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Smartphones
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(24/03/2009 16:34:10)
vCMA administre VMware à partir d'un téléphone mobile
En avril, VMware proposera la version bêta de vCenter Mobile Access (vCMA) pour administrer un environnement VMware à partir d'un simple téléphone mobile. Le logiciel disposera d'alarmes diverses, de la localisation de machines virtuelles, de la gestion de leur déplacement à chaud, du lancement d'une sauvegarde, etc. vCenter Mobile Access (vCMA) est associé à l'appliance virtuelle vCMA server, qui réside sur le serveur. L'application web vCMA pourrait fonctionner sur les principales plateformes de Smart GSM : Symbian, iPhone, BlackBerry, Android et Windows Mobile. Si tant est que l'on accepte de s'en remettre à un écran de quelques centimètres de diagonale pour réaliser des tâches cruciales. (...)
(18/03/2009 17:49:36)Nokia prévoit de nouvelles réductions d'effectifs
Nokia a annoncé mardi qu'il supprimerait 1 700 emplois supplémentaires dans le monde pour tenter de pallier la chute de ses ventes. Ces réductions s'ajouteront aux 1 000 suppressions de postes promises par le Finlandais fin février. Elles toucheront les divisions mobiles et marchés de Nokia ainsi que son 'Corporate development office', principalement en Finlande, où 700 postes seront supprimés. Selon Eija-Riita Huovinen, responsable de la communication, des coupes toucheront également les États-Unis et le Royaume-Uni. Avec ce plan, Nokia entend économiser près de 700 millions d'euros d'ici à l'année prochaine. Mi-février, le Finlandais avait annoncé la fermeture de son site de R&D de Jyväskylä, en Finlande, laissant 320 salariés sur le carreau. Le constructeur a également procédé à des réductions de postes au sein de son site de production de Salo. Depuis qu'il subit un ralentissement sensible de ses ventes (-19,5% au quatrième trimestre 2008), Nokia multiplie les plans de réduction des coûts et les suppressions de postes qui en découlent. (...)
(16/03/2009 12:04:00)Le Grenelle des antennes se tiendra finalement en avril
Repoussé une première fois du 19 au 26 mars pour cause de mouvements sociaux, le Grenelle des antennes, proposé par Nathalie Kosciusko-Morizet, n'aura finalement lieu que le 23 avril prochain (mise à jour). La secrétaire d'Etat au Développement de l'économie numérique a en effet proposé de réunir autour du thème de la dangerosité potentielle des émissions d'ondes électro-magnétiques de la téléphonie mobile (téléphones et antennes), les opérateurs télécoms, les associations idoines de défense de l'environnement, les collectivités territoriales, etc. Le projet est finalement confié par le Premier ministre, François Fillon, à trois ministres : Roselyne Bachelot-Narquin, ministre de la Santé et des Sports, Chantal Jouanno, secrétaire d'Etat chargée de l'Ecologie et Nathalie Kosciusko-Morizet. La table ronde prend le nom officiel de « Radiofréquence, santé et environnement » et doit permettre de « faire le point sur les connaissances scientifiques, ainsi que sur la réglementation en vigueur. L'objectif est d'identifier d'éventuelles mesures complémentaires en matière de recherche, d'expertise scientifique, d'information du public, de réglementation ou d'engagements volontaires. » Y sont conviés l'Etat et les organismes publics, les élus et représentants des collectivités territoriales, les opérateurs, les associations, les scientifiques et personnalités qualifiées. Les opérateurs reçus, les associations laissées dans l'ignorance Selon l'AFP, Chantal Jouanno devrait recevoir les opérateurs télécoms sur le sujet, dès le 26 mars. De leur côté, les associations Priartem et Agir pour l'environnement s'indignent dans un communiqué commun de ne pas avoir été prévenues du nouveau report de la réunion. Elles « demandent à être reçues par les ministres organisatrices de ce Grenelle de la téléphonie mobile » et « appellent l'Etat à organiser un débat multi-acteurs, sans exclusive, sans a priori et sans tabou. » Selon elles, « cette façon de procéder semble laisser entendre qu'il y aurait des acteurs plus légitimes que d'autres. » (...)
