Bloomberg, cet aménagement permettrait également aux développeurs d'applications Android de recevoir de l'argent via PayPal. Actuellement, les utilisateurs qui achètent des applications sur l'Android Market doivent utiliser Checkout, le système de paiement du géant de la recherche. Semblable à l'iTunes Store d'Apple, Checkout conserve l'adresse et le numéro de carte de crédit de l'utilisateur, pour faciliter la transaction en quelques clics.
La raison pour laquelle Google souhaite conclure un accord avec PayPal n'est pas très claire, hormis la popularité du système de paiement d'eBay plus largement répandu que Checkout. Pourtant, l'Android Market était considéré comme l'un des plus importants outils de Google pour populariser ce système de paiement. Mais la firme de Moutain View estime qu'aujourd'hui les ventes ne représentent pas une source importante de revenu.
Se rapprocher de l'App Store
L'accord passé entre Google et les développeurs qui souhaitent vendre leurs applications sur l'Android Market est un 70/30 - identique à celui existant entre Apple et les développeurs d'applications pour l'iPhone - à l'avantage du développeur. Contrairement à Apple, Google affirme que ces 30 % n'améliorent pas ses marges de bénéfices. Au contraire, les recettes de l'Android App servent, selon Google, à payer les frais du fournisseur internet et les coûts administratifs. Très certainement que PayPal prendrait un pourcentage sur la vente des applications. Mais rien ne permet de dire encore si cette part serait prélevée sur celle des développeurs ou sur celle de Google.
En tout état de cause, l'alternative d'un Checkout pour l'Android Market de Google était souhaitée par les développeurs. Bloomberg, qui fait état de sources proches des pourparlers, indique que l'accord Google-PayPal n'est pas encore définitif et qu'il est toujours possible que celui-ci ne voit jamais le jour. De quoi rassurer les fans d'Android.
SAP propose trois tarifs de démarrage pour Business ByDesign 2.5
La suite de gestion en ligne SAP Business ByDesign est disponible dans sa version 2.5 depuis fin juillet. Son accès est toujours limité aux clients des six pays, dont la France, où elle est commercialisée depuis son lancement. D'un point de vue technologique, cette application « à la demande » fonctionne désormais en mode multitenant, ce qui, pour SAP qui en assure l'hébergement dans son datacenter, en facilite sensiblement l'administration. L'éditeur peut maintenant supporter les déploiements en volume sur sa plateforme en limitant ses propres coûts de gestion.
Le nombre de clients exploitant Business ByDesign ne regroupait jusque-là qu'une centaine de clients. Avec cette version, le fournisseur établit aussi une tarification bien cadrée, comportant un coût de mise en place fixe (suivant les fonctionnalités choisies), auquel s'ajoute un abonnement par personne accédant au logiciel, avec un minimum de dix utilisateurs.
Parmi les apports fonctionnels, déjà annoncés et présentés par SAP en mars dernier, au Cebit de Hanovre, puis en mai, sur SapphireNow, les utilisateurs bénéficient maintenant de capacités d'analyse des données en mémoire en temps réel. La version 2.5 fournit aussi le support des terminaux mobiles, ainsi que des outils pour personnaliser l'interface utilisateur d'origine, ainsi que les rapports et les formulaires.
Trois tarifs pour démarrer
Plusieurs tarifs de départ sont proposés aux entreprises pour utiliser Business ByDesign en fonction du cadre fonctionnel dans lequel elles comptent déployer l'application. Une méthodologie adaptée et des outils de formation sont proposés en ligne. Le périmètre de l'application s'étendra à d'autres fonctionnalités de la suite en fonction des besoins ultérieurs.
Trois « Starter packages » ont été définis. Le premier concerne la gestion de la relation client (CRM). Il couvre le suivi des opportunités commerciales depuis la génération de « leads » jusqu'à la signature de l'affaire. Outre la mise en place (facturée 9 900 euros) qui peut s'effectuer en trois semaines, estime SAP, l'abonnement est fixé à 79 euros par mois par utilisateur.
La deuxième solution, « ERP starter package », porte sur les outils de gestion comptable et financière. Elle se déploie en six semaines, toujours selon l'éditeur, pour environ 24 900 euros. L'abonnement revient généralement à 149 euros par utilisateur.
La troisième offre s'adresse aux entreprises de services. Le PSP (Professional service provider) starter package requiert davantage de temps pour son installation : huit semaines environ, facturée environ 34 900 euros. Le prix de l'abonnement est fixé à 149 euros par utilisateur. (...)
