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Société
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(05/03/2012 10:33:11)
Les TIC ont-elles une influence négative sur les salariés ?
C'est une étude du CAS (Conseil d'analyse stratégique, qui a succédé au Commissariat général au plan en 2006) qui sort de l'ordinaire. Un sujet quotidien pour des millions de salariés, mais peu traité, du moins à l'échelle des entreprises, ou dans les négociations professionnelles. Le sujet provoque pourtant des conflits quotidiens, récurrents, dommageables pour l'efficacité des salariés et leur bien être, mais mal identifié. L'impact des TIC sur les conditions de travail, tout le monde s'en est saisi, mais individuellement, sans synthèse et sans remède. Jusqu'à la publication du rapport du CAS.
Un rapport présenté avec un cas pratique, celui du Crédit Agricole, et sa directrice études et développement RH, Anne Bizouard : « le système d'information ressort comme un point majeur de blocage, posant des questions concrètes à nos collaborateurs, quand on les interroge sur leurs conditions de travail ». En bref, la performance du SI entrave celle des salariés du fait de leur mauvaise pratique et de leur mauvaise perception de ce SI. La banque a recherché les causes.
Pourquoi le SI n'est pas un soutien mais plutôt une contrainte pour les salariés ? Réponse, les utilisateurs ne sont pas assez associés à la conception de ce SI. Vaste sujet, mais le rapport du CA veut rapprocher RH et SI, associer les utilisateurs aux déploiements pour résoudre la question. Elle est commune à plus d'une entreprise quelque soit sa taille. Qui interroge aussi les prestataires, intégrateurs notamment, sur qui retombe des critiques.
Une transformation qui est loin d'être finie
Au delà d'un malaise au travail, le rapport montre une profonde transformation de ce travail. Et c'est loin d'être fini. Si on parle beaucoup de l'hyper connexion des salariés, et de la fin des frontières entre vie privée et vie publique, du fait des TIC, du BYOD ('Bring your own device'), donc de l'emploi des terminaux au travail, on parle moins d'autres sujets.
Par exemple, le fait que l'emploi des outils informatiques efface les contacts, avec le client ou le partenaire. Le traitement des contacts directs laisse place au traitement massif de données. Et, au lieu de libérer de contraintes, les TIC en imposent de nouvelles, la surinformation et le sur-traitement de données, sont devenues chronophage, alors que les TIC devaient faciliter le travail et libérer du temps pour des tâches autres que le traitement de données et de courriers.
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La multiplication des pannes, la maintenance des postes de travail que la DSI n'a pas pour rôle de gérer engendre des malentendus et des pertes de productivité. L'autonomie du salarié, apparente, est en fait difficile à percevoir. Les règles internes sont codifiées et souvent rigidifiées par l'informatique, même si l'autonomie est favorisée. Les objectifs sont plus facilement vérifiables, donc le contrôle peut être plus omniprésent. Certaines habitudes collectives ont disparu, d'autres apparaissent, moins formellement autour des projets, avec une nouvelle efficacité mais aussi de nouvelles règles d'exclusion. C'est là où le rapport du CAS montre sa subtilité, il montre l'effet rouleau compresseur des TIC mais aussi un mélange d'effets positifs et négatifs avec ses derniers développements.
Des managers déroutés
Par ailleurs, la capacité des managers à bien gérer ces outils devient très floue. L'appropriation individuelle ou par certains collectifs des TIC peut faciliter ou réduire leur pouvoir. Les nouvelles formes d'impulsion, de contrôle, de dynamiques sont plus délicates à identifier. De même que les nouvelles approches des salariés, habitués à leurs pratiques en tant que particuliers et moins à l'aise dans l'univers professionel.
Une troisième évolution est à venir, remarque le consultant Anthony Poncier, directeur au cabinet Lecko. Après la révolution de la micro informatique dans les années 80, celle d'Internet il y a quinze ans et des téléphones mobiles, la nouvelle vague est celle des réseaux sociaux. Avec selon lui les mêmes appréhensions et les mêmes blocages en entreprise. En clair, les deux précédentes révolutions dans le travail n'ont pas été vraiment digérées qu'en arrive une nouvelle. On a pas fini de parler du rapport du CAS. Au fait, qu'en pensent employeurs et salariés ? (...)
Médiamétrie scrute les pratiques des internautes français
Médiamétrie dresse un panorama des usages des internautes dans la dernière édition de son observatoire. Pour communiquer entre eux, les internautes plébiscitent aujourd'hui les réseaux sociaux et les forums de discussions. Ils sont ainsi 65% à être inscrits sur un site communautaire à fin décembre 2011 (+6pts en un an). Les forums de discussions concernent de leur côté près d'un internaute sur cinq.
