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1898 documents trouvés, affichage des résultats 1521 à 1530.

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(01/06/2007 15:18:30)

Un champion du pourriel sous les verrous

Robert Alan Soloway, 27 ans, plaide non coupable. Considéré comme l'un des spammeurs les plus prolifiques au monde, il vient juste d'être arrêté à Seattle. Cet Américain, qui disputait âprement sa notoriété parmi tous ces Russes et autres étrangers, avait pour spécialité de vendre un logiciel d'émission de pourriels. Déjà condamné dans deux procès, dont l'un à l'initiative de Microsoft en tant que propriétaire de MSN et de Hotmail, Robert Soloway à l'insigne honneur d'inaugurer des poursuites sous une nouvelle loi fédérale. Il risque de devoir rembourser plus de 770 000 $ indûment gagné, payer 250 000 $ d'amende et passer jusqu'à 65 ans en prison. Les optimistes parlent de procès exemplaire, tous les autres d'une goutte d'eau dans l'océan des 70 milliards de pourriels émis chaque jour. (...)

(31/05/2007 16:04:14)

La Cnil lance la phase d'essai du dossier pharmaceutique en ligne

Alors que le dossier médical personnel devrait voir le jour en 2008, la Cnil vient d'autoriser l'ordre des pharmaciens à expérimenter pendant six mois le dossier pharmaceutique. A l'instar du DMP, le projet ayant reçu le feu vert de l'autorité administrative indépendante consiste en un partage d'informations en ligne. En l'espèce, il consiste à permettre aux pharmaciens d'échanger des données relatives à la délivrance de médicaments, afin d'éviter des interactions malheureuses. Les officines de six départements participeront à l'expérimentation : Doubs, Meurthe-et-Moselle, Nièvre, Pas-de-Calais, Rhône et Seine-Maritime. Au-delà de la finalité pratique du dossier pharmaceutique, la phase de test servira essentiellement à juger du bon fonctionnement technique des plateformes mises en place - par un prestataire privé, dont l'identité n'a pas été communiquée - et à jauger l'accueil fait à l'outil par les pharmaciens et les patients. La Cnil - qui a récemment soulevé des problèmes de sécurité relatifs au DMP - entend entourer le dossier pharmaceutique de multiples précautions. En premier lieu, le patient aura le choix d'ouvrir, ou non, un dossier. Une décision qui ne fera peser aucune conséquence sur les remboursements ultérieurs. De même, le titulaire d'un dossier pourra choisir, à tout moment, de le supprimer. Si les pharmaciens seront les seuls à être habilités à alimenter les dossiers (via leur carte professionnelle et la carte Vitale du patient), ce dernier aura l'opportunité de consulter les informations qui le concernent dans n'importe quelle officine. Il aura aussi le loisir de refuser l'inscription d'une donnée dans son dossier. Enfin, la Cnil insiste pour que les dossiers pharmaceutiques détenus par l'hébergeur soient cryptés. Le coût du projet est estimé à 20 M€, dont un cinquième sera à la charge des pharmaciens. A terme, les données contenues dans le dossier pharmaceutique devraient être versées au DMP. (...)

(30/05/2007 12:40:41)

Les lycées picards ont leur portail éducatif

Avec l'arrivée d'Internet, un nombre croissant de services éducatifs ont été mis à la disposition des acteurs - élèves et professeurs - de la communauté scolaire. Reste que leur accès s'effectuait exclusivement depuis chaque établissement. Partant de ce constat, le Conseil régional de Picardie a fait appel à la société de services Unilog (groupe LogicaCMG) pour déployer un Environnement numérique de travail (ENT), une plateforme unique offrant à l'ensemble des lycées picards des services similaires : du contenu pédagogique, des outils de collaboration, ainsi que des outils de gestion consultables à distance (gestion des notes et des absences, bulletins scolaires et cahier de textes). Ainsi, les lycées de la région pourront entrer dans une logique d'ouverture des services sur Internet, et abandonner du même coup la gestion fastidieuse d'outils disparates et d'autant de systèmes d'identification. Le portail assure, en outre, la sécurité et la confidentialité des informations transmises, chaque utilisateur disposant d'un code personnalisé. Un portail déployé dans l'ensemble des lycées Un élève hospitalisé ou handicapé peut par exemple rester connecté à distance à sa classe et ses professeurs via l'ENT et suivre ses cours sans contrainte de temps ni d'espace. Grâce aux outils de collaboration, les professeurs d'une même discipline disposent d'espaces communs. Enfin, grâce à l'outil de gestion, un parent peut consulter l'emploi du temps de son enfant, la liste de ses absences (si elles sont excusées ou non), son bulletin scolaire ou encore ses derniers relevés de notes. Opérationnel dans six lycées pilotes, ce portail éducatif est en phase de déploiement dans quinze nouveaux établissements, fédérant ainsi un total de 45 000 utilisateurs. « Nous prévoyons de déployer cette plateforme éducative à l'ensemble des lycées picards, d'ici à la rentrée 2009 », a précisé Xavier Bryche, chargé de mission pour les technologies de l'information et de la communication pour l'éducation au Conseil régional de Picardie. Un projet encourageant qui donne l'opportunité à la France de rattraper son retard face aux pays anglo-saxons en termes d'éducation électronique. (...)