Facebook alerte sur les risques sur le bouton « je n'aime pas »
Ce dernier est présenté comme l'opposé du bouton "j'aime", qui permet aux utilisateurs de Facebook de signifier qu'ils apprécient un contenu en particulier (une photo, un lien, un statut, etc.). L'éditeur de sécurité Sophos avait dès lundi averti les internautes sur la diffusion de ce faux bouton. Selon cette société, quand un internaute clique sur lien visant à installer le bouton "je n'aime pas", les pirates derrière cette escroquerie peuvent accéder à ses données personnelles via un formulaire à remplir (e-mail, numéro de téléphone, etc.).
"Faites attention au faux bouton Facebook "je n'aime pas". Comme toujours, nous vous recommandons de ne pas cliquer sur des liens suspicieux sur Facebook. Nous travaillons dur pour les empêcher de se répandre", a expliqué le réseau social. Pourtant de nombreux réclament l'installation de cette fonctionnalité.
Smartphones et PC tout en un plébiscités par les Français
Selon le rapport TEMAX du cabinet d'études marketing GfK, d'avril à juin, les dépenses globales des consommateurs en équipement high-tech et électroménager ont atteint 6,2 milliards d'euros, soit une hausse de 4% par rapport à la même période en 2009.Le cabinet d'études tient toutefois à relativiser cette forte progression, le trimestre de référence pour le calcul de cette croissance, à savoir le deuxième trimestre 2009, avait été particulièrement mauvais pour ce secteur.
Autre nuance : la Coupe du monde de football, qui a permis cette année de dynamiser les ventes de produits électroniques grand public. Dans le détail, presque tous les segments de ce marché sont en hausse, à commencer par l'électronique grand public (+8,6%), qui a profité des bonnes ventes de téléviseurs en mai et juin (250.000 ventes supplémentaires sur cette période). Fortes hausses également pour le petit électroménager (+6,2%)
L'informatique retrouve des couleurs
Les ordinateurs continuent de croître, de 3,9% au 2ème trimestre, de 2,2% sur les six premiers mois de l'année. Cela sans le coup de pouce de la rentrée scolaire (le « back to school ») ou des fêtes de fin d'année. Explications : « l'usage des PC et des nouveaux médias s'et considérablement élargi auprès des populations non technophiles » souligne un porte-parole de GfK. La tranche d'âge des 50-64 ans, par exemple, jusqu'alors réfractaire s'équipe massivement. 63% de cette catégorie de population possédait un PC début 2008, le chiffre est passé à 75% en 2010. C'est elle qui donne aux PC une croissance continue.
Deuxième explication de l'essor « intemporel » des PC : ils deviennent un centre multimédia. Ce qui explique également la poussée des TV connectées et du triple play. Un PC doit gérer le stockage des données, lire tous les contenus, donner l'accès à internet, aux jeux en ligne permettre l'échange de fichiers, donner plus simplement des usages bureautiques. La demande est forte et en plus elle est mature et exigeante.
Par voie de conséquence, le multi-équipement se développe, un foyer sur 4 possède aujourd'hui deux PC. GfK remarque que les constructeurs s'adaptent avec des gammes complémentaires : PC « tout en un » pour le foyer, PC portables, et maintenant tablettes.
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Traduite en chiffres, cette étude montre que les français ont acheté 1,26 milliard d'euros de produits liés au PC au 2ème trimestre 2010 : PC de bureau (tout en un), PC portables, claviers, souris, webcasm. En valeur, les PC de bureau représentent 387 millions d'euros, les PC portables 735 millions d'euros.
Les smartphones détrônent les mobiles classiquesLa croissance prend un peu moins d'ampleur pour les segments "photo" (+0,5%) et "télécommunication" (+0,4%). GfK souligne un fait historique : pour la première fois, le chiffre d'affaires des ventes de smartphones a dépassé celui des mobiles classiques (224 millions d'euros contre 211 millions). Les smartphones ont représenté au deuxième trimestre plus de la moitié des ventes de terminaux. Le marché de l'équipement de bureau et des consommables est quant à lui stable (-0,2% sur un an). Les ventes en valeur des imprimantes sont en baisse, tandis que les marchés des consommables d'impression et des vidéo-projecteurs sont en hausse.
