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Société
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(14/02/2008 11:49:45)
L'opérateur Tata Communications voit le jour
L'Indien Tata a regroupé hier l'ensemble de ses activités de fournisseur d'infrastructures de télécommunication sous la même casquette. Baptisée Tata Communications, la nouvelle entité fédère VSNL (Videsh Sanchar Nigan Limited, opérateur et FAI pour particuliers et entreprises), dont Tata est devenu actionnaire majoritaire cette année, Tyco Global Networks (fournisseur de câbles sous-marins) racheté en 2004, le canadien Teleglobe (fournisseur de services internationaux de voix, de sans-fil et de données sur Internet) acquis en 2006 et Cipris. « Cette étape nous permet d'accroître notre visibilité sur le marché, et de bénéficier de la notoriété du groupe Tata dans le monde », souligne Claude Sassoulas, directeur général Europe pour les services de données. La société se positionne sur trois secteurs. Elle propose aux opérateurs et aux fournisseurs d'accès Internet (comme Free ou NeufCegetel) une infrastructure haut débit riche de 200 000 km de câbles sous-marins à travers le monde. Tata offre également aux entreprises multinationales des solutions de communication (Ethernet, MPLS, voix, réseau privé virtuel...), « une activité que nous souhaitons développer, car les entreprises se tournent de plus en plus vers l'externalisation dans les pays émergents, notamment l'Asie et l'Afrique du sud, des territoires dont nous assurons la couverture haut débit », précise encore Claude Sassoulas. Tata Communications possède également une activité destinée au grand public, mais uniquement en Inde. Tata Communications compte par ailleurs se développer à l'international, et y réaliser les deux tiers de son chiffre d'affaires (pour rappel, en 2004 l'intégralité de ses revenus provenait d'Inde). En Europe, la Grande-Bretagne reste sa priorité, mais la France est en deuxième position devant l'Allemagne. La société souhaite étendre son réseau de fibre optique passant par Lisbonne, Madrid, Francfort, Amsterdam et Paris jusqu'à Marseille. « De cette manière, la boucle est bouclée », commente Claude Sassoulas. Tata Communications emploie 5000 personnes dans le monde, dont 35 en France. Son siège européen se situe à Londres. Le groupe Tata a réalisé un chiffre d'affaires de 29 Md$ en 2007. (...)
(13/02/2008 10:08:52)Croissance confortable pour Devoteam
Chiffre d'affaires : 370 M€ (+39%, 17% en organique) Marge d'exploitation : 31,3 M€ (+40%, 8,5% en organique) 2007 a le goût d'un bon millésime pour Devoteam. La SSII, dont les comptes audités de l'exercice seront publiés le 12 mars prochain, annonce en effet un chiffre d'affaires de 370 ME, en croissance de 39 % (dont 17 % de croissance organique), et une marge d'exploitation de 8,5 %, en hausse de 40 %, par rapport à l'exercice précédent. Dans le détail, son activité Business Consulting (conseil) a généré 75 ME (soit une progression de 20 %), contre 295 ME pour le pôle Technology Consulting dédié aux solutions (+ 44 %, progression découlant pour partie de l'acquisition de l'intégrateur suédois auSystems). Par ailleurs, en termes d'emploi, Devoteam a procédé l'an dernier à 450 embauches portant son effectif à 3 950 collaborateurs. Un chiffre d'affaires porté par le marché des télécoms A l'origine de ces performances, le dynamisme du marché des télécoms & médias, qui représente 33 % du CA de la SSII. « Optimisation des systèmes d'information, marketing, convergence fixe-mobile, réseaux de nouvelle génération... les projets sont très nombreux dans ce secteur, tant du côté des équipementiers que des opérateurs », commente Stanislas de Bentzmann, Coprésident du Directoire de Devoteam, qui a notamment signé en septembre dernier un contrat d'outsourcing avec Nokia Siemens Networks, incluant le transfert de 150 personnes. « Le secteur financier qui intervient à hauteur de 22 % de notre chiffre d'affaires est également, en débit des turbulences, resté très actif. En particulier, nous avons gagné de nouveaux projets dans le domaine de la gestion de l'information et de la sécurité (Natixis, Axa, BNP Paribas...). » Pour 2008, la SSII vise un chiffre d'affaires de 430 ME pour une marge d'exploitation voisine de 9 %. L'une de ses priorités sera de poursuivre son développement à l'international qui génère désormais 45 % de ses revenus. « Nous prévoyons de réaliser deux ou trois acquisitions ciblées qui nous permettront de conforter nos positions géographiques, notamment en Europe de l'Est, mais également de nous renforcer dans les métiers de la sécurité, de la gouvernance ou de l'administration de systèmes », précise Stanislas de Bentzmann. (...)
