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Société
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(24/05/2007 17:13:44)
Microsoft ouvre son programme de gestion des identités
Après avoir menacé plus ou moins ouvertement la communauté Open Source de la poursuivre en justice pour violation de 235 de ses brevets, Microsoft tente aujourd'hui la réconciliation. L'éditeur vient en effet d'annoncer qu'il allait mettre librement à disposition des développeurs sa brique Identity Selector Interoperability Profile à travers le programme Open Specification Promise (OSP), lancé en septembre de l'année dernière. Jean Paoli, directeur général de l'activité Interopérabilité et architecture XML, a estimé que, malgré les évènements récents, les développeurs ne devaient pas regarder cette annonce avec scepticisme. « Je peux vous raconter ce que nous faisons dans plusieurs projets Open Source. Il s'agit dans tous les cas de collaboration », a-t-il déclaré en évoquant les programmes d'Identity Management en cours. Identity Selector est un fournisseur d'identités Open Source destiné à sécuriser les transactions électroniques. Associé à la technologie Windows CardSpace (anciennement InfoCard) disponible sur Vista ou Windows XP, il permet à l'utilisateur de s'authentifier auprès des services Web de façon simple et sécurisée. La firme de Redmond lancera également quatre projets Open Source pour aider les développeurs du Web à intégrer ses briques d'authentification à leurs solutions. Il s'agit d'assurer l'interopérabilité avec Java, notamment avec Java System Web Server de Sun, WebSphere Application Server d'IBM et Apache Tomcat ainsi qu'avec Ruby on Rails et PHP. Deux de ces projets seront hébergés par les sites SourceForge et RubyForge. Les deux autres le seront sur des pages spécifiques Java et Ruby de CodePlex, le site Open Source de Microsoft. Enfin, l'éditeur va collaborer avec d'autres fournisseurs Open Source pour bâtir une interface OpenLDAP pour Identity Lifecycle Manager 2007. Ce qui devrait permettre à terme l'interopérabilité avec une trentaine de répertoires, systèmes d'identification et bases de données. Rappelons que Microsoft a déjà versé le format Office Open XML dans la corbeille OSP. (...)
(24/05/2007 14:59:12)Novell soutient la croisade de l'EFF contre les brevets logiciels
Accueilli fraîchement à la convention Open Source Business Conference de San Francisco, Novell a tenu à montrer patte blanche en annonçant son soutien à l'EFF dans sa lutte contre les brevets logiciels. Novell avait, on s'en souvient, mécontenté une grande partie de la communauté Open Source en signant un vaste accord technique et financier avec Microsoft. Puis les allégations de Microsoft sur ses 235 brevets violés par l'Open Source ont mis le feu aux poudres, Novell apparaissant comme le premier ayant signé avec le diable pour garantir à ses utilisateurs une immunité juridique concernant l'utilisation de ses produits. Novell a donc profité de la conférence sur l'Open Source pour affirmer son soutien à l'EFF (Electronic frontier foundation) et à son projet « Patent busting », auquel l'éditeur apportera « des ressources significatives ». En attendant, Novell veut croire que son poids, tant en nombre de clients qu'en nombre de brevets (plus de 500), donne d'ores et déjà une certaine crédibilité à la démarche de l'EFF auprès de l'Organisation mondiale de la propriété intellectuelle. Est-il possible d'interpréter cette annonce comme un signe de désaccord entre Microsoft et Novell ? Rien n'est moins sûr. Tout comme Novell, Microsoft estime qu'il faut changer les règles du jeu, mais en attendant les deux éditeurs agissent selon les règles en vigueur. (...)
