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Société
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(11/03/2010 13:15:39)
Pour les élections Régionales, Internet reste peu plébiscité
Seulement 12% des Français interrogés déclarent aller sur les sites, blogs et forums en ligne pour s'informer sur la personnalité et les propositions des candidats aux prochaines élections régionales (14 et 21 mars). Internet arrive loin derrière les médias traditionnels que sont les journaux, radios ou TV locales (68%) et les réunions publiques (19%). A quelques jours des élections, seuls les sites des médias nationaux s'approchent d'un taux de consultation d'un quart (23%), devant les sites de médias locaux (16%), le site d'une liste ou d'un candidat (13%) et le site d'un conseil régional (13%). Trop de commentaires et pas assez d'analyses sur le web De plus, 61% des sondés estiment qu'Internet n'est pas l'outil approprié pour mieux se faire entendre des candidats. Ce taux grimpe à 72% dans les communes rurales, et à 71% sur la tranche 35-49 ans. Les électeurs qui s'informent sur Internet utilisent principalement le site de leur commune (40%), et les sites associatifs (26%). Les sites politiques restent très marginaux avec seulement 10% d'utilisation pour les sites d'élus comme pour les sites des partis. Ce baromètre a été réalisé par l'institut iSAMA pour Orange et Terrafemina auprès de 1.092 personnes de 18 ans et plus, interrogées en ligne les 3 et 4 mars 2010.
(...)(11/03/2010 11:46:51)En 2009, les internautes ont été trois plus nombreux sur les réseaux sociaux
Selon Médiamétrie, le temps passé par les internautes français sur les réseaux sociaux a augmenté de 112%. Une hausse que l'institut rapporte au succès de Facebook. Cinquième site de France en audience, le réseau fondé par Mark Zuckerberg est également le 7ème en temps passé. Il a reçu près de 21 millions de visiteurs uniques en décembre 2009. Twitter n'est pas en reste. Le site de micro-blogging qui permet de publier de courts messages (140 caractères maximum) a attiré 1,6 million de visiteurs uniques en décembre. Par ailleurs, les services de messagerie instantanée, comme Windows Live Messenger, sont utilisés par près de 24 millions d'internautes français chaque mois. Médiamétrie recensait à fin décembre 2009 quelque 34,7 millions d'internautes, soit 65% des Français de 11 ans et plus. Le nombre d'internautes qui se connectent tous les jours est de 19,8 millions, en augmentation de 12,5% par rapport à 2008. En moyenne, les internautes passent 1 heure 20 minutes par jour sur Internet, soit près de 10 minutes de plus qu'en 2008. (...)
(10/03/2010 14:25:58)Suivre les résulats des élections Régionales 2010 avec Google Maps
La page "Elections régionales 2010" de Google propose une carte de France, issue de l'application Google Maps, fournissant en collaboration avec l'AFP et des sites de journaux régionaux (Sud Ouest, l'Alsace, la Montagne, le Parisien, etc.) les résultats des élections de 2004, puis, au fur et à mesure de leur parution, ceux des premier (14 mars) et second tour (21 mars) 2010. Les résultats sont disponibles à l'échelle de la région, mais aussi aux niveaux des départements et des communes. Deux autres outils permettent de retrouver les articles en rapport les élections régionales (publiés sur Google Actualités) et les vidéos traitant du même sujet (diffusées sur la chaîne Elections Régionales de YouTube). Site : www.google.fr/regionales2010 (...)
(09/03/2010 14:51:01)Selon une étude récente, Hadopi n'a pour l'instant que peu d'effets sur le téléchargement illégal
Conduite auprès de 2.000 personnes dans la région Bretagne entre novembre et décembre 2009 (soit environ trois mois après la promulgation de la loi), cette étude révèle que le nombre de pirates sur Internet en France a augmenté de 3% sur cette période, alors que la plupart des internautes interrogés avaient connaissance de l'existence de cette loi et de ces principales dispositions. Les réseaux peer-to-peer, cible principale de la loi Hadopi, ont certes vu leur fréquentation baisser : 15% des utilisateurs de ces réseaux ont définitivement cessé de le faire avec l'adoption de la loi. En revanche, seulement un tiers de ces ex-pirates ont renoncé à toute forme de piratage sur Internet. Les deux tiers restants se sont tournés vers des systèmes de téléchargement alternatifs qui échappent au périmètre de cette loi, comme le streaming illégal ou le téléchargement sur des sites d'hébergements de fichiers (Rapidshare, Megaupload, etc.) domiciliés en Allemagne ou à Hong Kong. [[page]] "La réduction du nombre d'internautes qui utilisent les réseaux peer-to-peer s'est donc accompagnée d'une hausse des autres formes de piratage non prises en compte par la loi Hadopi (+27%). Cet accroissement fait plus que compenser la diminution du nombre d'utilisateurs des réseaux Peer-to-Peer" explique le rapport de l'étude. L'enquête révèle par ailleurs que les "pirates numériques" ne sont pas forcément de mauvais acheteurs de contenus légaux en ligne. La moitié d'entre eux (dont 27% sont des utilisateurs des réseaux peer-to-peer) sont en effet des "acheteurs numériques" de musique ou de vidéo sur les plateformes légales. En conclusion, les chercheurs de Rennes 1 estiment que la loi Hadopi, en coupant la connexion Internet des pirates peer-to-peer, pourrait réduire la taille du marché légal des contenus culturels numériques. (...)
