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Smartphones
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(06/08/2010 11:17:52)
Mise en garde sur des failles de sécurité sur les iPhone, iPod et iPad
Le Certa (Centre d'Expertise Gouvernemental de Réponse et de Traitement des Attaques informatiques) a émis un bulletin d'alerte relatif à des failles de sécurité concernant les smartphones iPhone, les baladeurs iPod et de la tablette numérique iPad d'Apple. Il explique que deux vulnérabilités ont été découvertes dans le système d'exploitation Apple iOS utilisés par ces terminaux. L'une concerne le traitement des fichiers au format PDF, l'autre est relatif au "noyau utilisable pour effectuer une élévation de privilèges".
"La combinaison des deux permet à une personne malintentionnée d'exécuter du code à distance avec les droits administrateur et d'accéder ainsi à l'ensemble des informations (contacts, mails, documents...) et ressources (caméra, micro, GPS...) de l'appareil. Cette vulnérabilité est entre autre utilisée pour effectuer le Jailbreak", explique le CERTA dans son bulletin d'alerte.
Ce dernier précise que dans l'attente du correctif d'Apple, il est recommandé "la plus grande prudence lors de l'ouverture de fichiers au format PDF, par exemple en n'ouvrant que des fichiers attendus ou en validant la légitimité du message auprès de l'envoyeur".
Même légal, le jailbreaking annule la garantie de l'iPhone
La décision de l'Office américain du Copyright rendant le jailbreaking de l'iPhone juridiquement légal n'a pas vraiment d'importance, puisque, comme l'a rappelé Apple dans une déclaration faite à Cult Of Mac à l'attention de ses clients, la manipulation continuera à annuler la garantie du smartphone. Cela implique en particulier que l'iPhone ne sera pas réparé gratuitement s'il souffre de problèmes de fonctionnement à la suite d'un jailbreaking. «L'objectif d'Apple a toujours été de s'assurer que ses clients profitent d'une expérience irremplaçable avec leur iPhone et nous savons que le jailbreaking peut sérieusement altérer cette expérience. Comme nous l'avons déjà dit, la grande majorité de nos clients ne sont pas intéressés par cette manipulation. D'une part, parce que cela va à l'encontre de la garantie; d'autre part, parce que cela peut rendre l'iPhone instable et moins fiable,» a déclaré la firme de Cupertino en réponse à la décision de l'Office du Copyright qui statuait sur plusieurs mesures d'exceptions applicables au Digital Millennium Copyright Act (DMCA), dont celui rendant le jailbreaking de l'iPhone légal.
Un marché du logiciels parallèle
Le jailbreaking permet d'installer des logiciels commerciaux piratés (IPA) et des applications que l'on ne trouve pas sur l'App Store, et de les faire fonctionner sur le smartphone, le baladeur tactile ou la tablette d'Apple. On peut par exemple transformer son iPhone en routeur WiFi, modifier l'écran d'accueil, envoyer et recevoir des fichiers via Bluetooth, ou modifier le son des alertes et des notifications par défaut. Ceux qui savent faire cette manipulation trouvent ça amusant, mais bricoler le logiciel de l'iPhone peut également être dangereux. Apple a rédigé un long document détaillant la manière dont des modifications non autorisées de l'iOS (comprendre le jailbreaking) peuvent être source d'instabilité majeure et de mauvais fonctionnement. Parmi les problèmes énumérés, la compagnie cite l'instabilité des applications et la perturbation de services comme la messagerie VisualVoice, ou encore la consultation de la météo, ou de la bourse. L'autonomie de la batterie peut également être affectée, les applications non autorisées continuant à tourner en arrière-plan. Sans parler des menaces liées à la sécurité.
Une plate-forme toujours verrouillée
Et si le jailbreaking de l'iPhone est désormais légal, cela ne signifie ni qu'Apple approuve le processus, ni que les utilisateurs pourront contourner plus facilement la protection des logiciels. Certes, Apple, qui avait tenté d'inclure le jailbreaking de l'iPhone dans le DMCA, ne pourra pas mener d'action en justice contre les jailbreakers. Mais en refusant de réparer leurs téléphones gratuitement lorsque les effets négatifs de la manipulation commenceront à se faire sentir, elle leur rend assurément la vie plus difficile. Reste qu'aujourd'hui le phénomène du jailbreak e concerne plus seulement le smartphone à la pomme mais également la plate-forme concurrente Google Android. Certains programmes permettent ainsi de briser le verrou des Motorola Droid pour installer des logiciels piratés, habituellement vendus sur la boutique en ligne Android Market.
(...)(27/07/2010 17:39:46)Premier HTC sous Windows Phone 7 ?
