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(18/04/2007 16:56:53)

Le Web 2.0 faussement collaboratif

Le Web 2.0, pas si participatif ? Alors que se tient à San Francisco la Web 2.0 Expo, illustrant le succès de la vague des sites collaboratifs déferlant sur Internet, le cabinet Hitwise publie une étude qui vient tempérer l'importance du tout 2.0. Les YouTube, Flickr, MySpace ou Wikipedia ont beau recueillir de fortes audiences, seuls de rares internautes jouent le jeu de la participation active. Selon Hitwise, les visiteurs de ces sites se comportent comme des téléspectateurs : ils regardent plus qu'ils ne créent. Et l'étude de citer des chiffres édifiants. Sur la plateforme d'échange de vidéos YouTube, acquise par Google pour 1,65 Md$, seuls 0,16% des internautes participent effectivement au service en envoyant leurs films. Même constat sur Flickr, le site communautaire de Yahoo axé sur la photo : les visiteurs sont seulement 0,2% à mettre en ligne leurs clichés. D'une manière générale, Bill Tancer, le patron de Hitwise, estime qu'il existe trois catégories d'internautes adeptes des sites dits 2.0 : 1% créent le contenu, 9% le partagent et 90% le consomment. Seule exception à ce ratio, 4,6% des visiteurs de l'encyclopédie Wikipedia sont également des contributeurs et participent à l'enrichissement de la base de connaissance. Paradoxalement, ce faible nombre de participants n'influe en rien sur la quantité de visiteurs que drainent les sites 2.0. En deux ans, leur audience a ainsi progressé de 668%, explique Hitwise, passant de 2% du trafic total sur Internet aux Etats-Unis, à 12,3%.. Symbole du succès du Web 2.0, Technorati, moteur de recherche de blogs, vient de signer son premier achat. Et les grands groupes ne sont pas en reste, comme Cisco, qui a mis la main au début d'année sur deux sociétés spécialisées dans les réseaux sociaux. D'aucuns s'inquiètent déjà et n'hésitent pas à comparer la fièvre 2.0 avec la bulle des années 2000. Des craintes tempérées par de nombreux experts qui rappellent, qu'à la différence de la précédente crise, le succès du Web 2.0 repose sur l'adoption, par les consommateurs, des outils mis à leur disposition. Cette fois donc, l'offre rencontre la demande. Hitwise a également profité de la Web 2.0 Expo pour livrer ses prévisions sur les futures stars du monde collaboratif. Yelp (les internautes donnent leurs avis sur leurs restaurants préférés, leurs dentistes, leurs centres de massage...), StumbleUpon (sélection de sites Web par les internautes suivants une liste de critères), Veoh (similaire à YouTube), WeeWorld (création d'avatars), Imeem (partage de listes de lecture) et Piczo (albums photo) sont, selon Hitwise, les valeurs montantes du Web 2.0. (...)

(17/04/2007 17:53:39)

Dossier médical personnel : la Cnil soulève des problèmes de sécurité

A l'occasion de contrôles exercés chez les participants à la phase d'expérimentation du dossier médical personnel (DMP), la Cnil a relevé un certain nombre d'insuffisances relatives à la sécurité des données. Menés auprès des centres hospitaliers, des réseaux de santé, médecins, centres d'appel et hébergeurs, les contrôles concluent que « la courte durée d'expérimentation du DMP ne permet pas de mesurer son fonctionnement effectif et que les mesures de sécurité doivent être renforcées ». La Cnil a notamment constaté des carences dans la façon dont les identifiants et les mots de passe sont transmis par les hébergeurs ou les centres d'appel aux centres de soins et aux patients. Dans certains cas, ces échanges se font par voie électronique ne bénéficiant pas de « protection particulière ». Pire, des patients ayant oublié leur mot de passe se les ont faits communiquer par téléphone. Dans le même esprit, des centres d'appel n'ont pas mis en place des mesures d'identification-authentification des patients, en ne prévoyant notamment pas d'interrogation de ces derniers à partir de « questions défis » renseignées lors de leur inscription. La Cnil relève également qu'une de ses recommandations n'a pas été suivie. Elle concerne l'obligation de chiffrement complet des bases de données, et pas seulement des canaux de communication. Enfin, la Commission a relevé une faille de sécurité sur le site Internet d'un hébergeur. Bien que résolue, cette faille permettait l'accès au DMP par le patient via un couple identifiant/mot de passe « identiques et facilement déductibles ». (...)

(17/04/2007 14:37:22)

Présidentielles et NTIC : les propositions des candidats en ligne sur lemondeinformatique.fr

Le Monde Informatique propose, en complément de son dossier paru vendredi dernier, de consulter en ligne l'intégralité de son enquête sur les programmes des candidats à la présidentielle en matière de technologies de l'information. Les liens sont au sein de notre dossier « Présidentielles : les idées des candidats face à ceux qui font l'IT », où vous pourrez également retrouver, en vidéo, les opinions de patrons français de l'industrie informatique, ainsi qu'un micro-trottoir parmi les informaticiens. (...)