(24/05/2007 12:11:49)Microsoft et Linux du même côté des brevets logiciels
« Je ne pense pas que Microsoft soit le vrai danger, et en fait, je pense que Microsoft et la communauté Linux finiront par combattre du même côté de la barrière. » Réagissant à la polémique soulevée par l'article de Fortune, qui laissait entendre que Microsoft allait poursuivre en justice la communauté Open Source pour violation de 235 de ses brevets, Mark Shuttleworth, fondateur d'Ubuntu, explique sur son blog que Microsoft et les partisans du Libre ont finalement des intérêts convergents. « Je suis sûr que d'ici quelques années, Microsoft sera lui-même un adversaire résolu des brevets logiciels. Pourquoi ? Parce que Microsoft doit lancer de nouveaux logiciels chaque année, et que les brevets logiciels représentent des mines sur leur 'roadmap' », écrit Mark Shuttleworth. Qui explique en outre que Microsoft a les moyens de payer... et n'a pas d'autre choix que de le faire en cas de procès. Et que l'éditeur l'a déjà fait plusieurs fois. Microsoft fait du lobbying à Washington pour réformer le système En fait, il apparaît que Microsoft est déjà engagé contre le système actuel. Une équipe de l'éditeur, à Washington, appuie fermement un projet de loi réformant le système de propriété intellectuelle. Le projet est ainsi passé la semaine dernière des discussions en sous-comité à un examen en comité plénier. Ce projet de loi est soutenu par une coalition d'acteurs regroupés sous la bannière « Coalition for patent fairness ». Microsoft y figure, au côté d'autres grands acteurs du logiciel comme Oracle, SAP, Adobe, CA, EMC, Sun, HP ou Red Hat. La coalition rappelle que le système américain des brevets a pour l'essentiel été constitué dans les années 50, et n'est pas adapté à la réalité économique d'aujourd'hui. Elle ne veut surtout pas éliminer la protection de la propriété intellectuelle, mais appelle plutôt à une réforme limitant les risques de procès : « Le système actuel laisse les entreprises et les consommateurs américains en situation de désavantage. L'économie américaine est de plus en plus impactée par les conflits sur les brevets coûtant des milliards de dollars qui pourraient être investis dans la création d'emplois, le développement de nouvelles innovations [sic], permettant aux client de réaliser des économies et aux actionnaires de voir leur capital croître. » Le danger pour Mark Shuttlewoth : les simples détenteurs de propriété intellectuelle Et la coalition de dénoncer ceux qui abusent du système, tout comme Mark Shuttleworth le fait sur son blog. Sauf que ce dernier donne un exemple : Nathan Myhrvold, ancien directeur technique de Microsoft, aujourd'hui à la tête d'une entreprise dont le but est de collecter des brevets, Intellectual Ventures. Mark Shuttlewroth écrit ainsi : « Je m'attends à ce que quelqu'un un jour attaque Linux sur la base des brevets, mais je vois moins Microsoft démarrer une guerre de tranchées que quelque détenteur de propriété intellectuelle totalement déconnecté de la création de logiciels. » Dans un autre style, Jonathan Schwartz, le patron de Sun, explique sur son blog le ridicule qu'il y aurait à attaquer l'Open Source sur la base des brevets. Tout en se disant prêt à faire usage de son propre arsenal de brevet pour défendre Red Hat et Ubuntu, le cas échéant. Sur le même sujet : Lire aussi Novell soutient la croisade de l'EFF contre les brevets logiciels, et notre dossier complet sur le sujet : Microsoft tente de transformer Linux en épouvantail (...)
