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Smartphones
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(03/02/2012 16:39:34)
Un trojan polymorphe sur Android détecté par Symantec
Symantec lance un avertissement sur l'apparition d'un cheval de Troie pour Android qui envoie des SMS à des numéros surtaxés. Le virus modifie son code à chaque téléchargement. Cette technique est connue comme le polymorphisme serveur et a existé pendant des années sur les malwares pour PC. Les cyber-criminels commencent à l'adopter pour les mobiles. A la différence du polymorphisme local où le malware modifie son code à chaque fois qu'il est exécuté, le polymorphisme serveur transforme certaines parties du cheval de Troie à chaque téléchargement.
Symantec a identifié plusieurs variantes de ce trojan, sous le nom Android.Opfake. Ils ont tous été distribués depuis des sites russes. Néanmoins, le malware contient des instructions pour envoyer automatiquement des messages SMS à des numéros surtaxés dans différents pays européens. Le problème de cette transformation à chaque téléchargement est que les solutions antivirus n'arrivent pas à détecter les malwares, car elles s'appuient sur les signatures statiques des trojan, explique Vikram Thakur, principal responsable de la sécurité chez Symantec. Il ajoute « la sophistication du polymorphisme nécessite des contre-mesures plus intelligentes ». Dans le cas d'Android.Opfake, le niveau de changement n'est pas très élevé, car une partie des fichiers sont modifiés depuis le serveur de distribution.
Les menaces PC se déplacent vers les mobiles
« Si les fournisseurs d'antivirus placent leur outil de détection sur le fichier exécutable et les éléments statiques, tous les fichiers seront détectés avec succès », a déclaré Tim Armstrong, chercheur spécialisé sur les malware chez Kaspersky Lab. « Cependant, si le code exécutable du cheval de Troie est également polymorphe, la détection sera plus difficile » avoue-t-il. Selon lui, le polymorphisme serveur n'est pas très répandu sur la plateforme Android pour le moment car la plupart des utilisateurs obtiennent leurs applications via l'Android Market.
Google vient d'ailleurs de renforcer la sécurité de sa boutique applicative avec un outil baptisé Bouncer. Il sera chargé de scanner l'Android Market à la recherche de malware et analysera aussi les applications proposées par les développeurs. Pour Jamz Yaneza, directeur de recherche chez Trend Micro, estime que « les attaques vers les mobiles évoluent très vite, ce qui est logique, car les auteurs de malware vont là où il y a de l'argent » et d'ajouter « les possesseurs de smartphones doivent être conscients qu'ils seront soumis aux mêmes menaces que sur leur PC ».
(...)
Plus de 68,5 millions de cartes SIM en France
Au quatrième trimestre 2011, le France comptait 68,520 millions d'abonnements à la téléphonie mobile. Les Français optent plus pour les forfaits, soit 49,079 millions d'abonnements, que pour les cartes prépayées (19,441 millions), précise l'Autorité de régulation des communications électroniques des postes (Arcep), dans son Observatoire des mobiles, rendu public jeudi 2 février. Les autres cartes SIM sont utilisées dans les machines (périphériques nomades ou équipements industriels).
Quant aux usages, l'Arcep note que la France compte de plus en plus de mobinautes. Ces adeptes de l'internet mobile et du SMS représentent près de la moitié du nombre d'abonnements, soit 31,756 millions. D'ailleurs, le nombre de SMS envoyé par client actif et par mois atteint les 212 contre 186 pour le trimestre précédent.
(...)(02/02/2012 17:04:15)Recharge par induction sur les prochains Nokia Lumia
Marko Ahtisaari, responsable du design chez Nokia, a déclaré au Guardian que les prochains smartphones Windows Phone de la marque finlandaise seraient livrés sans prise micro-USB, "l'un des deux seuls éléments amovibles du Lumia 800". Cette révélation laisse penser, selon le journal britannique, que Nokia prépare l'intégration d'une technologie de recharge sans fil sur ses futurs appareils, à l'exemple du Palm Pre, l'un des premiers smartphones à l'avoir proposée. Des entreprises comme LG, Energizer, Powermat et Duracell proposent déjà des bases de recharge compatibles avec n'importe quel téléphone doté de la technologie de recharge sans fil.