Selon ces images circulant sur Internet, l'appareil apparaît doté d'un écran 3,7 pouces, d'un présumé processeur Snapdragon à 1 GHz, et d'un capteur photo de 8 mégapixels. Celui-ci affiche également trois touches tactiles. D'après Engadget, la rumeur court qu'HTC, le partenaire historique de Microsoft sur les mobiles,
serait en pourparlers avec Verizon et peut-être avec Sprint à propos de ce téléphone sans nom. Bien que les spécifications de ce prétendu mobile HTC sous Windows Phone 7 ne soient que spéculatives, elles respectent à la lettre la configuration matérielle minimale exigée par l'éditeur à ses constructeurs partenaires. Dans son cahier des charges, la firme de Redmond demande en effet que tous les appareils Windows Phone 7 disposent de touches Accueil, Recherche, et Retour, d'un écran multitouch, d'un appareil photo de 5 mégapixels minimum et d'une puce Snapdragon à 1 GHz ou équivalent. Microsoft veut également que les appareils tournant sous Windows Phone 7 soient équipés du WiFi, d'un GPS, d'un accéléromètre, et d'un minimum de 256 Mo de RAM et de 4 Go de mémoire flash. Ces Smartphones doivent également être livrés avec la seule interface de Microsoft ; les surcouches des fabricants, comme la HTC Sense UI, sont dorénavant interdites.
Une plate-forme mieux verrouillée
Les exigences de Microsoft en terme de configuration matérielle ont été imposées aux constructeurs afin d'éviter à Windows Phone 7 d'installer une fragmentation du marché, comme c'est le cas aujourd'hui avec les différentes versions de Google Android. La fragmentation peut dissuader les développeurs d'applications tiers, car cela les oblige à tenir compte de multiples facteurs de forme et des différents OS (1.6, 2.1 ou 2.2) pour concevoir leurs applications. L'approche hardware de Microsoft est similaire à celle d'Apple pour l'iPhone : au fil des générations, le mobile d'Apple a toujours conservé un certain nombre de caractéristiques, du moins jusqu'à présent, y compris en ce qui concerne la taille de l'écran et la disposition des touches.
Vraie innovation ou échec annoncé ?
La spéculation et les critiques autour de Windows Phone 7 continuent à aller bon train depuis mi-juillet, quand Microsoft a dévoilé aux développeurs son OS mobile. Si certains critiques jugent que ce système est une «perte de temps et d'argent», d'autres, comme le blogueur Paul Thurrott, décrivent la future plate-forme Microsoft pour smartphone comme «plus innovante» que tout ce qu'offrent actuellement les plates-formes d'Apple ou de Google (sic)... Les opinions sur le futur OS mobile de Microsoft peuvent varier, mais compte tenu du buzz fait autour de Windows Phone 7, cet OS mobile pourrait devenir le produit Microsoft le plus attendu de 2010. En tout cas, c'est ce que voudrait faire croire l'éditeur et des blogueurs sous influence. Par contre, prédire si les utilisateurs de smartphone choisiront à la prochaine saison des fêtes un mobile Windows Phone 7 plutôt qu'un iPhone, 4, un terminal sous Android, ou encore le prochain BlackBerry OS 6 est une autre affaire. Une des principales questions est devenue aujourd'hui : combien d'applications sont réellement disponibles sur la plate-forme de téléchargement ? Et sur ce dernier point, Microsoft repart avec un sérieux handicap puisque les logiciels et les jeux pour Windows Mobile 6.5 sont incompatibles avec la version 7.0. L'accueil des opérateurs sera également cruciale et ces derniers ont toujours grogné devant les prix pratiqués par Microsoft pour la fourniture de Windows Mobile (35 $ par terminal environ) alors qu'Android ne leur coute rien et qu'ils bénéficient d'arrangements rémunérateurs sur les applications téléchargées.
Crédit photo : Endgadget
Sécurité : Cisco tire la sonnette d'alarme
D'après ce rapport semestriel, le paysage de la sécurité des entreprises ne cesse d'évoluer. Les réseaux sociaux, la virtualisation, le cloud computing et un recours massif à des appareils mobiles continuent d'avoir un impact dramatique sur la capacité des départements IT à maintenir une sécurité réseau efficace. Les premiers sont particulièrement mis en cause par l'étude. En effet, des recherches du Cisco Security Intelligence Operations ont démontré que 7% des utilisateurs du monde entier accédant à Facebook passent en moyenne 68 minutes par jour à jouer à Farmville, 52 minutes à Mafia Wars. Bien que la perte de productivité ne soit pas une menace pour la sécurité, il y a de fortes présomptions que les cybercriminels développent des moyens de distribuer des malwares par le biais de ce type de jeux. Par ailleurs, 50% des utilisateurs finaux ont admis ignorer au moins une fois par semaine les politiques de sécurité de leur entreprise interdisant l'utilisation des réseaux sociaux, et 27% ont confirmé modifier les paramètres de leurs appareils pour accéder à des applications interdites.
Plus traditionnel, le spam continue sa forte progression +30% en 2009. Les pays à l'origine des spams sont les Etats-Unis, l'Inde, le Brésil, la Russie et la Corée du Sud. L'étude montre néanmoins une baisse de ces messages depuis le Brésil, en raison du blocage de certains fournisseurs d'accès à Internet du port d'accès 25.
Cisco propose des pistes pour réduire ces problèmes de sécurité :
-Appliquer des règles de sécurité personnalisées pour les accès aux applications et aux données sur les systèmes virtualisés
-Limiter l'accès aux données de l'entreprise
-Création d'une politique de sécurité pour les terminaux mobiles
-Utiliser des outils de gestion et de contrôle des activités dans le cloud
-Donner des conseils sur l'utilisation des médias sociaux en entreprise
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