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(08/01/2010 16:21:46)

LinkedIn 3.0 pour iPhone apporte des services de géolocalisation

En matière de réseau social, LinkedIn, la plateforme en ligne réunissant 55 millions d'utilisateurs répartis dans 200 pays, dont 12 millions en Europe et 1 million en France, reste orientée pro. Avec la version 3.0 de son appli pour iPhone - disponible en téléchargement sur l'AppStore - LinkedIn veut apporter plus d'ergonomie dans l'accès à sa plateforme via le mobile d'Apple. Désormais, le membre de ce réseau professionnel pourra rechercher un autre membre LinkedIn en situation de mobilité. De même, avec « In Person » l'application apporte une fonction de « détection » de contact de proximité en informant via Bluetooth de la présence éventuelle de personnes utiles dans son environnement immédiat, une autre façon de pister ses contacts pendant une conférence ou un événement professionnel. D'autant que la version 3.0 intègre une fonction de mise à jour en temps réel de son réseau. Une interface de profil améliorée permet d'avoir un résumé des informations relatives à l'expérience professionnelle d'un utilisateur et de son réseau. Le panneau de commande permet aussi d'envoyer directement des messages et des invitations, ou de rapatrier des contacts dans le répertoire du mobile. LinkedIn, qui se positionne comme « le réseau professionnel le plus vaste du monde pour échanger des idées, des informations et faire évoluer sa carrière » indique qu'il compte, parmi ses membres, les 500 dirigeants des plus grandes entreprises figurant au palmarès du magazine Fortune. En moyenne, 50% des membres de LinkedIn sont des décisionnaires. En France, 7,5% appartiennent à la catégorie des chefs d'entreprise au sens large. En plus de sa fonction de mise en relation, le réseau LinkedIn intéresse aussi les entreprises qui recrutent. En France, environ 20% d'entre elles utilisent son système pour diffuser des offres d'emploi et se renseigner sur les candidats potentiels. (...)

(08/01/2010 10:24:36)

Nexus One, pourquoi une telle volte-face de Google sur le marché des smartphones ?

( Source EuroTMT ) Ça y est, après des mois de rumeurs et de démentis, Google a donc finalement dévoilé, mardi 4 janvier, son smartphone Nexus One. Une annonce qui était déjà largement éventée depuis que le géant d'internet avait envoyé, en fin d'année dernière, des exemplaires de son mobile à quelques blogueurs high-tech réputés. Présentant son mobile comme un « super téléphone », Google s'est toutefois abstenu de justifier son revirement stratégique. Avant même son entrée sur le marché des systèmes d'exploitation pour smartphones, le groupe américain expliquait en effet ne pas être intéressé par la vente de produits high tech sous sa marque. Un positionnement réaffirmé tout au long de 2009, Google ajoutant même qu'il se contentait de fournir la plate-forme logicielle à des fabricants. Tout cela pour finir par commercialiser son mobile, certes fabriqué par HTC, mais portant bel et bien son nom. Une erreur d'analyse majeure Alors pour quelles raisons, Google change-t-il son fusil d'épaule ? L'explication la plus évidente serait que le géant de l'Internet s'est rendu compte de son erreur stratégique commise il y a deux ans. L'iPhone d'Apple rencontrait alors des difficultés dans sa commercialisation (notamment en Europe) malgré l'engouement médiatique. A l'époque, Google a, peut-être, cru plus habile de miser sur quelques fabricants de mobiles déjà bien installés sur le marché pour imposer son système d'exploitation. Ce logiciel constitue en effet son cheval de Troie pour accaparer une large part du marché de la publicité sur mobile, qui est son véritable objectif. Mais voilà, Apple a rapidement compris que l'avenir de l'iPhone passait par une large distribution (et non par l'exclusivité proposée à quelques grands opérateurs), un virage pris au moment où le groupe commercialisait la version 3G de son mobile. Comme l'écosystème bâti pour l'iPhone était déjà très efficace, les ventes d'iPhone ont explosé. [[page]] A l'inverse, malgré la commercialisation progressive de plusieurs modèles utilisant Androïd, Google n'a pas réussi à faire de son système d'exploitation un véritable concurrent d'Apple ou de RIM. Dès lors, en commercialisant directement un mobile griffé Google, le groupe américain cherche, très certainement, à capitaliser sur sa marque pour accroître, rapidement, sa part de marché. Seul problème : Google peut-il encore plaire ? Il y a deux ans, l'image de marque du moteur de recherche était excellente. Toutes ses initiatives, souvent présentées comme des armes anti-Microsoft, étaient alors saluées unanimement. Mais ce n'est plus le cas aujourd'hui. Le groupe est devenu la cible de nombreuses critiques et son image n'est guère meilleure que celle de Microsoft. Le pari de Google est donc très risqué. D'autant plus qu'il va affronter la colère des fabricants de smartphones utilisant Androïd, pour qui le Nexus One pourrait être un concurrent direct. Ainsi des analystes considèrent déjà que le smartphone de Google va concurrencer le Droid de Motorola, tous les deux étant commercialisés par l'opérateur T-Mobile aux Etats-Unis. A la poursuite d'Apple Autre risque pris par Google : son positionnement tarifaire aligné sur celui de l'iPhone d'Apple alors qu'il accuse encore quelques lacunes comme l'absence de capacité multitouch. Quel est alors l'avantage concurrentiel de Google ? Seul élément plaidant en faveur du Nexus One : de nombreux abonnés mobiles américains semblent prêts à l'acquérir pour ne pas avoir à changer d'opérateur car s'ils sont tentés par l'iPhone, ce dernier est seulement distribué par AT&T. Mais ce qui veut dire aussi que, dès que le smartphone d'Apple pourra être vendu par les autres opérateurs mobiles américains, Google aura beaucoup de soucis à se faire. (...)