(11/02/2008 15:44:40)Encanto, le supercalculateur qui peut sauver le Nouveau-Mexique
Pour le gouverneur du Nouveau Mexique, Bill Richardson, le supercalculateur Encanto « n'est pas qu'un jouet high-tech pour l'élite scientifique. C'est un investissement sur le futur ». En effet, cette machine se classe directement en troisième position du Top 500 avec une vitesse de calcul de 172 teraflops/seconde, 38 To de mémoire interne et 172 To de capacité de stockage. Fabriqué par SGI et constitué de 3 584 processeurs Clovertown (quadri-coeurs) d'Intel, il a représenté un investissement de 11 M$ en matériel et de 3 M$ en points d'accès (stations de travail) pour l'Etat du Nouveau-Mexique. Et coûtera deux millions de plus par an en alimentation électrique. Pour rentrer dans ses fonds, le Nouveau-Mexique veut qu'Encanto paie ses propres dépenses en louant une partie de sa capacité de calcul à des tiers : laboratoire de recherche, université ou même entreprises privées. Il servira également en propre à l'Etat pour des calculs tels que l'approvisionnement en eaux, la simulation de feux de forêt ou la planification du développement urbain. Enfin, selon Bill Richardson, à lui seul, il doit relancer l'économie high-tech de l'Etat. « Le Nouveau-Mexique veut sérieusement développer son économie high-tech, explique-t-il. A mesure que la nouvelle de notre supercalculateur se répandra, de plus en plus d'entreprises et d'institutions universitaires voudront travailler avec l'Etat. » Pour la plupart d'entre elles, il faudra attendre jusqu'en juin, le temps qu'Encanto soit pleinement opérationnel. D'ici là, l'université du Nouveau-Mexique, la New-Mexico Tech et l'université d'Etat pourront l'utiliser. (...)
(08/02/2008 13:15:06)Annuels SAS : +15% sur fond de marché en consolidation
Exercice fiscal 2007 Chiffre d'affaires : 2,15 Md$ (+15%) SAS vient d'annoncer un chiffre d'affaires de 2,15 Md$ sur son exercice fiscal 2007, en progression de 15% par rapport à 2006. Par comparaison, son principal concurrent, Business Objects, désormais dans le giron de SAP, a réalisé sur la même période un chiffre d'affaires de 1,51 Md$, en hausse de 20%. SAS, éditeur américain, créé et toujours dirigé par l'emblématique Jim Goodnight, se maintient dans le cercle restreint des sociétés IT non cotées, ce qui lui permet de ne pas détailler publiquement son exercice fiscal. Il constitue le chef de file des éditeurs indépendants de solutions décisionnelles (Business Intelligence), après la vague de consolidation qui a vu ses principaux concurrents happés par de grands fournisseurs en 2007 (Hyperion par Oracle, Business Objects par SAP et Cognos par IBM). Jim Goodnight rappelle que sa société évolue sur un secteur en pleine croissance, porté par l'augmentation du volume de données, en constante accélération. Le PDG estime que la consolidation actuelle du marché décisionnel lui laisse les coudées franches pour renforcer ses positions sur ce terrain. Solutions de détection de fraude En 2007, les applications de Business Intelligence ont pesé 29% du chiffre d'affaires de SAS. « Nous ne voyons pas de ralentissement sur ce marché », affirme Jim Goodnight dans un communiqué, en estimant que sa plateforme d'entreprise, ses outils d'analyse et ses solutions verticalisées par secteur d'activités se démarquent des offres concurrentes. L'éditeur note une augmentation de 50% sur les ventes de ses solutions liées à l'analyse des données clients (customer intelligence solutions) et une progression de 28% sur les applications verticales (le traitement des fraudes pour les banques, l'ajustement des stocks dans la distribution...). SAS précise aussi que 200 institutions financières dans le monde s'appuient sur SAS for Enterprise Risk Management pour gérer les risques et la conformité réglementaire. Rappelons que, dans le domaine du risque bancaire, SAS a développé avec le groupe bancaire HSBC et livré l'automne dernier une application de détection de fraude à la carte de crédit en temps réel. Sur l'année écoulée, l'éditeur a gagné 1 100 nouveaux clients et son chiffre d'affaires s'est réparti de façon équivalente entre le continent américain (44%), la région EMEA -Europe, Moyen-Orient et Afrique- (45%). La région Asie/Pacifique représente 11% de son revenu. (...)
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