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(26/07/2010 14:04:26)

Le protocole de sécurité WiFi WPA2 est vulnérable

AirTight Networks, société indienne, spécialisée dans la sécurité WiFi peut se vanter de créer le buzz autour de son annonce. « Hole 196 » c'est le nom de la faille trouvée par le groupe indien sur le protocole de sécurité des réseaux WiFi, le WPA2, considéré comme la plus robuste des clés en vigueur.

Le chercheur, Md Sohail Ahmad, à l'origine de la découverte, devrait dévoiler plus d'informations lors de la prochaine conférence Defcon et Black Hat à Las Vegas. Cependant, la faille porte sur la ligne 196 du standard défini par l'IEEE 802.11. Le WPA2 fonctionne avec deux types de clés, la PTK (Pairwise Transient Key, qui est unique pour chaque client et est affectée au trafic unicast. Une deuxième baptisée GTK (Group Temporal Key) protège les données broadcast envoyées à plusieurs clients sur le réseau.  La PTK peut détecter l'usurpation d'adresse et la falsification de données, par contre la GTK non. Quelqu'un peut donc créer un paquet de données broadcat et par le jeu d'envoi -récepetion à l'adresse MAC du client, capter les informations personnelles dont la clé de sécurité.

Que peut-on faire contre ce problème ?  « Il n'y a rien aujourd'hui pour résoudre ou fixer cette faille » indique Kaustubh Phanse, l'architecte sans fil d'Air Tight qui décrit le Hole 196 comme « une vulnérabilité de type zero-day ». L'exploitation de cette faille nécessite quand même d'avoir des droits d'utilisateurs spécifiques. Un début de soulagement ?

Un impact sur Hadopi

Cette annonce peut avoir une incidence sur la mise en oeuvre de la loi Hadopi. Cette dernière prévoit, via un décret, une contravention pour négligence caractérisée protégeant la propriété littéraire et artistique. L'acte constitutif d'une telle négligence peut-être "de ne pas avoir mis en place un moyen de sécurisation" de son accès WiFi par exemple.

Or si la réglementation impose cette protection encore faut-il que les procédés de sécurité soient fiables et invulnérables. La prochaine démonstration de la société américaine risque d'ébranler quelques certitudes en la matière.

 

Crédit Photo: DR

(...)

(23/07/2010 15:35:45)

Microsoft renforce sa collaboration avec ARM

Dans le domaine de la mobilité ou des technologies embarquées, les processeurs ont une grande importance et ARM bénéficie d'une expertise dominante. Microsoft qui avait déjà des relations avec le constructeur vient d'annoncer la signature d'un accord de licence technologique sur l'architecture des puces.

Pour Ian Drew, vice-président marketing d'ARM « ce type de partenariat ouvre la voie à la création de votre propre micro architecture ». Seulement quelques sociétés ont signé des licences similaires, Qualcomm, Marvell Technology et Infineon.

Sur le plan stratégique, cet accord démontre la volonté de la firme de Redmond d'assurer une plus grande convergence entre logiciels et composants. Le choix d'ARM n'est pas non plus innocent, car le constructeur de microprocesseurs est très présent sur les smartphones ou les tablettes. Cette annonce intervient à un moment où Microsoft joue gros sur le développement de Windows Phone 7. La concurrence comme Apple utilise déjà les bénéfices de l'architecture ARM.

(...)

(22/07/2010 17:18:02)

Trimestriels Nokia : Les bénéfices du finlandais sombrent de 40%

Nokia vacille. Après les rumeurs de remplacement de son PDG, Olli-Pekka Kallasvuo, voilà que le Finlandais annonce une chute de 40% de son bénéfice net au deuxième trimestre 2010, passant de 380 millions d'euros à 227. Les ventes sur ce trimestre ont pourtant généré 10 milliards d'euros de chiffre d'affaires, certes un peu moins que les estimations optimistes (12,87 milliards) des analystes de chez Thomson Financial.

Quantitativement, le constructeur a vendu 111,1 millions de téléphones, et son PDG assure que la situation devrait aller en s'améliorant avec l'arrivée du N8 sur le marché du smartphone. Carolina Milanesi, vice présidente chez Gartner, précise que c'est justement dans ce domaine que l'entreprise a pris un retard important, celui-ci affectant donc directement ses bénéfices. Elle demeure très sceptique quand au succès du N8 face à des concurrents comme l'iPhone ou terminaux Android.

