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Smartphones
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(03/02/2009 16:43:12)
Le PDG d'Adobe relance le buzz au sujet de Flash sur l'iPhone
En termes de buzz, on n'est jamais aussi bien servi que par soi-même. C'est sans doute pourquoi le PDG d'Adobe, Shantanu Narayen, a profité de son exposition médiatique au Forum mondial de Davos pour raconter à des journalistes de Bloomberg que le portage de Flash sur l'iPhone est « un challenge technique difficile », mais qu'Apple et Adobe collaborent sur le sujet, et que « la balle est dans notre camp ». La petite phrase a rapidement fait le tour du Web, beaucoup de sites s'extasiant même sur cette collaboration, et sur l'arrivée prochaine de Flash sur l'iPhone. Dans les faits, voilà plusieurs mois qu'Adobe laisse entendre que la solution technique est prête, et que l'arrivée de Flash sur l'iPhone n'attend plus que le feu vert de Steve Jobs. En novembre dernier, l'accord avec ARM confirmait d'ailleurs cette information. Or, le patron d'Apple a lui aussi des ambitions en termes de plateforme de format de contenu multimédia, et n'a aucune intention de faciliter la tâche d'Adobe. La tactique de Shantanu Narayen s'apparente donc davantage à une démonstration de force - voyez comme l'attente des utilisateurs est grande - qu'à une véritable volonté d'informer. (...)
(28/01/2009 18:15:08)Les netbooks contribuent à la baisse du marché informatique français, d'après GfK
L'année 2008 marque un tournant pour le secteur high-tech. Selon le cabinet d'études GfK, celui-ci a enregistré un chiffre d'affaires de 19,5 milliards d'euros, soit 3 % de moins qu'en 2007. Le seul secteur informatique, qui représente 34 % des ventes juste derrière l'électronique grand public, enregistre même une baisse plus forte de l'ordre de 5 %. Les ventes de PC de bureau, d'ordinateurs portables (y compris les netbooks) et de périphériques comme les imprimantes ont ainsi généré 6,63 milliards de chiffres d'affaires en 2008. Pourtant, la crise financière n'explique pas à elle seule ces mauvais résultats. En volume, les ventes ont progressé de 15 %. Pour Gfk, les causes sont avant tout structurelles : manque d'innovation, saturation du taux d'équipement et surtout guerre des prix acharnée entre les différentes marques. L'arrivée des netbooks a ainsi été désastreuse pour l'informatique. Avec un prix moyen constaté de 330 euros, ceux-ci ont fait baisser le prix d'achat d'un micro-ordinateur de 16 % par rapport à 2007, pour passer sous le seuil des 700 euros, à 652 euros. « Même si cette nouvelle offre a généré un nouveau marché, elle a instauré dans l'esprit des consommateurs de nouveaux seuils psychologiques de prix, » souligne Bertrand Huck, en charge des secteurs informatique, téléphonie et photographie chez GfK. En 2009, les PC seront aussi concurrencés par les smartphones Selon le cabinet, l'impact de la crise se fera réellement sentir en 2009, au moment où confrontés à une baisse du pouvoir d'achat, les acheteurs devront procéder des arbitrages. L'informatique sera l'un des secteurs les plus durement touchés. Elle devrait ainsi voir son chiffre d'affaires chuter encore de 10 %, dans un marché high-tech en baisse globale de 9%. En effet, les ventes de PC portables seront encore confrontées à la concurrence des « netbooks », mais également à celle des « smartphones » toujours plus puissants. En 2008, il s'en est vendu plus de 1,8 millions sur un total de 23,5 millions de téléphones. Et cette année, ils devraient représenter 30 % du chiffre d'affaires de la téléphonie. Les itinérants qui pouvaient envisager l'achat d'un PC portable pour consulter leurs courriels et accéder à Internet ont désormais le choix de passer par des netbooks, ou des smartphones, faciles d'utilisations. D'autant que de nombreuses applications d'entreprises s'installent désormais sur ces . (...)