(23/05/2007 17:16:46)Le Musée de l'informatique professionnelle ouvre ses portes le 5 juin
C'est le 5 juin prochain que le premier Musée européen de l'informatique professionnelle ouvrira ses portes sur le toit de la Grande Arche de la Défense. Initié par Philippe Nieuwbourg, le projet présentera sur 400 m² les outils qui ont jalonné l'histoire de l'IT, depuis les machines à perforer des années 20, jusqu'aux appareils de demain, en s'arrêtant particulièrement sur la période 1940-1990. Au total, une centaine de pièces permettront aux visiteurs d'avoir une vision de l'évolution de l'informatique professionnelle. « L'exposition s'adresse à la fois aux pros qui ont connu les débuts de l'informatique économique et qui retrouveront les objets qui ont fait leur jeunesse, explique Philippe Nieuwbourg, qu'aux plus jeunes auxquels nous expliquerons d'où viennent les ordinateurs qu'ils utilisent aujourd'hui ». L'idée n'est donc pas de présenter un étalage de technologies absconses et de références techniques mais de vulgariser l'histoire de l'IT. Si certains visiteurs écraseront une larme en retrouvant l'Osborne 1, le premier ordinateur portable, sorti en 1981 (15 kg, sans batterie ni écran), ils seront plus rares à reconnaître l'IBM 2301 : une armoire de 1,50 mètre de haut, pesant 386 kg et contenant un disque à tambour rotatif autour duquel sont fixées des têtes de lecture. Il s'agit en réalité de l'ancêtre du disque dur qui, dans les années 60, pouvait stocker jusqu'à 5 Mo. Poursuivons cet inventaire à la Prévert en citant, pêle-mêle, les calculateurs mécaniques des années 1920-1930, les lampes de calculateurs équipant les porte-avions américains ou l'IBM 632 de 1958 qui, pour 18 000 $ effectuait additions et soustractions (les divisions et multiplications étaient en option). Les logiciels ne sont pas en reste avec, notamment, Visicalc, le premier tableur (1983), ou Word 1 (1989). L'exposition se tiendra jusqu'au 8 octobre. La visite de la Grande Arche donne accès au Musée : 9 € pour les adultes, 7,5 € pour les enfants et les étudiants. (...)
(22/05/2007 17:40:35)L'EPA lance des pistes pour réduire la consommation des salles de serveurs
Cent cinquante six pages pour réduire la consommation électrique de l'industrie informatique. C'est la lecture que propose l'EPA, agence fédérale pour la protection de l'environnement, au Congrès américain. Mandatée en décembre dernier, cette agence doit présenter avant le mois de juin un plan pour réduire la consommation énergétique des salles de serveurs. Cette première version n'est qu'un brouillon que les fabricants, les analystes et les utilisateurs pourront commenter librement. Toutefois, l'agence préconise d'ores et déjà quatre axes de recherches : la création d'une mesure de performance de type Energy Star pour les salles de serveurs, le développement de modèles pour mesurer le coût de revient de ces salles en prenant en compte les coûts énergétiques, la mise en place d'outils pour mesurer les performances énergétiques de leurs équipements et surtout la facturation des dépenses énergétiques des serveurs aux entreprises locataires des entrepôts de données. L'agence explore également d'autres pistes, comme le développement de la virtualisation, l'utilisation de ventilateurs à vitesse variable pour diminuer les besoins en climatisation ou une codification plus efficace des logiciels pour mieux utiliser le parallélisme des processeurs et éviter les redondances. L'idée principale étant de traiter, selon l'EPA, « les cycles CPU à la manière des ressources fossiles. » Sur le même sujet - La conscience écologique des entreprises ne se traduit pas dans les actes d'achat - Les infrastructures vertes de stockage sont plus économiques, selon HDS - Les TIC aussi polluantes que l'aviation, selon Gartner - Le recyclage, une source de revenues pour les enterprises (...)
(22/05/2007 17:36:06)Guerre larvée entre les promoteurs des PC destinés aux pays émergents
Nicholas Negroponte, le père de l'OLPC, et Craig Barrett, le patron d'Intel et initiateur du Classmate, se livrent une guerre de tranchée sur le terrain des PC destinés aux enfants des pays émergents. La première salve avait été tirée par Intel en 2006 : pour le fondeur, le projet OLPC du MIT (Massachusetts Institut of Technology) n'est qu'un gadget. Après une accalmie, Nicholas Negroponte vient de monter au créneau pour dénoncer l'intention d'Intel de vendre son Classmate largement en dessous de son prix de revient, dans le seul but de torpiller l'OLPC. « Intel devrait avoir honte », s'est emporté le fondateur du MIT, qui rapporte que le spécialiste des semi-conducteurs a entrepris de distribuer des brochures aux clients potentiels des ordinateurs low cost afin de pointer du doigt les défauts supposés de l'OLPC. Derrière cette bataille larvée se cache en réalité la rivalité entre Intel et AMD, dont les processeurs équipent l'ordinateur conçu par le MIT. Selon Nicholas Negroponte, les deux fondeurs se livrent une guerre vicieuse au milieu de laquelle l'OLPC ne serait qu'une victime collatérale. Une bataille qui ferait presque oublier le but premier des ordinateurs à bas prix : offrir une porte d'entrée sur le monde de l'IT aux enfants des pays émergents. (...)