Les ventes sont certes élevées, mais concernent principalement les téléphones entrée de gamme à faible marge. Sur le plan des parts de marché au niveau mondial, le groupe finlandais recule à 33% contre 35% au trimestre précédent. En matière de prospective, le constructeur a confirmé les positions des analystes en expliquant qu'il y avait peu de chance pour que ses revenus augmentent en 2010.

Illustration : Olli-Pekka Kallasvuo. Crédit Photo : Nokia

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(21/07/2010 12:42:11)

Trimestriels Apple : L'iPhone, l'iPad et les Mac affichent des ventes record

Le PDG charismatique d'Apple pouvait savourer la présentation des résultats du troisième trimestre 2010, après son intervention sauvetage de la semaine dernière sur les problèmes d'antenne de l'iPhone 4. Steve Jobs a déclaré « Ce trimestre a été vraiment phénoménal et a dépassé toutes nos attentes ». Les chiffres sont là pour le prouver. Le chiffre d'affaires est en hausse de 61% sur un an atteignant 15,7 milliards de dollars. Certains pensent même que pour la première fois ce résultat dépassera le chiffre d'affaires de Microsoft (prévision de 15,15 milliards de dollars). En matière de bénéfice net, la progression sur un an est encore plus significative, +78% à 3,25 milliards de dollars. La marge brute a légèrement reculé à 39,1% contre 40,5% un an avant. Sur le plan de la trésorerie, le directeur financier du groupe a expliqué « nous avons généré 4 milliards de dollars de cash sur ce trimestre » et de prévoir pour le 4ème trimestre un chiffre d'affaires de 18 milliards de dollars.

Le trio magique


Pour expliquer cette excellente santé financière, la firme de Cupertino avance des ventes record de trois produits. L'iPad, lancé en début d'année, s'est vendu à 3,27 millions d'exemplaires. Du côté des Mac, 3,47 millions d'unités ont trouvé preneur. Enfin l'iPhone s'est écoulé à 8,4 millions au cours de la période, soit une progression de 61% sur un an. Seules les ventes de l'iPod s'érodent un peu à 9,41 milliards d'unités,- 8% par rapport à l'année précédente.

Devant de tels résultats, les analystes saluent principalement la réussite de la tablette d'Apple. Cette dernière a généré 2,17 milliards de dollars soit 14% du revenu global d'Apple. Pour Brian Marshall, analyste chez Gleacher & Company « ce succès confirme qu'un nouveau segment de marché est né et qu'il n'a pas cannibalisé les Mac, comme plusieurs personnes l'avaient prédit ». Ces résultats ont modifié aussi les prévisions de plusieurs cabinets d'analystes sur les ventes la tablette Apple, iSuppli estime à 12,7 millions le nombre d'unités vendues à la fin 2010. De son côté AbiResearch prévoit 11 millions de ventes.

En commentant les résultats, Steve Jobs a prévu « des produits étonnants d'ici la fin de l'année ». A suivre...

(...)

(21/07/2010 10:43:53)

France Telecom réembaucherait dans la R&D

(Source EuroTMT) Au-delà de la grave crise sociale traversée par l'opérateur, le mandat de Didier Lombard, son ancien PDG,  aura, paradoxalement, pêché sur un terrain où il aurait dû, sinon exceller, du moins faire bonne figure : celui de l'innovation technologique.

Ancien patron du CNET et du programme Télécom 1, Didier Lombard est un ingénieur féru de hautes technologies. Il avait fait de l'amélioration de l'efficacité du groupe en matière de recherche-développement (R&D) une priorité. Il avait ainsi tracé, notamment lors de la présentation du plan NexT en 2005, une feuille de route claire en termes d'innovation. Ce terrain de la R&D était bien connu du « père » de la Livebox, et à l'époque bras droit de Thierry Breton.

Cinq ans plus tard, force est de constater que le bilan n'est pas à la hauteur des ambitions. Et ce n'est pourtant pas faute d'avoir annoncé la couleur, parlant notamment de « réduire significativement le time-to-market » des nouveaux produits et de ne lancer que des innovations en phase avec les attentes du marché.

Une multitude d'initiatives


Pour ce faire, Didier Lombard a alors imaginé un concept de « Technocentre », inspiré de celui de Renault à Guyancourt, associant R&D, marketing et spécialistes du lancement opérationnel. Créé en janvier 2006, sa direction est alors confiée à Georges Penalver, un transfuge de Sagem, avec pour objectif d'obtenir rapidement des résultats en termes d'innovation et de lancement de nouveaux produits.Une autre structure d'accompagnement, l'Explocentre, davantage tournée vers les usages et le design et dont la direction est confiée à Marc Fossier, un proche de Didier Lombard, vient compléter le dispositif. Un contexte dans lequel la R&D du groupe s'en trouve alors profondément réorganisée.

