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Société

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(16/04/2010 12:23:38)

Le droit à l'oubli numérique, NKM consulte les Internautes

Nathalie Kosciusko-Morizet, secrétaire d'État chargée de la Prospective et du Développement de l'économie numérique, a annoncé le lancement d'une consultation publique sur le droit à l'oubli numérique qui devrait déboucher sur la rédaction d'une charte d'engagements. Ce texte devrait instaurer un code des bonnes pratiques des acteurs du Web afin de mieux protéger les données personnelles des internautes.

Le projet de cette charte aura notamment pour objectif de « faciliter l'exercice d'un droit de suppression des informations sur une personne, pouvant être publiées par des tiers et susceptibles d'être un jour préjudiciables. » Un espace contributif sur ce sujet est disponible sur le site www.prospective numerique.gouv.fr. Pour mémoire, le Sénat avait fin mars présenté une proposition de loi sur les données personnelles, intégrant ce droit à l'oubli numérique.

(...)

(15/04/2010 17:10:15)

L'observatoire des plaintes 2009 de l'Afutt : des améliorations et frictions

L'Afutt a dévoilé son millésime 2009 de l'observatoire des plaintes télécoms. L'association a recueilli les doléances de 5761 consommateurs. C'est 28% de moins qu'en 2008 et deux fois moins qu'en 2006, année au cours de laquelle l'association avait reçu pas moins de 11682 plaintes.

Dans le détail, un peu plus de la moitié des plaintes enregistrées en 2009 concernent le secteur Internet (53,4%, contre 58,3% en 2008), un tiers la téléphonie mobile (33,8%), et 12,8% les abonnements au téléphone fixe.Pour l'Afutt, cette baisse du volume des plaintes est liée à une conjugaison de plusieurs facteurs, comme l'amélioration du niveau de qualité des services fournis, une plus grande maîtrise des outils techniques de la part des consommateurs, la mise en application de la loi Chatel, mais « sans doute aussi, une certaine lassitude des utilisateurs à manifester leur insatisfaction sans espoir d'amélioration » reconnaît l'association.

Première cause de réclamation, la facture, qui concentre 16,2% des plaintes (22,7% des plaintes dans la téléphonie mobile). Suivent l'interruption de service (14,1%), la résiliation de l'abonnement (14%), le recouvrement et contentieux (8,8%), et livraison et installation (7,8%). Les litiges de type vente forcée ont diminué depuis 2008, mais « ces problèmes ne sont pas entièrement résolus » souligne l'Afutt.

Dans le secteur Internet, Free concentre 40% des plaintes, devant SFR (28,6%), Orange (24,2%), Numéricâble (2,1%) et Bouygues Telecom (1,2%)

(...)

(02/04/2010 11:54:31)

ZTE se dote d'une nouvelle tête

Changement de visage à la tête de ZTE, fournisseur d'équipements télécoms et de solutions réseaux, Shi Lirong succède à Yin Yimin. Agé de 46 ans, il a été entre 1993 et 1997, dirigeant de Zhongxingxin, principal actionnaire de ZTE. Directeur exécutif en 2001 de ZTE, il a pris la responsabilité de la direction des ventes et du développement. A son nouveau poste, Shi Lirong devra poursuivre la stratégie de croissance de la société, notamment en direction des réseaux 3G et 4G sur les marchés européen et américain. Le chairman de ZTE, Hou Weigui a salué « le parcours professionnel de Shi Lirong au cours des 20 dernières années dans le domaine des télécommunications, en totale synergie avec notre stratégie « technology driven by marketing ». Nous sommes sûrs que Mr Shi va poursuivre avec succès notre objectif de devenir un leader global dans le domaine des équipements télécoms. »

(...)

(02/04/2010 11:00:08)

Une association regroupe les DSI de Côte d'Or

Fondé en 2005, le Club des Décideurs TIC de Côte d'Or se réunissait sous l'égide de la CCI de Dijon. Celle-ci assurait sa domiciliation et son secrétariat. En janvier 2010, le club s'est constitué en association autonome financé par les cotisations de ses membres. Il réunit des DSI (ou autres décideurs IT en entreprises utilisatrices) en activité, du public comme du privé, en poste localement. Si certains consultants peuvent être admis, les fournisseurs ne le sont pas.

Fernand Bailly a été élu président de l'association. Il est DSI de Dijon Céréales. Le club se réunit mensuellement à l'heure du déjeuner dans une très classique optique d'échanges de bonnes pratiques et de veille technologique. Il organise également des visites d'entreprises pour découvrir des projets intéressants pouvant servir de modèles. Des réunions thématiques sont également organisées pour sa trentaine d'adhérents (issus de Cermex, Dijon Céréales, la CPAM, le GIP e-bourgogne, Urgo, Teletech International, Titanobel...). Le club est désormais dans une démarche de recrutement. (...)

(16/03/2010 16:11:29)

Le.com souffle ses 25 bougies

Internet célèbre le 25 ème anniversaire du premier nom de domaine avec l'extension .com ("com" pour "commercial"). C'est en effet le 15 mars 1985 que le web a accueilli Symbolics.com, un site commercial spécialisé dans l'intelligence artificielle et lié au MIT de Boston. Devenu un véritable symbole de l'Internet au même titre que "@" ou "www.", le .com a toutefois connu un démarrage en lenteur : seulement six noms de domaine en .com furent déposés en 1985, et il fallut attendre 1986 pour voir apparaître les HP.com, IBM.com ou encore Intel.com. Aujourd'hui, Internet compte près de 200 millions de noms de domaine. (...)