(05/03/2010 17:20:39)Microsoft mise tout sur le cloud, confesse Steve Ballmer
70% des 40 000 collaborateurs de Microsoft(*) qui travaillent sur les logiciels le font d'une façon ou d'une autre pour le cloud, a déclaré à Seattle hier, jeudi 4 mars, le PDG de la société, Steve Ballmer, devant un auditoire d'étudiants en informatique réunis à l'Université de l'Etat du Washington. Selon le patron américain, cette proportion sera passée à 90% dans un an. « Notre inspiration, notre vision... s'appuie sur le cloud. C'est le pari que nous faisons. Pour le cloud, nous sommes tous sur le pont. Littéralement, je vous dirai que nous avons misé notre groupe dessus ». Tous les produits de l'éditeur, incluant Windows, Office, la Xbox, Azure, Bing et Windows Phone, sont conçus avec l'idée d'une connexion au cloud, a-t-il poursuivi. Même si pour certains d'entre eux récemment livrés, comme Windows 7, il y a eu beaucoup de développements qui n'étaient pas liés aux services hébergés, l'inspiration autour du produit a démarré « avec le cloud ». Au-delà du logiciel, Ballmer a évoqué les différentes stratégies de Microsoft pour mettre au point des équipements qui se connectent à des services en ligne. « Le cloud a besoin de terminaux plus intelligents ». Il a reconnu que Microsoft a commis des erreurs dans sa façon d'aborder le marché de la mobilité, laissant aux fabricants trop de latitude sur le choix des formats de terminaux. « Nous n'avons pas suffisamment standardisé », ce qui a généré pour les utilisateurs une trop forte cacophonie autour des formats. Clouds publics/clouds privés Au Mobile World Congress de Barcelone, Microsoft a montré que la nouvelle version de sa plateforme mobile, Windows Phone 7, était plus stricte sur les pré-requis matériels. Malgré cela, a ajouté Steve Ballmer, le système d'exploitation devrait offrir aux fabricants davantage d'options pour innover face à des concurrents tels qu'Apple ou RIM. Avec ces derniers, on ne peut faire que « ce qu'ils ont choisi pour vous », a-t-il asséné. Le PDG précise que sa société recourt à la même stratégie pour sa console de jeu Xbox. Microsoft veut aussi encourager le développement de différents services de cloud computing, à la fois privés et publics. « Comment faire pour que le cloud ne soit pas quelque chose que seules Microsoft et quatre autres sociétés exploitent pour le compte de la planète entière ? Comment vous le rendre ? Vous devez, si vous le voulez, pouvoir exploiter votre propre cloud ». Dans certains cas, Microsoft peut avoir intérêt à aider à mettre en place un environnement hébergé, par exemple dans le cas d'un gouvernement souhaitant conserver ses données à l'intérieur de ses frontières. « Il y a peu de chance que notre société installe bientôt un cloud public en Slovénie, cite en exemple Steve Ballmer. En revanche, Microsoft pourra vendre un ensemble de produits construits autour de ses services de cloud Azure qu'un pays comme la Slovénie pourra acheter et mettre en place lui-même. [[page]] Accélérer l'innovation scientifique Les bénéfices potentiels du cloud computing sont énormes pour les entreprises et les chercheurs, considère le PDG de Microsoft. «Nous devons accélérer la cadence de l'innovation scientifique». En accédant à des services de cloud public, les chercheurs pourront analyser de plus importants volumes de données et accélérer leurs travaux, explique Steve Ballmer. Ce qui permettra, par exemple, de pouvoir avancer sur les questions de changements climatiques. Le cloud « va créer pour vous tous ici des opportunités de recherche et de projets », a-t-il lancé aux étudiants en ajoutant que le modèle hébergé créait aussi de nouvelles possibilités pour les entreprises. Le PDG pense voir apparaître encore de nouveaux modèles économiques suscités par « cette infrastructure logicielle qui n'existait pas jusqu'à présent ». Il cite l'exemple d'une société dont les ressources limiteraient sa capacité de services à une communauté locale. En utilisant une infrastructure en ligne, elle pourra offrir ses produits à une audience plus large, payant les services informatiques au fur et à mesure qu'elle les utilise, sans avoir à investir d'emblée dans un datacenter. Steve Ballmer suggère même que cela pourrait donner des idées aux développeurs en Open Source pour vendre ce qu'ils ont fait. « Avec l'apparition de ces nouvelles infrastructures commerciales, ces inventeurs peuvent maintenant se demander comment ils pourraient monétiser ce qu'ils ont fait », et tirer un revenu des innovations qu'ils ont créées. (...)