(29/05/2007 12:57:42)

Google : la conservation des données personnelles inquiète l'Europe

Le pantagruélique moteur de recherche Google pourrait enfreindre certaines dispositions européennes sur la protection des données personnelles, selon un groupe de travail composé des représentants de la Cnil et de ses homologues issus des 26 autres Etats membres de l'UE. Le « groupe de l'article 29 » s'interroge particulièrement sur la pertinence de la conservation, par Google, des données liées aux recherches effectuées par les internautes. Alors que le moteur a limité, en mars, la durée de conservation de ces données à deux années, les membres du groupe de l'article 29 pressent Google de justifier cette durée jugée encore trop longue. Les données recueillies lors de chaque recherche sont associées à l'IP de l'internaute et permettent de bâtir un profil précis basé sur les mots clés. Si Google indique que ces informations lui sont utiles pour affiner la pertinence des résultats communiqués pour chaque requête, les Européens s'inquiètent de l'exploitation commerciale qui pourrait être faite des sommes de données enregistrées. La requête du groupe de travail, adressée à Google sous forme d'une lettre, n'a pas encore reçu de réponse. Néanmoins, Peter Fleisher, le juriste du moteur de recherche chargé des questions relatives à la vie privée, estime que son employeur est « décidé à engager un dialogue constructif avec les défenseurs des données personnelles, dont le groupe de l'article 29, sur la façon d'améliorer les pratiques [sur ce sujet] au bénéfice des utilisateurs ». (...)

(29/05/2007 11:33:47)

Publicité en ligne : la FTC enquête sur la position dominante de Google / DoubleClick

La commission américaine chargée de réguler les affaires commerciales (FTC, Federal trade commission) enquête actuellement sur le rachat de la régie publicitaire DoubleClick par Google. Annoncée il y quelques semaines pour un montant de 3,1 Md$, cette dernière a déjà fait couler beaucoup d'encre. Outre le fait que le moteur de recherche s'est imposé au nez et à la barbe de Microsoft - en lice de longue date pour ce rachat -, un certain nombre d'associations de protection des données personnelles se sont montrées inquiètes. L'Electronic Privacy Information Center (EPIC) et le Center for Digital Democracy (CDD) ont déposé une plainte le 20 avril dernier auprès de la FTC demandant le blocage de la procédure de fusion jusqu'à ce que Google s'engage à mettre en oeuvre les outils permettant d'effacer toute trace de navigation des internautes sur ses différents sites. Reste qu'il y a de fortes chances que la FTC s'intéresse moins à ce problème qu'au risque anticoncurrentiel que fait courir la fusion entre Google et DoubleClick. Le premier - outre son activité de moteur de recherche - est surtout le numéro un mondial en matière de liens sponsorisés, tandis que le second est - de longue date - la principale régie publicitaire Internet de part le monde. Les autorités antitrust devront donc dire s'il reste suffisamment de place aux concurrents potentiels pour se développer, le principal critère d'arbitrage de la commission. Côté concurrents, on s'organise d'ores et déjà : en quelques semaines, Microsoft s'est offert aQuantive pour 6 Md$ et les rumeurs de discussions avec Yahoo - principal concurrent de Google sur les liens sponsorisés - vont bon train. De son côté, AOL a mis la main sur Adtech, prestataire technique de mise en ligne de campagne particulièrement présent en Europe, et Yahoo s'est offert RightMedia pour 680 M$. (...)

(25/05/2007 16:59:40)