(13/03/2009 15:44:49)Avec Google Voice, les messages vocaux se lisent
Avec son nouveau service Google Voice, Google transcrit les messages vocaux sous forme de textes, accessibles directement dans sa boite Web ou sur son téléphone portable en SMS. Ils seront, comme les courriers électroniques reçus sur Gmail, archivés - « à vie » précise Google - et indexés pour faciliter la recherche. Les messages envoyés seront également archivés et indexés. Google précise que ce service est le premier du genre à reposer sur une transcription totalement automatisée de la voix en texte. Ce service est basé sur la technologie de GrandCentral, une société de télécommunication californienne achetée par Google en juillet 2007. Comme l'offre GrandCentral, Google Voice permettra de disposer d'un numéro unique permettant de renvoyer les appels vers tous ses abonnements téléphoniques (fixe ou portable), et de passer des communications longue distance à moindre coût. Aux États-Unis, l'offre comprendra un service de renseignement gratuit, pour trouver un professionnel (livraison de pizza, plombier, coiffeur) et être mis en relation en fonction de son emplacement géographique. Google Voice va, dans un premier temps, être proposé aux abonnés actuels de GrandCentral, avant d'être étendu par la suite à l'ensemble des internautes. Pour l'instant, ce service est gratuit et vise le grand public. Une déclinaison payante, telle que celle que Google Apps propose aux entreprises, n'est pas encore envisagée. (...)
(12/03/2009 10:40:07)Eclipse lance l'initiative Pulsar, pour simplifier le développement pour les plateformes mobiles
Un outil de développement, mais des kits spécifiques pour chaque plateforme mobile. Un casse-tête auquel s'attaque la fondation Eclipse, avec l'initiative Pulsar. Le groupe de travail mobile d'Eclipse a comme feuille de mission la création d'une distribution particulière de l'environnement de développement capable d'interopérer avec une grande variété de SDK (kits de développement) fournis par les fabricants d'appareils mobiles et éditeurs de systèmes d'exploitation. Les développeurs pourront ainsi travailler sur une base commune d'un programme J2ME (Java 2 Mobile Edition), dans un seul environnement, tout en ciblant plusieurs plateformes mobiles. Motorola, Nokia et Genuitec font partie des leaders de l'initiative, qui est également soutenue par IBM, RIM et Sony Ericsson. Microsoft et Apple n'en font pas partie, non plus que Google, récemment entré dans l'arène de la mobilité avec Android. L'initiative est ouverte à tous, pourtant, souligne Dino Brusco, directeur senior des services et plateformes développeurs de Motorola. Pour Jeffrey Hammond, analyste principal de Forrester Research, cela montre bien « le schisme en train de se former dans le domaine des smartphones ». S'il applaudit l'initiative, il craint en effet que ce type d'effort n'aboutisse qu'à trouver un plus petit commun dénonimateur, qui du coup n'exploite pas la richesse des plateformes. Il encourage en tout cas les membres de Pulsar à aller de l'avant : « C'est un début. Il faudra plusieurs versions et supporter les plateformes que les développeurs veulent vraiment cibler. Ce sera techniquement difficile, mais cela paraît une bonne approche. » Le lancement de Pulsar est prévu pour la prochaine grande mise à jour d'Eclipse, dite Galileo, fin juin 2009. (...)
(10/03/2009 12:16:32)Air France teste la carte d'embarquement biométrique
Quatre portiques d'un nouveau genre équipent autant de portes d'embarquement dans le terminal F de l'aéroport Roissy Charles de Gaulle. Mis en place par Air France, ils illustrent la volonté de la compagnie de fluidifier la circulation des passagers dans l'aérogare à grands renforts de technologie. Quelque 1500 voyageurs, fidèles de la ligne Paris-Amsterdam, testent ainsi depuis quelques jours un nouveau mode d'enregistrement automatique, baptisé smartboarding. Tous ces passagers sont les porteurs d'une carte à puce qui renferme, de façon chiffrée, des informations personnelles comme leurs noms et prénoms ainsi que les empreintes dactyloscopiques de leurs deux index. Après avoir réservé leur voyage sur le site Web de la compagnie, et même choisi leur siège dans l'avion, les passagers n'ont plus guère de démarche à effectuer. Une fois dans l'aéroport, il leur suffit, pour s'enregistrer, d'insérer leur carte smartboarding dans une borne dédiée. Celle-ci imprime alors la carte d'embarquement directement au verso de la carte smartboarding, en recourant à une encre thermique permettant de réutiliser 500 fois le support. Il