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Société
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(18/05/2007 13:20:56)
Microsoft et la Fondation Clinton s'associent pour limiter les émissions de gaz à effet de serre
Microsoft va développer des programmes et des services gratuits en coopération avec la Fondation Clinton à destination des métropoles mondiales afin qu'elles puissent contrôler leurs émissions de carbone. Dès la fin de l'année, Microsoft devra fournir aux villes sélectionnées par la Fondation Clinton un logiciel en ligne capable de traquer et de déterminer les pistes éventuelles et effectives de réduction d'émissions de gaz à effet de serre. En outre, les outils mis en ligne permettront un partage d'informations entre les villes rattachées au programme, d'analyser des projets et d'estimer leur impact sur l'environnement. Microsoft collaborera avec deux organisations environnementales : l'ICLEI (International Council for Local Environmental Initiatives) et le CNT (Center for Neighborhood Technology). Rappelons que la Fondation Clinton s'occupe de projets dédiés principalement à la santé dans des régions mondiales défavorisées, à l'amélioration économique du continent africain et à la lutte contre l'effet de serre. (...)
(18/05/2007 10:44:07)Les acteurs français de la RFID se fédèrent
Depuis mai 2005, les acteurs de la RFID disposaient de leur propre site Internet (filrfid.org), animé par Michel Rousseau, vice-président Europe de l'International RFID Business Association. Aujourd'hui, les responsables du site ont décidé d'aller plus loin et de créer une association qui conserve le nom FILRFID (Fédération des industriels, intégrateurs, conseils et éditeurs de logiciels RFID). Celle-ci s'est donnée pour mission « de promouvoir les usages, les potentiels d'affaires et d'aider au développement des marchés et projets RFID et technologies connexes (NFC, ZigBee, Rubee, SmartWave, SIR, etc.) ». Elle reprend notamment l'organisation des Mercredis de la RFID, des réunions entre acteurs du marché, consultants et sociétés intéressés par le déploiement de la technologie en France, lancés récemment par Michel Rousseau. Bien que la FLRFID ne verra officiellement le jour que le 5 juin, une cinquantaine d'entreprises du secteur auraient d'ores et déjà décidé de la rejoindre. (...)
(15/05/2007 15:02:46)La conscience écologique des entreprises ne se traduit pas dans les actes d'achat
Si la grande majorité des entreprises montre de l'intérêt pour les questions écologiques, cela ne se voit guère dans la façon dont elles achètent aujourd'hui leurs équipements informatiques. Une étude Forrester, réalisée auprès de 124 sociétés aux Etats-Unis et en Europe, montre ainsi que « bien que 85% des entreprises affirment que les facteurs environnementaux sont importants dans la planification des opérations informatiques, seules un quart d'entre elles déclarent avoir inclus des critères écologiques dans les processus d'achat ». L'auteur de l'étude, Christopher Mines, a réalisé des entretiens plus approfondis avec quelques-unes des personnes sondées. Une des réponses illustre, dit-il, « la dynamique qui entoure l'informatique écologique ». Elle a été fournie par le responsable IT d'une société industrielle : « Nous prendrons des décisions écologiques si cela est pertinent commercialement, et pas parce que cela est bon pour l'environnement. Il faut que cela entraîne des économies de coûts. » Dans l'ensemble, estime toutefois Christopher Mines, tout le monde viendra bon gré ou mal gré à l'informatique verte. « Le côté écologique va s'aligner avec les objectifs métier des entreprises : faire en sorte de gagner de l'argent ou de rendre la société plus attirante aux yeux des clients et des actionnaires. Regardez les réductions de la consommation d'énergie dans les datacenters : il s'agit surtout d'économiser de l'argent. L'aspect écologique est un bénéfice collatéral, pas le but premier. » Lemondeinformatique.fr a mis en place un 'sondage flash' pour vous laisser vous exprimer sur le sujet (en haut de notre colonne de droite). (...)