(15/03/2010 16:11:44)

Coopération des Douanes et Priceminister sur la contrefaçon

Concrètement, cette signature devrait permettre d'optimiser les actions entreprises en France pour lutter contre la contrefaçon sur Internet. "Cet accord va nous permettre d'améliorer nos procédures permettant de détecter le plus en amont possible les tentatives de mis en vente de contrefaçon de nos sites", explique Pierre Kosciusko-Morizet. Ce protocole d'accord intervient un peu plus d'un an après le lancement de Cyberdouane par le ministre du Budget Eric Woerth. L'objectif de ce service est de "détecter les transactions illicites sur Internet et de déclencher des contrôles douaniers ciblés", selon le ministère. Dans ce cadre, la collaboration a pour "but de formaliser la coopération, l'échange d'informations et de savoir-faire entre les deux parties" souligne le site de vente et de rachat sur le web. Depuis février 2007, la plateforme électronique détecte en effet les vendeurs suspects, susceptibles d'émettre des produits contrefaits, au travers de sa cellule Anti-contrefaçon. Faux Blackberry : + 772% Au total, PriceMinister a procédé au blocage de 2661 comptes "pour des faits de contrefaçon ou d'atteinte à des réseaux de distribution sélective" en 2009, soit une hausse de 1% par rapport à 2008. En dehors de la mode, c'est le rayon "high-tech" qui est le plus concerné par la contrefaçon (29%). La téléphonie enregistre 45% des produits bloqués. Les articles qui imitent les smartphones de la marque Blackberry ont d'ailleurs explosé de 772%. Pour acquérir des objets et des articles contrefaits, plus de huit acquéreurs sur dix (84%) se sont fournis via un site Internet (81% en 2008). (...)

(12/03/2010 13:37:22)

France Télécom épinglé pour "mise en danger d'autrui"

Selon notre confrère le Parisien, l'opérateur France Télécom est mis en cause pour homicide involontaire à la suite du suicide en août 2009 dans le Doubs de l'un de ses techniciens. Celui-ci - jeune technicien énergie-climatisation - avait été muté dans une unité chargée de dépanner les clients de l'opérateur, sans formation ad hoc. L'inspecteur du travail chargé d'enquêter sur ce suicide a remis fin janvier 2010 au parquet de Besançon un rapport pour « homicide involontaire par imprudence ». Il s'agit d'une proposition de qualification pénale que le parquet peut retenir ou non. Photo France Télécom (D.R.) (...)

(11/03/2010 15:20:31)

Twitter et Facebook prêts pour la géolocalisation de leurs utilisateurs

Selon une information parue dans le New York Times, Facebook devrait ajouter les informations relatives à la localisation des « amis » à partir du mois prochain. Le système sera probablement mis en place peu avant la conférence des développeurs F8 qui se tient en avril. Le système de géolocalisation de Facebook permettra aux « amis » de localiser le lieu à partir duquel la mise à jour a été effectuée. Selon une estimation, sur les 400 millions d'utilisateurs de Facebook, environ 100 millions effectuent la mise à jour de leur statut à partir d'un smartphone. Mais Facebook n'est pas le seul à vouloir rendre ces informations disponibles. Son rival Twitter, sur lequel sont postés chaque jour plus de 50 millions de messages de 140 caractères, est également prêt à mettre en route des fonctionnalités de géolocalisation. Twitter offre déjà à certains clients la possibilité d'attacher des informations de localisation à leurs tweets, mais la fonctionnalité n'est pas active depuis le site lui-même. Mais pas loin. Ainsi, quand Facebook a annoncé ses intentions de mettre en route un système de géolocalisation pour ses utilisateurs, Twitter a brièvement activé la fonction sur son site. MG Siegler de TechCrunch a remarqué qu'elle fonctionnait dans un post mais Twitter l'a rapidement désactivé. Néanmoins, ce bref signal prouve que Twitter met une touche finale à son système. Alors qu'il reste difficile de savoir comment fonctionnera la géolocalisation de Facebook, Twitter a offert un bref aperçu de sa capacité et la manière dont elle va présenter cette fonction à ses utilisateurs : des cartes superposent les tweets individuels et sur le flux principal, en même temps que les noms de lieux, figurera l'emplacement à partir duquel l'utilisateur à envoyé son tweet. Certains pensent que Twitter pourrait même l'activer au cours de la conférence SXSW qui commence vendredi. [[page]] La géolocalisation représente un enjeu important pour les réseaux sociaux, et un nombre croissant de services commencent à l'intégrer. De fait, la possibilité de lier des informations de localisation au statut permettrait au réseau social de cibler les petites entreprises pour leur proposer d'afficher de la publicité. On peut toutefois s'interroger sur les implications résultant de la possibilité de voir où se trouvent à tout moment les millions d'utilisateurs qui utilisent le réseau social. Et si il y a quelques raisons pour lesquelles le système est attractif - obtenir une recommandation sociale de « vraies » personnes, avoir accès à des informations localisées pertinentes, trouver des amis et des gens sympathiques autour de soi - d'autres motifs plaident pour dire qu'il serait mieux de ne pas l'utiliser : les cybercriminels suivent aussi les statuts de Facebook, la publicité va envahir cet espace, et il est difficile d'avoir un contrôle sur ceux qui voit où l'on se trouve. D'autant que Facebook n'est pas vraiment le mieux placé en matière de protection de la vie privée des utilisateurs, et avec un peu de malchance (comme ce qui est arrivé à Google avec Buzz), cette fonctionnalité pourrait facilement s'avérer un cauchemar pour la vie privée. (...)

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