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Smartphones
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(22/12/2009 12:20:35)
La SNCF équipe 16 500 agents d'un smartphone HTC avec GPS
La SNCF équipe 16 500 agents de conduite nationaux (conducteurs de trains) d'un kit de mobilité à base de smartphone avec GPS, le modèle Touch HD du constructeur taïwanais HTC. Ce smartphone est doté d'une batterie à haute capacité spécifiquement conçue pour la SNCF par Honeywell Batteries, et d'une housse de protection spécifique à la SNCF réalisée par le français Mobilis. Le déploiement concerne 16 500 assistants numériques à destination de tous les agents de conduite. La Direction de la traction de la SNCF investit ainsi dans un outil métier unique mis à la disposition des Agents de Conduite pour améliorer la qualité de service rendue. Ce déploiement a lieu dans le cadre du système SIRIUS, Système Informatique Regroupant les Informations Utiles au Service. Il s'agit de faciliter l'accès à l'information en situation opérationnelle et les échanges entre services tout en modernisant l'image de la profession d'Agent de Conduite. Cet outil devait être « universel » et s'adapter aux différents pupitres de conduite présents dans les 60 types de locomotives en activité (TGV compris). Le déploiement a été confié à la société Quadria, société de services, dans le cadre d'un contrat de 3 ans, qui livrera des kits prêts à l'emploi. Le service comprend l'intégration, la masterisation, le déploiement et la maintenance J+1 sur toute la France. (...)
(18/12/2009 10:58:55)Probablement pas d'offres Free Mobile avant mi-2011
Après avoir été désigné par l'Arcep pour la quatrième licence de téléphonie mobile, Free doit désormais construire son réseau et ses infrastructures. Le chantier nécessitera au moins 18 mois. Les premières offres commerciales de la marque Free Mobile devraient donc apparaître vers la mi-2011. Des prix à la baisse ? Dans un communiqué publié fin octobre 2009, le groupe Iliad, maison mère de Free, avait indiqué qu'il souhaitait "répondre à la forte attente des consommateurs vis-à-vis d'offres plus simples, moins chères et plus innovantes". En interview, Xavier Niel, fondateur d'Iliad, a également évoqué son désir de diviser par deux la facture de téléphonie mobile des Français, soit une économie de 1.000 euros par an et par foyer. Pour rentabiliser les lourdes sommes investies dans la construction de son réseau, Free serait contrait de proposer des tarifs alléchants afin de recruter rapidement un maximum d'abonnés. Vers des offres de convergence Avec une base de plus de 4 millions de clients à ses offres ADSL, Free pourrait bien être tenté de proposer aux "freenautes" des abonnements incluant à la fois l'accès à Internet triple-play et la téléphonie mobile. Toutefois, ce type de démarche est mal perçu par l'Autorité de la concurrence, qui vient de lancer un avertissement à Bouygues et SFR sur leurs pratiques de "cross selling". Plus de concurrence entre les opérateurs L'arrivée d'un nouvel entrant va permettre de stimuler la concurrence entre les différents opérateurs présents sur le marché. Selon les analystes et les associations de consommateurs, le lancement d'offres agressives de la part de Free amènera ses trois autres rivaux à réviser leur grille tarifaire, à l'image de ce qui s'était produit en 2002 quand Free avait cassé le prix des abonnements ADSL à 29,99 euros par mois. De nouvelles antennes en vue C'est le côté le moins attrayant de l'arrivée d'un quatrième opérateur mobile. Free devra dans un premier temps déployer des antennes dans plusieurs grandes agglomérations françaises afin de couvrir au moins 25% de la population française. Par la suite, il pourra négocier l'accès au réseau de l'un de ses concurrents dans le cadre d'un contrat d'itinérance mobile. L'apparition de nouvelles antennes et leurs risques sanitaires devraient soulever les inquiétudes de la part des riverains et des associations. (...)