(21/05/2007 17:40:59)Steve Jobs est le patron le mieux payé aux USA selon Forbes
Il a beau ne toucher qu'un salaire symbolique de 1$, Steve Jobs est, selon le dernier classement de Forbes, le PDG le mieux payé des Etats-Unis. Les plus values de ses stock options réalisées en 2006 représentent en effet près de 647 M$. Celui qui se classe à la 132e place du classement des hommes les plus riches du monde, selon le même Forbes, avec une fortune de 5,7 Md$, devance ainsi de très loin Ray Irani, le patron de l'Occidental Petroleum qui n'a touché « que » 321 M$. Rappelons, à ce sujet, qu'une enquête de la SEC avait débouché sur une mise en examen d'anciens cadres d'Apple concernant justement l'attribution de stock options. Steve Jobs avait toutefois été lavé de tout soupçon. Terry Semel (Yahoo) et Michael Dell (Dell) figurent respectivement aux 5e et 6e places de ce classement. En terme d'efficacité salaire/performance, le dirigeant d'Apple décroche la 36e place, loin derrière Margaret Witman, la patronne d'eBay (5e) ou Jeff Bezos, fondateur et PDG d'Amazon(9e), si l'on s'en tient au secteur des TIC. John Chambers de Cisco (116ème) et Lawrence Ellison d'Oracle (157ème), par ailleurs très bien doté d'actions de sa société, ne semblent pas justifier leur salaire selon les critères de Forbes. Il est vrai que le classement ici souffre de quelques lacunes, de nombreux PDG n'y figurant pas. Notons au passage que Steve Ballmer occupe la 481e place pour les revenus (980 000 $) et le 154e rang pour l'efficacité. Le patron de Microsoft détient d'autre part pour 5 Md$ d'actions de sa société. On remarquera pour terminer que huit patrons de sociétés actives dans le domaine des TIC, dont une dans le commerce en ligne (IAC/InteractiveCorp), figurent aux 25 premières places. (...)
(21/05/2007 17:35:50)L'Etat se dote d'une agence pour gérer ses actifs immatériels
Exemplarité de l'Etat oblige. Depuis le 23 avril, par arrêté du ministère de l'Economie, des Finances et de l'Industrie, la gestion des actifs immatériels de l'administration et des établissements publics relève d'un service à compétence nationale dénommé Agence du patrimoine immatériel de l'Etat (Apie). A charge de ce service, la responsabilité de la stratégie de gestion de ces actifs, depuis les brevets, les licences et les marques jusqu'aux droits d'images, en passant par les fréquences, les bases de données, les savoir faire publics ou les droits d'accès. Un patrimoine estimé - hors programmes d'armement - à plus d'un milliard d'euros et dont il convient de piloter au plus près le recensement dans un premier temps, afin de tirer ensuite le meilleur parti possible de sa valorisation. Comme le rappelait le Premier ministre Dominique de Villepin dans la circulaire accompagnant l'arrêté officiel de création de l'Apie, parmi les objectifs stratégiques de cette valorisation figurent non seulement une contribution active à la modernisation des services publics et à la prévention d'éventuels risques de détournement, mais aussi et surtout une amélioration des marges de manoeuvre budgétaires permettant de contribuer au désendettement du pays. Afin d'assurer sous toutes ses facettes (recensement, partage de bonnes pratiques, contribution au désendettement) ce rôle de coordination et d'assistance auprès des divers ministères et collectivités concernés, la direction de l'Apie est rattachée conjointement au directeur général du Trésor et au directeur général de la comptabilité publique. Et pour organiser le pilotage interministériel, il est également prévu qu'un comité d'orientation regroupe auprès de la direction de l'Apie les secrétaires généraux des principaux ministères concernés. L'activité d'assistance méthodologique et opérationnelle de ce nouveau service doit trouver son prolongement auprès des gestionnaires publics, par le biais de correspondants désignés au sein des ministères et des établissements publics. Et pour servir d'aiguillon au lancement et à l'activité de ce réseau d'acteurs dédié à la gestion de l'immatériel, le Premier ministre en partance s'est engagé à soutenir financièrement les efforts faits dans ce sens par chacune des administrations concernées. Selon les consignes de Dominique de Villepin, après validation par l'Apie, les ministères devraient bénéficier d'un retour budgétaire sur les recettes supplémentaires obtenues par la valorisation des actifs immatériels, à hauteur de 100% en 2007, et de 80% à partir de 2008, les 20% restants allant au désendettement . (...)