Les loisirs numériques (musique, vidéo, jeux) sont devenus des pratiques courante, notamment pour les jeunes. Par exemple, 82% des 11-17 ans ont regardé une vidéo au cours du dernier mois sur Internet (+9pts), et près de la moitié joue en réseau. La musique en ligne est quant à elle prisée par les 18-24 ans, qui sont 60% à en écouter régulièrement.
Enfin, une écrasante majorité d'internautes utilise le web pour s'informer sur les produits et comparer leurs prix. C'est le cas des trois quart des internautes de 18 à 24 ans, ainsi que des ménagères, au quatrième trimestre 2011. Même les retraités, à 68%, utilisent Internet pour comparer les prix.
Cette étude scrute en détail les usages des Français sur internet. Elle est réalisée chaque mois auprès de 1000 individus, âgés de 11 ans et plus, interrogés par téléphone.
Les habitudes des adolescents et la téléphonie mobile décryptées
A 15 ans, les Français sont 92% à disposer d'un mobile, contre 82% par exemple chez les 25 ans et plus, selon l'étude SIMM-TGI Youth de Kantar et portant sur les habitudes de consommation des 11-24 ans. Plus les jeunes montent en âge, et plus leur équipement tend vers le haut de gamme et vers les services (appels, SMS et internet) illimités. Dès leur plus jeune âge, les adolescents possèdent un téléphone portable. Leur taux d'équipement passe ainsi de 30% à 80% de 11 à 14 ans.
Si les trois grands opérateurs historiques (Orange, SFR et Bouygues Telecom, en attendant les premiers chiffres de Free Mobile) détiennent plus des trois quarts du marché des 11-24 ans, les forfaits low-cost sont de mise pour les plus jeunes. Les opérateurs alternatifs et les forfaits bloqués sont privilégiés par les parents. Selon cette étude, 74% des 11-14 ans ont un forfait bloqué ou une carte, mais avec l'option SMS illimités. De plus, le choix par les parents d'un opérateur est fondamental, puisque près de 50% des 20-24 ans n'en ont jamais changé.
Des services qui s'étoffent avec l'âge
Avec l'âge, le type de forfait change et devient de plus en plus complet. Par exemple, 38% des 20-24 ans ont une option « multimédia illimité » et 20% une option « appels illimités ». L'étude souligne enfin que l'envoi de SMS est croissant avec l'âge.
A chaque âge ses usages, mais aussi son téléphone : les plus jeunes (11-14 ans) sont majoritairement équipés de téléphones d'entrée de gamme (70%), tandis que les 20-24 ans se tournent plus volontiers vers les smartphones (32%).
Cette étude a été réalisée en ligne, auprès d'un échantillon de 4 200 jeunes de 11 à 24 ans, résidant en France.
(...)(05/01/2012 15:45:57)Le piratage devient une religion en Suède
Depuis 2010, le groupe Suédois pro-piratage nommé Kopimi tente de se faire reconnaître officiellement en tant que religion. Après plusieurs tentatives répétées et vaines, l'Eglise missionnaire du Kopimism est maintenant officiellement enregistrée en tant qu'organisation religieuse en Suède. Les adeptes du Kopimism (un dérivé suédois de « copy me ») militent pour que la copie soit un sacrement, les touches CTRL + C et CTRL + V sont leurs symboles et leur credo est « l'information est sacrée ». L'église a été fondée par Gerson Isak, un étudiant en philosophie et revendique 3000 membres. Avec cette reconnaissance, les kopimistes espèrent échapper aux poursuites judiciaires en cas de partage et d'échanges de fichiers.
(...)(22/12/2011 09:56:03)Les français multi-équipés et multi-connectés selon le Credoc
En 2011, l'équipement des français en téléphonie repart à la hausse. Trois français sur quatre sont doublement équipés, en fixe et en mobile. Quatre points de plus qu'en 2010. 89% des français ont un fixe, 85% un mobile. Surtout, ils sont adeptes du haut débit. 58% utilisent une box, ils n'étaient que 7% en 2004.
A contrario, 10% des français n'utilisent que le téléphone mobile, 15% le seul téléphone fixe. Ces derniers sont plus âgés (la moitié a 70 ans et plus) que le reste de la population, 48% sont non diplômés.
L'ordinateur est également devenu un équipement de base. 78% des français, âgés de plus de 12 ans, disposent d'un ordinateur. Toutes les catégories d'âge et de revenus progressent, sauf une, celle des personnes disposant de moins de 900 euros par mois de revenu. Logiquement, la présence d'enfants favorise le multi-équipement. C'est l'ordinateur portable qui profite de cette expansion, les deux tiers des ménages équipés en possèdent un.
Mais l'ordinateur n'est plus seul à permettre la connexion à Internet. Au mois de juin 2011, 17% des français possédaient un smartphone. C'est un marqueur social. Deux fois plus de cadres supérieurs que d'ouvriers en possèdent un, alors que 95% des cadres et 93% des ouvriers ont un téléphone portable. Même constat pour les tablettes. Deux millions de français en possèdent une. Des cadres, des jeunes, des parisiens pour l'essentiel.