(15/12/2009 17:31:25)Les ventes de téléphones mobiles progresseront de 9% en 2010
Le cabinet Gartner évalue à 0,67% la baisse des ventes mondiales de téléphones mobiles entre 2008 et 2009. Un moindre mal. Au mois de septembre dernier, Gartner situait cette baisse à 3,7%. Pour 2010, le cabinet d'études envisage un retournement de ce marché avec une hausse des ventes de 9%, par rapport à 2009 et toujours au plan mondial. Ce marché atteindra 1,32 milliard d'unités vendues en 2010, contre 1,21 en 2009 et 1,22 en 2008. Par continent, l'évolution des marchés est significative. Deux des sept sous ensembles (ou régions mondiales), définis par le Gartner sont en progression sur 2009 : Asie-Pacifique et Europe de l'Ouest. Un seul est égal : l'Amérique du nord, tous les autres baissent de manière plus ou moins forte. L'Asie Pacifique passe de 453 000 ventes en 2008 à 479,8 en 2009, l'Europe de l'Ouest de 174,4 à 186,9. En 2010, ils devraient atteindre respectivement à 546,7 millions d'appareils vendus et 198,5. L'Amérique du nord passe de 182,245 à 182,571, et devrait atteindre les 190,1 millions d'appareils vendus en 2010. La crise économique impacte les marges des fabricants Dans les autres régions du monde, le Gartner observe que l'Europe de l'Est est tombée de 96 millions d'appareils vendus en 2008 à 81,1 en 2009 et devrait atteindre 84,9 en 2010, donc rester toujours en dessous du niveau de 2008. Le Japon ne repart pas, passé de 40,58 en 2008 à 34,87 en 2009, il restera pratiquement au même niveau l'an prochain avec 34,89 millions d'unités vendues. L'Amérique latine est mieux lotie, mais ne retrouvera pas ses niveaux de 2008, ce continent passe de 142,3 millions de ventes en 2008 à 119,7 en 2009 et 126,7 en 2010. Enfin, la zone Moyen-Orient Afrique repartira plus franchement, passée de 133,7 en 2008 à 128,9 en 2009, elle devrait atteindre les 140,3 en 2010. En dehors de ces différences géographiques, le Gartner relève l'impact de la crise économique. Pour le marché des mobiles, il se manifeste sur les marges des fabricants et les cycles de renouvellement des consommateurs. Dans les deux années à venir, ces cycles devraient se raccourcir sous le triple effet de l'arrivée de téléphones intelligents, de prix plus agressifs, de contrats d'abonnements plus courts. Les ventes de matériels d'occasion devraient arriver dans les pays émergents. Le Gartner constate également le développement du marché gris à l'initiative des fabricants chinois, ce développement aura un impact sur les prix des téléphones mobiles et sur la part de marché de Nokia. Le Gartner réservé sur les smartphones [[page]] Le Gartner se montre réservé sur les smartphones. Comme tous les cabinets d'étude, il souligne leur percée en nombre d'unités vendues, mais s'interroge sur leur rentabilité pour les opérateurs. Les smartphones représentent 14% des ventes d'appareils mobiles cette année. Toujours en volume, il s'en vend 23,6% de plus qu'en 2008. D'ici 2013, ce segment de marché bondira de 38% par rapport à 2009. Toutefois, les opérateurs veulent associer à ce développement en volume, des tarifs élevés qui intriguent le Gartner. Pour le cabinet d'études, les opérateurs prennent le risque de proposer des tarifs au-delà de ce qui est acceptable par les consommateurs. Les constructeurs doivent s'interroger sur leur modèle économique conclut le Gartner. La croissance facile appartient au passé, même si les smartphones ouvrent de belles perspectives, il faut rester prudent. Les ventes de matériels seules ne suffisent plus, « logiciels, services et contenus sont de meilleurs drivers de croissance que le matériel pour les fabricants de mobiles qui doivent réinventer eux-mêmes leurs modèles économiques s'ils veulent se maintenir au top » conclut Caroline Milanesi, directrice de recherche au Gartner. (...)
