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(10/12/2009 13:00:24)

France Telecom rencontre des difficultés à l'international

( Source EuroTMT ) A défaut de prospérer sur son marché intérieur, France Télécom a choisi de se développer à l'international. Cette stratégie représente 40 % de son chiffre d'affaires. Elle n'est pas toujours couronnée de succès. Dans certains cas, elle a même tendance à plomber les résultats de l'opérateur. Mises à part les activités en Afrique et au Moyen-Orient, le groupe connaît des situations difficiles dans la plupart des marchés européens. C'est le cas de la Pologne et de l'Espagne, où au troisième trimestre 2009 le chiffre d'affaires de France Télécom a reculé respectivement de 10,4 % (à 970 millions d'euros) et de 4,7 % (à un milliard d'euros). Le groupe français n'est pas le seul à pâtir de la situation économique et des contraintes réglementaires qui ont un impact important sur les résultats. Mais en Pologne et en Espagne, Orange ne parvient pas à décoller de sa position de troisième opérateur mobile. Et malgré les messages rassurants des dirigeants qui misent sur le haut débit mobile (en Espagne) et sur le développement des forfaits (en Pologne), le retour à la croissance et la prise de parts de marché risquent d'être difficiles. En Grande-Bretagne, la situation n'est pas non plus particulièrement brillante. Avec un chiffre d'affaires de 1,2 milliard d'euros, en baisse de 7,1 % au troisième trimestre 2009, Orange Royaume-Uni est loin d'être devenue la pépite qu'elle promettait. Sa part de marché sur la téléphonie mobile est certes honorable (24,1 %) mais elle n'a pas évolué depuis 18 mois et place toujours l'opérateur en numéro trois derrière O2 et Vodafone. C'est pourquoi, Orange a choisi de fusionner sa filiale avec celle de son homologue allemand Deutsche Telekom (T-Mobile), pour tenter de contrer la concurrence : « Il y avait trop d'opérateurs en Grande-Bretagne, il fallait trouver une solution mais autrement que par une acquisition » a expliqué Didier Lombard, le PDG de France Télécom en présentant la nouvelle structure qui va devenir le premier opérateur mobile de Grande-Bretagne. [[page]] Les autres pays européens dans lesquels est implanté le groupe français sont aussi très chahutés avec un chiffre d'affaires global en baisse de 8,5 % au troisième trimestre (à 1,1 milliard d'euros). France Télécom ne ménage pourtant pas sa peine pour se développer sur ces marchés et, depuis un mois, multiplie, les opérations de fusions - acquisitions et restructurations. Ainsi, au Luxembourg, la filiale VoxMobile (troisième opérateur du pays) est devenue Orange et a profité de ce changement de patronyme pour lancer des offres tarifaires assez agressives qui visent à attaquer le juteux marché des transfrontaliers. Quelques jours plus tard, France Télécom déployait ses services mobiles en Arménie (un après l'acquisition de la licence). Enfin l'opérateur français a annoncé la fusion de sa filiale en Suisse (Orange Suisse) avec celle de l'opérateur danois TDC (Sunrise). Une opération loin d'être neutre (France télécom va verser 1,5 milliard d'euros à TDC pour détenir 75 % de la nouvelle entité), mais qui, si l'on en croit le groupe français, « sera relutive dès 2010 en termes de cash flow organique par action et à partir de 2011 pour le bénéfice par action ». Trois ans après avoir décidé de repeindre ces activités en Orange pour devenir un opérateur intégré (haut débit - mobile) et bénéficier des synergies entre les deux activités, France Télécom paraît bien en peine de transformer l'essai. (...)

(10/12/2009 12:00:47)