Les trois quart des français ont une connexion au domicile
Quant à la connexion au domicile, les trois quart des français en ont une, c'est 4% de progression cette année. La connexion fixe est dominante, mais le wifi gagne du terrain que ce soit pour se connecter avec son ordinateur, son smartphone ou sa tablette. Les trois quart des abonnés à Internet, soit 30 millions de français, se connectent au moins une fois par jour, 15% au moins une fois par semaine, 6% moins fréquemment encore, 5% n'utilisant jamais leur connexion.
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Plus frappant encore, le fait que les internautes se connectent de partout. 31% de connectés le sont en situation nomade. Même si l'accès à domicile reste dominant pour 71% des personnes. Un quart des internautes utilisent au moins trois modes de connexion, c'est la grande nouveauté de l'année.
Pour quels usages ? Le mail, avec 5% des réponses, les actualités pour 12%, les réseaux sociaux dans 13% des cas, arrivent en tête. En revanche, si l'envoi de SMS ne progresse pas, ils sont toujours 71% des internautes à le pratiquer, et le nombre de messages envoyés augmente. Les adolescents étant les plus grands utilisateurs (plus de 250 messages par semaine, contre 70 chez les internautes lambda).
L'internet par téléphone mobile concerne d'abord le mail (19% des cas, en progression de 8 points) et le téléchargement d'applications (17% d'utilisateurs, 5 points de plus), la télévision sur mobile concernerait 4 millions de personnes, 100% d'augmentation en un an.
e-administration, e-commerce et téléchargement
Les internautes remarquent l'étude ont des pratiques éprouvées dans trois domaines. La e-administration est littéralement entrée dans les moeurs. 48% des français, 5 points de plus qu'en 2010, se connectent pour une démarche administrative : demande de documents, télédéclaration de revenus. Le e-commerce mobilise la moitié des français de plus de 12 ans, soit 26 millions. Et un acheteur sur deux est également un vendeur. Quant au téléchargement, de musique ou de film, il ne progresse plus, alors que le streaming concerne le quart de ceux qui regardent un film et le tiers de ceux qui veulent écouter de la musique. La télé sur un PC connecté concerne plus de français que le téléchargement de films. (...)
Le marketing en ligne exaspère les internautes Français
Les Français sont 76% à se déclarer agressés par le marketing en ligne traditionnel, selon une étude réalisée par Tedemis. Chaque internaute recevrait en moyenne 33 e-mails commerciaux chaque jour, dont une majorité non sollicités.
Les sondés ne sont pourtant pas contre l'idée de recevoir des offres ciblées, puisque 40% d'entre eux sont même prêts à donner des informations personnelles pour recevoir des offres personnalisées et attractives. Ce chiffre a d'ailleurs tendance à diminuer avec l'âge. Ainsi, les 25/34 ans sont 47% à faire preuve de bienveillance envers les offres pertinentes. Leur tolérance irait jusqu'à une dizaine de messages par jour.
Enquête réalisée du 11 au 20 novembre 2011, auprès de 2 381 personnes résidant en France et âgées de plus de 18 ans.
ABI Research recense les technologies et les tendances non disponibles en 2012
Il y a quelques années, les téléphones portables étaient assez robustes pour survivre à des chutes de deux mètres. Aujourd'hui, les smartphones sont dotés de grands écrans en verre plus fragiles que le plastique de leurs ancêtres. Malgré les progrès indéniables intervenus depuis le lancement des premiers smartphones, ABI ne prévoit pas l'arrivée de terminaux incassables en 2012. Les fabricants de mobiles ne sont pas de cet avis.
Plusieurs terminaux présentés comme « life proof » qu'on pourrait traduire par « antichoc », sont disponibles aujourd'hui, dont le Motorola Defy+, le Motorola Titanium, le Samsung Galaxy Xcover, le Casio G'zOne Commando et le Sony Experia Active. Les fabricants planchent sur des technologies susceptibles de rendre leurs appareils indestructibles. Nokia, Samsung, Sony et Toshiba ont présenté des prototypes de smartphones à écran souple, capables de résister aux pliages et à la torsion. Samsung semble compter beaucoup sur cette technologie, au point d'annoncer des tablettes et smartphones flexibles pour 2012.
La tablette ne sera pas un média de masse en 2012
En 2011, smartphones et tablettes ont souvent été au coeur de l'actualité high-tech, avec de nombreux lancements importants... et de nombreux échecs. Malgré l'importance croissante des tablettes, ABI ne les juge pas encore capables de devenir un support de média de masse. « Le WiFi étant le mode dominant de connexion à internet, les tablettes tendent à ne pas quitter le domicile de leurs propriétaires aux heures de bureau et d'école, tout comme un animal de compagnie. C'est un appareil incrémental, utilisé en même temps que les ordinateurs portables et les smartphones, il n'existe pas encore de configuration dans laquelle il les remplacer », explique Jeff Orr, spécialiste des mobiles chez ABI.