Un bon cru 2006 pour l'emploi et les salaires des jeunes diplômés

La livraison 2007 de l'étude annuelle sur l'insertion des jeunes diplômés publiée par la conférence des grandes écoles (CGE) ne fait que confirmer le retour actif des chargés de recrutement sur les campus. Parmi les promos 2006 des écoles d'ingénieurs et de gestion, 85% des diplômés ont trouvé employeur dans un délai de quatre mois (contre 80% pour la précédente promo), dont 82% dans les deux mois (76% l'an dernier), c'est-à-dire juste après s'être accordé un mois de vacances avec le diplôme en poche. Pour 79% d'entre eux, il s'agit d'un contrat à durée indéterminé. Le CNE a encore moins de prise que l'an dernier: 1,3% contre 2% lors de l'enquête 2006. La moyenne des salaires d'embauche est également en progression de plus de trois points: 31 910 euros cette année, contre 30 900 euros l'an dernier. Des résultats plus détaillés de l'étude feront l'objet d'une présentation à la presse le 12 juin. Un rapide tour des plans d'embauche de sociétés du secteur informatique montre que cette priorité accordée à l'accueil de sang neuf n'est pas l'apanage des seules grandes SSII. Par centaines, Accenture, Astek, EDS, Sodifrance, Micropole-Univers, Net2S, SCC, Resadia, Solucom, Teamlog... regarnissent leurs rangs de jeunes recrues. Il y a aussi les petits contingents : Mega, Netfective, Advyso, Smile, Ooodrive, Soltim-Proval, Seriacom, JNC Diffusion qui visent quelques dizaines de recrues en renfort. Retour en régions Pour assurer cette relance (du business et de l'embauche), la tendance est au retour en régions. Avec des campagnes orchestrées au niveau national comme l'opération portes ouvertes de Teamlog qui s'est tenue cette semaine simultanément à Lannion, Lyon, Grenoble, Rennes, Nantes et à Paris. Ou carrément ciblée sur une localisation, comme JNC Diffusion qui promeut les solutions et services de sécurisation des données sur un axe Bordeaux-Toulouse-Montpellier-Marseille. Des campagnes ponctuées de rendez-vous marquants comme la « garden party » organisée ce vendredi 25 mai par Solucom en quête de 250 jeunes recrues, ou le marathon de blog emploi vidéo organisé par Adecco Ingénierie (le 11 mai) parallèlement au marathon Shell Eco (compétition entre véhicules qui consomment le moins possible), ou plus classique, l'inauguration d'agences promises à un fort développement dans l'année, comme l'ont fait récemment Smile à Lyon, SCC ou Niji à Lille, Umanis avec l'ouverture d'un centre de services à Tours (une neuvième localisation pour cette société qui compte 800 personnes). Des relations écoles-entreprises re-dynamisées Les salons et forums refont le plein, d'employeurs et de jeunes candidats, y compris pour les doctorants comme en témoigne l'opération Déclic (Doctorants-Entreprises, Combinons les initiatives de chacun) de ce jeudi 24 mai à Sophia Antipolis (organisé par l'ADSTIC et l'ADSFA, deux associations de thésards en informatique et en sciences fondamentales et appliquées). Et en amont, les relations écoles-entreprises retrouvent du peps. Certaines écoles en profitent pour conforter des dispositifs qui commencent à faire leurs preuves en matière de facilitation de l'insertion, comme le livret numérique de l'étudiant (IAE de Caen) au travers duquel le futur diplômé affine son itinéraire d'étudiant et son projet professionnel. Ainsi pour la deuxième rencontres R2E organisée du 30 mai au 1er juin à Maffliers (Val d'Oise), une cinquantaine d'écoles (15 écoles d'ingénieurs, 35 écoles de commerce) et six universités délèguent leurs chargés de relations entreprises et responsables de services carrières pour débattre avec leurs correspondants dans le monde professionnel. Au programme de ces journées concoctées par Keljob et Hobsons, les aménagements de l'offre de stages, un focus sur les partenariats exemplaires, l'aide apportée aux étudiants pour le choix de l'employeur, les actions menées à l'encontre de la discrimination à l'embauche, le financement de ces initiatives. (...)

(25/05/2007 14:54:15)

'Sondage flash' : nos lecteurs veulent acheter écolo

« Vous achèteriez un produit labellisé "vert" par conviction, ou pour des raisons financières ou réglementaires uniquement ? » A cette question de notre 'sondage flash', 78,5% d'entre vous ont répondu « par conviction » (soit 260 votes sur 331). Il semble toutefois, au vu d'une récente étude Forrester, que si cette conception soit partagée par les informaticiens au niveau individuel, elle ne le soit guère dès lors qu'on s'adresse au directeur des achats d'une entreprise. Pour eux, rapportait Forrester, seule une obligation légale ou une économie pouvait justifier de s'intéresser à l'IT verte. Toutefois, l'auteur de l'étude estime que tôt ou tard, tout le monde dans l'IT y viendra. (...)

(25/05/2007 14:30:55)

Telecity Redbus teste la pile à combustible

Opérateur de deux sites d'hébergement en France (pour 5500 m² environ), Telecity Redbus expérimente jusqu'à mi-juillet une pile à combustible pour remplacer les batteries de certains de ses équipements de secours électrique. « Les quatre points qui ont motivé cette expérimentation, explique Nicolas Buono, le directeur des opérations, sont : 1) toujours disposer d'une source d'énergie fiable ; 2) participer à la protection de l'environnement en visant des rejets atmosphériques nuls, une réduction de stockage du plomb et une diminution des émissions sonores ; 3) trouver des alternatives aux énergies fossiles en anticipant la hausse des prix et la variation de disponibilité du fuel) ; et 4) le plus imprévisible, anticiper les nouvelles réglementations environnementales. » Les piles à combustibles testées par Telecity Redbus sont celles du fabricant américain Idatech. Elles consomment de l'hydrogène (stocké sous forme de méthanol, « réformé », c'est-à-dire passé dans une machine appelée « réformeur », pour obtenir l'hydrogène) et, après mélange avec l'oxygène de l'air, rejettent de l'eau. Les premières batteries remplacées par des piles à combustible seront dans des équipements non critiques, précise toutefois Nicolas Buono. (...)

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