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Société
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(09/11/2009 15:54:42)
Facebook capte 5% du temps passé sur le Web
Le réseau social Facebook totalise 5,1% du temps passé en ligne par les internautes à l'échelle mondiale, selon une étude dévoilée par le cabinet spécialisé comScore. Le réseau social américain, qui compte désormais plus de 300 millions de membres, se classe dans le top 5 des sites les plus consultés, derrière Microsoft, Google et Yahoo. Selon comScore, les membres de Facebook ont passé au total près de 1,4 milliard d'heures sur ce site au mois de septembre 2009, soit une progression de 193% en un an. Avec cette moyenne de 5,1% du temps global passé en ligne (un chiffre qui grimpe à 6% en Amérique du Nord, 6,6% en Europe, et même à 8% sur la zone Afrique/Moyen-Orient contre seulement 2,4% pour la région Asie/Pacifique), le site fondé il y a cinq ans par Mark Zuckerberg arrive en quatrième position des sites les plus fréquentés. Les sites de Microsoft totalisent 14,5% du temps passé sur le net Microsoft est en tête de ce classement, avec 3,9 milliards d'heures (+43% sur un an) passées en septembre par les internautes sur ses nombreux sites (Hotmail, MSN, Windows Live, Bing.com, etc.). Le géant du logiciel s'adjuge ainsi 14,5% du temps passé en ligne dans le monde (16,8% en Europe, et 35,9% en Amérique latine). Google, bien qu'étant le moteur de recherche le plus populaire de la Toile, arrive en deuxième position avec 2,5 milliards d'heures (+48%). Le roi de la recherche en ligne capte 9,3% du temps passé en ligne par les internautes en septembre. Le portail Yahoo! est troisième avec près de 1,7 milliard d'heures (-14%) et 6,3% du temps passé en ligne (seulement 2% en Europe, contre 11,2% en Amérique du Nord). Facebook est quatrième devant Tencent, un service de messagerie instantanée chinois, qui totalise 10,7% du temps passé en ligne en Asie (près de 900 millions d'heures). Suivent le portail américain AOL, le site de ventes aux enchères eBay, Fox Interactive Media, le moteur de recherche chinois Baidu.com, et le portail Lycos. Au total, 1,2 milliard d'internautes âgés de 15 ans et plus ont passé, en septembre 2009, près de 27 milliards d'heures en ligne (+24%), selon comScore. (...)
(06/11/2009 16:19:26)Hadopi : le Parlement européen rappelle le droit à être entendu
Petite victoire pour les opposants à la loi dite Hadopi. Ils espéraient en effet que l'Europe imposerait que toute coupure d'accès à Internet soit soumise à une autorité judiciaire, et non administrative comme la France le prévoit avec la Haute autorité pour la diffusion des oeuvres et la protection des droits sur Internet. Lors de la discussion sur le 'paquet telecoms' (un ensemble de réglementations sur le secteur), et le fameux amendement 138, le Parlement européen a finalement validé le principe d'une coupure de l'accès Internet, mais il a aussi fait un important rappel : le texte adopté stipule que l'accès à Internet est un droit de l'Homme de chaque citoyen de l'UE, et que par conséquent l'en priver lui donne droit automatiquement à se faire entendre par une instance juridique. Chaque internaute présumé télécharger illégalement du contenu a donc droit à la présomption d'innocence. Cela n'invalide donc pas totalement le principe de riposte graduée, mais devrait singulièrement compliquer la tâche de l'Hadopi. C'est ce que reconnaît La Quadrature du Net, qui pointe tout de même quelques ambiguïtés : « L'invalidation des mesures liberticides telles que la riposte graduée dépend désormais de l'interprétation qui sera faite de cette disposition par la Cour de Justice des Communautés européennes et les juges nationaux. » (...)
(06/11/2009 11:55:48)Les députés de la commission « souffrance au travail » se rendront chez France Télécom
Selon l'AFP, le groupe de travail de députés UMP et Nouveau Centre qui planche sur la souffrance au travail tiendra sa prochaine réunion plénière le 19 novembre prochain dans un établissement de France Télécom où il rencontrera les salariés. « Une réunion plénière de conclusion aura lieu le 10 décembre et nous rendrons public notre rapport le 16 décembre », a précisé Jean-François Copé, qui co-préside la commission. Il a ajouté que le groupe de travail étudiait la piste d'un « bonus/malus pour dire que l'entreprise qui investit beaucoup dans le capital humain, dans la formation, dans la sensibilisation au problème de la souffrance au travail mérite d'être encouragée ». (...)