(21/05/2007 09:59:25)Pas d'America's Cup pour Oracle
Battu 4 à 1 samedi en demi-finales de la Coupe Louis Vuitton par le Luna Rossa, le BMW-Oracle n'a pu remonter la pente dimanche : il a perdu sur le score final de 5 à 1. Malgré le plus gros budget des équipes en présence (plus de 150 M$), le voilier financé par le fondateur d'Oracle Larry Ellison ne disputera donc pas la course de l'America's Cup contre le détenteur de la coupe, le Suisse Alinghi. Les régates de la Coupe Louis Vuitton ont en effet pour but de désigner le challenger du précédent vainqueur de l'America's Cup. (...)
(18/05/2007 15:17:48)Gouvernement Fillon : les défis IT qui attendent les promus
Le premier gouvernement Fillon vient d'être officiellement désigné. Lemondeinformatique.fr dresse la liste des projets IT qui attendent quelques-uns des (pas toujours) nouveaux venus. Alain Juppé : ministre de l'Ecologie, du Développement et de l'Aménagement durables. Seul ministre d'Etat du gouvernement, l'ancien professeur à l'ENA canadienne aura à organiser le système des droits à polluer. Depuis une directive européenne de 2003, chaque Etat fixe les quantités de gaz carbonique que ses industriels ont l'autorisation d'émettre. Le numéro deux du gouvernement devra donc établir ces limites pour concilier le respect de l'environnement et le développement des acteurs IT. Eric Woerth : ministre du Budget, des Comptes publics et de la Fonction publique. Il hérite d'un programme chargé avec, entre autres, le suivi du projet Chorus (progicialisation de l'Etat dans le cadre de la Lolf) récemment mis en place, de Copernic (refonte du SI de l'administration fiscale), plus le lancement de Concerto en 2008 (système d'information des ressources humaines) et le déploiement d'Hélios (gestion des collectivités locales par le Trésor public). Michèle Alliot-Marie : ministre de l'Intérieur, de l'Outre-Mer et des Collectivités territoriales. Elle devra s'attacher à la poursuite du chantier du passeport biométrique et à la mise en place de la carte d'identité électronique, dont l'Assemblée nationale devrait discuter au cours du second semestre. Brice Hortefeux : ministre de l'Immigration, de l'Intégration, de l'Identité nationale et du Codéveloppement. Il lui faudra préparer la mise en place de la base européenne de visas Schengen (VIS), décidée il y a quelques jours. Elle rassemblera l'ensemble des visas délivrés par les 3500 postes consulaires européens dans un but de lutte contre l'immigration clandestine. Christine Albanel : ministre de la Culture et de la Communication, porte-parole du Gouvernement. Elle aura à répondre aux défis de la culture numérique. Une tâche qui ne coïncide pas avec le parcours de celle qui est plus habituée aux dorures du château de Versailles (dont elle était jusqu'alors la présidente) que des problématiques de DRM ou d'interopérabilité. Xavier Bertrand et Roselyne Bachelot-Narquin : respectivement ministre du Travail, des Relations sociales et de la Solidarité et ministre de la Santé, de la Jeunesse et des Sports. La répartition de leurs charges reste énigmatique sur deux points : qui s'occupera de la diffusion de la carte Vitale 2 et de la mise en place du dossier médical personnel ? (...)
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