(17/04/2007 12:04:33)

Neuf Cegetel va densifier le réseau WiFi des gares SNCF

La SNCF et Neuf Cegetel ont signé un nouvel accord pour densifier le réseau WiFi dans les 48 plus grandes gares françaises en mettant ainsi en place des points d'accès supplémentaires. De nouveaux hot-spots seront également positionnés sur la ligne TGV Est à l'occasion de son lancement en juin 2007, notamment dans les nouvelles gares Champagne-Ardenne TGV, Lorraine TGV et Meuse TGV. L'accès WiFi sera gratuit pour les clients SNCF disposant de la carte « grand voyageur ». Les principaux sites Internet de la SNCF (www.idtgv.com, www.voyages-sncf.com, www.gares-en-mouvement.com) resteront, quant à eux, accessibles sans bourse délier à l'ensemble de la clientèle. De leur côté, les abonnés de Neuf Cegetel disposant du téléphone hybride GSM/WiFi Twin pourront téléphoner et accéder à des services multimédia de manière illimitée depuis les gares équipées. L'infrastructure déployée sera ouverte aux autres opérateurs. La SNCF et Neuf Cegetel mettront en place des actions de communication communes pour valoriser les services WiFi proposés dans les gares. (...)

(17/04/2007 09:36:35)

Après la TV, Google vend des spots de pub pour la radio

Après s'être allié avec EchoStar Communications pour diffuser de la publicité à la télévision américaine, Google décroche cette fois-ci un contrat avec Clear Channel pour vendre des spots publicitaires sur tout le réseau radiophonique de ce dernier aux Etats-Unis. Le partenariat ouvre à Google les quelque 675 stations de radio qui émettent sur les ondes FM et moyennes fréquences. Les spots publicitaires seront vendus par tranches de 30 secondes. Autre clause du contrat, les sociétés s'engagent à connecter leur systèmes publicitaires respectifs, AdSense Audio pour Google et Viero, pour Clear Channel. Google est entré de plain pied dans la vente de pub pour la radio avec le rachat en janvier 2006 de dMarc Broadcasting, qui développe une plateforme automatisé de pub pour la radio. Hier, lundi 16 avril, le moteur de recherche se payait, pour 3,1 Md$, Doubleclick, régie publicitaire mondiale, spécialisée dans les formats classiques (comme les bannières) de réclames en ligne. (...)

(16/04/2007 17:35:18)