(05/03/2010 15:23:04)Déjà 10 milliards de tweets
Les 10 milliards de messages publiés sur Twitter viennent une fois de plus confirmer la croissance spectaculaire de ce site créé en 2006. Le premier milliard de tweets avait en effet été franchi il y a à peine un an. La barre des 20 milliards devraient être atteinte d'ici 200 jours, selon le compteur GigaTweet. Selon Twitter, le nombre de tweets publiés par jour est passé de 5.000 en 2007, à 50 millions en 2010. Par rapport à l'année dernière, ce chiffre a connu une progression de 1.400%. Sur Twitter, les utilisateurs ont la possibilité de partager avec leur réseau des informations par le biais de courts messages appelés "tweets", et dont la longueur maximale ne dépasse pas les 140 caractères. Le principal atout de ce service gratuit créé en 2006 aux Etats-Unis est son interface de programmation ouverte et simple d'utilisation. Barack Obama a utilisé Twitter pour remercier ses électeurs suite à sa victoire à l'élection présidentielle américaine le 5 novembre 2008. Le site sert également d'outil de communication pour les opposants au régime en Iran depuis les dernières élections en juin 2009. Parmi les 10 milliards de tweets publiés, l'un des plus célèbres demeure le message envoyé depuis l'espace par l'astronaute Timothy Creamer. Afin d'inaugurer le premier service de connexion à Internet à bord de la station ISS, ce dernier avait publié sur son compte Twitter le message suivant : "Hello Twitterverse! We r now LIVE tweeting from the International Space Station -- the 1st live tweet from Space! :) More soon, send your ?s". Twitter revendiquait en 2009 seulement 50 millions d'utilisateurs à travers le monde. En novembre dernier, une version française du site est apparue. Toutefois, selon une récente étude publiée par Sysomos, société de conseil spécialisée dans les réseaux sociaux, moins de 1% des utilisateurs de Twitter sont français. La France se classerait à la 13ème place, juste derrière les Philippines, et loin derrière les Etats-Unis. (...)
(05/03/2010 11:57:58)Le PDG de Sogeti intègre la Commission Attali
Le président-directeur général de Sogeti, Luc-François Salvador, vient d'être nommé membre de la Commission pour la Libération de la Croissance Française présidée par Jacques Attali. Le décret de nomination, daté du 4 mars, a été publiée au Journal Officiel du 5 mars 2010. Ce décret modifie légèrement la composition de cette commission déjà auteur d'un rapport intitulé « 300 décisions pour changer la France ». Luc-François Salvador retrouve ainsi une position qui avait déjà été la sienne lors de la première convocation de cette commission, pour la rédaction de ce rapport. Il n'avait cependant pas été prévu dans la première vague de nominations de la seconde convocation. Le bilan de la première convocation est l'un des objectifs de la deuxième convocation. Lors de la présentation de « 300 décisions pour changer la France », Jacques Attali avait bien insisté sur le tout cohérent des mesures préconisées et l'insécabilité du programme politique ainsi défini. Mais les mesures gouvernementales qui en ont été inspirées n'ont été que ponctuelles et limitées. Le sens de cette commission (et le rôle du seul représentant réel du monde de l'informatique professionnel en son sein) n'en est que plus douteux. Malgré tout, le décret en question relance les travaux de Commission pour la Libération de la Croissance Française pour d'une part, donc, tirer un bilan de son précédent rapport, d'autre part proposer d'éventuelles nouvelles mesures et trouver un moyen de réduire les déficits publics. Elle remettra à cette fin un deuxième rapport avant fin juin. (...)