Un an plus tard, exit France Télécom R&D et place à une quinzaine d'« Orange Labs » répartie dans une dizaine de pays sur quatre continents. Et pour être plus « agile » encore, le groupe crée, fin 2007, Orange Vallée, une structure légère fonctionnant en mode start-up et dont la direction est confiée à Jean-Louis Constanza, un agitateur d'idées, ancien patron de Tele 2 France et de Ten, opérateur mobile virtuel précurseur en matière de messagerie et de navigation sur internet.

Des remises en cause pour absence de résultats


Alors que l'existence d'Orange Vallée ne semble pas remise en cause, du moins pour le moment, l'Explocentre a été discrètement dissout début 2009. Autant d'éléments qui montrent le flottement de la stratégie R&D de France Télécom au cours de ces dernières années. Témoin, Unik, un téléphone mobile, conçu au sein du Technocentre, dont le lancement, directement piloté par Didier Lombard, s'est avéré peu concluant. Ce mobile permettait d'utiliser indifféremment un réseau fixe ou cellulaire, se branchant soit sur le boîtier ADSL du domicile afin de passer des appels fixes ou via le GSM pour des appels en mobilité. Le concept reposait sur un protocole spécifique, l'UMA, que seul France Télécom mit en oeuvre dans l'hexagone. Les résultats commerciaux d'Unik - pourtant lancé à la grande époque de la « convergence » - s'avèreront très en deçà des ambitions initiales.

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En matière de convergence entre le fixe et le mobile, SFR pour sa part avait opté pour une géolocalisation du téléphone mobile afin de facturer dans certaines zones des tarifs différenciés lors des appels.  Finalement, l'Unik avait des petits airs de be-bop, ce premier téléphone sans fil, lancé par France Télécom et qui avait été totalement balayé par le démarrage du GSM.

Ce constat globalement sévère sur la R&D de France Téélcom est partagé par un ancien membre du comité exécutif : « le problème réside dans l'absence de priorités clairement définies dans un contexte où l'absence de gouvernance du groupe a nécessairement rejailli sur la R&D. Quoiqu'on en dise, tout cela est resté extrêmement confus, mal coordonné avec une répartition des tâches particulièrement floue ».Un jugement sévère corroboré par celui des syndicats qui dénonçaient alors un fonctionnement en mode « prestataire » aboutissant à transformer FT R&D en une sorte de SSII interne. Et un syndicaliste de lâcher un jour en comité d'entreprise : « l'Explocentre, c'est le CPE [NDLR :Contrat Premier Embauche, type de contrat de travail à destination des moins de 26 ans en 2006. La contestation d'une partie de la population avait fait reculer le pouvoir exécutif qui enterra cette réforme proposée par Jacques Chirac] de FT R&D ».

Autant dire que le dispositif imaginé par l'équipe dirigeante passait mal. Autre maladresse, l'intervention de Didier Lombard, en janvier 2009, à Lannion, le berceau du groupe en matière de R&D, pour qui « la pêche aux moules, c'est fini ! ». Une boutade prononcée sur un ton badin mais qui illustre un manque de focus autour de la stratégie R&D du groupe.

Vers une reprise des embauches dans la R&D


Didier Lombard est désormais remplacé par Stéphane Richard, la situation n'est pas apaisée pour autant. Seule certitude, les Orange Labs ont perdu plusieurs centaines de collaborateurs en France au cours de ces dernières années et emploient aujourd'hui environ 3 000 personnes au total, dont 800 à l'étranger, y compris les 450 collaborateurs du Technocentre.

Il s'agit d'une force de frappe non négligeable avec un budget correspondant de l'ordre de 900 millions d'euros par an à condition d'en faire bon usage. Peu disert sur le sujet, hormis quelques banalités d'usage, on ne connaît pas grand-chose des intentions de Stéphane Richard en matière de R&D. Seul signal adressé aux chercheurs par le nouveau directeur général, visitant le centre de Lannion, il a promis qu'il resterait le coeur de la R&D du groupe et que la R&D bénéficierait aussi d'une partie des 10 000 embauches promises sur trois ans en France.

(...)