Pour ses derniers appareils, Nokia a opté pour un design minimaliste et des commandes tactiles. Le commentaire de Marko Ahtisaari laisserait donc entendre que la firme continuera sur cette lancée, en s'efforçant de gagner encore en épure : "A chaque fois qu'il sera possible de retirer des éléments amovibles [d'un téléphone] pour rendre le placement de ses composants plus esthétique, nous le ferons. C'est un domaine dans lequel nous pouvons encore nous améliorer. En poussant la logique à l'extrême, ne pourrait-on pas tout simplement se passer de connecteurs?", a déclaré Marko Ahtisaari au Guardian.
Selon le Guardian, Nokia inclura aussi la technologie NFC aux accessoires Windows Phone - ce n'était pas le cas pour les Windows Phones 800 et 900 - ce qui permettra une connectivité "tap-to-pair" (sans mot de passe, par simple contact) avec les casques ou les haut-parleurs Bluetooth. Les blogueurs sont en tout cas persuadés que Nokia présentera une nouveauté appelée Nokia Lumia 910 au Mobile World Congress (MWC), à la fin du mois de février.
Le design des puces ARM 64 bits pour serveurs attendu en 2012
Les premières puces 64 bits basées sur l'architecture ARMv8, annoncées en octobre dernier, seront bientôt vendues sous licence aux fabricants. « La production de masse des processeurs 64 bits démarrera en 2014, et seront intégrés dans des terminaux dans la foulée, » a précisé Warren East, le PDG d'ARM.
L'arrivée de ces processeurs - noms de code Atlas et Apollo - pourrait se traduire par la sortie d'un premier smartphone 64 bits, lequel offrirait de meilleures performances, comparé aux terminaux actuels intégrant des processeurs ARM 32 bits. Ces processeurs pourront également offrir une plus large compatibilité avec des applications 64 bits dans les environnements Windows et Linux. « L'objectif est de cibler le haut de gamme dans le domaine des serveurs et des smartphones, » a déclaré Warren East.
Une montée en puissance de la gamme ARM
La plupart des smartphones et tablettes actuels intègrent des processeurs ARM. Mais le fondeur aimerait se faire aussi une place sur le marché des serveurs, dominé par Intel. ARM conçoit et développe des architectures processeurs qu'il revend ensuite sous licence à Apple, Texas Instruments, Nvidia, Samsung ou encore Qualcomm. Le fondeur a déjà licencié son processeur ARMv8 64 bits à quatre fabricants, dont Nvidia et AppliedMicro Circuits. « Les autres licenciés seront annoncés plus tard cette année, » a déclaré Warren East. Dans une présentation réalisée par ARM, on apprend que Nvidia travaille sur une version très attendue du processeur ARMv8-A destinée aux smartphones, tablettes, PC et serveurs, nom de code Project Denver. Quant au fabricant de puces AppliedMicro Circuits, il avait montré une puce 64 bits cadencée à 3 GHz l'an dernier.
Il y a toujours un délai de quelques années entre la mise au point d'une nouvelle architecture et la commercialisation d'un processeur. Par exemple, c'est en 2007 qu'ARM a dévoilé son processeur Cortex-A9 32-bits. Et les premières tablettes et smartphones intégrant cette puce ont été commercialisés l'année dernière. En 2010, ARM avait présenté son processeur Cortex-A15, lequel devrait équiper certains terminaux plus tard cette année. « L'arrivée de puces 64 bits pour les smartphones est attendue. D'une part, elle va permettre d'exécuter sur ces terminaux des applications, multimédias notamment, qui demandent plus de calcul processeur. Mais aussi parce que les fabricants veulent pouvoir augmenter la taille des blocs mémoire, » a déclaré Nathan Brookwood, analyste principal chez Insight 64.
« Le passage aux 64 bits dans les smartphones est inévitable. Les terminaux mobiles disposent en moyenne de 2 Go de mémoire et les processeurs ARM 32 bits actuels ne supportent pas plus de 4 Go, » a déclaré l'analyste. « En ce qui concerne les serveurs, l'utilité d'un processeur 64 bits est évidente, car les applications existent déjà et les exigences sont visibles, » a ajouté Nathan Brookwood. Les serveurs ont besoin de blocs de mémoire importants et de nombreuses applications sont déjà écrites pour l'adressage 64 bits.