(14/12/2009 10:27:32)Premier bilan pour la plateforme Google Android
( Source EuroTMT ) Deux ans après avoir annoncé sa volonté de se lancer sur le marché de la téléphonie mobile avec son système d'exploitation Android, Google peut se prévaloir de s'être fait un nom aux côtés d'Apple, de RIM ou encore de Nokia. Une douzaine de téléphones utilisent son OS, avec plus de 12 000 applications existantes sur Android Market. Certes, Google est encore loin de 100 000 logiciels conçus pour l'iPhone, mais le groupe est tout de même déjà deuxième derrière Apple dans ce domaine. Après avoir accueilli l'arrivée d'Androïd avec une bonne dose de scepticisme, la plupart des analystes du secteur, sont obligés de reconnaître que Google a enclenché une réelle dynamique autour de son système d'exploitation. Mais ils soulignent également que, pour l'instant, le fait d'avoir convaincu certains fabricants de téléphones et des opérateurs mobiles d'avoir adopté ses logiciels pour smartphones ne s'est pas encore traduit par des bénéfices tangibles pour Google. Car la stratégie de la société de Mountain View diffère totalement de celle de ses concurrents. Contrairement à Nokia ou à RIM, qui dégagent des marges avec les ventes de leurs téléphones mobiles, Google cherche avant tout à placer ses logiciels et les services associés sur une nouvelle gamme de terminaux. Et ce afin d'accèder à des données concernant les utilisateurs finaux lui permettant, au bout du compte, de vendre des messages publicitaires ciblés à prix d'or. Ainsi, en novembre, le groupe a annoncé le rachat, pour 750 millions de dollars d' AdMob, dont la technologie peut être installée sur les boutiques en ligne des opérateurs et sur des applications iPhone et Androïd. Légende illustration : "Goggles" (lunettes) la nouvelle fonction de recherche de Google à partir d'une image est disponible sous Android. On prend une photo avec son mobile, et on lance une recherche à partir de l'image. [[page]] Pour l'instant, Google ne détaille pas les revenus tirés de ses messages publicitaires sur mobiles. Bon nombre d'intervenants du marché sont impatients et notent que Google a encore beaucoup de chemin à faire avant de rattraper Apple, voire Palm. Ils estiment en effet que la variété des fabricants proposant des téléphones fonctionnant avec le système Androïd peut donner l'impression que l'offre de Google est moins performante, moins intégrée que celles proposées par les Pre ou les iPhone. Certains notent que la volonté de Google de développer Androïd tous azimuts peut se retourner contre le groupe. Un premier avertissement est venu de Gameloft, concepteur français de jeux pour téléphones mobiles, qui a annoncé il y a quelques semaines son intention de réduire les investissements consacrés aux développements d'applications pour Androïd, estimant que la boutique en ligne de Google n'était guère incitative. Gameloft a enfoncé le clou en disant que Google souffrait de la comparaison avec l'iPhone, ajoutant que personne n'était en mesure d'engranger des revenus significatifs avec Androïd. Bientôt un vrai Google Phone ? Google pense ainsi avoir marqué des points avec la mise à disposition sur les appareils Androïd de Google Maps Navigation, une sorte de GPS en temps réel. De façon générale, Google espère se distinguer de l'iPhone par la qualité de ses applications plutôt que par la quantité. En la matière, il vient d'ailleurs de révolutionner la recherche sur internet avec l'application "Goggles" (lunettes). Cette nouvelle fonction de recherche de Google travaille à partir d'une image au lieu de quelques mots comme c'est le cas depuis l'origine des moteurs de recherche. Or, Goggles est disponible sous Android. On prend une photo avec son mobile, et on lance une recherche à partir de l'image. Enfin, certains estiment que Google avait pris acte du côté un peu lâche de son offre mobile et que, pour y remédier, il envisageait de se lancer dans le développement de son propre appareil mobile, au risque de se fâcher avec des fabricants partenaires comme Motorola. Andy Rubin, vice-président de l'ingénierie de Google, a déclaré que le groupe avait activement contribué à la conception de certains appareils mais il a démenti les rumeurs prêtant à Google l'ambition de développer ses propres terminaux. Reste que selon notre confrère Tony Bradley du magazine PC World à San Francisco, les employés de Google utilisent bien à titre expérimental un smartphone sur mesure, baptisé Nexus One, développé avec le concours de HTC. Une photo de ce terminal a d'ailleurs été postée sur Twitter. Une fois la phase de tests terminée, ce Google Phone pourrait très bien être commercialisé en 2010 avec Android 2.1. (...)
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