La cartographie d'intérieur limitée
En novembre, Google s'est mis à la cartographie d'intérieur, ouvrant les portes des magasins, aéroports et centres commerciaux aux internautes. Nokia, CSR, Ericsson, Mexens Technology et NextNav opèrent également dans ce domaine mais ces services, et leur corollaire de marketing localisé, n'atteindront pas la masse critique avant plusieurs années.
« Ce que nous verrons probablement en 2012, c'est le développement d'applications mobiles ponctuelles et de services gravitant autour de zones publiques d'affluence, comme les aéroports et les centres commerciaux », prévoit Patrick Connolly, spécialiste télématique et navigation chez ABI.
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Google donne 850 000 dollars pour restaurer Bletchley Park
Le Californien Google va faire une « très généreuse » donation de 850 000 dollars pour participer à la restauration du site Bletchley Park qui fut le quartier général des services de renseignement britanniques au cours de la seconde guerre mondiale. C'est là que fut déchiffrés les messages codés par Enigma, les machines de chiffrement électromécaniques mises au point par les Allemands.
La somme apportée par Google contribuera à la première étape d'un projet évalué à 23 millions de dollars destiné à transformer le site en un centre à visiter, témoignant des travaux réalisés par les équipes y ayant porté leurs efforts dans plusieurs disciplines : mathématiciens, linguistes, joueurs d'échecs... Parmi eux, Alan Turing, considéré comme l'un des pionniers de l'informatique.
Pour visiter le site consacrer à Bletchley Park : www.bletchleypark.org (...)(08/12/2011 17:14:32)
L'Afdel veut porter les débats du numérique au-delà de la sphère TIC
Avec ses « Cahiers du numérique », dont le premier exemplaire vient d'être publié, l'Afdel, association française des éditeurs de logiciels, souhaite porter les débats qu'elle soutient au-delà de son écosystème naturel, auprès des « institutionnels, politiques, décideurs économiques, citoyens et consommateurs », ainsi que le souligne son président Patrick Bertrand dans son éditorial. Cette revue trimestrielle, livrée dans une version imprimée et déclinée au format électronique, a été lancée la semaine dernière à l'occasion des Assises du Numérique, organisées à l'Université Paris Dauphine par le gouvernement français.
De fait, son premier numéro, tiré à 3 000 exemplaires, n'a pas été adressé aux seuls professionnels du secteur, au premier rang desquels les adhérents de l'association, mais également aux parlementaires, aux cabinets ministériels et aux dirigeants des entreprises du SBF 120 pour les sensibiliser à ces sujets, souligne Loïc Rivière, secrétaire général de l'Afdel. « Le numérique est un sujet transversal, souvent relégué aux rubriques consommation, et que le grand public voit à travers ce prisme, alors que ses enjeux économiques et sociétaux sont fondamentaux », poursuit-il. « La neutralité d'Internet, le financement de l'innovation en France, la régulation du secteur, la mise à jour des infrastructures... Ce sont des sujets qui doivent concerner chacun d'entre nous. »
Analyse et décryptage
L'Afdel a donc réalisé les Cahiers du numérique avec un souci de pédagogie, souligne son secrétaire général, pour sensibiliser l'ensemble des publics. « Nous analysons les modèles économiques et les phénomènes de concurrence, faisons intervenir des sociologues et portons un regard macro-économique sur ces questions ». Le premier numéro, daté de décembre, s'ouvre sur un entretien avec Eric Besson, ministre de l'industrie, de l'énergie et de l'économie numérique. Celui-ci y affirme qu' « aucun gouvernement n'a autant soutenu les PME innovantes du numérique », à l'heure où les parlementaires ont remis à l'ordre du jour le statut de la JEI, Jeune entreprise innovante (*), raboté il y a un an par la loi de finance 2011.
Au fil des pages, l'Afdel a par ailleurs demandé au blogueur Frédéric Cavazza de décrypter l'entreprise 2.0, au consultant Olivier Ezratty d'évoquer la bataille des brevets et donne des nouvelles des start-up (Kobojo et ses jeux multiplateformes, Pretty Simple, Mixvibes, Tigerlili...). Fixé à 100 euros, l'abonnement annuel à la revue vise d'abord les entreprises et les administrations. « Sur le web, le contenu sera plus ouvert vers le grand public », complète Loïc Rivière.
(*) Une initiative saluée conjointement cette semaine par l'Afdel, Syntec numérique et le SNJV, syndicat national du jeu vidéo.
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