(05/01/2010 22:19:55)

Tout savoir sur le Nexus One de Google

Google a officiellement annoncé les caractéristiques du Nexus One présenté le mardi 5 janvier 2010. Le Nexus One est fondé sur une plateforme matérielle du taiwanais HTC et sur la dernière version du système d'exploitation maison, Android 2.1. La firme parle de son terminal mobile comme appartenant à la catégorie des « superphones ». « Ils sont aussi puissants que les ordinateurs portables d'il y a trois ou quatre ans » affirme Andy Rubin, vice-président de l'ingénierie chez Google. 1. Le premier d'une vraie gamme : Google propose d'acheter le Nexus One via une boutique en ligne hébergée chez lui sur www.google.com/phone. Il s'agit d'un nouveau canal de distribution grand public pour Google. Les consommateurs devraient pouvoir acheter ainsi d'autres appareils Android sélectionnés. Google insiste sur la simplicité de cette boutique en ligne. Dans le futur, Google espère lancer de nouveaux appareils avec des fabricants partenaires et ainsi étendre la gamme à d'autres pays. 2. Vente seule ou avec l'abonnement d'un opérateur partenaire de Google : Les consommateurs peuvent acheter le Nexus One seul ou avec l'abonnement subventionné d'un opérateur partenaire de Google. Les tarifs des opérateurs et le détail des prestations figureront sur le site. Le Nexus est compatible avec n'importe quelle carte SIM GSM. 3. Des logiciels orientés Web : La plateforme du Nexus One dispose des logiciels Google Maps Navigation (des indications vocales signalent chaque changement de direction) ; email (plusieurs comptes Gmail, boîte aux lettres universelle et prise en charge d'Exchange) ; répertoire téléphonique regroupant des contacts de sources multiples, dont Facebook ; fonction Fast Contacts qui permet de passer facilement des applications de communication aux réseaux sociaux. 4. Des interactions vocales : Saisie de texte vocalement(clavier à activation vocale pour toutes les zones de texte, on dicte ses messages textuels, instantanés, électroniques, Twitter et Facebook) ; interrogation vocale via le téléphone (Pour effectuer des recherches sur Google, appeler ses contacts ou obtenir des instructions sur l'itinéraire à suivre) ; lecture des messages vocaux via l'intégration de Google Voice, les messages vocaux sont transcrits automatiquement, sans avoir à changer de numéro. [[page]] 5. Des fonctions multimédias : L'appareil photo de 5 mégapixels intègre un flash à diodes, une mise au point automatique, un zoom, des outils de localisation, la balance des blancs et des effets colorimétriques ; les images et les albums Picasa sont visionnables dans la nouvelle Galerie 3D ; on peut enregistrer des vidéos MPEG4 haute définition puis les télécharger sur YouTube d'un clic. 6. Une plateforme matérielle fournie par Qualcomm : Le processeur est une puce d'origine Qualcomm, la SnapdragonTM 3G QSD8250 cadencée à 1 GHz ; la mémoire interne comprend 512 Mo de RAM et 512 Mo de mémoire flash ; une extension de cette dernière est possible via une carte microSD de 4 Go (extensible à 32 Go). 7. Caractéristiques matérielles : Ecran AMOLED WVGA 3,7" d'une résolution de 480x800 ; une épaisseur de 11,5 mm ; un poids de 130 g ; une prise jack de 3,5 mm pour casque avec quatre contacts pour la voix et la télécommande ; Trackball : diode de notification tricolore, alertes lors de l'arrivée de nouveaux messages électroniques et instantanés, ainsi que SMS. 8. Un prix de 349 € sans abonnement : Le Nexus One est disponible dès aujourd'hui sur la boutique en ligne Google aux Etats-Unis sans abonnement pour 529$ (349 €) ou 179$ (124 €) avec un abonnement pour deux ans avec T-mobile USA. À l'avenir, Verizon Wireless aux États-Unis et Vodafone en Europe prévoient d'offrir de tels services dans les pays où ils opèrent. 9. Personnalisation la carte : Les fonds d'écran dynamiques et interactifs réagissent au toucher ; de nouveaux widgets et cinq écrans d'accueil permettent de personnalise davantage l'appareil. 10.Une commercialisation mondiale progressive : Des premières ventes réservées aux Etats Unis, au Royaume-Uni, à Singapour et à Hong Kong : Google traitera en priorité les commandes venant de ces pays. SFR proposera le smartphone en France. (...)