Des serveurs moins gourmands en énergie
ARM destine ses processeurs aux centres de calcul « verts » et les fabricants de serveurs travaillent déjà sur des systèmes expérimentaux intégrant le processeur Cortex-A9 du fondeur. Hewlett-Packard a annoncé qu'il testait des serveurs à base de processeurs ARM et le supercalculateur hybride développé par Nvidia pour le Supercomputing Center de Barcelone (BSC) intègre une puce Tegra 3, architecture ARM, associée à des processeurs graphiques. « Le processeur ARMv8a va apporter aux serveurs des caractéristiques spécifiques en matière de sécurité et de virtualisation, » a précisé aussi Warren East. « Les puces 64 bits seront également rétrocompatibles. Elles pourront faire tourner des applications écrites pour les architectures ARM précédentes. » Le fondeur travaille également sur l'aspect logiciel pour accélérer l'adoption de ses processeurs 64 bits dans les serveurs. Une version de production de l'OS Ubuntu basé sur Linux a déjà été livrée, et une version Red Hat compatible ARMv8 est en cours de préparation.
« ARM va avoir une tâche difficile pour détrôner Intel dans le secteur du serveur. Cela fait plusieurs années qu'Intel fournit des puces x86 à ce marché sur lequel elle a une position dominante, » a estimé Nathan Brookwood. Cette année, Intel a également entrepris de marcher sur les plates-bandes d'ARM, en proposant son processeur 32 bits Atom Medfield pour les smartphones. « Avec quelques modifications, Intel pourrait sortir une version 64 bits de cette puce destinée à l'origine aux smartphones, » a ajouté l'analyste. Reste qu'ARM devrait aussi être difficile à contrer sur ce marché. Et pour l'instant, il n'y a pas d'urgence à proposer un processeur 64 bits pour smartphones.
(...)(02/02/2012 15:30:58)Google Docs pour Android consultable hors ligne
Une demande formulée par les utilisateurs a enfin été acceptée par Google. Les documents stockés dans Google Docs sont consultables hors ligne sur les smartphones et les tablettes reposant sur Android. L'application proposée pour ces terminaux mobiles rend l'accès hors ligne possible pour les fichiers Google Docs : les présentations, les feuilles de calcul, les images téléchargées et les formats de fichiers tels que pdf, doc, xls et ppt, selon Google.
Les utilisateurs peuvent ainsi rendre leurs documents disponibles hors ligne, ou créer un document hors ligne qui sera intégré au cloud de Google lorsqu'ils seront connectés à Internet. Les fichiers sont automatiquement mis à jour lorsque les utilisateurs sont attachés à un réseau WiFi gratuit. Les utilisateurs peuvent également mettre à jour manuellement les fichiers à chaque fois qu'ils ont une connexion de données en ouvrant le fichier ou en tapant "update" dans la section hors de l'application.
Prochain challenge : modifier les documents hors ligne
Il y a plusieurs façons de rendre les documents accessibles hors ligne sur les tablettes et les smartphones. Sur une ardoise, les utilisateurs doivent ouvrir le panneau de prévisualisation, puis sélectionner la case à côté de l'option « disponible hors ligne ». Les utilisateurs de smartphone doivent quant à eux toucher et maintenir le nom d'un élément dans la liste des documents pendant deux à trois secondes, puis valider le «rendre disponible hors connexion » dans le menu qui apparaît.
Google a encore du travail à faire pour rendre l'application Docs plus intéressante sur les smartphones et tablettes basés sur Android. Il est par exemple toujours impossible de modifier les documents hors ligne.
Le m-paiement décolle en France
En 2012, les Français devraient dépenser 2,2 milliards d'euros en utilisant leur mobile. Selon les prévisions d'une étude Kelkoo par le Centre For Retail Research, publiée ce mardi 31 janvier, ils seraient les plus dépensiers en Europe, derrière les Britanniques (5,4 milliards d'euros) et les Allemands (3,2 milliards d'euros).
Au chapitre du e-commerce, 2012 s'annonce comme une nouvelle année dynamique pour les achats sur mobile. La France devrait enregistrer la troisième plus forte croissance européenne (+71%), derrière la Suisse (+111%) et l'Espagne (+73%).
Malgré un faible taux d'équipement en smartphone, estimé à 35% (contre 46% au Royaume-Uni), la part des achats via mobile devrait représenter 4,6% du marché de l'e-commerce en France en 2012. L'arrivée des tablettes numériques dans les foyers aurait aussi son effet dans l'explosion du M-commerce au sein de l'Hexagone, commente l'étude.
En 2011, les Français ont dépensé en moyenne 118€ via leur smartphone, bien loin des Britanniques, les plus grands dépensiers européens (226€).
