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Société

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(11/10/2007 16:52:32)

Le Munci conteste le bilan optimiste du Syntec

Le tableau relativement rose du secteur des logiciels et services dressé par le Syntec Informatique à l'occasion de sa conférence de presse semestrielle d'hier matin, laisse songeur. Ainsi, le Munci (Mouvement pour une union nationale et collégiale des informaticiens) a vivement réagi sur certains points, estimant que le syndicat professionnel a tendance à « édulcorer les réalités sociales, au moyen d'informations partielles, voire trompeuses ». Le président du Munci conteste les 2,1% de taux de chômage avancés par Syntec Informatique, en fonction d'un calcul qu'il juge « farfelu », et va même jusqu'à qualifier les prévisions de recrutements et les créations nettes d'emploi de « douteuses ». La « vraie politique de développement des compétences techniques et managériales par la formation et les entretiens professionnels », mis en avant par Syntec Informatique suscite également les interrogations de l'association, de même que le point de vue du syndicat professionnel sur l'offshore. (...)

(11/10/2007 15:37:17)

Les Britanniques, champions des réseaux sociaux

Plus de trois-quarts des internautes britanniques ont fréquenté un réseau social en ligne en août dernier. Loin devant les Allemands, les Français, les Espagnols ou encore les Italiens, les habitants d'outre-Manche passent une moyenne de six heures par mois à visiter des sites tels que Facebook ou bebo.com. Les plus assidus (20% d'entre eux) y auraient même passé 22 heures. Ces chiffres ont été compilés par ComScore, cabinet spécialisé dans la mesure d'audience Internet, grâce à l'installation d'un logiciel de monitoring chez des internautes de plus de 15 ans qui ont accepté de participer à l'opération. Pour le cabinet, l'explication est relativement simple : primo, le marché britannique est plus mature en termes d'usage d'Internet avec des gens qui l'utilisent à d'autres fins que le shopping ou la consultation de son compte bancaire. Secundo, les premières versions de sites sont généralement en anglais, l'adaptation à d'autres langues ne venant qu'ensuite. Les français, quant à eux, ne passent que 2 heures par mois sur ces sites tandis que les Allemands y consacrent 3.1 heures par mois. (...)

(11/10/2007 12:22:23)

Le sénat approuve la ratification du protocole de Londres

280 voix pour, 33 contre et 2 abstentions. Mardi 9 octobre, les sénateurs français ont donné leur accord à la ratification du protocole de Londres, qui supprime l'obligation de traduire les brevets européens en de multiples langues. En signant ces accords, la France casse un barrage linguistique qui, depuis des années, alourdissait les procédures administratives ainsi que les coûts des inventeurs qui voulaient utiliser leurs brevets dans les pays européens. La ratification signifie ainsi que les détenteurs devront désormais soumettre leurs brevets dans une unique langue : le français, l'anglais ou l'allemand. Pour nombre de membres de l'Union européenne, cela constitue une avancée. D'abord d'un point vue financier, les coûts de traductions représentant entre 20% et 40% du coût de soumission finale. L'accord allège ainsi la facture finale. L'avancée est également communautaire : les ratifications des Etats membres sont un grand pas en avant vers un unique brevet européen baptisé le Community Patent. Une unification des politiques de propriété intellectuelle qui faciliterait, selon l'Office européen des brevets, la protection des inventeurs en Europe. Reste que pour d'autres, le protocole de Londres représente une diminution de leur poids dans la balance des pouvoirs en Europe. C'est le cas de l'Espagne, exaspérée de voir sa langue disparaître au profit d'autres, et qui affirme que l'espagnol est pourtant plus parlé que le français dans le monde. C'est également le cas en France où des opposants prétendent que le protocole de Londres représente "l'acceptation de l'hégémonie de l'anglo-américain en matière de propriété intellectuelle". Notons que dans plus de 60% des cas, les brevets sont d'abord rédigés en anglais. Une pétition contre le protocole de Londres a été publiée sur www.petition.be. (...)

(10/10/2007 08:31:44)

Un Nobel de physique pour les disques durs

Les travaux de deux physiciens, le Français Albert Fert et l'Allemand Peter Grünberg, sur la magnétorésistance géante à la fin des années 1980 leur vaut aujourd'hui d'obtenir le Prix Nobel de Physique. Même si les disques durs magnétiques existaient auparavant, seule la magnétorésistance géante a permis d'augmenter la densité de l'information stockée et, partant, de créer les disques durs modernes. L'application industrielle des découvertes des deux européens est due en premier lieu à IBM. (...)

(09/10/2007 17:37:41)

155 000 clés USB pour les lycéens d'Ile-de-France

La région Ile-de-France a entamé cette semaine la distribution de clés USB (1 Go) à ses 155 000 élèves de seconde. La collectivité a souhaité mettre l'accent sur l'Open Source, en dotant cette clé de 19 programmes libres. On retrouve ainsi la suite bureautique Open Office, le navigateur Firefox 2, la messagerie Thunderbird ou encore le logiciel d'encryptage Locknote. Pour la région, il s'agit d'une orientation autant pratique que politique. « On voulait réintroduire un peu de vertu dans la conception que se font les élèves du logiciel, explique Jean-Baptiste Roger, conseiller du président de région Jean-Paul Huchon et en charge des technologies de l'information et de la communication. Nous sommes une région orientée politiquement, qui souhaite promouvoir la "culture du Libre", qui est selon nous une belle idée. » Mozilla est d'ailleurs un des partenaires privilégiés de l'initiative francilienne. La région insiste également sur le fait que l'utilisateur ne devrait pas être lié à un ordinateur en particulier, c'est pourquoi toutes les applications sont exécutables depuis la clé. En plus de ces applications, 600 Mo sont dévolus au stockage des données personnelles. Une icône donne également accès au cartable numérique, un profil consultable en ligne par l'élève et les parents, où ils trouvent une adresse de messagerie interacadémique, le cahier de texte de la classe et des résultats d'exercices. « Nous comptons équiper chaque année l'ensemble des élèves de seconde, précise Jean-Baptiste Roger. De plus, régulièrement nous distribuerons ces clés USB aux professeurs des lycées. » 40 000 d'entre eux les ont déjà reçues. Le coût de l'opération s'élève à 2,6 millions d'euros, un prix qui devrait tendanciellement baisser de rentrée en rentrée. (...)

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