(02/11/2009 16:03:11)L'OACI et Amadeus vont calculer automatiquement les émissions de carbone d'un vol
Mi 2010, les passagers d'un avion pourront connaître les émissions de CO2 générées par leur trajet. L'Organisation de l'aviation civile internationale (OACI) fournira en effet désormais à Amadeus toutes les données issues de son calculateur d'émissions carbone pour les proposer aux voyageurs. Amadeus édite les systèmes de réservation de voyages en avion utilisé par nombre de compagnies aériennes et agences de voyages dans le monde (plus d'un million de voyages par jour, selon Amadeus). L'OACI, de son côté, a mis au point un outil de calcul des émissions de CO2 pour un vol spécifique. Ce calculateur, déjà accessible en ligne de façon indépendante, sera désormais interfacé avec les systèmes de réservation d'Amadeus. A partir des noms de l'aéroport de départ et de la destination de l'usager, le calculateur manipule des éléments de la base des plannings de vols de compagnies aériennes, les informations sur la distance entre un point et un autre du globe, la combinaison de données sur les moyennes de remplissage des avions en fonction des périodes et des vols, les caractéristiques de l'aéronef concerné et sa consommation de kérosène. La mesure pourrait encore intégrer la météorologie puisque les vents dominants augmentent la consommation des vols en direction de l'Ouest et réduisent celle des vols partant vers l'Est. La méthodologie de l'OACI est disponible par ailleurs dans un format Open Source qui la rend accessible à toutes les compagnies aériennes qui souhaiteraient l'utiliser. (...)
(30/10/2009 12:44:32)33,6 millions d'internautes en septembre 2009 en France, selon Médiamétrie
En septembre 2009, la France comptait 33,6 millions d'internautes parmi les personnes âgées de 11 ans et plus, selon Médiamétrie/NetRatings et l'Observatoire des usages Internet. Ce nombre a progressé de 5% par rapport à septembre 2008. Dans leur très grande majorité (95,3%), les internautes se connectent via une connexion haut débit, comme le câble ou l'ADSL. Le Top 5 des sites les plus consultés de France se compose, dans l'ordre, de Google (31,07 millions de visiteurs uniques en septembre), Microsoft (29,96 millions), France Telecom (23,05 millions), Facebook (18,57 millions) et PagesJaunes (18,48 millions). En 8e position, on trouve Yahoo (17,16 millions), à la 12e la Wikimedia Foundation (...)
(27/10/2009 15:15:05)Selon une étude Morse, les réseaux sociaux nuiraient à la productivité en entreprise
Facebook et Twitter néfastes pour les entreprises ? On s'en doutait à titre personnel, des études le prouvent maintenant. Une étude anglaise réalisée par le cabinet d'analyse Morse sur plus de 1 460 employés révèle que 57% d'entre eux utilisent les réseaux sociaux pour des motifs personnels pendant leur temps de travail. Elle estime qu'ils passent en moyenne 40 min/jour sur les différents sites de réseautage. Ces distractions coutent une semaine de travail par employé et par an, soit 1,5 milliard d'euros pour la Grande-Bretagne. « La popularité des réseaux comme Twitter ou Facebook a considérablement grandi ces deux dernières années et ce phénomène s'accompagne de la tentation de visiter ces sites pendant les heures de bureau » indique Philip Wicks, un consultant de Morse. « L'arrivée de ces sites dans l'environnement professionnel est une gangrène pour la productivité ». Les dirigeants ne doivent pas faire l'autruche face à ces comportements déplacés, ils doivent plutôt mettre en place et renforcer leur charte d'usages. Une menace pour la sécurité ? En outre, un tiers des employés anglais disent qu'ils ont vu des informations sensibles sur leurs entreprises publiées sur des réseaux sociaux alors que 76% révèlent que leur patron n'a pas instauré de charte d'usages pour Twitter. Plus de quatre sur cinq ont également déclaré qu'ils étaient inquiets de cliquer sur un lien menant à site malveillant en suivant les liens postés sur les sites de réseautage. Morse explique que sans la mise en place de règles claires, les dirigeants acceptent une réduction de la productivité, ainsi que des risques de sécurité ou de dégradation de la marque. Le cabinet Morse a été commissionné par l'institut de sondage TNS Group pour conduire cette étude. D'autres études arrivent aux mêmes conclusions. En juillet, le cabinet d'analyse Nucleus (basée à Boston) avait publié une étude expliquant que les entreprises qui ne verrouillaient pas l'accès à Facebook perdaient moyenne 1,5% de leur productivité globale. De plus, 77% des employés qui possédaient un compte personnel sur Facebook l'utilisait pendant les heures de travail. Limiter ou interdire les réseaux sociaux ? « Après des années à alerter employés sur les dangers provenant des clics sur des emails ou sites web inconnus, ces derniers peuvent involontairement baisser leur garde en cliquant sur des liens de Twitter ou d'autres réseaux sociaux » ajoute Philip Wicks. « Il est primordial que les entreprises fassent de leur mieux pour se protéger en rappelant les dangers. Toutefois, les réseaux sociaux peuvent faciliter les rapports entre employés et clients, s'ils sont bien intégrés. C'est pourquoi les entreprises doivent trouver le juste équilibre en matière d'usage chez les employés entre l'engagement et la productivité». Certains sont toutefois plus radicaux. Début octobre, une étude commanditée par Robert Half Technology (spécialisée dans le recrutement informatique) montrait que les entreprises commençaient à se préoccuper des réseaux sociaux dans leurs bureaux. L'étude signalait que 54% des sociétés américaines ont purement et simplement interdit l'usage de sites comme Twitter, Facebook, LinkedIn et MySpace au travail. Avant d'en arriver là, il est peut-être préférable de faire preuve de pédagogie et de réfléchir à l'apport des réseaux sociaux (des intranets plus conviviaux en fait) pour améliorer la communication interne de l'entreprise. (...)
