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Sécurité

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(01/12/2009 12:27:20)

IBM rachète Guardium et sa technologie de surveillance des bases de données

IBM vient de racheter Guardium, un éditeur du Massachusetts qui a développé une technologie de surveillance en temps réel de l'activité de bases de données, utilisée pour des applications de détection de fraudes ou d'attaques. La société, dirigée par Ram Metser, emploie 150 personnes et gère 400 clients. Adrian Lane, un analyste du cabinet Securosis, rappelle que cela fait plus d'un an que Guardium et son concurrent Imperva faisaient l'objet de rumeurs d'acquisition. « Guardium est l'une des rares sociétés à avoir conservé une solution de contrôle pour mainframe, ce qui constitue un prérequis pour la base de clients d'IBM », explique-t-il dans un billet posté hier sur son blog. Si l'acquisition de ces fonctionnalités complète de façon intéressante les produits de sécurité d'IBM, l'analyste pense en revanche que leur intégration pourrait ne pas être si facile. Les logiciels acquis supportent un large éventail de bases de données et, selon Arvind Krishna, directeur de la division Information Management, IBM ne prévoit pas de réduire la diversité de cette offre, compte tenu de l'hétérogénéité des environnements informatiques utilisés par ses clients. Adrian Lane, de Securosis, pense que d'autres acquisitions de cet ordre pourraient s'effectuer dans les six mois. Il juge que des acteurs tels que EMC, McAfee, Oracle ou Symantec pourraient s'intéresser aux spécialistes restant sur le marché. (...)

(30/11/2009 15:01:38)

Viviane Reding chargée de récrire les lois européennes sur la protection des données personnelles

Viviane Reding ne disparaît pas complètement du paysage informatique dans le cadre du remaniement de la Commission européenne. Celle qui a été ces cinq dernières années commissaire à la Société de l'information a cédé son fauteuil à Neelie Kroes, désormais responsable de l'Agenda numérique, pour celui de commissaire à la Justice, aux Droits fondamentaux et à la Citoyenneté. Dans ce nouveau rôle, elle sera chargée de récrire les lois européennes sur la protection des données personnelles. Cette nouvelle mission, qui doit démarrer dès l'année prochaine, vise à mettre à jour une directive qui date de 1995, époque des débuts du Web grand public. « En tant que commissaire chargée des télécoms, indique son porte-parole, Viviane Reding était responsable d'une minuscule partie du domaine de la protection des données personnelles, dans la mesure où la directive 'e-privacy' faisait partie du paquet télécoms. Dorénavant, elle prendra la responsabilité de l'ensemble du domaine. » On s'attend également à ce qu'elle intervienne sur le domaine de la publicité en ligne. Les noms de deux autres commissaires européens pourraient bientôt surgir dans la presse informatique : Joaquin Almunia et Michel Barnier. Le premier prend en effet la succession de Neelie Kroes et devra donc veiller au respect de la concurrence. L'affaire Microsoft commençant à se tasser, d'aucuns lui prédisent déjà une belle lutte contre Google au nom de l'antitrust. Michel Barnier hérite de son côté du dossier de la propriété intellectuelle - ce qui inclut les problèmes de brevets (un vrai serpent de mer européen) et de copyrights (et donc le dossier très chaud de la numérisation des livres). (...)

(25/11/2009 11:48:08)

Avec le rachat d'ICT, l'intégrateur Flow Line étoffe son offre sécurité

Créé en 2000, l'intégrateur informatique Flow Line se développe sur 2 pôles : les solutions de gestion et les infrastructures et la sécurité. ICT, intégrateur réseau lancé en 1987, était spécialisé sur les infrastructures et la sécurité (avec de l'hébergement) et une activité d'opérateur. « Nous sommes très complémentaires, nous explique Yann Jacquet, P-dg de Flow Line, avant on vendait un ERP, de plus en plus on vend cet ERP hébergé, avec de la sécurité, des accès et en réduisant les coûts. Le rachat d'ICT nous permet de répondre à ces besoins ». ICT disparaît en tant que nom de société, ses effectifs et ses agences sont intégrées dans Flow Line. Seule l'activité issue du rachat de DBB (boîtiers de sécurité) par ICT début 2008 n'est pas reprise. L'actionnariat d'ICT reçoit des actions de Flow Line, ce qui permet à Flow Line de ne pas sortir d'argent, Yann Jacquet gardant le contrôle de la société. Flow Line va se déployer en quatre pôles d'activité : systèmes de gestion, infrastructure et réseaux, hébergement, opérateur de télécoms. Les deux sociétés, basées en région lyonnaise, Flow Line à Bron et ICT à Vénissieux, sont également complémentaires géographiquement. ICT était implanté à Paris et à Marseille en plus de son centre lyonnais, Flow Line a développé des agences à Clermont Ferrand, Paris, en Suisse romande et il y a un mois à Nantes. D'autres agences seront ouvertes, la prochaine devrait être à Lille. Yann Jacquet n'exclut pas de croissance externe. Flow Line a une longue expérience en la matière. Avant ICT, elle s'est offert IGA et l'activité Adonix de Focal en 2004, Innetis Lyon en 2006, Progecia à Paris et MegaInfo en Suisse en 2008. (...)

(16/11/2009 15:59:56)

La France contre l'intrusion des Etats-Unis dans le réseau interbancaire Swift

Plusieurs pays européens, dont la France, souhaitent faire marche arrière sur l'ébauche d'accord qui permettrait aux agences antiterroristes américaines d'accéder aux données bancaires de millions de citoyens européens. Les informations en question transitent par le réseau Swift, service de transfert interbancaire qui gère des millions de transactions internationales chaque jour. La Suède, qui assure actuellement la présidence tournante de l'Union Européenne, a négocié avec le gouvernement américain un accord qui permettrait à ce dernier de pouvoir examiner un large éventail de données incluant numéros de comptes bancaires, adresses et numéros d'identification. La France, l'Allemagne, l'Autriche et la Finlande craignent que cet accord ne soit trop intrusif. La ministre allemande de la justice s'est notamment dit opposée à un accord qui autoriserait le transfert d'énormes quantités de données « sans garantie de protection légale ». L'intervention de ces quatre pays fait écho aux inquiétudes qu'ont exprimé plusieurs parlementaires européens qui estiment avoir été tenu à l'écart des négociations. Pour l'instant, les lois de l'UE ne prévoient pas d'inclure les parlementaires dans les discussions portant sur des questions judiciaires, mais le traité de Lisbonne qui doit entrer en vigueur le mois prochain va modifier ces dispositions. Un accord provisoire d'une durée maximum d'un an La présidence suédoise de l'UE rappelle que le texte de l'accord avec les Etats-Unis n'a pas été finalisé. « Plusieurs pays ont émis des réserves, a reconnu vendredi dernier Nils Hanninger, porte-parole du gouvernement suédois. Mais nous sommes toujours en négociation. » Il rappelle que rien n'est arrêté tant que toutes les dispositions n'ont pas été acceptées. Le porte-parole a par ailleurs nié la volonté d'exclure le Parlement européen de la boucle, soulignant que l'accord temporaire aurait de toutes façons une durée maximum d'un an et que, aussitôt qu'il serait signé démarreraient les négociations pour un accord définitif. Les préoccupations portant sur l'accès aux données transitant par le réseau interbancaire Swift sont apparues pour la première fois en 2006. Un article du New York Times avait alors révélé que les Etats-Unis accédaient à ces informations sur les citoyens européens (gérées par la société belge Swift, Society for Worldwide Interbank Financial Telecommunication), sans que les autorités européennes en soient averties. (...)

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