Face aux critiques, Facebook simplifie la gestion des données privées

Dans un message publié sur son site, Facebook appelle tous ses membres (soit 350 millions d'internautes) à revoir et mettre à jour leurs paramètres de confidentialité. Fréquemment pointé du doigt pour sa politique en matière de sécurité des données privées, le site américain annonce aussi le lancement de nouveaux outils pour permettre aux utilisateurs de personnaliser le contrôle de leurs informations. Les utilisateurs de ce service vont d'ailleurs se voir proposer plusieurs nouvelles fonctionnalités afin de personnaliser le niveau de protection des informations qu'ils diffusent sur leur page. Annoncée comme plus simple d'utilisation, l'interface de gestion des paramètres permettra de définir les informations accessibles à ses amis, aux amis de ses amis, ou à tout le monde. La personnalisation des paramètres par réseaux régionaux est supprimée. Un nouvel outil de publication et de contrôle de confidentialité sera disponible dès mercredi dans l'espace principal réservé à la publication de contenus (photos, liens, mise à jour de son statut, etc.). Cette fonctionnalité va permettre aux utilisateurs de sélectionner un paramètre de confidentialité pour chaque post au moment où ils le créent. Exemple, si l'utilisateur souhaite partager une opinion politique avec un nombre restreint d'amis, il pourra sélectionner, dans un menu déroulant, les amis ou les membres d'une liste d'amis avec lesquels ils souhaitent partager cette opinion. [[page]] Un outil de transition expliquant les changements en matière de confidentialité sera également proposé aux utilisateurs. Ils auront alors le choix entre deux propositions : soit conserver leurs anciens paramètres, soit accepter les recommandations de Facebook. Une fois que l'utilisateur a mis à jour ses paramètres, une page de confirmation lui permettra de revoir ses sélections à nouveau. A noter que les membres pourront toujours changer leurs paramètres à tout moment. "Les fonctionnalités que nous annonçons aujourd'hui ne représentent pas la ligne d'arrivée, mais la dernière évolution de notre processus itératif", a expliqué Chris Cox, Vice President produits chez Facebook. "De bonnes suggestions et retours utilisateurs nous ont aidés à en arriver là et nous attendons avec impatience les nouveaux commentaires pour nous aider à développer la prochaine innovation en termes de confidentialité et de contrôle utilisateur". (...)

(10/12/2009 10:35:38)

Utiliser la voix et l'image pour ses recherches sur Google mobile

Effectuer une recherche en saisissant des mots-clés sur Google ne sera bientôt plus le seul moyen pour trouver des informations sur Internet. Pour la société de Mountain View, l'avenir de son moteur de recherche (le plus utilisé au monde) passe désormais par la voix et l'image. A Paris, la société a présenté mercredi une série de nouvelles applications appelées à révolutionner l'acte quotidien des internautes, comme la recherche à partir d'une photo prise depuis son téléphone portable. Avec l'application "Goggles" ("lunettes" en français), Google propose tout simplement de rechercher un objet ou un lieu à partir d'une image, plutôt que d'avoir à entrer des mots clés dans le traditionnel espace réservé aux requêtes. Disponible en téléchargement sur la plateforme Android Market, ce logiciel fonctionne avec un smartphone équipé du système d'exploitation Android de Google. Par exemple, l'utilisateur qui se trouve devant un monument dont il ignore l'histoire peut prendre une photo de l'édifice avec son mobile et voir Goggles afficher, quelques secondes plus tard, les résultats en rapport avec ce monument : article Wikipédia, localisation sur une carte, galerie photos, etc. Au cours d'une démonstration saisissante, Hugo Barra, responsable produits mobiles chez Google, a ainsi pris en photo le poster d'une toile dépourvue de signature ou d'annotations. Un clic plus tard, le moteur de recherche affiche la réponse à l'écran : Carrés et cercles concentriques, de Kandinsky. Analyse comparative grâce aux données stockées chez Google La reconnaissance visuelle fonctionne même avec une photo des vitraux de la Sainte-Chapelle, une affiche de cinéma (Goggles propose la fiche du film, les critiques ou les horaires des séances), ou encore la photo d'un produit. Dans ce derniers cas, Goggles indique à l'utilisateur les magasins où il peut commander cet objet aux tarifs les plus abordables. L'application, qui repose sur l'analyse et la comparaison des clichés avec les images indexées sur les serveurs de Google, peut également être utilisée pour les logos des marques, les cartes de visite et les documents textes. En revanche, elle s'avère, pour le moment, moins fiable pour les animaux, les meubles, et les vêtements. [[page]] Autres domaines dans lequel Google s'active actuellement : la reconnaissance vocale. Cette fonctionnalité, déjà expérimentée en anglais et en chinois depuis un an, est depuis lundi disponible en japonais. Début 2010, elle le sera dans plusieurs autres langues, dont le français. Ici, la recherche se fait par la voix. L'utilisateur peut ainsi parler à son téléphone pour effectuer une recherche sur Internet. Autre démonstration de M. Barra, la recherche d'une photo de Nicolas Sarkozy et Barack Obama au sommet du G8. Quelques secondes après la dictée, l'écran affiche les images des deux chefs d'Etat qui sont stockées sur les serveurs de Google. De passage à Paris, Marissa Mayer, vice-présidente de Google Search, est revenue sur les autres nouveautés du moteur de recherche et les innovations qui l'enrichiront dans l'avenir. Sur le futur Google, l'internaute pourra par exemple glisser une photo dans l'espace de recherche, mais aussi obtenir les réponses à ses requêtes en deux versions : à gauche, les résultats en version originale, et à droite, en français ou dans une autre langue. "Aujourd'hui, seulement 1% du Web existe en arabe. A l'avenir, les internautes arabophones pourront effectuer des recherches grâce à de nouveaux outils de traductions croisées" explique Marissa Mayer. Des réponses plus pertinentes grâce à la géolocalisation Autre piste : la personnalisation de la recherche. Google devrait ainsi prendre en compte la situation géographique de l'utilisateur dans les réponses qu'il lui fournit. "Si par exemple je recherche le terme "sushi" et que je me trouve à Mountain View en Californie, le moteur de recherche ne me proposera non pas une liste de restaurants japonais au hasard, mais une liste de restaurants japonais les plus proches de chez moi" explique la responsable. Enfin, la recherche en temps réel, une innovation fraîchement intégrée à Google, propose dans les résultats des recherches les messages issus de Twitter ou des profils publics de Facebook. Exemple, en recherchant "sommet de Copenhague" (en anglais pour l'instant), l'internaute peut voir apparaître les messages Twitter des participants présents actuellement à la conférence de l'ONU sur les changements climatiques. (...)