(05/01/2010 22:11:43)

Google commercialise son smartphone Nexus One au prix de 349 euros

Conçu par Google, le smartphone Android Nexus One est fabriqué par le taïwanais HTC. A l'instar de son principal rival, l'iPhone d'Apple, il s'équipe d'un écran tactile permettant d'accéder à de nombreuses applications. Vendu dès à présent sur Internet aux Etats-Unis, il devrait être prochainement commercialisé en France. Après le lancement, il y a deux ans, de sa plateforme logicielle Android pour les smartphones de fabricants partenaires, Google réalise aujourd'hui sa véritable entrée sur le marché de la téléphonie mobile. Même si le Nexus One est un mobile fabriqué par HTC, cet appareil a été conçu par Google, et sera vendu sous la marque de l'incontournable moteur de recherche. Pas vraiment un iPhone killer Doté d'un large écran tactile OLED de 3,7 pouces/9,4 cm (contre 3,5 pouces pour l'iPhone), le Nexus One présente - comme le smartphone d'Apple - un design épuré, pratiquement dépourvu de boutons physiques. Seul un trackball (bille de commande pour le défilement des menus), et quelques commandes, comme la touche de retour à l'écran d'accueil ou le raccourci vers le moteur de recherche, ont été intégrés en façade. Mais à la différence de la référence du marché, il ne propose pas la technologie multipoint pour exécuter des commandes simples à l'aide des doigts. Techniquement, le premier "Google Phone", repose sur un processeur Qualcomm Snapdragon cadencé à 1 GHz, avec 512 Mo de RAM, garantissant une interface fluide et une exécution rapide des tâches. Il dispose également d'un appareil photo 5 mégapixels avec autofocus, flash LED et enregistreur vidéo (720 x 480 p), et d'une mémoire de 512 Mo extensible à 32 Go par carte mémoire (une carte microSD de 4 Go est fournie à l'achat. Selon le constructeur, l'autonomie serait de 290 heures en veille, et de 10 heures en communication vocale. [[page]] Bientôt chez SFR Le Nexus One est compatible avec les réseaux sans fil 3G/3G+ et Wi-Fi, et intègre un module GPS. Il fonctionne avec la dernière version (2.1) du système d'exploitation maison, Android. En plus des applications habituelles (Google Search, Gmail, etc.), celle-ci propose plusieurs innovations, comme la reconnaissance vocale pour dicter un texte ou une requête sur Internet, des fonds d'écran dynamiques, l'accéléromètre, une boussole numérique, ainsi qu'un logiciel de navigation GPS gratuit, basé sur Google Maps. Le Nexus One peut s'enrichir de plusieurs applications pratiques ou ludiques à télécharger sur l'Android Market. Concurrente de l'App Store d'Apple, cette boutique en ligne compte désormais plus de 20.000 applications développés par des fabricants ou des partenaires tiers. L'une d'elle, mise au point par Google, permet par exemple d'effectuer des recherches sur Internet en photographiant un lieu ou un objet, ou tout simplement en dictant sa requête grâce à la fonction de reconnaissance vocale. Google annonce que le Nexus One est disponible dès à présent aux Etats-Unis, sur la boutique en ligne accessible à l'adresse Google.com/phone. Il coûte 529 dollars nu (368 euros) ou 179 dollars (124 euros) avec un abonnement T-Mobile. En Europe, ce smartphone sera proposé chez l'opérateur Vodafone, donc probablement dans un premier temps chez SFR sur le marché français. La disponibilité et les tarifs de l'appareil en Europe ne sont pas encore connus. Site : www.google.com/phone (...)

