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Smartphones

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(31/12/2008 16:13:51)
Près de 18 000 Android pour les employés de Google - avant la mise à jour
Les détails ont commencé à filtrer sur la mise à jour d'Android, le système d'exploitation pour mobiles conçu par Google. La mise à jour (nom de code Cupcake), attendue pour 2009, devrait corriger quelques bugs (horloge, courriel...) et ajouter des fonctionnalités : clavier virtuel, reconnaissance de la parole, gestion des fichiers attachés... Google livrera évidemment ses développements en Open Source, dans le cadre de l'initiative Open Handset Alliance, récemment rejointe par Sony Ericsson. Seuls trois modèles de téléphones sous Android existent actuellement. Ce qui fait que le système de Google n'apparaît pas encore dans le classement des parts de marché des OS mobiles, dominé par Symbian (désormais propriété de Nokia). Le premier téléphone Android est le Dream conçu par HTC, vendu par T-Mobile sous le nom G1. Et Google a trouvé un bon moyen d'augmenter sa part de marché : pour Noël, il a décidé d'en offrir à 85% de ses employés, soit environ 18 000 personnes (au 30 septembre dernier, Google annonçait un nombre d'employés venant de dépasser la barre des 20 000 personnes). (...)
(24/12/2008 11:10:20)Les salariés de Motorola à Rennes vantent leurs compétences en ligne pour trouver un repreneur
Les salariés du centre de R&D rennais de Motorola ne manquent pas d'idées pour tenter de sauver leur site voué à fermer prochainement. Après avoir revisité « Le téléphone pleure » de Claude François dans une vidéo publiée sur Youtube, une nouvelle idée est née de la réflexion d'une cinquantaine d'ingénieurs. Avec l'accord de leur patron, pour attirer repreneurs et investisseurs potentiels, ils ont créé un site Internet destiné à promouvoir les projets techniques sur lesquels ils planchent. «En communiquant sur nos compétences et sur l'ensemble de l'activité du centre de R&D via ce canal, nous espérons nous faire connaître et ainsi augmenter nos chances d'entrer en contact avec des investisseurs », explique Daniel Lucas-Hirtz, ingénieur informaticien du centre de R&D. Le site met l'accent sur l'expertise du fabricant, en terme de conception et de développement d'applications de téléphonie mobile : GPRS, convergence multimedia, domotique, convergence téléphonie/mini PC. Il met aussi en avant des technologies mobiles destinées aux outils de nouvelle génération. Les salariés du centre menacé ont décidé de mettre les bouchées doubles pour redynamiser l'activité de Motorola à Rennes : apporter de nouveaux projets, procéder de l'essaimage, etc. Objectif final : la reprise de tout ou partie du centre de R&D. (...)
(22/12/2008 12:55:21)Bilan 2008 : l'administration Obama adepte des TIC et du green IT
Difficile de ne pas qualifier l'élection de Barack Obama à la présidence des Etats-Unis d'événement de l'année 2008. Y compris dans le monde des TIC. Son Blackberry toujours en main, le futur président américain est aussi un adepte du Web 2.0. Son équipe a, certes, mené une campagne classique, avec appels téléphoniques et porte-à-porte, mais elle a aussi exploité tous les recoins des blogs et des réseaux sociaux. Au cours de cette campagne, Barack Obama a également pris conseil auprès des patrons des nouveaux grands de l'IT, qu'il s'agisse de Google ou de Facebook. Parmi ceux qui auront la charge des nouvelles technologies, il a même déjà désigné Sonal Shah, une ancienne responsable de Google.org. En effet, depuis l'élection du 4 novembre, la nouvelle administration prend forme et confirme cet intérêt du futur président pour les TIC. Selon Barack Obama, ces dernières sont même une des clés de la relance économique et il les place au coeur de son « new deal » destiné à sortir les Etats-Unis de la crise. Mais ce n'est pas tout. Pour le futur président, les TIC représentent aussi un des meilleurs moyens de résoudre la question du réchauffement climatique. Pour preuve, la toute récente nomination de Steven Chu, prix Nobel de physique et adepte d'une informatique plus respectueuse de la Planète, pour s'occuper de l'énergie et de l'environnement. A lire sur ce sujet : - le 17 décembre : Un adepte du green IT en charge de l'énergie et de l'environnement pour Obama - Le 8 décembre : Barack Obama compte aussi sur les TIC pour relancer l'emploi aux Etats-Unis - Le 19 novembre : Le patron de Google encourage Barack Obama à miser sur les technologies - Le 17 novembre : Les prémices de la politique Obama 2.0 - Le 6 novembre : Barack Obama choisit ses responsables high-tech - Le 6 novembre : Barack Obama élu président des Etats-Unis - Le 5 novembre : Elections américaines : l'utilisateur de Blackberry le plus célèbre du monde l'emporte (...)