Les machines à voter n'ont pas de base légale, selon les juristes

A moins d'une semaine du premier tour de l'élection présidentielle, la polémique enfle autour des machines à voter. La dernière salve vient d'être tirée par la plateforme citoyenne Betapolitique : la modification du logiciel embarqué dans les machines de vote implique qu'il faudrait considérer avoir affaire à de nouveaux instruments. Dès lors, ces machines ne rentreraient plus dans le cadre des arrêtés, signés en 2005, les agréant. Betapolitique se base sur des constatations simples menées sur des machines de test lors de démonstrations. Les firmwares embarqués apparaissent comme ayant été créés le 11 janvier 2007, alors que les décrets validant l'usage des trois types de machines installées en France datent de 2005. « On n'est plus en présence de machines électro-mécaniques qui font des trous dans une feuille, mais d'ordinateurs de vote », remarque Nicolas Barcet, de Betapolitique. Dès lors, la modification du logiciel équivaut à utiliser une nouvelle machine : « des lignes de code anodines peuvent tout changer », poursuit-il. « C'est comme si on change la version de Windows installée sur un ordinateur : on n'a plus le même ordinateur », résume l'avocat Jean-Baptiste Soufron. Aucune possibilité de vérification Roberto Di Cosmo, professeur d'informatique à l'Université Paris VII, va plus loin : « permettre de changer le logiciel, c'est permettre de tricher ». Si l'universitaire ne remet pas en cause la bonne foi de l'Etat et ne suspecte personne de vouloir utiliser les machines à voter à son avantage, il stigmatise l'approche dogmatique ayant conduit à l'implantation de ces appareils dans les bureaux de vote. Selon lui, tout découle d'une volonté de modernité : parce qu'il est de bon ton de paraître moderne, il faut introduire le vote électronique. Fût-ce au mépris des principes scientifiques les plus élémentaires : « en science, l'un des critères les plus importants est la vérifiabilité, ou la répétabilité, explique Roberto Di Cosmo. En ce qui concerne les ordinateurs de vote, on a bien fait des expériences de vote électronique et il a été attesté que tout s'est bien passé. Mais que signifie que « tout s'est bien passé » alors qu'on n'a pas le moyen de vérifier que les votes enregistrés correspondent bien aux choix faits par les électeurs. Le seul test effectivement réalisé est en réalité sociologique, il mesure le niveau de satisfaction des participants ». [[page]] Au-delà du problème posé par le firmware embarqué dans les machines, c'est toute la légitimité de la procédure d'homologation qui soulève de nombreuses questions. Pour qu'une machine soit agréée, elle doit être validée par un bureau d'expertise (Veritas ou Ceten Apave) au regard d'une liste de critères définie par le ministère de l'Intérieur. Or « la liste de critères est longue mais la sécurité informatique a été largement oubliée », souligne Pierre Muller, animateur du site ordinateurs-de-vote.org. Et ce dernier de donner un exemple édifiant : le critère 45 prévoit que les programmes doivent être stockés sous forme inaltérable, mais les machines iVotronic, d'ES&S, permettent une mise à jour du firmware. Le caractère inaltérable est donc inexistant. « Pourquoi un sujet aussi sensible que les ordinateurs de vote est délégué par l'Etat à des bureaux extérieurs », s'interroge Roberto Di Cosmo. C'est d'autant plus inexplicable que les rapports d'expertise ne sont pas publics. Des recours recevables, sauf si de nouveaux arrêtés sont publiés Les citoyens ne restent pas insensibles à ces arguments et ont déposé plusieurs recours devant la justice administrative. Dans cet esprit, le site Betapolitique met en ligne un formulaire de requête en référé liberté qu'il suffit de remplir, d'imprimer et de déposer dans son tribunal administratif. L'idée est de contester la décision des municipalités ayant autorisé l'utilisation des machines à voter. « Une cinquantaine de recours en référé liberté ont déjà été déposés pour la seule ville d'Issy-les-Moulineaux, précise Jean-Baptiste Soufron. Demain (le 18 avril, NDLR), un dépôt collectif aura lieu au tribunal administratif de Versailles ». Des recours dont le but est « de faire réagir et de créer de la jurisprudence », considère Jean-Baptiste Soufron. Mais, en plus, « qui ont de bonnes chances d'aboutir », selon Gilles Guglielmi, professeur de droit public à l'Université Paris 2. « Si les machines ne sont pas celles qui ont été agréées, c'est comme si elles ne sont pas agréées du tout », précise-t-il. Le ministère de l'Intérieur pourrait toutefois avoir pris la mesure du risque judiciaire en publiant discrètement, le 12 avril, un nouvel arrêté d'agrément pour la machine de la société Nedap, la plus fréquemment implantée en France. « Dès lors, on devrait voir d'autres agréments fleurir dans les prochains jours, estime Gilles Guglielmi. Cependant, personne ne peut dire que ces éventuels agréments correspondent aux logiciels installés dans les machines : elles sont scellées et la puce qui renferme le code est protégée par le secret industriel ; il est donc impossible de savoir ce qu'il y a dedans ». Au-delà de la non conformité des machines aux arrêtés d'agrément, il reste un autre recours aux opposants. Alors que le code électoral prévoit, dans son article 57-1, que toute les machines fonctionnent sur deux clés uniques et différentes, « aucun modèle ne remplit cette obligation et tous permettent le dépouillement avec une seule clé », souligne Gilles Guglielmi. Il ne s'agit pas, en soulignant les incongruités des ordinateurs de vote, de choisir le camp des technophobes mais plutôt de pointer du doigt « le passage d'un mécanisme de vote contrôlable par chaque individu quelque soit son niveau intellectuel ou social à un mécanisme opaque et invérifiable, même par des experts, comme l'explique Nicolas Barcet. Plus les citoyens entoureront cette démarche et plus on encouragera nos gouvernants à avoir une réflexion philosophique sur l'intérêt des machines ». Le ministère de l'Intérieur n'a pas répondu aux demandes d'explication du mondeinformatique.fr. Sur le même sujet : -Issy troque ses urnes contre des machines à voter -Le Conseil constitutionnel rappelle la conformité des machines à voter -Des failles dans des machines à voter électroniques européennes -Et consultez notre dossier spécial Présidentielles : les idées des candidats face à ceux qui font l'IT (...)

(16/04/2007 17:06:52)

Huit présidentiables ont répondu au questionnaire de candidats.fr

Après les réponses de Marie-George Buffet, Nicolas Dupont Aignan, José Bové, Dominique Voynet et Jean-Marie Le Pen, c'est au tour de Ségolène Royal, Olivier Besancenot et François Bayrou de participer au questionnaire du site candidats.fr www.candidats.fr est un projet initié par l'April (Association pour la promotion et la recherche en informatique libre) à l'occasion de Solutions Linux 2007. Il vise à rassembler les positions de chaque présidentiable sur les logiciels libres à travers un questionnaire. Parmi les thèmes abordés, notons les brevets logiciels, la Dadvsi, les ventes liées, l'administration électronique et les logiciels dans l'éducation. "Nous encourageons les candidats qui n'ont pas encore répondu à le faire rapidement, à savoir MM. De Villiers, Nihous, Sarkozy et Schivardi, et plus particulièrement Nicolas Sarkozy", indique le site. Arlette Laguiller a indiqué le 21 mars de pas disposer d'"'un secrétariat numériquement nombreux ni d'une armée d'experts me permettant de répondre avec la compétence et la précision voulues à votre demande". (...)

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