(05/01/2010 16:49:43)

Tribune: le Google Phone vise plus Microsoft qu'Apple

Et si, plutôt qu'un 'iPhone killer', le smartphone lancé par Google sous sa propre marque n'était que la continuité de sa lutte contre Microsoft ? Fabriqué par HTC, animé par Android, le Nexus One présenté par Google n'a rien de vraiment révolutionnaire par rapport à tous les smartphones Android proposés par les fabricants jusque-là. D'où la remarque de Caroline Noublanche, présidente de Prylos et à ce titre experte du domaine. Dans une tribune publiée sur notre blog Experts, Caroline Noublanche explique que « l'enjeu sous-jacent de la sortie d'Android est d'étendre aux services mobiles la position de force de l'entreprise sur la recherche et la publicité ». Autrement dit, plutôt qu'un 'iPhone killer', cette ancienne de SFR et PhoneValley voit dans tout téléphone Android, ainsi que dans Chrome OS, « un cheval de Troie pour concurrencer Microsoft ». (...)

(30/12/2009 16:10:39)

Selon O2, l'iPhone sature les réseaux mobiles

Un trafic de données sur les réseaux mobiles multiplié par 18 depuis le début de l'année. Selon O2, opérateur britannique filiale de l'Espagnol Telefonica, c'est ce qui a conduit à saturer son réseau londonien, et empêché à certains moments des clients de passer ou recevoir des appels et des données. Dans une interview accordée au Financial Times et rapportée par Reuters, un dirigeant d'O2 accuse les smartphones en général, et en particulier l'iPhone, de loin le plus vendu, de peser trop fortement sur la capacité des équipements réseau. Une complainte à vrai dire assez malvenue, O2 ayant bénéficié jusqu'en novembre d'un contrat d'exclusivité avec Apple pour la distribution de l'iPhone. Mais visiblement, l'opérateur n'avait pas anticipé son succès. Il a dû investir 30 millions de livres (33,4 M€) pour moderniser son réseau londonien et installer 200 stations mobiles supplémentaires. Et s'excuser platement pour « ne pas avoir atteint [ses] propres standards » de qualité. Reuters rapporte aussi que l'opérateur américain ATT a interrompu pendant le week-end la vente d'iPhone sur son site à destination des New-yorkais, « déclenchant des spéculations » sur le fait qu'il ferait ça pour éviter d'engorger son réseau. Personne n'avait donc prévenu les opérateurs que si on propose un service facturé très cher à des usagers qui acceptent de payer pour lui, ceux-ci se croient en droit de l'utiliser ? (...)

(28/12/2009 17:55:41)