(26/10/2009 17:00:25)Proxima Mobile choisit 68 projets autour de l'usage de l'Internet mobile
Nathalie Kosciusko-Morizet et Bernard Benhamou (*) ont présenté, ce matin 26 octobre, les résultats de l'appel à projets Proxima Mobile destiné à développer les usages de l'Internet mobile. 68 dossiers sur les 250 déposés ont été sélectionnés, sur trois critères. Ils devaient proposer des services utiles à tous, permettre aux publics les moins connectés d'accéder à l'Internet mobile et stimuler cet écosystème. Proxima Mobile est doté d'un total de 10 M€ qui seront répartis en fonction des dossiers. « Il y a des projets de très petites tailles, ont rappelé la Ministre et le chargé de l'appel à projets. Et nous avons gardé des possibilités de coups de pouce pour les PME. » Les projets sélectionnés entrent dans des thématiques très variées. Volontairement, comme le précise NKM : « la diversité des dossiers soumis et celle des projets choisis reflète la diversité des sujets concernés par l'Internet mobile. » Les dossiers sélectionnés se répartissent dans les catégories suivantes : la culture, la consommation, le développement durable, l'éducation, le handicap, la santé, les seniors, les services à la personne, le tourisme et la vie locale. Catégories auxquelles il faut ajouter les outils et technologies. Pour Proxima Mobile, Internet et mobile riment la plupart du temps avec géolocalisation. Pour preuve, l'un des projets phares de la sélection que la Ministre, astronaute et scientifique, Claudie Haigneré a présenté en tant que présidente de la Cité des sciences et de l'industrie. CultureClic est « une véritable télécommande qui permet de cliquer sur son environnement culturel », comme le précise le communiqué. En fonction de l'endroit où se trouve l'internaute, ce service lui donne des informations hypermédia sur les sites culturels et les oeuvres qui l'entourent. Dans ce réseau social mobile en réalité augmentée seront regroupés la Cité des sciences et de l'industrie, mais aussi la Bibliothèque nationale de France, le Muséum d'histoire naturelle, ou la Réunion des musées nationaux. Il sera lancé début 2010. Géolocalisation encore et toujours pour deux autres projets élus. 'Jaccede Mobile' propose par exemple de recenser les lieux de sortie accessibles aux handicapés (extension mobile et géolocalisée du site Jaccede.com). Le principe ? Tout un chacun -handicapé ou valide- peut contribuer à identifier un lieu accessible, après une petite formation aux critères d'accessibilité « incitant ainsi les handicapés à sortir davantage », comme le souhaite Damien Birambeau, président de l'association Jaccede. Autre projet, 'Mon université numérique mobile' se veut une application universelle, comme l'explique Jean-Claude Colliard, président de l'Université Paris I Panthéon Sorbonne. « Elle fournira, quel que soit l'équipement de l'internaute, tout un ensemble d'informations sur les universités. » Il s'agit entre autres de valoriser leur patrimoine culturel et scientifique, mais aussi, par exemple, de guider en ligne professeurs, étudiants ou visiteurs vers une salle de cours ou de conférence. 'Mon université numérique mobile' devrait concerner 85% des universités françaises. Les projets concernés s'adressent en particulier aux populations les plus défavorisées, les personnes en recherche d'emploi, afin de les informer, de leur apporter des services, de leur donner accès à la culture. Il s'agit même d'un des trois objectifs de l'appel à projets. Reste que les mobiles, en particulier les smartphones, et les abonnements à l'Internet mobile restent à des tarifs plus que rédhibitoires. NKM explique que tous les services présentés dans Proxima Mobile sont aussi accessibles depuis des postes fixes. CultureClic, par exemple, offrira des fonctions très innovantes sur des smartphones mais sera aussi accessible sur 80% des mobiles, comme le rappelle Sacha Quester-Séméon, concepteur de CultureClic avec sa soeur Natacha. De plus, Bernard Benahmou assure, de son côté, que des négociations sont en cours avec les opérateurs télécom, via l'Afom (Association française des opérateurs mobiles), afin de définir des tarifs sous conditions de ressources. (*) Respectivement Secrétaire d'état à la Prospective et au Développement de l'économie numérique, et Délégué à l'usage d'Internet (DUI) auprès du Ministère de l'Enseignement supérieur et de la recherche ainsi que du Secrétariat d'Etat à la Prospective et au Développement de l'Economie numérique. (...)
