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(25/09/2009 16:43:02)

Le Quai d'Orsay conseille les voyageurs sur iPhone et Android

Le ministère des Affaires étrangères propose aux possesseurs d'iPhone et de smartphones sous Android (l'OS mobile de Google) de télécharger une application Conseils aux voyageurs, qui reprend sa célèbre rubrique. Le Quai d'Orsay fournit en effet au jour le jour sur son site Web, et donc maintenant sur mobile, des informations sur des pays où les Français en transit pourraient se retrouver confrontés à des risques d'épidémies, d'instabilité politique, d'événements climatiques graves, etc. L'application mobile reprend également les dossiers thématiques. L'équipe qui a mis au point l'application prévoit déjà une version 2 qui supportera un mode push et une mise en cache des données, « une rapidité accrue » et « quelques surprises ». L'application sera également déclinée pour les smartphones Blackberry et ceux fonctionnant sous Windows Mobile. A noter que le code source de la version pour Android sera publié sur la forge de l'Adullact. L'application Conseils aux voyageurs peut être téléchargée sur les places de marché iTunes et Android Market. Dans certains cas, des téléphones Android passant par Bouygues Telecom ne peuvent trouver l'application (du côté de Bouygues, on explique plutôt que cela dépend de l'homologation des téléphones par Google). L'équipe technique a identifié le problème, et cherche une solution. En attendant, elle propose une page très didactique pour installer l'application par un moyen détourné. (...)

(21/09/2009 12:27:01)

Adobe veut partager les applications Flash... et les revenus associés

Adobe a présenté aujourd'hui Adobe Flash Platform Services for Distribution, un service hébergé destiné aux développeurs et aux entreprises, pour les aider à distribuer leurs créations Flash et autres applications Web et mobiles. L'éditeur note en effet qu'il n'y a pas aujourd'hui de moyen standardisé de distribuer un tel contenu, et que cela échappe donc souvent aux éditeurs du service. Avec cette plateforme, Adobe entend redonner le contrôle à l'éditeur, lui permettre de distribuer son service sur les PC, les réseaux sociaux sur le Web ou les mobiles, d'en mesurer l'utilisation, et in fine de le monétiser. Adobe s'appuie sur un partenaire, Gigya, spécialisé dans la distribution virale d'applications (notamment sur les réseaux sociaux : une prochaine version de l'offre Adobe les concernera directement). C'est une garantie, explique l'éditeur, de toucher une large audience. Il suffira au développeur d'ajouter à l'application un bouton de partage, qui donnera diverses destinations possibles. Seules les applications d'Adobe les plus récentes, Flex et la version 4 de la Creative Suite, pourront bénéficier de ce service (le contenu Flash créé avec la CS3 pourra toutefois être partagé en créant un menu ad hoc avec Dreamweaver). Les applications distribuées sur le Web et les mobiles - y compris l'iPhone Sur les mobiles, la distribution se fera à l'aide d'un lien envoyé par SMS. La plateforme, explique Adobe, détectera alors le type d'appareil utilisé, et enverra la version de l'application appropriée (y compris sur iPhone, donc, si une version pour iPhone a été prévue par le développeur). Si la technologie de Gigya permet de faire payer la distribution d'applications, Adobe compte surtout sur les revenus liés à la publicité. Des développeurs pourront en effet choisir de faire sponsoriser leur application par des annonceurs - qui paieront Adobe et Gigya pour figurer sur la plateforme de distribution. Adobe a ainsi prévu un logiciel pour mesurer les téléchargements et analyser l'utilisation des applications. Ce Distribution Manager offrira des outils d'analyse très graphiques : il utilise lui-même Flash, car il exploite la technologie de client riche d'Adobe, AIR (Adobe integrated runtime). Un des premiers clients annoncés par Adobe est le Wall Street Journal, qui prévoit de sortir prochainement des widgets permettant aux utilisateurs d'accéder à différents types de contenu. De son côté, Adobe, prévoit d'autres services hébergés complétant cette première plateforme. L'éditeur ne veut plus se contenter des revenus liés à la vente de ses technologies ; comme il l'a prouvé avec le rachat d'Omniture, il espère aussi une part du gâteau publicitaire lié à l'audience des sites et applications Web. (...)

(08/09/2009 16:15:06)

Le cloud computing modifiera radicalement les applications pour mobiles, selon ABI Research

Les utilisateurs de téléphones mobiles abonnés à des applications en ligne (modèle Saas, software as a service, avec des applications hébergées dans le cloud) vont passer, dans le monde, de 42,8 millions en 2008 à 998 millions en 2012, selon le cabinet d'études américain ABI Research. Aujourd'hui, ils ne pèsent que 1,1% de l'ensemble des abonnés mobiles ; dans cinq ans, ils en représenteront presque 19%. Dans son étude « Mobile Cloud Computing », récemment publiée, ABI Research détaille les applications et les modèles qui devraient entraîner le développement de ce marché. Pour l'auteur de l'étude, Mark Beccue, ce sont les services de géolocalisation qui vont tirer la demande d'ici à 2010, notamment les solutions de navigation et de cartographie. Selon lui, 60% des abonnés mobiles à une application cloud accéderont à des fonctions de géolocalisation. Mais l'analyste voit apparaître d'autres catégories, plus originales. Il cite le fabricant de serrures Schlage dont le service LiNK permet à ses abonnés de vérifier à distance le verrouillage de leur porte d'entrée, de contrôler leur système de chauffage, leurs caméras de sécurité et leur éclairage à partir d'un PC ou de leur téléphone portable. Un marché d'applications hébergées pour mobiles de 20 Md$ en 2014 ABI Research s'attend à ce que les principaux opérateurs de PaaS -platform as a service- que sont Amazon (avec AWS), Google et Salesforce.com (avec Force.com), commercialisent leur offre de façon beaucoup plus agressive à partir de 2010. Pour Mark Beccue, le développement des services en ligne pour mobiles devrait supplanter le téléchargement d'applications. L'analyste note que l'engouement suscité par l'iPhone a favorisé l'ouverture de boutiques en ligne offrant des applications à télécharger. Mais ces logiciels requièrent souvent des terminaux dotés de solides capacités, ce qui limite le marché potentiel. Dans cette perspective, une architecture reposant sur des logiciels hébergés en cloud changera radicalement la façon dont les applications mobiles vont être développées, achetées et utilisées. ABI Research estime que l'actuel modèle pourrait être remplacé d'ici cinq ans, créant un marché que le cabinet évalue à quelque 20 Md$ d'ici à fin 2014. Pour l'instant, les développeurs d'applications mobiles doivent choisir entre différents systèmes d'exploitation, souligne Mark Beccue : « Ils écrivent pour un seul OS ou doivent créer plusieurs versions de leurs logiciels pour les diverses plateformes. En développant pour le cloud, leurs applications ne s'exécuteront plus sur le terminal mais sur le serveur et une seule version suffira. » (...)

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