(11/05/2007 12:45:19)IBM investit un milliard de dollars dans l'économie d'énergie
Un milliard de dollars ! C'est l'investissement qu'IBM va consacrer pour doubler les économies d'énergie réalisables dans ses salles de serveurs et celles de ses clients. Ce plan, appellé « Project Big Green », a nécessité le recrutement par IBM de 850 architectes spécialisés dans l'efficacité énergétique. Pour chaque salle de serveur, le projet s'orientera autour de cinq axes. En premier lieu, un diagnostic énergétique de l'existant en passant par une modélisation en 3D de la salle pour affiner l'analyse thermique. Deuxièmement, pour la construction ou la rénovation des salles existantes, IBM s'est entouré d'un réseau de partenaires (PG&E, Schneider Electric, Anixter, etc.) spécialisés dans le déploiement de solutions d'économies d'énergie. La troisième étape passera par une virtualisation des systèmes d'information pour limiter le nombre de serveurs. Pour la quatrième étape, IBM met en avant son logiciel d'administration Tivoli qui sera, au plus tard en novembre prochain, capable de déployer l'ensemble des logiciels d'économie d'énergie Cool Blue sur l'ensemble des serveurs du constructeur. Enfin, IBM a annoncé de nouvelles portes de refroidissement, Rear Door Heat eXchanger, qui se montent sur n'importe quel châssis IBM et contiennent un système de refroidissement liquide. Pour l'instant, il s'agit d'eau, mais IBM travaille sur un autre liquide de refroidissement plus efficace. Voir aussi à ce sujet notre sondage flash, en haut de la colonne de droite. (...)
(11/05/2007 12:29:01)Sondage flash : la méfiance l'emporte sur les machines à voter
Le résultat de notre sondage flash est sans appel : vous avez exprimé, à une très large majorité, votre défiance à l'égard des machines à voter. Vous êtes en effet 891 à estimer que les ordinateurs de votes constituent un danger pour la sincérité du scrutin, contre seulement 262 à considérer qu'ils sont une évolution technologique souhaitable. Il ne saurait être ici question de technophobie : la réticence de nos lecteurs à l'égard des machines à voter traduit simplement le flou artistique qui entoure les appareils mis en place dans les bureaux de vote. On se souvient par exemple du remplacement de dernière minute des machines iVotronics de la société ES&S, lesquelles embarquaient un logiciel postérieur à l'arrêté d'agrément délivré par le ministère de l'Intérieur en 2005. Il est probable que les votants aient aussi été sensibles aux questions de sécurité soulevées, notamment, par la plateforme citoyenne ordinateurs-de-vote.org. Pierre Muller, l'animateur du site, confiait ainsi au mondeinformatique.fr que « la sécurité informatique a été largement oubliée » de la liste des critères examinés par les bureaux d'expertise Veritas ou Ceten Apave. Enfin, au-delà des difficultés logistiques que plusieurs bureaux électoraux équipés de machines électroniques ont rencontrées lors du scrutin, c'est la désacralisation du vote qui a pu conduire à votre rejet des e-urnes. L'acte républicain se trouve dépouillé d'un de ses symboles phares et perd, de fait, une composante essentielle de son decorum. Le Conseil constitutionnel semble avoir entendu les craintes légitimes qu'ont ressenties de nombreux électeurs. Le président du gardien de la Norme suprême vient ainsi d'exprimer trois recommandations : « offrir à nos concitoyens la certitude du respect de la sincérité du scrutin, conserver intacte leur envie de prendre part au processus démocratique, éviter de désacraliser le scrutin ». (...)
(11/05/2007 12:28:07)JavaOne : Sun mise sur JavaFX et l'Open Source pour reprendre l'avantage sur Microsoft et Adobe
JavaOne, la conférence annuelle des développeurs Java à San Francisco, a surpris les observateurs par sa vitalité, surtout après une édition 2006 en demi-teinte. De quoi réjouir Sun, qui s'enorgueillit de compter 6 millions de développeurs Java dans le monde, et 5 milliards d'équipements capables de faire tourner des applications - ou appliquettes - Java. Et le nombre d'équipements devrait augmenter sensiblement, espère Scott McNealy, et participer à réduire la fracture numérique. Pour le cofondateur de Sun, l'intégration des technologies comme JavaFX, le nouveau langage de script annoncé par Sun à JavaOne, et le caractère Open Source des technologies permettra de réduire les coûts des clients légers en général et des téléphones en particulier. Or, « nous pensons que le téléphone mobile est le moyen que les populations utiliseront en premier pour accéder à Internet », a affirmé Scott McNealy à des journalistes indiens, dans une conférence de presse en marge de JavaOne. Pour l'heure, JavaFX et la finalisation de la mise en Open Source des technologies Java est surtout un moyen de se positionner pour reprendre l'avantage sur les postes clients, alors qu'Adobe s'est déjà sérieusement implanté avec Flash et le PDF, et que Microsoft commence à dérouler le rouleau compresseur, avec, pour les postes clients, l'interface de Vista WPF ou son sous-ensemble Silverlight pour les autres plateformes, et pour la partie développement et design le studio Expression. Après avoir conquis l'informatique d'entreprise, après avoir fait un grand pas en direction de la communauté Open Source, Sun peut désormais se consacrer davantage aux outils de développement, et notamment au développement de clients riches pour Internet, où Adobe et Microsoft ont pris de l'avance. Notre dossier revient sur les grandes annonces de JavaOne 2007. (...)