(22/01/2009 11:44:33)Trimestriels Apple : Chiffre d'affaires historique
Alors que le marché des PC souffre d'un point de côté, Apple, lui, trotte allègrement. Porté par le succès de ses ordinateurs mais aussi celui de ses iPhone, le Californien publie des résultats trimestriels qui dépassent les attentes des analystes. Ces chiffres, qui illustrent une juteuse période des fêtes de fin d'année, éloigneront peut-être les craintes liées à la santé déclinante de Steve Jobs, le patron et gourou du groupe. Ils contribueront aussi à stabiliser provisoirement le cours de l'action Apple, qui tangue au gré des rumeurs sur l'état de forme du PDG. Le résultat net pour le premier trimestre fiscal 2009, clos le 27 décembre, atteint 1,61 Md$, à peine plus qu'il y a un an (1,58 Md$) mais au-delà des espérances des analystes (1,27 Md$). Le chiffre d'affaires, quant à lui, gagne 6%, à 10,17 Md$. 2,5 millions d'ordinateurs vendus pendant le trimestre Il s'agit là « du meilleur trimestre de l'histoire d'Apple, dépassant pour la première fois le cap des 10 Md$ de revenu », peut-on lire sur le communiqué de presse. Curieusement, la phrase est attribuée à Steve Jobs, qui a pourtant annoncé, la semaine dernière, son retrait des affaires jusqu'en juin. Mais, hormis cette citation, nulle autre trace du co-fondateur d'Apple à l'occasion de la présentation de ces résultats. C'est Tim Cook - le PDG par intérim - et Peter Oppenheimer - le directeur financier - qui ont animé la conférence de presse. Au cours du trimestre, Apple a écoulé 2,5 millions d'ordinateurs, soit 9% de plus qu'un an auparavant. Si les 22,7 millions d'iPod vendus ne représentent qu'une croissance annuelle de 3%, les iPhone, de leur côté, se sont arrachés. Le constructeur en a livré 4,4 millions, un chiffre qui bondit de 88%. Au deuxième trimestre, Apple table sur un chiffre d'affaires compris dans une fourchette de 7,6 Md$ à 8 Md$. (...)
(21/01/2009 08:24:17)Les retours de produits électroniques coûtent 7,3 Md€ dans six pays européens
Dans six pays européens, la gestion du retour des produits électroniques grand public coûte 7,3 Md€ par an à leurs fabricants. Selon Accenture, avec un taux de retour de 12% la France arrive en tête, devant l'Allemagne (11%), le Royaume-Uni (9%), l'Espagne (8%), la Pologne (8%) et la Suède (7%). Pourtant, selon le cabinet de conseil, moins de 5% des produits retournés présentent un défaut. Dans 95% des cas, les acheteurs expriment donc une insatisfaction d'un autre ordre. Dans 48% des cas en France et dans 38% de ceux en Espagne, ils indiquent clairement que le produit ne fonctionne pas comme ils l'avaient espéré. Si l'on parvenait à réduire de seulement 1% la quantité de produits retournés, mais en état de marche, les fabricants pourraient réaliser une économie de 4% du coût de leur gestion. La solution réside dans des efforts à faire sur toute la chaîne de conception, de production et de commercialisation. Accenture appelle de ses voeux des produits mieux conçus, mieux emballés qui seraient mieux vendus par des forces de vente mieux formées à des acheteurs mieux informés. Ce sont les micro-ordinateurs qui arrivent en tête des retours, suivis par les lecteurs MP3, les téléviseurs, les téléphones mobiles, les consoles de jeux, les GPS et les lecteurs DVD. Avec un taux de retour entre 2% et 12%, les clients européens arrivent loin derrière les Américains. Là-bas, il se situe entre 11% et 20%. (...)