(17/12/2008 17:39:29)L'iPhone n'est plus une exclusivité d'Orange
Saisi en septembre 2008 par Bouygues Telecom au sujet du monopole d'Orange sur l'iPhone, le Conseil de la concurrence a décidé de suspendre à titre conservatoire l'accord d'exclusivité entre Apple et Orange. « L'injonction prononcée vise à ce que les produits iPhone ne soient plus exclusivement commercialisés par Orange mais puissent l'être par tout autre opérateur souhaitant bâtir une offre avec ce terminal », précise la juridiction. Cette décision a été motivée par l'examen de plus de 200 points (voir le document intégral en pdf). Le Conseil de la concurrence résume sa position en indiquant que « l'exclusivité d'Orange sur l'iPhone est de nature à introduire un nouveau facteur de rigidité dans un secteur qui souffre déjà d'un déficit de concurrence ». Soulignant le développement d'offres associant téléphonie mobile et Internet illimité, l'Institution estime par ailleurs que la durée du contrat liant Apple et Orange porte sur une très longue période (5 ans) et que les moyens d'accès à un iPhone nu sont réduits. Le Conseil a même souligné que les accords d'exclusivité similaires passés entre SFR et d'autres constructeurs (Rim et HTC) n'amoindrissent pas la faute d'Orange. Quel que soit l'opérateur impliqué, ce type de pratique reste donc nuisible aux consommateurs. Orange interjette appel [[page]] Logiquement, Orange a interjeté appel de cette décision mais celle-ci reste néanmoins applicable. Bouygues Telecom, comme les autres opérateurs, peut donc, dès ce mercredi 17 décembre, proposer l'iPhone dans ses points de vente. Mais, cette autorisation de principe n'est pas, en l'état, applicable. « Cela va prendre du temps, il faut contacter Apple et négocier avec eux », nous a précisé Bouygues Telecom avant d'ajouter que « ce ne sera certainement pas pour Noël ». Toutefois, la disponibilité du terminal chez tous les opérateurs ne devrait pas traîner. Ces derniers disposent déjà de forfaits adaptés à l'iPhone (les abonnements comprenant l'Internet illimité) et la société de Cupertino ne semble pas s'orienter vers une résistance acharnée. « Les droits spéciaux accordés à certains opérateurs, dont celui liant Orange à Apple pour l'iPhone en France, sont donc résiduels mais ne correspondent pas à un modèle absolu et nécessaire pour Apple, qui bien au contraire, désire ne plus en accorder de nouveaux dans la configuration actuelle », a ainsi expliqué Apple au Conseil de la concurrence. Depuis plusieurs mois l'appareil est accessible hors du réseau Orange en passant par le Cybermarchand PhoneandPhone. SFR et Bouygues proposent également à leurs clients de leur rembourser une partie du prix de l'iPhone acheté chez Orange. (...)
(05/12/2008 15:04:01)Le paiement sans contact fait ses premiers pas dans la grande distribution
Après les accords entre les opérateurs mobiles et les banques, dans le cadre de l'opération "Payez Mobile", les mêmes opérateurs se tournent vers la grande distribution. Le projet, baptisé Ergosum (Ergonomie des services sur mobile), vise à développer, à travers des tests grandeur nature, les solutions de paiement avec un téléphone portable. Ce type de paiement repose sur la technologie NFC (Near Field Communication). Concrètement, il s'appuie sur un téléphone équipé d'une puce NFC et capable d'échanger des données avec un lecteur spécifique. Les achats sont ainsi réglés en approchant le combiné devant la borne de paiement (idéalement en posant le téléphone sur le terminal sans contact). Après confirmation, le montant des achats est ensuite directement débité sur le compte du client. En France, plusieurs expérimentations ont été conduites depuis novembre 2007 auprès d'usagers des transports publics et de certains commerçants, notamment à Paris, Strasbourg, Caen ainsi qu'en Bretagne. Une initiative lancée par Orange, SFR et Bouygues Telecom Réalisées sous l'égide du groupement "Payez Mobile", 1 000 personnes et 500 commerçants ont pu essayer cette technologie, que 90% des clients ont jugée "pratique, rapide et simple à utiliser". La nouvelle initiative lancée par les trois opérateurs mobiles (Orange, SFR et Bouygues Telecom) a suscité la participation des leaders de la grande distribution : Auchan, Castorama, Carrefour, la Fnac, Intermarché, Leroy Merlin, etc., et des organismes bancaires. Elle prévoit une nouvelle série de tests en France, dès 2009 dans les enseignes participantes. Les clients pourront ainsi régler leurs achats en passant simplement un mobile équipé devant un terminal. Ces expérimentations devraient également inciter les fabricants de téléphonie mobile à proposer plus rapidement des combinés