(20/07/2010 14:46:49)

La diversification de Google séduit et inquiète

Les dirigeants de l'éditeur ont expliqué que la société avait réalisé des progrès important dans 3 principaux marchés prometteurs, la publicité sur écran, sur le mobile et l'hébergement de logiciel de productivité. Les analystes financiers sont convaincus par cette démarche, même si les revenus de ces marchés ne constituent pas une rupture fondamentale du modèle économique de Google.

Les principales recettes de la firme de Moutain View proviennent de la publicité du moteur de recherche, un segment hautement profitable et avec une position dominante sur ce marché. Mais fort de cette puissance, Google a été critiqué pour ne dépendre que de cette activité. La conséquence est que si un concurrent créé un meilleur outil de publicité, l'impact financier pour Google sera important.

Le décollage des marchés émergents constaté

Les analystes financiers, à travers leurs propres études, leurs calculs et commentaires des acteurs, semblent persuadés du potentiel des marchés émergents où Google est présent. En constatant une croissance non anticipée de 24% du chiffre d'affaires sur un an au second trimestre, Douglas Anmuth, analyste pour Barclays Capital, écrit « la croissance nous donne à penser que les nouvelles initiatives telles que l'affichage - et dans une moindre mesure la publicité sur mobile - gagnent du terrain et commencer à afficher des résultats significatifs ». De son côté Citigroup se focalise sur la forte progression des revenus sur le territoire américain. L'une des raisons de cette hausse est aussi l'affichage et la publicité sur mobile, « qui participent concrètement à la croissance du chiffre d'affaires total de l'éditeur ».

 

Crédit Photo: D.R

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Ben Z.Rose, président de Battle Road Research estime que Google est en phase de générer entre 500 et 700 millions de dollars sur l'affichage cette année. « Il semble que YouTube soit particulièrement adapté pour cela » explique t'il en soulignant que le site de partage vidéo est la composante clé de la stratégie de la société de Mountain view sur l'affichage. Le dirigeant est aussi confiant sur la politique de Google dans les outils de productivité hébergés et de prédire « entre le coeur de métier et les orientations vers des nouvelles plateformes, alliés avec l'expansion à l'international, nous estimons que ses revenus progresseront de 20% par an ».

Des chiffres qui parlent

Patrick Pichette, directeur financier de Google et d'autres dirigeants ont dressé lors de la présentation des résultats une longue litanie de statistiques enthousiastes sur les activités en devenir. Ainsi, YouTube a attiré beaucoup de grands noms industriels comme Sony ou Coca-Cola, en générant 2 milliards de pages vues par jour et avec un taux de monétisation en hausse. Sur la partie mobile, 160 000 téléphones sous Android sont activés tous les jours et 70 000 applications sont disponibles. Les requêtes de recherches sur Android ont progressé de 300% au premier semestre 2010. L'activité Google Entreprise a indiqué que plusieurs grands comptes utilisaient la suite bureautique Google Apps, en concurrence directe avec IBM-Lotus, Microsoft, etc.

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Plus explicite, la montée en puissance de ces différentes activités s'est traduite par une augmentation des dotations et le renforcement des équipes. Google a annoncé le recrutement de 1200 personnes au second trimestre soit plus que les deux trimestres précédents réunis. L'éditeur a réalisé depuis le début de l'année 15 acquisitions, dont certaines ont permis de dynamiser les activités émergentes : DocVerse acquis en mars pour améliorer Google Docs et Apps, Admob racheté 750 millions de dollars apporte son expérience dans la publicité sur mobile, enfin Invite Media acheté en juin s'adresse à l'affichage publicitaire.

Un avenir semé de doutes

Il sera intéressant de regarder les prochains trimestres pour savoir si les revenus issus de la diversification progressent toujours ou s'essoufflent sur la durée.  Une possibilité si Google peinent à concurrencer les différents acteurs dans chacun des marchés. La firme Internet a investi beaucoup d'argent et le moindre faux pas pourrait avoir un impact financier important.

Comme d'autres analystes, Ben Z.Rose a constaté que le niveau d'investissements sur le second trimestre était très élevé, tout comme la frénésie d'acquisitions par rapport à l'année 2009 où seules 4 sociétés avaient été rachetées. Cela a eu un impact sur le bénéfice par actions, moins élevé que les prévisions des analystes financiers et l'action de Google a chuté de 4% à l'ouverture des marchés. Des analystes de Morgan Stanley ont écrit qu'il y avait un risque de continuer à investir à un niveau aussi élevé. Cependant, ils indiquent aussi que la discipline financière de l'éditeur lui a permis de traverser la crise de 2009 et que les investissements réalisés observent une certaine prudence, en donnant des résultats à moyen ou long terme.

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