(10/12/2009 10:37:26)

Faute d'accord avec IBM, Cisco a lancé ses propres serveurs

Cisco avait tenté de nouer des partenariats avec de grands fabricants de serveurs, il y a plusieurs années avant de lancer ses propres serveurs en lames en début d'année. Mais la société est toujours ouverte à un partenariat avec IBM, a déclaré John Chambers, PDG de Cisco, lors d'une conférence organisée le 8 décembre à destination des analystes financiers, au siège de son entreprise à San Jose (Californie). « Je pense toujours que c'est dans le meilleur intérêt d'IBM de travailler avec nous. Cette porte sera toujours ouverte » affirme John Chambers. Récemment IBM avait annoncé un accord par lequel il commercialiserait les commutateurs et les routeurs de Juniper Networks, sérieux concurrent de Cisco. John Chambers et d'autres dirigeants de Cisco ont passé l'essentiel de la journée à dire aux analystes financiers que Cisco a une fenêtre d'opportunité maintenant pour devenir le vendeur dominant en matière de technologies de l'information et pour les communications à cause de l'importance grandissante de la virtualisation, de la collaboration et de la vidéo. Une des démarches clés de Cisco dans ce domaine a été le partenariat récent avec EMC et VMWare. Dans le cadre d'une entreprise conjointe, appelée Acadia, EMC intégrera ses équipements de stockage et son logiciel d'administration avec l'architecture UCS (Unified Computing System) de Cisco, et Vmware délivrant son logiciel de virtualisation. Le PDG estime que cet accord peut permettre à Cisco de prendre une place centrale dans les salles informatiques sans devoir fabriquer lui-même des systèmes de stockage. « Si nous avions pu former un partenariat aussi fort avec un vendeur de serveurs, Cisco n'aurait pas développé ses propres serveurs »a avoué John Chambers. [[page]] Les analystes présents estiment que John Chambers est sincère quant à sa volonté de travailler avec IBM. Les deux entreprises ont beaucoup en commun à l'instar de leur base de clients, et les produits de Cisco peuvent s'insérer dans les offres d'IBM, souligne Mark Sue de RBC Capital Markets. Mais les ponts sont brûlés entre Cisco et HP, qui fut longtemps un partenaire proche de Cisco, pensent les analystes. L'offre UCS de Cisco entre en concurrence directe avec l'activité serveurs de HP, et le mois dernier HP a annoncé son intention de racheter 3Com, attaquant ainsi Cisco sur son coeur de métiers, les réseaux. Quant à l'acquisition du norvégien Tandberg par Cisco, John Chambers s'en félicite. « Cette acquisition va nous donner accès à 5 dirigeants de haut niveau. L'équipe dirigeante de Tandberg pourrait être la meilleure équipe de management que nous ayons eu depuis l'acquisition de Crescendo en 1993 » affirme John Chambers. John Chambers estime que Cisco devrait acquérir plus de sociétés étrangères dans les années qui viennent. « Il suffit de voir que l'Inde et la Chine voient arriver 600 000 ingénieurs diplômés chaque année, quand il n'en arrive que 60 000 de nouveaux aux Etats Unis. Nous devons aller où se trouvent les talents, et où se trouvent les start-up » souligne-t-il. (...)

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