Le GfK TEMAX est un indice exclusif développé par GfK pour mesurer les ventes portant sur les marchés des biens d'équipement de la maison (...)(18/08/2010 11:48:27)
Des processeurs double coeur pour les smartphones
Les constructeurs de processeurs tels que Texas Instruments (TI) ou Qualcomm sont en phase de développement avancé de processeurs double coeur pour les terminaux mobiles. Aujourd'hui, la plupart des smartphones ne peuvent en effet lire que des vidéos en 720p et sont dotés de processeurs dont la cadence n'excède pas 1GHz. Les utilisateurs demandent pourtant plus de performances selon certains analystes. La génération future de processeurs permettra aux utilisateurs de regarder des vidéos en 1080p en HD et de faire fonctionner plus d'applications en même temps.
Les fabricants de téléphones portables n'ont pour autant pas annoncé de plans pour intégrer des processeurs double coeur dans leurs smartphones mais les fabricants de tels processeurs semblent pourtant prêts. Qualcomm a d'ores et déjà lancé son premier processeur double coeur, le MSM8660, et se prépare à tester un processeur encore plus rapide, le QSD8672, plus tard dans l'année.
Selon Nathan Brookwod analyste chez Insight 64, « les utilisateurs se servent d'applications qui demandent de plus en plus de puissance de calcul ». A titre d'exemple, l'outil de vidéo conférence FaceTime d'Apple demande énormément de performance avec plusieurs flux vidéo et une capacité de faire du picture-in-picture. Ce besoin de performances s'accroîtra aussi à mesure que la résolution des vidéos s'améliorera et que les appels vidéo se démocratiseront. Pour l'analyste, « partager l'exécution d'une application sur 2 coeurs permettra aux utilisateurs de tirer un meilleur parti de leur smartphone tout en préservant la batterie ». TI et Qualcomm avancent que leur processeur double coeur sera capable d'afficher les pages web et les vidéos plus rapidement avec pour ces dernières une résolution pouvant atteindre jusqu'à 1080p.
Eviter la surchauffe et une surconsommation électrique
« Cette évolution permettra de doper la concurrence dans les applications. Désormais, un deuxième coeur peut gérer les tâches de fond tandis que l'autre peut faire fonctionner plusieurs applications ou charger plusieurs pages Web dans le même moment », prédit Robert Tolbert, directeur de la gestion des produits pour la branche OMAP smartphone chez TI. Nathan Brookwood précise « l'alternative à l'arrivée de processeurs double coeur pourrait être d'augmenter la cadence du processeur mais cela pourrait amener à une augmentation de la température de ce dernier et à une perte d'autonomie de la batterie »..
Pour contrecarrer ce problème, TI et Qualcomm développent un système de gestion de puissance unique pour gérer les processeurs à plusieurs coeurs. Les firmes sont en train d'introduire de nouvelles caractéristiques permettant de faire fonctionner les coeurs à pleine capacité ou non. Par exemple, selon la tâche, un coeur sera capable de fonctionner à pleine puissance tandis que l'autre sera mis « au repos ».
Les smartphones sont en train de prendre le chemin des ordinateurs portables et des ordinateurs de bureau qui, eux, comportent déjà des processeurs à plusieurs coeurs. Les premiers processeurs multi-coeurs ont été implantés dans des serveurs IBM Power4, mais la tendance s'est généralisé quand des fabricants de processeurs tels qu'Intel ou AMD (Advanced Micro Devices) se sont décidé à ajouter des coeurs à leurs microprocesseurs.
Mais le challenge concernant le développement de microprocesseurs à plusieurs coeurs dans les smartphones est d'autant plus grand que ces terminaux sont petits. « La taille, les contraintes de puissance et de chaleur sont en effet moins sévères dans un PC de bureau que dans un smartphone » prévient Robert Tolbert.
L'OMAP4430 de TI est basé sur un processeur Cortex-A9 de chez Arm et devrait être cadencé à une fréquence d'environ 1 GHz. Le produit est entré dans les dernières étapes de son développement selon la firme américaine.
Qualcomm a précisé que les premiers terminaux équipés de son MSM8660, qui est cadencé à 1,2GHz, sont attendus pour le premier trimestre de l'année prochaine et potentiellement pour la fin de l'année. Quant au processeur QSD8672 qui est plus rapide, il est cadencé à 1,5 GHz, et sera testé à la fin de l'année 2010 et devrait sortir en 2011.
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