compatibles NFC. [[page]] Cela dit, le paiement sans contact depuis un mobile progresse à petits pas. Pour rappel, fin 2007, pour la première fois, Orange, SFR et Bouygues Télécom s'étaient entendus avec les banques françaises de premier plan (Crédit Mutuel-CIC, BNP Paribas, Crédit Agricole et LCL, Société Générale, La Banque Postale, Caisse d'Epargne), ainsi qu'avec les spécialistes des moyens de paiement (Visa, Mastercard) sur les standards permettant d'héberger dans la carte SIM du mobile, de façon sécurisée, une application bancaire de paiement. Trois modèles de portables équipés en NFC avaient été utilisés pour cela : le L600V de LG Electronics, le L7 de Motorola et le My700X de Sagem. La puce NFC est d'origine Inside Contactless. Côté terminaux de paiement chez les commerçants, deux fabricants sont intervenus : Sagem Monetel et Ingenico. Quant à Gemalto et à Oberthur Card Systems, les leaders de la carte à puce, ils ont fourni les cartes SIM et les plateformes de gestion sécurisée des applications. De nombreux acteurs contraints de s'entendre Si la bonne marche technologique de ces systèmes a été validée, on n'a pas encore eu d'écho sur les négociations commerciales entre chacun des opérateurs de téléphonie mobile et chacune des banques. Car il faudra bien s'entendre sur le coût des services tels que l'hébergement de l'application bancaire sur la carte SIM, ou les mises à jour et la désactivation d'une SIM volée ou perdue via le réseau mobile. Les standards utilisés lors des expérimentations de "Payez Mobile" avaient pour objectif de pouvoir héberger plusieurs applications dans la carte SIM, parmi lesquelles figurent déjà des solutions de paiement de banques différentes. Bien d'autres usages sont envisageés [[page]] Mais, beaucoup d'autres usages applicatifs sont envisagés. Transport, billets de spectacle, stationnement, cartes d'accès ou de fidélité, lecture d'étiquettes marketing, etc. : tout émetteur de cartes devrait pouvoir placer son application sur la SIM. Le paiement ou le compostage du titre de transport font partie des extensions naturelles. Cet usage a déjà été testé, notamment à Paris par Bouygues Télécom et la RATP en 2006. Orange a également testé le mobile transformé en ticket virtuel à Rennes avec la SNCF et ses filiales locales. On achète son titre de transport, ses caractéristiques sont téléchargées dans le téléphone portable. On le composte en présentant le mobile devant une borne sans contact, dans les gares ou en montant dans le bus. L'expérimentation concernait une trentaine de personnes, disposant pour l'occasion d'un téléphone intégrant une puce NFC. Les acteurs de « Payez mobile » estiment à plusieurs millions les Français susceptibles d'utiliser le téléphone sans contact comme moyen de paiement d'ici à 2012. A noter que la voie avait été ouverte dès la fin de 2006 par le Crédit Mutuel et l'opérateur NRJ Mobile à Strasbourg, qui ont rejoint « Payez mobile » . Mais le téléphone mobile n'est pas le seul à se plier au sans-contact, la carte bancaire traditionnelle l'adopte également. Cette offensive sur les cartes s'explique notamment par le fait qu'il faudra encore du temps avant que tous les mobiles puissent être équipés en NFC, et du temps également pour que les opérateurs et les banques s'entendent sur les tarifs de leurs prestations réciproques. Vers un déploiement national en 2009 A la mi-novembre 2007, la banque Accord, filiale du groupe Auchan, avec 2,7 millions de clients en France, a été la première dans l'Hexagone à lancer le test du système sans contact Paypass de Mastercard sur une carte plastique. La carte est une carte bancaire EMV (Europay Mastercard Visa) standard dotée d'une antenne radio. Le paiement sans contact s'effectue sans saisie du code secret pour moins de 25 euros, ce qui devrait fluidifier le trafic aux caisses des supermarchés. Le test avait débuté par trois points de vente (Auchan à Englos, un magasin Bizzbee et un restaurant Flunch) et avec quelques dizaines de clients ; le pilote visait 150 000 clients sur la métropole lilloise au deuxième trimestre 2008 et deux mille points de vente. Le déploiement national était prévu pour 2009. Les terminaux de paiement sont compatibles avec les portables de « Payez Mobile » . Le projet d'Accord se déroule dans le cadre du pôle de compétitivité « Industries du commerce » , tandis que l'expérimentation « Payez mobile » se déroule dans le cadre du pôle de compétitivité TES (Transactions électroniques sécurisées). Désormais, la grande distribution, les banques et les opérateurs de téléphonie mobile sont condamnés à s'entendre. (...)
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