(23/10/2009 17:24:31)Le Motif suggère de développer l'offre de livres numériques légale
Le téléchargement illégal de livres sur Internet reste un phénomène mineur en France et concerne moins de 1% des titres qui sont disponibles légalement au format papier. C'est ce que fait apparaître l'étude EBookZ présentée cette semaine par Mathias Daval, d'Edysseus Consulting, et le Motif, observatoire du livre et de l'écrit en Ile-de-France. Il n'est pas question, ici, du piratage de livres numériques, mais du piratage numérique des livres qui pose notamment le problème de la protection du droit d'auteur (au même titre que la diffusion par photocopie). L'étude porte sur l'ensemble des textes piratés proposés au téléchargement, issus de livres publiés en français par des éditeurs français. Pour la plupart, ces textes ont été numérisés par ceux qui les mettent à disposition sur le Web, au prix d'un « travail fastidieux de 6 à 10 heures minimum pour un résultat de bonne qualité ». Qualité qui est pourtant proposée pour 77% des ouvrages ainsi accessibles. Gallimard, Dunod et Hachette arrivent dans le peloton de tête des éditeurs ayant le plus de titres piratés. Les livres piratés de sciences, technique et médecine sont les plus représentés sur le Net, aux côtés des ouvrages de philosophie, de littérature de science-fiction et fantastique, d'informatique et, sans surprise, de cuisine. L'étude diffusée par le Motif montre que 94,9% des livres piratés ne disposent pas d'une offre numérique légale. En conclusion, l'étude recommande aux éditeurs de développer leur catalogue numérique en s'appuyant sur des modèles économiques innovants. Proposer des lecteurs de livres numériques en bibliothèque Dans le sillage de cette étude, l'observatoire du livre a formalisé plusieurs propositions pour accompagner le développement de l'offre numérique, présentées lundi dernier à la Société des gens de lettres (SGDL) par Vincent Monadé, directeur du Motif. Celui-ci propose de mettre en place plusieurs modes d'expérimentation, à la fois dans les librairies et en partenariat avec certaines bibliothèques d'Ile-de-France. En librairie, l'offre numérique serait accessible par l'intermédiaire de bornes dédiées, ou bien directement à la caisse, et complétée d'outils d'impression à la demande (POD, print on demand). En bibliothèque, le prêt ou l'achat de lecteurs de livres numériques, serait assorti de la mise à disposition « d'une offre numérique de qualité ». L'objectif serait alors d'en évaluer l'adoption et les modes d'utilisation retenus par les lecteurs. La troisième proposition du Motif porte sur le développement d'une application libre de géolocalisation des librairies à partir d'un smartphone. Réalisée en partenariat, notamment avec Artesi (l'agence régionale des technologies de l'information), cet outil librement diffusé permettrait de retrouver le point de vente le plus proche où trouver le livre recherché. (...)
(23/10/2009 11:17:35)Un ouvrage collectif pour protester contre Hadopi 2
Avant les conclusions du Conseil constitutionnel sur le projet de loi Création et Internet qui a validé presque toutes les dispositions du dispositif Hadopi 2, les éditions InLibroVeritas annonçaient la sortie d'un livre à charge contre le texte, La Bataille Hadopi. Rédigé par 40 personnalités opposées à cette loi, cet ouvrage a été présenté le jeudi 29 octobre au Fouquet's, célèbre restaurant parisien où Nicolas Sarkozy était venu célébrer sa victoire à l'élection présidentielle, le 6 mai 2007. Ce collectif d'auteurs contre la loi Hadopi comprend plusieurs personnalités politiques, mais aussi des artistes, des juristes, des sociologues et des journalistes. La liste comprend, entre autres, Jacques Attali, Patrick Bloche, Daniel Cohn-Bendit, Nicolas Dupont-Aignan, ou encore le chanteur Francis Lalanne. Cet ouvrage, qui expose en 350 pages les arguments des opposants à la loi Hadopi 2, est disponible en version numérique, distribuée gratuitement sur Internet en format PDF, et en version papier : Bronze (9 euros), Argent (19 euros) et Or (49 euros). L'édition Or est livrée avec un T-Shirt "La bataille Hadopi", un CD contenant un documentaire, ainsi qu'un autocollant, un marque page, et des flyers à distribuer. Site : www.inlibroveritas.net/la-bataille-hadopi.html
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