ne reste plus aux passagers qu'à déposer leurs bagages, puis à franchir les contrôles de sécurité, pour pénétrer dans la salle d'embarquement. Là, plus besoin de prendre place dans la file de voyageurs attendant qu'une hôtesse contrôle leur carte d'embarquement avant de se diriger vers l'avion. Les porteurs de la carte smartboarding ont à leur disposition des portails sur lesquels il leur suffit de poser la dite carte. Dernière étape : les passagers apposent leur index sur un lecteur, qui va scanner leurs empreintes digitales et s'assurer qu'ils sont effectivement les porteurs de la carte. Le portique s'ouvre et laisse les passagers rejoindre l'avion. Pas de stockage centralisé de donnée biométrique Avant de savoir si ce système est appelé à être déployé sur l'ensemble des vols Air France, la compagnie étudiera les retours d'expérience des 1500 voyageurs qui testent le dispositif. La compagnie aérienne ne voit cependant guère de raison qui pourraient conduire ses clients à rejeter le smartboarding. Le point le plus sensible - la sécurité des données personnelles - semble ne pas prêter lieu à la polémique : aucun stockage centralisé n'est effectué, les empreintes digitales sont présentes seulement sur la puce de la carte détenue par les passagers. En parallèle de cette expérimentation du système smartboarding, Air France a déjà mis en oeuvre une batterie d'autres innovations, regroupées sous l'appellation d'e-services. Les voyageurs peuvent ainsi recevoir leur carte d'embarquement sur leur téléphone mobile sous forme de code barre - par SMS, MMS ou courriel. Ils n'ont alors que l'écran de leur appareil à présenter aux différents points de contrôle depuis l'enregistrement des bagages jusqu'à la montée dans l'avion. Air France teste également, dans le terminal 2C de Charles de Gaulle, l'application de puces RFID sur les bagages. Les valises et autres sacs sont censés être mieux localisés et les étiquettes à radiofréquences devraient permettre, grâce à la présence de lecteurs dans les zones de tri, d'éviter les pertes de bagages lors des correspondances. Air France ne rechigne pas à communiquer sur les innovations mises en place. En revanche, le groupe est plus frileux lorsqu'il s'agit d'évoquer les sommes consacrées à la mise au point de ces nouveautés. « Plusieurs dizaines de personnes travaillent en interne sur les services mobiles, finit par concéder Laurent Petitmangin, responsable marketing produits et services au sol. Ces salariés d'Air France sont répartis entre la R&D, l'assistance maîtrise d'ouvrage et les services informatiques. A leurs côtés, cinq personnes sont exclusivement chargées du débogage. » (...)
(26/02/2009 17:59:25)Nokia réfléchit « très activement » à la possibilité de lancer des laptops
Nokia prévoit-il de lancer des ordinateurs portables ? « Nous examinons très activement cette opportunité », répond le PDG du premier fabricant de téléphones mobiles. Interviewé par la radio-télévision publique nationale de Finlande YLE, Olli-Pekka Kallasvuo, président et CEO de Nokia, a ainsi pour la première fois officiellement confirmé les rumeurs. D'après Reuters, qui rapporte l'information, Olli-Pekka Kallasvuo estimerait qu'il s'agit d'une évolution logique de son métier au regard de la convergence en cours : « Il n'y a pas besoin de se projeter très loin dans le futur pour voir que ce que nous connaissons [aujourd'hui] comme un téléphone mobile et ce que nous connaissons comme un PC convergent sur de nombreux points. » Et le patron de Nokia de s'estimer très bien placé pour proposer au public ces appareils convergents : « Aujourd'hui, des centaines de millions de personnes ont leurs premiers contacts avec Internet sur nos téléphones. C'est une bonne indication. » Evidemment, on peut se poser la question de savoir ce que Nokia irait faire dans un marché dont les marges se réduisent comme peau de chagrin. Gartner estime en effet que le succès des netbooks a contribué à une baisse du prix moyen de 15% en 2008. Mais d'un autre côté, sur le marché des PC, seul le segment des laptops est en croissance, et Nokia recherche justement des relais de croissance. Le fabricant de téléphones s'est fait voler la vedette par RIM sur le marché de la messagerie pour smartphones, et par Apple et d'autres sur le marché des tactiles, tandis que les fabricants coréens lui taillent des croupières. Son positionnement sur le créneau des MID (mobile Internet devices, appareils mobiles connectés à Internet) pourrait en effet passer par la case laptop. (...)
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