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L'UE enquête sur Samsung pour abus de position dominante
La Commission européenne a annoncé l'ouverture d'une enquête pour abus de position dominante. Elle va déterminer si l'utilisation des brevets liés à la 3G par Samsung dans plusieurs procédures judiciaires n'avait pas pour but de freiner la concurrence. Ces brevets sont jugés comme essentiels pour réaliser des terminaux compatibles avec les réseaux de téléphonie mobile de 3ème génération. Samsung s'était engagé, il y a quelques années, auprès de l'ETSI (Institut européen des normes de télécommunications) à accorder des licences d'utilisation de ces brevets « en termes justes, raisonnables et non discriminatoires».
Samsung avait attaqué Apple, notamment en France, en expliquant que les terminaux de la firme de Cupertino, l'iPhone 4S en particulier, violaient plusieurs brevets liés à la téléphonie mobile de troisième génération. Le tribunal de Grande Instance de Paris avait débouté Samsung sur le référé en contrefaçon sans se prononcer sur la validité des brevets de Samsung.
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La consumérisation de l'IT s'étend aux PME selon IDC
Selon IDC, la consumérisation de l'IT (le fait que les salariés utilisent des terminaux personnels dans leur travail) devrait s'étendre aux PME, particulièrement celles des pays en voie de développement. Malgré les risques de sécurité, ces entreprises savent tirer parti de l'équipement de leurs salariés pour rester compétitives et augmenter leur efficacité.
« Cette consumérisation de l'informatique a des implications importantes pour les fournisseurs de technologie ainsi que pour les entreprises concurrentes des PME qui profitent de tous les outils de productivité qu'ils peuvent » explique Ray Boggs, vice-président en charge du marché des Petites et Moyennes Entreprises chez IDC. Les PME dans les pays développés (par exemple, les Etats-Unis, le Royaume-Uni, l'Allemagne, le Japon) indiquent généralement des niveaux plus élevés d'utilisation des technologies de pointe, PC portables, réseaux sans fil, que les entreprises de taille similaire dans les pays en développement (par exemple, la Chine, Brésil). Cependant, l'écart se réduit rapidement.
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Jon Rubinstein, ancien patron de Palm, quitte HP
« Jon a rempli son engagement chez HP. Nous lui souhaitons bonne chance » a déclaré HP dans un communiqué. Jon Rubinstein était vice-président senior pour l'innovation produit de la division Personnal System Group (PSG). HP n'a pas indiqué quels étaient les projets de Jon Rubinstein, mais AllThingsD, pense qu'il va dans un premier temps prendre des congés et s'occuper de sa famille.
Jon Rubinstein a rejoint Palm en 2007 et est devenu PDG en 2009, alors que la société avait lancé son smartphone sous webOS. Ce système d'exploitation avait obtenu d'excellentes critiques, mais les ventes de terminaux n'ont jamais décollé. En 2010, HP a racheté Palm. Jon Rubinstein était en retrait laissant Stephen DeWitt être nommé à la tête de l'activité comprenant webOS. Puis sous la houlette de Leo Apotheker, HP a décidé d'arrêter la production de tablettes et de smartphones sous webOS. Après un temps de flottement, Meg Whitman a décidé de rendre le système d'exploitation mobile Open Source.
Pour mémoire, Jon Rubinstein s'est fait un nom chez Apple, où il a joué un rôle de premier plan sur le développement de l'iPod.
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Ventes de smartphone, Apple en tête des ventes au dernier trimestre
Pour la première fois, Apple est en tête de liste des constructeurs ayant vendu le plus de smartphones durant le dernier trimestre de l'année 2011, selon une étude de Strategy Analytics, publiée le vendredi 27 janvier. Avec 23,9% de parts de marché, Apple devance d'un souffle Samsung (23,5%). Loin derrière, Nokia (12,6%) complète le podium. Il s'est vendu au total 155 millions de smartphones sur cette période (+54% sur un an).
Sur l'année, Samsung conserve un léger avantage, avec 97,4 millions de smartphones vendus (19,9% de parts de marché) contre 93 millions à Apple (19%). Nokia a pour sa part vendu 77,3 millions d'unités (15,8%).
Les ventes d'iPhone ont été dopées par l'arrivée sur le marché de l'iPhone 4S, au mois d'octobre. En 2012, Samsung doit présenter le Galaxy S3, le successeur du Galaxy S2. La marque propose en outre deux autres modèles haut de gamme : le Galaxy Nexus et le Note. De son côté, Apple travaille d'ores et déjà sur un iPhone 5.
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