(04/03/2010 09:22:18)39% des Français utilisent l'Internet mobile
Que ce soit depuis leur téléphone mobile ou grâce à une clé 3G, 39% des Français de 15 ans et plus ont un accès à l'Internet mobile. L'usage d'ordinateurs portables et de la connexion Wifi sont en nette progression, respectivement +10 points et +11 points, selon le Baromètre de la Consommation Numérique, publié par TNS Sofres ce mardi 2 mars. Ces internautes mobiles consomment de plus en plus de medias (TV, radio et presse). La radio connaît le plus fort succès, avec une hausse de 9%. Cette étude a été menée par téléphone du 13 novembre au 1er décembre 2009. (...)
(01/03/2010 17:11:24)Silvio Scaglia, fondateur de Fastweb, passe par la case prison
(Source EuroTMT ) Le fondateur de Fastweb est accusé d'avoir détroussé le fisc italien de 400 millions d'euros. Il a clamé son innocence dans un communiqué adressé aux principales agences de presse italienne, tandis que le titre commençait à plonger dès mardi après-midi. Le coup est rude pour Silvio Scaglia plus connu en Italie sous le sobriquet de magicien dont il fut affublé lorsqu'il était administrateur délégué d'Omnitel, l'opérateur de téléphonie mobile fondé par Carlo De Benedetti. En deux ans à peine, Silvio Scaglia avait tellement bien mené la barque d'Omnitel que le nombre d'abonnés était rapidement passé de 300 000 à 8 millions. Une opération magistrale qui a d'ailleurs facilité la vente de l'opérateur au groupe Vodafone. A la fin des années quatre vingt-dix, le magicien commence à se sentir à l'étroit même dans la peau d'un administrateur délégué tout puissant. Aussi, il décide d'ouvrir sa propre boutique et fonde Fastweb. Une affaire facile pour cet ingénieur diplômé de l'école Polytechnique de Turin qui avait commencé sa carrière comme simple consultant chez Mc-Kinsey et Bain. « J'ai investi tous mes avoir et toute ma crédibilité dans cette affaire » racontait Silvio Scaglia le jour du baptême de Fastweb. Huit ans plus tard, nouveau tournant. En 2007, la revue Forbes l'insère dans la liste des 1 000 personnalités les plus riches de la planète et estime sa fortune à 1,2 milliard de dollars. Pour passer le temps tout en comptant ses sous, Silvio Scaglia fonde Babelgum, une web-tv gratuite. Le succès est encore une fois immédiat. C'est peut-être le dernier. Photo : Silvio Scaglia, fondateur et actionnaire de Fastweb (D.R.) (...)
(25/02/2010 16:40:40)Une proposition de loi pour mieux protéger les données personnelles
Une proposition de loi « visant à mieux garantir le droit à la vie privée à l'heure du numérique » vient d'être enregistrée par la commission du Sénat des lois constitutionnelles, de législation, du suffrage universel, du règlement et d'administration générale, où siège Alex Türk, le président de la CNIL. Cette proposition n'est qu'un avant-projet dont aucune date d'application ne peut être fixée pour l'heure. Il n'est même pas certain qu'elle aboutisse, sans oublier les multiples amendements qui vont survenir au cours du travail parlementaire. Cependant, ce qu'elle apporte pourrait modifier sensiblement la loi « Informatique et Libertés ». La première mesure prévue complète le Code de l'Education en imposant aux écoles un devoir de sensibilisation des enfants et adolescents à leurs droits et aux bonnes pratiques en matière de préservation de leurs données personnelles et de leur vie privée. Vérifier la présence de fichiers illégaux La proposition de loi prévoit également une obligation pour les entreprises et administrations de disposer d'un Correspondant Informatique et Libertés dès lors qu'elle met en oeuvre un traitement de données sensibles soumis à autorisation de la CNIL (et non pas seulement à déclaration). Elle limite les finalités des fichiers de police et de sécurité nationale. La CNIL verrait ses pouvoirs renforcés, notamment avec l'apparition d'une procédure très proche de la perquisition dans sa forme pour vérifier la présence de fichiers illégaux dans des locaux professionnels, avec création un délit d'entrave à cette « perquisition ». Elle pourrait être amenée à apporter un témoignage ou une expertise au cours de procédures judiciaires. Les acteurs du marketing direct sont visés par une disposition pas très contraignante pour les acteurs honnêtes : l'obligation de prévenir tout inscrit dans leurs bases en cas de cession à des tiers (les fameux « partenaires ») en laissant un droit d'opposition gratuite pour les personnes concernées. Enfin, les sanctions frappant les contrevenants à la loi « Informatique et Libertés » seraient doublées. (...)
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