10 services Google pour les entreprises

Les milliards de dollars de chiffre d'affaires de Google proviennent aujourd'hui essentiellement de la publicité. Mais le géant nourrit désormais l'ambition de proposer une plate-forme de cloud computing universelle. Le système d'exploitation Chrome OS, destiné à équiper des terminaux dédiés à l'accès à Internet, est le dernier pion avancé dans cette direction. Voici un aperçu des services en développement ou déjà proposées aux entreprises et aux développeurs. On remarquera que la collaboration est un thème récurrent. 1- Gmail pour les entreprises Pendant longtemps, Gmail n'était qu'une messagerie en mode webmail, concurrente de Hotmail ou Yahoo Mail. Mais elle est désormais déclinée en version entreprise, ciblant ceux qui ne souhaitent plus consacrer des ressources à gérer un serveur Exchange ou Lotus Notes. Gmail s'intègre en outre dans la suite bureautique en ligne Google Apps. La ville de Los Angeles vient de franchir le pas, après avoir évalué ce service au niveau de la sécurité, du contrôle de la vie privée et de la qualité de service. En France, Total étudie, par exemple, la solution de messagerie du géant américain même si aucune décision n'a encore été prise. 2 - Postini : un service de sécurité multi-messageries En 2007, Google a racheté Postini, un service destiné à sécuriser les messageries existantes, notamment via un antivirus en ligne. Google est actuellement en train de greffer ses fonctions sur ses propres applications - Google Apps et Gmail - afin de lever certaines des réticences des entreprises vis-à-vis du Cloud Computing. 3 - Calendar : partager un agenda avec des partenaires Dans les entreprises, de nombreuses entités utilisent Google Apps, parallèlement aux outils bureautiques officiellement déployés. L'un de ses modules, Google Calendar, est ainsi très souvent mis à profit pour partager rapidement un agenda au sein d'un groupe d'utilisateurs internes ou avec des partenaires et des clients. 4 - Google Docs : une suite bureautique basique orientée collaboration Toujours très basique , la suite Google Docs ne peut certes pas rivaliser avec la richesse de Word, Excel ou PowerPoint. Elle fournit toutefois les fonctions essentielles, dés lors que l'on dispose d'une connexion Internet. De plus, il est bien adapté à la réalisation d'un même document par plusieurs personnes géographiquement dispersées. 5 - Google Sites : un outil de création de site Web Issu du rachat de JotSpot en 2007, Google Sites est un outil de création de sites Web certes basique mais qui pourrait intéresser de nombreuses PME. Il se distingue par la possibilité de partager la gestion du site entre plusieurs personnes. La fonction de Wiki va également dans le sens de cette orientation collaborative. [[page]] 6 - Google Wave pour s'attaquer très bientôt à SharePoint Pour l'instant disponible en version bêta limitée, Google Wave veut concurrencer Microsoft SharePoint. Il fournit, en mode Saas, des fonctions de gestion collaborative de projets comparables mais se démarque par sa messagerie instantanée, omniprésente. 7 - Android, la plateforme mobile associée aux services Google Avec Android, Google est parvenu à proposer une alternative Open Source aux systèmes propriétaires d'Apple, Palm ou Nokia. Comme on pouvait s'y entendre, il est optimisé pour exploiter les services Gmail et Google Apps. Mais cette spécialisation pourrait être mal perçue par certaines entreprises, qui regretteront également la pauvreté des fonctions d'administration. 8 - Chrome OS, un système d'exploitation 100% web Destiné à équiper des terminaux nomades de type netbook qui devraient être commercialisés fin 2010, ChromeOS se présente comme une fine couche système entre le navigateur Chrome et le matériel. Son objectif : offrir un accès universel à toute application Web, éventuellement déployée par l'entreprise. 9 - Google Gears : le cloud computing sans Internet L'un des problèmes majeurs du Cloud Computing et du Saas, c'est que l'accès aux applications requiert une connexion Internet. Apparu en 2007, Google Gears apporte une solution en conférant au navigateur des capacités de traitement en local. Il offre une architecture à base de plug-in ciblant les différents navigateurs. Concrètement, elle donne au développeur le moyen de réaliser un plug-in unique, offrant accès à une application, que l'on soit en mode connecté ou déconnecté. Même si Google Reader et Zoho Office utilisent déjà Gears, cette technologie reste confidentielle. Signalons toutefois qu'avec l'arrivée de HTML 5, Google devrait progressivement abandonné Gears. 10 - Google App Engine : un environnement de développement en ligne Google App Engine est un environnement de développement et de déploiement d'applications construit sur un modèle proche de celui de Saleforce, l'éditeur de suivi de relations commerciales et de fichiers clients. Pour l'instant, on ne peut pas dire qu'il ait provoqué une ruée des développeurs mais Google espère qu'il profitera tôt ou tard du pouvoir d'attraction croissant qu'exercera sur eux, le Cloud Computing en général et ses services en particulier. (...)

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