(10/05/2007 17:38:48)Les entreprises qui recrutent le plus via Internet sont les SSII et les sociétés de conseil
Dans le domaine du recrutement, il existe deux mondes : celui des candidats et celui des entreprises. Sans être caricaturale, cette réflexion montrant des dysfonctionnements entre les deux repose sur une enquête menée conjointement par Ineum Consulting (société de conseil en stratégie, organisation et systèmes d'information) et Monster et qui devrait être mise à jour tous les 6 mois : 7,2% des candidats indiquent rechercher dans le secteur des SSII et sociétés de conseils (5e rang des recherches sur le site) et 3,6% dans l'ingénierie et le conseil en ingénierie (9e rang), contre 17,6% dans le commercial, domaine en tête des recherches effectuées sur Monster. Or les entreprises spécialisées en informatique (SSII et sociétés de conseil) sont celles qui recrutent le plus sur le site (avec plus de 20% de réponses), suivies par celles qui se définissent en « conseil et consulting » (15,5%). Cette différence pourrait s'expliquer par des possibilités d'emploi plus importantes dans l'informatique et qui induisent certaines « tensions » sur le marché, ainsi que par les pratiques des SSII qui se mettent en quête de candidats idoines alors même que le marché n'est pas gagné. Elle pourrait aussi s'expliquer par le fait que les informaticiens ont déjà un important réseau de relations (annuaire des anciens, cooptation, CV déposés dans de endroits stratégiques...), les sites d'offres d'emploi ne constituant qu'un moyen parmi d'autres pour parvenir à évoluer. Une raison de départ exprimée : le harcèlement moral Norbert Faure, associé chez Ineum Consulting, analyse le point de vue des 2 500 personnes en recherche d'emploi interrogées et des 149 entreprises en recherche de personnel. « Si les gens quittent majoritairement une entreprise au motif d'une rémunération insuffisante, la relation avec son supérieur hiérarchique et le harcèlement moral sont les invités surprises des raisons de changement. » Sans tomber dans une description apocalyptique des relations au bureau et qui concerne tous les secteurs d'activités, cet aspect souvent indiqué « en off » pour donner des explications au très important turn-over dans les SSII devrait être pris en compte par les recruteurs. Norbert Faure poursuit sur les visions contrastées entre entreprises et candidats : « par une enquête croisée employeur potentiel / personne en recherche de poste, on note une forte incompréhension sur les raisons de changement de poste. Là où l'employeur pense changement de carrière donc sur le long terme, la personne en recherche de poste pense prise de responsabilité, c'est-à-dire à court terme. » Ce peut être une autre explication au turn-over qui accentue les tensions sur certains profils. Moins de recrutements dans l'informatique au premier semestre 2007 De même, la perception de la dynamique du marché du travail est inversée que l'on se place du point de vue des employeurs potentiels ou des candidats. Les premiers sont optimistes : 64% pensent que le contexte de l'emploi est bon... alors que 74% des personnes en recherche d'emploi estiment qu'il y a une diminution de l'offre. La réalité est entre les deux : les recrutements continuent mais baissent. Ainsi, dans le secteur informatique, les DRH pensent recruter 20% de candidats en moins au premier semestre 2007 qu'au deuxième semestre 2006, la fourchette variant entre 5% et 10% dans les autres domaines. Enfin, alors que l'enquête montre que la rémunération est le principal vecteur d'un changement d'emploi, elle montre également que 37,8% des candidats se voient proposer une rémunération équivalente à la précédente tandis que 36% se voient proposer une rémunération en baisse de 5% par rapport à leur dernière rémunération. Seuls 18,6% des candidats voient leur rémunération augmenter d'au moins 5%. Il reste à savoir si cet argument ralentira les velléités de changement ou si, d'autres éléments qualitatifs comme les conditions de travail primeront, dans les mois qui viennent, sur les intentions des candidats en quête d'un nouvel emploi. (...)