(07/01/2009 12:42:04)Exclusivité d'Orange sur l'iPhone : réponse dans un mois
Orange devra patienter jusqu'au 4 février pour savoir si l'iPhone reste sa chasse gardée. C'est la date de rendu du verdict annoncée par la cour d'appel de Paris après que l'opérateur historique a interjeté appel de la récente décision du Conseil de la concurrence. Celui-ci, saisi en septembre par Bouygues Telecom sur l'exclusivité accordée à Orange par Apple sur les ventes françaises de l'iPhone, avait décidé en décembre de suspendre ce privilège à titre conservatoire en attendant un jugement sur le fond. Coup de massue sur Orange et réaction immédiate des autres opérateurs qui s'empressaient de communiquer sur l'arrivée prochaine du smartphone dans leurs catalogues. Dans leur décision, les juges du Conseil de la concurrence arguaient notamment de ce que l'exclusivité accordée à Orange était « de nature à introduire un nouveau facteur de rigidité dans un secteur qui souffre déjà d'un déficit de concurrence. » Un argument à nouveau évoqué par Bouygues Telecom lors de l'audience tenue hier par la cour d'appel de Paris. SFR et l'UFC-Que Choisir, venus également défendre le maintien des mesures conservatoires, se sont joints à l'opérateur à l'origine du traitement judiciaire de cette affaire. le Parquet a requis le rejet de l'appel interjeté par Orange et Apple Mais les renforts se sont aussi comptés du côté d'Orange, qui a enregistré le ralliement d'Apple. Le duo, uni par un accord commercial d'une durée de cinq ans, a plaidé l'annulation de la décision rendue en décembre 2008. Orange a fait valoir qu'il était surprenant que le Conseil de la concurrence ait attendu un an après le lancement de l'iPhone pour s'émouvoir des pratiques commerciales entourant le smartphone. Peu convaincu, le Parquet a requis le rejet de l'appel interjeté par Orange et Apple. (...)
(05/01/2009 15:37:48)Les ventes de téléphones mobiles en France reculent en décembre
Triste Noël pour les constructeurs de téléphones mobiles. Selon l'institut GfK, les ventes de mobiles ont enregistré une sérieuse baisse en France, en volume. Sur la première semaine de décembre, GfK enregistre ainsi un recul de 18% par rapport à la même période de l'année précédente. La dégringolade atteint 20% sur la deuxième semaine. Si ces chiffres ne reflètent pas l'état de l'ensemble du marché hexagonal - ils ne prennent en considération qu'une dizaine d'enseignes de la grande distribution (Auchan, Fnac, etc.) et de boutiques spécialisées (The Phone House) - ils expriment néanmoins une tendance au ralentissement observée depuis le mois d'octobre et qui s'accélère subitement. Plusieurs facteurs permettent d'expliquer ce phénomène. En premier lieu, environ neuf personnes sur dix sont déjà équipées d'un terminal ; le marché vit alors sur le renouvellement des appareils, une opération évidemment pas prioritaire en période de crise économique. Par ailleurs, GfK note une préférence pour les mobiles d'entrée de gamme et les smartphones constituant le haut de gamme, au détriment des terminaux gravitant entre deux eaux. L'acquisition d'un téléphone onéreux est souvent remise à plus tard, d'autant que son utilisation requiert la souscription d'un abonnement incluant un accès au Web mobile, largement plus cher qu'un forfait voix traditionnel. La décision d'achat est donc encore plus facilement retardée, les consommateurs attendant une baisse des prix des abonnements data. GfK table pour l'heure sur 24,3 millions de téléphones mobiles vendus en France sur l'ensemble de 2008, soit 7% de plus qu'au cours de l'année précédente. L'institut prévoit encore une hausse des livraisons en 2009 (+ 4%), en grande partie due à la demande pour les smartphones (+ 55%, à 2,8 millions d'unités). Mais, face aux chiffres enregistrés sur le mois de décembre, GfK pourrait rapidement revoir ces prévisions à la baisse et ne plus envisager qu'une stabilité du marché de la téléphonie mobile en 2009. (...)
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