(10/05/2007 15:32:09)Quatre agences d'Air France victimes du succès en ligne de la compagnie
Le site Airfrance.fr se porte bien. Un succès qui se bâtit clairement au détriment des agences. En 2006, les ventes en ligne sur le site de la compagnie ont progressé de 64,5%. 60% des billets vendus en ligne le sont au travers d'Airfrance.fr contre 40% via les agences de voyage en ligne comme Opodo, Lastminute ou encore Expedia. Le site enregistre 2 millions de visiteurs unique par mois. En moyenne, 90 personnes sont affectées à l'assistance aux clients du site. Le ratio est d'environ 10 appels pour 1000 visites et d'un peu moins de 4 mails pour 1000 visites. Cette montée en puissance du online a un impact sur le réseau des agences traditionnelles dont le chiffre d'affaire a baissé en 2006 de 5,1%. Il y a 10 ans, 70 agences commerciales Air France maillaient le territoire. Elles ne sont plus que 40. D'ici cet été 4 agences parisiennes vont fermer à leur tour. Une trentaine d'agents commerciaux devront être alors reclassés avec l'engagement de la direction de ne procéder à aucun licenciement. Ils sont encore 300 agents commerciaux à être en poste dans les agences. « Un réseau d'agence sera toujours nécessaire, rassure Jean Wieviorka, directeur des ventes directes au commercial France d'Air France. Ne serait-ce que pour permettre tous les modes de paiement. Les accès personnalisés que nous mettons à disposition des clients réguliers permettent de conjuguer la souplesse du online et le conseil personnalisé des salariés dans les agences. » Reste que l'objectif de la compagnie vise à réduire les coûts de distribution et de back office de 24 % grâce à la dématérialisation des achats. (...)
(09/05/2007 16:34:32)La « vertitude »* des TIC met au défi les informaticiens
Dans trois semaines, le 1er juin exactement, la réglementation Reach (Registration, Evaluation, Authorization and Restriction of Chemicals), concernant la logistique des produits chimiques, entre en vigueur en France. Avec pour conséquence l'obligation d'organiser l'enregistrement, l'évaluation et l'autorisation des substances chimiques fabriquées ou entrant dans la production industrielle dans les pays de l'Union européenne. A la clé, l'enregistrement sur onze ans des données concernant quelques 30 000 substances existantes, et les divers impacts concernant la communication entre clients et fournisseurs tout au long de la chaîne de valeur liée à chaque substance. Autant dire, un traitement informatique minutieux, voire complexe, à l'égard duquel, depuis le 30 décembre 2006, date de publication de la directive Reach, les grands industriels des secteurs chimie et pharmacie (et les éditeurs de progiciels concernés, SAP en tête) ont, pour la plupart, déjà pris leurs dispositions. Pour autant, l'échéance du 1er juin 2007 étend cette mesure d'évaluation des risques - et les traitements de l'information afférents - à l'ensemble des entreprises utilisatrices. Un impératif synonyme d'ouverture de chantier autant pour le camp des organisateurs que pour celui des informaticiens. Concrètement, selon la procédure mise au point autour de l'Agence européenne de produits chimiques (AEPC) créée à cet effet et basée à Helsinki, les entreprises seront tenues de déclarer les substances en question en se connectant sur la base de données Reach-IT de cette agence. Le délai d'enregistrement courant jusqu'en 2018, afin de tenir compte de la plus ou moins grande complexité d'évaluation selon la substance. De plus, le règlement prévoit un dispositif de partage de données et des coûts pour l'établissement des données spécifiques à chaque substance, avec la mise en place de forum (FEIS, forums d'échanges d'informations sur les substances) appelés à se déployer à partir de juin. Le tout assisté, comme le prévoit la directive Reach, par les services de l'Etat, en l'occurrence un bureau dédié à l'évaluation des risques (BERPC) de la direction générale des entreprises (DGE) au ministère de l'Industrie. Vers un référentiel carbone partagé Autre volet d'implication des entreprises - et de leur système d'information - sur la voie du développement durable, la prise en compte de la « valeur économique de la tonne de CO2 ». L'échéance et l'enjeu sont cette fois à plus long terme. Sachant que les experts intergouvernementaux planchant sur ce sujet en sont encore au début de leur réflexion. Et que cette valorisation ne consiste pas seulement à considérer le dommage associé aux émissions, mais aussi le coût des efforts à consentir pour les réduire, ou encore les marchés d'échanges de quotas d'émissions de CO2 qui émergent ici et là (le puits de carbone de Monaco, par exemple, inauguré en janvier dernier). Les grandes manoeuvres lancées chez les fournisseurs d'équipement informatique (consommation et dégagement de chaleur), visant à sensibiliser les entreprises clientes, ont déjà commencé. Certaines collectivités (par leurs informaticiens, comme les animateurs de l'opération Tic21, organisateurs d'un forum européen des technologies de l'information et du développement durable) s'y mettent. A suivre. * Vertitude : un néologisme apparu en 2004 avec la montée des préoccupations de développement durable, particulièrement usité chez les Sup de Co, où les cursus « management de l'environnement et développement durable » font florès depuis quelques années (dont le 3e cycle de l'école supérieure de commerce de la Rochelle, initié en 1999) (...)
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